angha

NOUS POUVONS COMPRENDRE LES FLICS, PAS DE VAGUES

il y a 8 ans
Auteur Message
Photo de lecouperet
lecouperet (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "flo056"Citation de "elixir07"Citation de "flo056"Citation de "angha"Le racisme anti-français et anti-chrétien....!!!

Un fiction pour le gouvernement une réalité pour nous FRANÇAIS.


https://www.facebook.com/UnitePatriote/videos/1601353606845556/


Du grand n'importe quoi les flics ont manifesté sous tous les gouvernements... Et sous de Gaulle aussi c'était un racisme anti français ?



certainement pas avec le ras le bol actuel et la même détermination !
la coupe est pleine !
on les encouragera à tenir leur grève




On c'est qui ? Oups pardon les membres du fn[/quote]

Attention LULU ,tu es lu par les plus hautes autorités de la cour européenne de cyber criminalité , fait gaffe !!

Photo de jaune-d-oeuf
jaune-d-oeuf il y a 8 ans

Citation de "elixir07"http://img.over-blog-kiwi.com/0/92/98/17/20140410/ob_a755fc_roms5.jpg[/quote]

Comme il est bien ce pays..............de merde..

Photo de elixir07
elixir07 (clôturé) il y a 8 ans




le changement pour bientôt , poils au dos

Photo de lindyhop
lindyhop (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "elixir07"




le changement pour bientôt , poils au dos

"ils" y ont crus poil au cul

Photo de elixir07
elixir07 (clôturé) il y a 8 ans

Réalités criminelles,
enfumage officiel

Exposons le désastreux état de la sécurité en France, vers la fin de la présidence
Hollande

. Ces derniers temps, on apprend que :

• En 2015, policiers et gendarmes ont eu 1 032 blessés par mois dans leurs rangs. Au
premier semestre 2016, 6 753 blessés "en mission ou en service" pour la seule police, +14% sur les mêmes mois de 2015.

Cibler les flics devient un sport dans les zones horscontrôle.

Pour un responsable policier "le tabou de l'autorité est en train de tomber"

Modifié il y a 8 ans, le dimanche 6 novembre 2016 à 15:22

Photo de elixir07
elixir07 (clôturé) il y a 8 ans

• Après Kim Kardashian, les agressions des riches (touristes ou autochtones) se
multiplient.

Attaquée chez elle à l'ouest de Paris, une Taiwanaise septuagénaire est délestée de plus de 150 000 euros de bijoux.

Peu après à Roissy, le PDG de la solderie
GIFI et son épouse sont braqués en taxi ; on leur vole pour 100 000 euros de bagages.

Chaque semaine dans les quartiers chic

Photo de elixir07
elixir07 (clôturé) il y a 8 ans

"Culture jeune du djihad" ou simples prédations,
la criminalité des mineurs s'aggrave sans cesse ;
les années-Taubira ayant eu l'effet d'une puissante hormone de croissance sur les jeunes bandits.

Du Nord au Gard en passant par les Ardennes, "explosion" des infractions des moins de 18 ans.

A Saint-Etienne, le procureur s'affole du nombre des mineurs présentés au parquet en 2015 : + 104% sur 2014.

Dans le Val d'Oise, des collégiens s'amusent à piller des supermarchés "de façon récurrente".

Ainsi de suite

Photo de elixir07
elixir07 (clôturé) il y a 8 ans

Prenons de la hauteur.

Ce mois-ci, France-Stratégie (jadis "Commissariat au Plan") publie une "auscultation clinique de la société française" dans l'excellent rapport "Lignes de failles, une société à réunifier".

Encore un bon travail de la Fonction publique - dont la plupart des politiques se moquent.

Or dans ce rapport, le bilan et diagnostic de la présidence Hollande est terrible :

- Pour ces prochaines années, 73% des Français craignent des tensions croissantes entre composantes d'une société désormais fracturée,

- Perte de confiance dans les institutions structurant notre vie collective,

Photo de elixir07
elixir07 (clôturé) il y a 8 ans

Forte crainte d'un déclassement des personnes comme du pays,

Vie ressentie comme plus dure que naguère, d'abord par les populations vivant hors des centre-ville et se sentant abandonnées,

Capacité de l'Etat à répondre à l'insécurité remise en question.

Ségrégation sociale et culturelle croissante.

Ce rapport évoque même une "sécession sans guerre", les riches/aisés évitant toujours plus de côtoyer la plèbe.

Bien sûr, fort sentiment d'insécurité dans les fameuses "zones urbaines sensibles" et autres "quartiers populaires"(décodeur : ghettos et coupe-gorges)

Face à ce sinistre bilan que fait le gouvernement ?

Photo de elixir07
elixir07 (clôturé) il y a 8 ans

• Parfois, il simule.

En octobre, la préfecture du Rhône organise des "rencontres de la sécurité 2016".

Gendarmes, policiers... Cent manifestations locales... Lisons le programme :

"Les jeunes, le permis, la route...

Les gestes qui sauvent... La cybercriminalité en entreprise..

. Les conduites addictives...

Des exercices nautiques". La criminalité ?

Agressions, cambriolages et braquages ?

Rien du tout.•

Deux fois en deux jours , le Ministre-matamore de l'Intérieur s'adresse à lui même de grands compliments.

Grâce à lui, tout va bien (voir plus haut) - rhétorique près de laquelle un discours de Kim Jong-Un est un pénible exercice d'introspection critique.

Quel courage : le ministre s'exprime devant "les directeurs de tous les services et les huiles de la police et de la gendarmerie" , tous à sa solde et ligotés par le devoir de réserve.

Modifié il y a 8 ans, le dimanche 6 novembre 2016 à 15:33

Photo de elixir07
elixir07 (clôturé) il y a 8 ans

• Enfin, notre drôle de ministre des Droits des Femmes. En 2015, 1 889 policières sont blessées en service ou en mission, + 15% sur 2014. Pas son problème :

le 10 octobre, la pétulante dame inaugure, devant un journaliste de Libération pâmé, une place du
"Calvaire des filles", au métro Filles du Calvaire.

Que dans le monde, on opprime des filles nous afflige - mais cette ministre n'a-t-elle pas mieux à faire que de placarder de débiles jeux de mots sur des réverbères ?

Photo de loiseau2nuit
loiseau2nuit (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "apocope"Citation de "loiseau2nuit"je comprends d'autant plus les flics que j'ai un membre de ma famille qui s'est trouvé dans une situation ou deux de ses collègues ont été blessés ...
ils ne sont pas en poste pour subir la violence de personne précédemment arrêté..mais dont la justice les a relâchés...mais juste pour protéger la population..

leur travail devient de plus en plus compliqué....


Ce n'est pas une raison pour réclamer un État policier.

La flicaille instrumentalise leur malheur


qui a parlé d'état policier?
seulement, si tu avais de la famille dans la police,tu comprendrais beaucoup mieux le malaise....
c'est loin de toutes ces théories que certains sortent ici...surtout ceux qui ne voient le jour qu'au travers de leur fenêtre!

Photo de elixir07
elixir07 (clôturé) il y a 8 ans

Ce CRS raconte :

« Au rassemblement, on nous demande une fois de plus de ne pas dire ce qui se passe ici aux gens que l’on connait.
IL FAUT CACHER LA VÉRITÉ comme l’argent qui leur est donné chaque jour, les 3 repas par jour offerts, la nourriture distribuée directement au camp, les vêtements souvent neufs, le fait qu’ils aient tous, je dis bien TOUS, des smartphones dernière génération (ceux que l’on ne peut pas se payer en travaillant), les soins gratuits à outrance − d’ailleurs je plains les pompiers du coin −
le fait qu’ils détruisent une partie de la nourriture qui leur est offerte car ils n’ont pas ce qu’ils ont commandé… »

Une honte de les garder sur notre sol !

« La matinée a été longue.
Très longue. Le manque de repos sur cette mission commence à se faire sentir. Enchaînement incessant des services à différents horaires…
De jour comme de nuit.
Qu’il vente, qu’il pleuve, qu’il neige… Enfin…
Nous ressentons du dégoût à ne pouvoir faire du travail de police, grandir, ici et là, dans des conditions dangereuses.
Nous sommes là et las.

En surveillance sur une bande d’arrêt d’urgence pendant six heures (endroit où l’on dit que la durée de vie est calculée statistiquement à moins de quinze minutes) constatant, impuissants, que les routiers de tous les pays empruntant cette voie, se moquent de nous, policiers présents…

Ils débouchent sur ces voies rapides sans prendre gare aux véhicules déjà sur cet axe, à toute allure, nous rasent sans ralentir, s’engagent devant nos yeux sans respecter les règles de sécurité,
les règles de priorité ni le code de la route…
Nous sommes frôlés par ces semi-remorques lancés à plus de 90 km/h, ce qui rajoute au mauvais temps, une dimension surréaliste.

En d’autres endroits, nous jouons les «cônes de Lübeck», ces fameux cônes en plastique orange aux bandes blanches réfléchissantes, qui servent à matérialiser un accident, un danger ou des travaux, posés devant des trous dans le grillage qui coûte une fortune.
À chaque trou bouché ou pas, un ou deux policiers restent là, sous les caprices des éléments et du temps, à attendre une potentielle attaque !

Les migrants viendront. Un sas de sécurité a été installé, des barrières gigantesques de 4 ou 5 mètres de haut, distantes en parallèle d’un mètre cinquante sur plus de 35 kilomètres… J’en suis loin, je pense.
Chaque jour, ils cassent en différents endroits, là où nous ne sommes pas !
Les réparations elles aussi coûtent une fortune.

04:30 ― Réveil puis nous arrivons à l’heure du repas.

13:20 ― Nous n’avons vu personne. Pas un migrant sur notre point
. Le temps de se restaurer, de reprendre la direction de notre hébergement, déchargement de l’armement collectif et douche sans traîner.

15:15 ― Dans 8 heures, nous reprenons le service
. La nuit prochaine, nous travaillons.
Ce soir, ce sera une prise de service à 23:30 pour terminer (en théorie) à 07:00 du matin…

Arrive l’heure de reprendre le service.
Les mines sont fatiguées.
Le bonjour jovial, reste marqué d’une fatigue flagrante qui se lit de plus en plus sur les visages, comme une écriture.
Au rassemblement, la température de la journée est donnée :
quelques grenades lancées, beaucoup d’activité sur les voies rapides, mais plus encore en soirée.

En fond sonore, une radio embarquée dans l’un des véhicules-recueil est active :

« sur le point Golf-Alfa-2, ils sont au contact.
Ils lancent des barres de fer et des pierres.
Un de chez nous est touché légèrement.
Avons utilisé une dizaine de grenades MP7 .
Deux poids-lourds accidentés à cause de blocs de béton sur les voies rapides.
Les avons dégagés.
Demande renfort de 2 véhicules».

Pendant ce temps, nous est rappelé le cadre de l’utilisation du lanceur de balles de défense. Le lanceur de 40 est une arme de défense intermédiaire dotée d’un viseur point rouge non projeté.
Il lance des balles de caoutchouc et touche à plus de 50 mètres. Malgré tout, son utilisation est très réglementée et contraignante.
Il nous est rappelé également que dans le cadre de notre travail, il est autorisé aux gens de nous prendre en photo !


Anarchistes des groupes « NO BORDER »

Les «NO BORDER» incitent les migrants à nous tendre des embuscades (bien qu’ils n’aient pas besoin de conseil pour le faire) pour prendre des photos et des vidé;os pour dénoncer des “failles” dans notre manière d’intervenir ou des images pour nous mettre en cause.
Mais surtout, ils espèrent faire un maximum de blessés dans nos rangs.

Le chargement de l’armement collectif se fait au cul du camion-armurerie
. Des « blagounettes » sont lancées ici et là pour faire oublier que nous serions mieux dans un lit bien chaud, dans nos foyers et non sous ce crachin permanent qui nous recouvre petit à petit…

Femmes et enfants ou parents, pour beaucoup, sont la pensée du moment, mais seront relégués au second plan dans une minute ou deux.
Les rôles de chacun dans le VR sont distribués
. « Qui est habilité LBD ? » – « Moi »répond Julien.
Comme les autres, je prends un LBD.

Moi, je dis : « Perso, je prends en compte le lanceur Couguar [5] »
. Il lance des grenades au coup par coup mais avec de l’habileté, il se manie très bien et se recharge vite.
Son bruit détonnant ressemble à celui d’un mortier. –
« OK » lance le chef de bord. « Qui veut des grenades à main ? »
Elles sont réparties dans les gilets tactiques (qui n’ont de tactique que le nom) censés nous protéger de coups éventuels, absorber des chocs, mais aussi permettre le transport de matériel supplémentaire.

La répartition des grenades et conteneurs lacrymogène faite, je m’emploie à mettre le gilet de grenades pour le lanceur Couguar.
Il est lourd.
Il contient des grenades avec un dispositif de retardement pour les lancer à 50 mètres, d’autres à 100 mètres.
La fermeture est cassée.
Sur les ondes, on apprend que les effectifs que nous allons relever sont pris à partie en de nombreux endroits.
Il va falloir faire vite.

Les jambières sont mises, les casques vont se visser sur nos têtes rapidement…
Le LBD et le Cougar sont alimentés d’une cartouche chacun, prêts à être utilisés au besoin.
À la radio, la station directrice ne sait plus où donner de la tête. Il faut des renforts partout, sur presque tous les points.
Ordre nous est donné, bien que nous soyons en dynamique cette nuit, de renforcer ponctuellement un point situé juste derrière le camp des migrants : « la Jungle ».

00:15 ― À notre arrivée, l’atmosphère est tendue.
Le bleu des gyrophares inonde la nuit et se reflète sur nos visages à moitié protégés. Les consignes sont prises.
Nous voilà seuls. Deux VR montés de cinq hommes chacun, casque sur la tête.
À nos côtés, une vingtaine de personnes viennent à notre rencontre.
Certains sont en treillis camouflé, bonnet ou cagoule noire.

Ce sont les hommes et les femmes du collectif « Les Calaisiens en Colère » .
Ils tentent de protéger leurs biens, mais donnent aussi de bonnes informations sur les événements passés ou à venir,sans avoir peur, le cas échéant, de combattre aux côtés des Forces de l’Ordre !

La semaine avant notre arrivée, «Les Calaisiens en Colère» ont apporté une aide considérable aux collègues présents.

Assaillis de tous côtés, les policiers ont utilisé toutes leurs grenades et se sont retrouvés face à des migrants armés de couteaux et barres de fer.

N’écoutant que leur courage, « Les Calaisiens en Colère » sont venus se battre au coude à coude aux côtés des forces de l’ordre qui, bien qu’ayant informé la hiérarchie qu’elles n’avaient plus de moyens intermédiaires pour contenir les assauts répétés, ont reçu l’ordre de rester sur place.

Ça bouge sur un petit chemin plongé dans le noir complet, longeant la voie rapide.
Nous intervenons pour dégager des amas de barres de fer, de blocs de béton et je ne sais encore quels autres projectiles de fortune entassés et abandonnés par un groupe de migrants qui voulaient les lancer sur les voies de circulation.

01:20 ― La situation est calme pour nous.
Les pompiers interviennent dans le camp, escortés par une de nos patrouilles (5 hommes) pour secourir un individu blessé par arme blanche.

02:00 ― Au loin, des silhouettes traversent la petite route sur laquelle nous sommes implantés en direction d’habitations civiles. Ici et là, sur les ondes radio, on entend signaler des vagues de migrants de 40 ou 50 individus.

02:30 ― Les riverains et amis du Collectif quittent les lieux.
Nous sommes plongés dans le calme de la nuit, avec un éclairage faible.

02:45 ― Sur les ondes et partout alentours, on entend hurler que de nombreux camions sont arrêtés, assaillis par des vagues de 50 migrants, dont certains accidentés sur la voie rapide.

À pied en courant, nous venons prêter main forte à l’effectif originaire de l’information ; dessous, une multitude de véhicules immobilisés, presque au contact les uns des autres qui, miraculeusement, ne se sont pas percutés les uns les autres.

Pareil à des Gremlins, de « petits démons noirs » surgissent de toutes parts des fourrés Ils prennent d’assaut les cabines de poids lourds, armés de barres de fer.

Déchaînement de violence

La Sécurité retirée, du haut du pont, quatre salves de 3 Couguars (soit 12 grenades) arrivent à mettre en fuite les assaillants qui se trouvent à 80 mètres.
Nous arrivons, malgré l’excitation collective, à ne toucher aucun camion avec nos projectiles !

Une fois les assaillants repoussés par des effectifs venus en renfort sur la voie rapide, le déblai des gravas peut commencer.

À notre tour, nous arrivons à bord du véhicule venu nous récupérer sur ce qui ressemble à une « zone de guerre », zigzaguant entre les véhicules arrêtés et des débris de toutes sortes.
Sur les ondes, ordre nous est donné de remonter sur le même axe pour prêter main forte aux collègues qui se trouvent en niveau bas de grenades, à quelque 300 mètres plus haut.

À leur hauteur, nous sautons de notre véhicule encore en marche car nous constatons qu’un effectif se trouve contre la rambarde de sécurité.
Des projectiles arrivent à les atteindre.

Les objets sont jetés depuis une zone boisée sans que l’on puisse distinguer les individus…
Seuls des cris venant des fourrés dans des dialectes inconnus.

Parfois un NIQUE LA POLICE ou FUCK THE POLICE se mêle aux ALLAH AKHBAR ! et à leur slogan favori :
VIVE DAESH !

M. Bernard Cazeneuve s’adressant à des réfugiés… « syriens » peut-être (?)

David, l’un de ceux que nous sommes venus appuyer par le tir, braque son faisceau lumineux et me demande d’envoyer une MP7 (lacrymo) dans la direction d’où il pense que partent les lancers. Avec 3 tirs de Couguar, j’arrive enfin à saturer l’endroit et à mettre en fuite le petit groupe de perturbateurs.

Le vent nous est favorable.
On en profite, mais les effets psychologiques ne sont pas négligeables non plus. Juste au dessus, 300 mètres plus un groupe de 20 à 30 individus virulents, armés de barres de fer, prennent le temps de jeter des panneaux de signalisation, des poteaux métalliques arrachés plus loin et des poubelles par dizaines au milieu de la voie rapide.
Nous progressons avec un effectif de la section 3 : 2 Couguars et 2 agents munis de conteneurs lacrymogène.

La progression se fait sous la protection de tirs Couguar.
Les migrants ripostent avec des objets métalliques qui s’écrasent à nos pieds en formant des étincelles et rajoutant des décibels au vacarme environnant.
Certains sont presque au contact.
Visage barbu pour les uns, imberbe pour les autres, âge moyen de 20 à 30 ans.
Robustes. Regards pleins de haine.
Des yeux à la flamme meurtrière nous font face.

Il nous faut prendre cette partie haute.
Mais l’endroit d’où viennent les pierres nous est caché par la végétation qui les protège.
Avec le Couguar, le tir devient tendu pour tenter de pénétrer l’épaisse végétation.
Effet immédiat : ça les fait reculer et descendre jusqu’à l’entrée du camp.
Pendant que je m’occupe de cette partie, les autres, derrière moi, protègent mes arrières et mon latéral.

La place devenue nôtre.
Je me mets en protection avec le Couguar, le temps que les collègues sortent les nombreux débris accumulés.
En bas, une centaine d’individus (pour beaucoup masqués) vocifèrent, tendent les poings en notre direction et des barres de fer de plus de 1,50 m.

D’autres se sont regroupés sous le pont, juste en-dessous de nous
. Une bonne cinquantaine, qui attendent en guet-apens et ramassent de nombreux projectiles.
Un petit groupe de 5 individus rejoint les autres en courant, leur tendent les mains et se séparent à droite et à gauche du camp.

L’évacuation des gravats n’étant pas terminée, je reste sur le point fort, ce qui semble leur poser un problème quand tout à coup, venant de droite à l’entrée du camp, des projectiles sont lancés vers nous pendant que d’autres assaillants tentent de se rapprocher. Une vraie stratégie de guérilla.

J’effectue un premier tir en cloche. Mais la MP7 avec un DPR 100 mètres (dispositif de retardement) – il ne me reste plus que ça dans le gilet – tombe juste derrière eux. Le vent ne m’étant pas favorable, je décide de tirer en direction des pieds à 10 mètres devant ceux qui arrivent au contact.

Le tir parfaitement exécuté, repousse les assaillants. Rechargé rapidement, j’utilise une seconde fois le Couguar contre le groupe dont les projectiles arrivent jusqu’à nous. Je réussis à l’aide du rebond sur un baraquement visé, à atteindre ma cible avant que les plots de lacrymo ne soient expulsés hors du corps de la grenade. Un des individus tente de la saisir. Trop tard. Boum !



Au passage, protégeant un groupe de chez nous venu en soutien sous le pont pour couper l’assaut des migrants en leur direction, je tire une grenade qui arrive droit sur un homme en train de jeter des pierres sur l’effectif d’en bas, le percutant vers le visage.
Le carton rouge étant brandi, ce dernier regagne les vestiaires sans demander son reste.

La situation est maîtrisée sur le point maintenant tenu par d’autres effectifs de chez nous.

Photo de elixir07
elixir07 (clôturé) il y a 8 ans



PARIS Today - October 2016

et pour finir à Paris , Boulevard Rochechoir à Barbés !
maladie à l'appuis ,


Participants

Photo de jaune-d-oeuf Photo de nadjabony Photo de jipemo