" Affaire Ursula von der Leyen: quand les médias français méprisent le devoir d’informer "
Publié le 25 avril 2023
" JUSTICE - Après une plainte pénale déposée en Belgique contre la présidente de la Commission européenne, l’affaire dite des SMS prend une nouvelle tournure. Le juge chargé de l’instruction devra maintenant avoir accès aux messages échangés en catimini entre Ursula von der Leyen et Albert Bourla, le PDG de Pfizer. Du fait d’une suspicion de négociation “hors cadre” d’un méga-contrat d’achat de vaccins, ne pas livrer ces SMS considérés comme des documents administratifs constituerait une infraction pénale. Dans le cas de leur destruction, la présidente von der Leyen, en tant que dépositaire de l’autorité publique, devra s’expliquer devant la justice. Le rebond de cette affaire, qui pourrait révéler l’existence “d’un pacte de corruption”, selon l’avocate française Diane Protat, n’est aucunement évoqué dans la presse française, à de rares exceptions près dont France-Soir et l’Humanité. Mais où est passé le devoir d’informer ?
Certes, les contrats sur les vaccins négociés par SMS interposés entre Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne et Albert Bourla, président du géant pharmaceutique Pfizer, ont fait couler beaucoup d’encre.
Plusieurs articles se sont précupés de détailler les méandres administratifs du dossier, lorsque des députés européens ont invité, à deux reprises et sans succès, le PDG de Pfizer à venir s’expliquer devant le parlement européen.
" Affaire Ursula von der Leyen: quand les médias français méprisent le devoir d’informer "
29 avril 2023
" JUSTICE – Après une plainte pénale déposée en Belgique contre la présidente de la Commission européenne, l’affaire dite des SMS prend une nouvelle tournure. Le juge chargé de l’instruction devra maintenant avoir accès aux messages échangés en catimini entre Ursula von der Leyen et Albert Bourla, le PDG de Pfizer. Du fait d’une suspicion de négociation “hors cadre” d’un méga-contrat d’achat de vaccins, ne pas livrer ces SMS considérés comme des documents administratifs constituerait une infraction pénale. Dans le cas de leur destruction, la présidente von der Leyen, en tant que dépositaire de l’autorité publique, devra s’expliquer devant la justice. Le rebond de cette affaire, qui pourrait révéler l’existence “d’un pacte de corruption”, selon l’avocate française Diane Protat, n’est aucunement évoqué dans la presse française, à de rares exceptions près dont France-Soir et l’Humanité. Mais où est passé le devoir d’informer ?
Certes, les contrats sur les vaccins négociés par SMS interposés entre Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne et Albert Bourla, président du géant pharmaceutique Pfizer, ont fait couler beaucoup d’encre.
Plusieurs articles se sont précupés de détailler les méandres administratifs du dossier, lorsque des députés européens ont invité, à deux reprises et sans succès, le PDG de Pfizer à venir s’expliquer devant le parlement européen.
Conflits d’intérêt ? Corruption ?
Depuis octobre 2022, une enquête est en cours au sein même des instances européennes. Par la suite, en décembre, l’association BonSens a initié une procédure devant la Cour de l’État de New York afin d’obtenir la publication des fameux SMS, qui alimentent de lourds soupçons de conflits d’intérêts, voire de corruption à l’encontre de la présidente de la Commission européenne.
En effet, aucun document officiel ne relate exactement les conditions officielles de la négociation du gigantesque troisième contrat d’achat de vaccins Pfizer, portant sur 1,8 milliard de doses, pour un montant supérieur à 70 milliards d’euros.
Si cette démarche n’a pas été beaucoup relayée par la presse, le 25 janvier 2023, le New York Times (NYT) attaquait en justice à son tour la Commission européenne, dans un objectif comparable.
Le 5 avril 2023, le lobbyiste Frédéric Baldan a déposé une nouvelle plainte, cette fois au pénal en Belgique, devant le juge d’instruction Frenay à Liège. Sa plainte concerne directement la question du troisième contrat d’achat de vaccins et le fait que, de façon manifeste, sa négociation a été menée en dehors du cadre habituel de négociation de ce type de contrat, en court-circuitant un comité de pilotage chargé d’évaluer les offres. Or, Ursula von der Leyen ne dispose d’aucun mandat qui l’autorise à intervenir dans ce type de marché. "
" Coup de théâtre : Pfizer demande à l’UE de lui verser 700 millions de dollars pour les doses de vaccins annulées "
1 mai 2023
" Au bout d’âpres négociations ayant duré plusieurs mois, Pfizer propose à l’Union Européenne de payer moitié prix chaque doses annulée. Une proposition formellement rejetée par des Etats de l’Est, lesquels se plaignent depuis plusieurs mois de s’être retrouvés avec un surplus de doses dont ils ne veulent plus. D’ailleurs, début mars 2023, la Bulgarie avait annoncé avec détruit 2,8 millions de doses
Pfizer met à exécution sa menace. En mars dernier, Lecourrier-du-soir.com, en se basant sur une information exclusive du média Financial Times, relayait les avertissements de Pfizer adressés à l’Union Européenne sur un sujet qui divise : le surplus de doses de vaccins dont l’UE ne veut plus.
Ainsi, après la grosse colère d’Etats membres tels que la Bulgarie ou la Pologne, le laboratoire américain, mis sous pression, avait décidé de changer les termes des contrats, mais à une seule et uniquement condition : l’Union Européenne paie pour les doses déjà fabriquées même si elle n’en a plus besoin.
« Le laboratoire américain a accepté de prolonger son contrat de 2023 à 2026, d’après deux personnes proches du dossier. Mais, il insiste pour obtenir le paiement des doses commandées dans le contrat et qui ne seront jamais fabriquées », nous apprenait The Financial Times.
Ce fut en mars dernier. Et deux mois plus tard, la sentence est tombée. En effet, d’après l’agence de presse Reuters qui cite le Financial Times, Pfizer est revenu à la charge, proposant à l’UE de payer moitié prix chaque dose de vaccin annulée, soit 10 dollars la dose pour environ 70 millions de doses annulées, ce qui devrait avoisiner les 700 millions de dollars.
La nouvelle proposition sera-t-elle acceptée par l’Union Européenne? Là est la question. En tout cas, il y a un an, 10 pays de l’Europe de l’Est, confrontés à un excédent de doses dont ils ne veulent plus, avaient exigé de l’UE qu’elle résilie les contrats de vaccins signés avec les laboratoires.
C’est du moins ce qu’avait révélé média Politico.eu. En effet, d’après cette source, un groupe de 10 pays d’Europe de l’Est ont adressé une lettre à la Commission Européenne se plaignant d’un approvisionnement excessif de vaccins contre le Covid. En colère, ces pays exigent de l’EU une renégociation des contrats avec les labos.
Les 10 pays ont mis sur la table un certain nombre de doléances, dont le fait de pouvoir résilier les contrats signés avec les labos quand ils (ces pays) n’en ont plus besoin et la possibilité de pouvoir réduire le nombre de doses commandées.
Dans la lettre dont une partie a été lue par Politico.eu, les 10 pays en question se plaignent de s’être retrouvés avec une grande quantité de vaccins sous la main et ne comprennent pas que les négociations entre l’UE et les laboratoires pharmaceutiques (à ce sujet) n’aient pas porté leurs fruits. Ils se sont également plaints que les vaccins leur soient livrés peu avant leur date d’expiration.
D’après les informations obtenues par Politico, la lettre a été adressée à Stella Kyriakides, commissaire européen à la santé et à la politique des consommateurs. A en croire la source, l’initiative est menée par la Pologne et a été soutenue par 9 autres pays de l’Est que sont : la Bulgarie, la Croatie, l’Estonie, la Hongrie, La Lettonie, la Lituanie, la Roumanie, la Slovaquie et la Slovénie. "
" À première vue, vous vous demandez peut-être ce qu’Ursula Von der Leyen , McKinsey et Pfizer ont en commun ? La réponse est : la corruption. La plus grande corruption. Madame Von der Leyen, présidente non élue de la Commission européenne (CE) a plusieurs scandales de corruption sur le cou.
Il a été récemment révélé que le fils de Madame von der Leyen, David, avait effectué un « stage d’été » chez McKinsey, le géant américain du conseil en gestion. Bien que les dossiers des responsabilités de David chez McKinsey soient délibérément fragiles, il semble que son emploi était bien plus qu’un «stagiaire d’été». Il avait des équipes de conseil sous sa responsabilité et a travaillé pour McKinsey pendant plus de 3 ans.
Est-ce une coïncidence s’il a quitté McKinsey en 2019, juste avant que sa mère ne soit nommée – et non élue – présidente de la Commission européenne (CE) ?
Nous savons qu’il n’y a pas de coïncidences.
David ouvrait-il peut-être la voie à l’accès facile du futur président de la CE – sa mère – aux rangs supérieurs de McKinsey ?
Plus à ce sujet plus tard.
Commençons par un scandale déjà assez connu des sources bien informées : les négociations directes d’Ursula Von der Leyen avec Pfizer pour l’achat de 900 millions de doses de Pfizer vaxx, avec l&rsquotion de 900 millions supplémentaires, soit un total de 1,8 milliard de doses. Répétez, au cas où vous pensez avoir mal lu : 1,8 milliard du gène d’ARNm décrié de Pfizer modifiant les doses de vaxx – oui, pour une population d’environ 450 millions. Cela reviendrait à 4 doses par personne de l’Union européenne (UE).
Ces « négociations » se sont poursuivies en 2021 lorsque des échanges de textes ont été découverts entre von der Leyen et le PDG de Pfizer, Albert Bourla . La pression exercée sur la CE pour qu’elle publie les textes a tout simplement été ignorée.
Cela s’est produit avant la signature du contrat de 1,8 milliard de doses. Il s’agit clairement d’une infraction aux règles de concurrence de l’UE, c’est-àire aux appels d’offres. Les contrats ont été signés en mai 2021. Totalement contraire aux règles de l’UE sur les appels d’offres internationaux. En dehors de cela, comment 4 doses par citoyen de l’UE étaient-elles justifiées ?
" Ursula von der Leyen et les contrats Pfizer, un scandale ? - Le Zoom - Virginie Joron - TVL "
" Député européen membre du Rassemblement national, Virginie Joron était à la CPAC Hungary les 4 et 5 mai 2023. Un rendez-vous incontournable des conservateurs du monde occidental organisé pour la deuxième année consécutive à Budapest par le Centre pour les droits fondamentaux, un think-thank proche du gouvernement hongrois.
Membre de la Commission COVID au Parlement européen, Virginie Joron est connue pour son combat en faveur des libertés et contre l’obligation vaccinale, et affirme que les contrats passés entre la société Pfizer et la Commission européenne l’ont été dans la plus grande opacité. Yann Caspar, journaliste, juriste et auteur franco-hongrois, s’est entretenu avec elle sur ces questions lors de son séjour à Budapest, le 5 mai 2023. "
" Coup de théâtre : Von der Leyen vient d’être traînée en justice pour détournement et destruction de documents publics "
13 mai 2023
" Dans un communiqué adressé par mail à notre média Lecourrier-du-soir.com ce 11 mai, la très influente association espagnole Liberum annonce avoir déposé trois plaintes contre Ursula Von der Leyen, présidente de la Commission Européenne, pour, entre autres, détournement de fonds publics et destruction de documents publics
Combien de plaintes faudra-t-il pour que Ursula Von der Leyen rende des comptes? La question se pose et le débat est ouvert.
En tout cas, dans un contexte politico-social extrêmement tendu par la guerre en Ukraine qui a déclenché une inflation ayant fini par plomber les ménages, les associations de lutte contre la corruption ne lâchent pas Ursula Von der Leyen très impliquée dans les contrats de vaccins signés avec Pfizer.
Et la dernière association à accabler la présidente de la Commission Européenne n’est autre Liberum basée en Espagne et qui a déjà donné du fil à retordre au gouvernement espagnol sur la gestion de la pandémie à Coronavirus. Cette association vient de déposer trois plaintes auprès de l’Union Européenne contre Ursula Von der Leyen pour possible détournement de fonds publics dans les contrats de vaccins estimés à plusieurs milliards d’euros.
L’association a transmis à notre média Lecourrier-du-soir.com un communiqué de presse expliquant en détails les raisons de cette plainte.
Ainsi, dans ledit communiqué daté du 10 mai, on y lit : « l’association informe qu’à ce jour trois plaintes ont été déposées devant différentes autorités de l’Union Européenne et du Royaume de Belgique ». Dans son communiqué, l’association évoque les crimes commis par Von der Leyen et pour lesquels elle devrait être poursuivie :
Usurpation de fonctions publiques
détournement de fonds et usurpation d’intérêts commis par des personnes exerçant une fonction publique
destruction de documents publics
corruption de personnes occupant des fonctions publiques
Dans le communiqué, l’association s’en prend sévèrement à Ursula von der Leyen et Stella Kyriakides, commissaire européenne à la Santé, « étant entendu que les actes (commis par ces deux) affectent les intérêts financiers de l’UE, de l’Espagne et de la Belgique où les contrats Covid-19 de la société pharmaceutique Pfizer ont été conclus et signés et le forum pour ces accords ».
L’association martèle : « à notre avis, il existe des indications raisonnables que ces actes ont considérablement affecté les intérêts financiers de l’UE et de tous ses citoyens avec une corruption qui a porté atteinte aux intérêts généraux et financiers de l’Union ».
Dans une vidéo postée sur son compte YouTube et filmée devant le Tribunal de Justice de la Belgique, l’avocat de l’association, Luis Maria Pardo, explique tout. "
" Coup de théâtre : l’ONG Transparency International exige la publication des SMS entre Von der Leyen et le Qatar "
17 mai 2023
" Dans un communiqué daté du 22 décembre dernier et totalement passé sous silence par les médias de masse, l’organisation Transparency International a exigé une enquête sur les liens entre la Commission Européenne, dirigée par Ursula Von Der Leyen et le Qatar. Ce communiqué fait suite au récent scandale QatarGate qui secoue l’Union Européenne
Trois ans après sa nomination à la tête de la Commission Européenne, Ursula Von Der Leyen n’a jamais été autant mise sous pression par les organisations de lutte contre la corruption et les eurodéputés qui lui reprochent des conflits d’intérêts et une gestion opaque des contrats de vaccins avec les grands laboratoires, dont Pfizer.
Et l&rsquocasion n’a jamais été aussi propice pour exiger d’elle qu’elle rende des comptes à la suite du QatarGate qui a récemment plongé l’Union Européenne dans une crise politique ayant très sérieusement terni son image. Dans cette affaire, la présidente de la Commission Européenne qui exige des comptes n’est pas épargnée car son nom a été cité dans un grave scandale de corruption portant sur 60 000 euros et récemment révélé par Lecourrier-du-soir.com.
En effet, l’affaire dont il est question concerne l’homme politique grec, Dmitris Avramapoulos, ex commissaire européen. Ce dernier qui a eu à collaborer avec l’ONG Fight Impunity, au cœur du scandale de corruption à Bruxelles, a avoué avoir touché 60 000 euros pour un poste à ne presque rien faire. En un an, son travail s’est limité à la participation dans deux événements et la rédaction d’un article. Le tout pour 60 000 euros.
Interrogé par la justice, il mouille Von Der Leyen. « J’avais obtenu l’aval de Von Der Leyen », confie-t-il. Et Avramopououlos de préciser ses rémunérations au sein de l’ONG: « entre février 2021 et février 2022, j’ai reçu une redevance dûment déclarée d’environ 60 000 euros. Le paiement mensuel était de 5 000 euros, qui était imposé en Grèce. Mon revenu net mensuel chez Fight Impunity était de 3 750 euros », détaille-t-il.
Parlant des 60 000 euros de Avramapououlos, le média italien IlFattoQuotidiano.it confirme l’information du journal La Stampa en ces termes : « Von der Leyen l’avait en effet autorisé à obtenir une rémunération pour mener ‘des campagnes de sensibilisation, telles que la publication d’articles, la participation à des conférences, le lancement d’événements, l&rsquotroi d’interviews’. Mais comme mentionné, son travail s’est limité à deux conférences et un article en un an, le tout pour 60 000 euros ».
L’affaire qui continue de faire grand bruit en Europe ne laisse pas indifférentes les ONG de lutte contre la corruption et l’une d’elle, Transparency International, a exigé, dans un communiqué lu par Lecourrier-du-soir.com, l’ouverture d’une enquête sur la Commission Européenne, dirigée par Von Der Leyen.
Dans le communiqué daté du 22 décembre, on pouvait y lire : « Transparency International EU, l’office bruxellois du mouvement de lutte contre la corruption dans le monde, a appelé à l’ouverture d’une enquête indépendante concernant la gestion par la Commission Européenne de ses relations avec le Qatar et d’autres affaires mises à nu par le scandale de corruption qui secoue le Parlement Européen ».
Dans son communiqué, Transparency International n’a pas été pas tendre envers la Commission Européenne, exigeant que ses relations avec le Qatar depuis le début du mandat de Von Der Leyen fasse l’objet d’une enquête. L’ONG ne s’arrête pas là. Elle exige que soient transmis à la justice tous les comptes-rendus des réunions (entre la Commission Européenne et le Qatar), les documents internes, les correspondances (par mail) et les SMS échangés.
L’affaire Avramapoulos a également été évoquée. Sur ce, Transparency International réclame une enquête sur les conditions dans lesquelles l’ex commissaire grec a été autorisé par la Commission Européenne à occuper un poste au sein de Fight Impunity. L’ONG conclue son communiqué en demandant que soit ouverte une enquête sur les liens qui existent entre Fight Impunity et la Commission Européenne.
Le communiqué de presse a été publié par Lucinda Pearson, chargée de communication de Transparency International. Lecourrier-du-soir.com lui a envoyé en mail pour savoir où en est l’enquête concernant les liens entre la Commission Européenne et le Qatar. Nous vous en dirons plus lorsque nous obtiendrons du nouveau sur cette affaire. "
Pour faire court. Ursula n'a qu'un seul objectif.
Elle a l'impérieuse obsession de venger la défaite de ses ancêtres NAZIS.
C'est une femme corrompue et malsaine. Elle a même été viré de son poste ministériel allemand.
D'une incompétence crasse cette nostalgique des illusions du troisième Reich est également une intrigante sans le moindre scrupule.
Il se murmure dans les milieux concernés qu'Ursula aime beaucoup les petits enfants. D'un "amour" très particulier que souligne Karl Zéro dans ses enquêtes...
" Scandale à Bruxelles : des eurodéputés traînent Von Der Leyen en justice pour refus de publier les contrats Covid "
20 mai 2023
" Le O1 mars dernier, dans une interview relayée par l’agence de presse Reuters, la médiatrice de la Commission Européenne, Emily O’Reilly, avait vigoureusement dénoncé le silence de Von Der Leyen sur les contrats de vaccins signés avec Pfizer et ce 11 mai, dans un communiqué transmis à notre média Lecourrier-du-soir.com, l’association espagnole Liberum a annoncé avoir déposé trois plaintes contre Von der Leyen pour détournement de fonds publics et destruction de documents. Pourtant, jusqu’ici, la présidente de la Commission Européenne est totalement protégée par la justice qui refuse catégoriquement de lui demander des comptes
Comment peut-on expliquer le refus de Von Der Leyen de témoigner publiquement sur des milliards de dollars de contrats dépensés avec de l’argent du contribuable? Comment expliquer qu’elle ne soit toujours pas inquiétée par la justice? Telles sont les questions que les citoyens de l’UE se posent.
Pour rappel, un groupe de députés européens a déposé une plainte, en 2022, contre Von Der Leyen dénonçant l’absence de transparence dans cette affaire qui plonge les États européens dans une immense colère
Excellente lecture
Un groupe de députés européens ont porté plainte contre la Commission Européenne dénonçant l’absence de transparence concernant les contrats de vaccin signés entre l’UE et les laboratoires
Une information complètement passée sous silence pour des raisons que notre média ignore totalement.
En effet, en avril dernier, un groupe de députés européens a porté plainte contre la Commission Européenne à propos des contrats signés avec des laboratoires pharmaceutiques, dont Pfizer. C’est du moins l’information que notre média a obtenue de plusieurs sources fiables dont le média EUObserver.
A en croire cette source, la plainte a été déposée par cinq euro-députés du parti écologie Les Verts qui exigent de la Commission Européenne qu’elle révèle le prix des vaccins, les acomptes versés aux labos, les dons (de vaccins accordés aux pays sous-développés), la responsabilité des États (en cas d’effets secondaires) et les indemnisations.
S’exprimant sur cette plainte qui a été très peu médiatisée, l’euro-députée danoise, Margrete Auken, dénonce l&rsquoacité qui entoure ces contrats. « La confidentialité nourrit la méfiance et le scepticisme », prévient-elle. Parmi les députés ayant soutenu cette plainte figurent entre autres Kim van Sparrentak, Tilly Metz, Jutta Paulus et Michele Rivasi.
Il faut dire que l’initiative des cinq députés européens n’a aucune chance d’aboutir à la suite de la récente décision d’Albert Bourla, PDG de Pfizer, de refuser de témoigner devant le Parlement Européen. C’est en tout cas ce qu’a révélé ce 05 décembre le média Politico qui dit avoir consulté une lettre rédigée par le patron du laboratoire américain. « Depuis les auditions d&rsquotobre dernier, nous n’avons plus aucune information à partager avec le comité. En conséquence, je décline poliment l’invitation d’aborder une nouvelle fois ce sujet », écrit Bourla.
Il convient de rappeler que ce n’est pas la première fois que le patron de Pfizer refuse catégoriquement de répondre au Parlement Européen sur ce sujet extrêmement sensible. En effet, en octobre dernier, il avait aussi déchiré une convocation de l’UE devant le Parlement Européen. "
" Volodymyr et Ursula ont déclaré la guerre à la Hongrie: ils parlent de fermer l’oléo.duc « Amitié » venant de Russie pour détruire son économie "
19 05 2023
" Ndt: Von der Leyen a été interpellée lors d'une conférence de presse conjointe avec Charles Michel, président du Conseil européen, concernant un projet d'attentat de Zelensky contre l'oléuc qui alimente la Hongrie, dans le but de détruire l'économie hongroise et de mettre le pays à genoux.
Von der Leyen a gloussé et répondu qu'elle n'était pas au courant. Cependant, au vu du fait que les fonds contractuels de l'UE sont retenus depuis bientôt deux ans (env. 8 milliards d'euros), que l'UE exige sans cesse de la Hongrie de nouvelles "réformes" comme condition de leur versement, et qu'une fois ces réformes exécutées, de nouveaux critères sont imposés, il est devenu clair que l'UE cherche par ce petit jeu à arriver à l'effondrement économique de la Hongrie.
VIDÉO & Document
Zoltán Ková, secrétaire d'État hongrois chargé des communications et des relations internationales, a réagi aux informations du Washington Post sur sa page Twitter :
Comment est-il possible que l'Ukraine complote contre un pays de l'OTAN ? "
" Exclusif : Von der Leyen et Pfizer viennent de renégocier les contrats Covid, mais refusent de dévoiler le montant "
26 mai 2023
" Dans un communiqué publié sur son site officiel et intégralement lu par Lecourrier-du-soir.com, la Commission Européenne, dirigée par Von Der Leyen, se félicite d’avoir enfin trouvé un accord avec Pfizer sur la livraison des vaccins contre la Covid aux Etats membres de l’UE.
En vertu du nouvel accord, Pfizer s’engage à réduire la quantité de doses achetées par les États membres dans le cadre du contrat et à prolonger le délai dans lequel les États membres pourront prendre livraison des vaccins (jusqu’à 4 ans à compter de maintenant). Et ce n’est pas tout. L’UE aura la possibilité de continuer à avoir accès à des doses supplémentaires à concurrence du volume initialement convenu dans le cadre du contrat, jusqu’à la fin du contrat pour répondre aux besoins en cas d’augmentation des cas et de détérioration de la situation épidémiologique et aura accès continu aux vaccins adaptés aux nouveaux variants dès qu’ils ont été autorisés par les régulateurs.
Mais, un détail très important a été souligné par Politico ce 26 mai : l’UE et Pfizer refusent de préciser, dans le communiqué, la quantité de doses qui a été retenu et le montant du nouvel accord. Deux omissions qui risquent de déclencher l’immense colère des Etats membres qui n’ont cessé de critiquer sévèrement l&rsquoacité d’un deal qui restera à jamais gravé dans l’Histoire.
Lecourrier-du-soir.com vous invite à lire le communiqué dans sa version originale
« Aujourd’hui, la Commission européenne, agissant avec les États membres et en leur nom, par l’intermédiaire de l’Autorité de préparation et de réaction en cas d’urgence sanitaire (HERA), et les développeurs de vaccins BioNTech-Pfizer, sont parvenus à un accord afin de mieux répondre aux estimations des États membres concernant les besoins en constante évolution en matière de vaccins contre la COVID-19. L’avenant au contrat existant de fourniture de vaccins tient compte de l’amélioration de la situation épidémiologique, tout en continuant à garantir l’accès à la toute dernière version disponible du vaccin si des variants de la COVID-19 précupants venaient à apparaître.
L’accord annoncé aujourd’hui a permis d’apporter les adaptations suivantes au contrat existant: "
" Coup de théâtre : plus de 100 députés européens se révoltent contre Von der Leyen sur ses SMS avec le PDG de Pfizer "
29 MAI 2023
" Nouveau rebondissement dans l’affaire des SMS signés entre Pfizer et Von der Leyen. En tout cas, moins de 48 heures après la publication d’un communiqué de presse de la Commission Européenne se réjouissant d’avoir renégocié les contrats avec Pfizer, les euro-députés contre-attaquent.
C’est du moins ce que nous a appris, ce 28 mai, le média espagnol The Objective qui dit avoir consulté une note confidentielle que les euro-députés ont adressée à la Commission. En effet, d’après cette source, une centaine d’euro-députés de tous les groupes politiques ont exigé de la Commission Européenne qu’elle rende publics les SMS échangés entre Ursula Von der Leyen et Albert Bourla, PDG de Pfizer.
Parmi les euro-députés cités par ce média espagnol, il y a : l’Italien Gianantonio Da Re, les Allemands Martin Schirdewan et Cornelia Ernst, la Française Manon Aybry ou encore l’euro-député grec Konstantinos Arvanitis. Ces derniers reprochent à la Commission Européenne « de ne pas coopérer » et exigent de « connaître le contenu des échanges entre la présidente Von der Leyen et Albert Bourla ».
Dans la note, les députés renvoient la Commission Européenne à ses responsabilités. « La négociation d’un contrat de cette nature revêt une importance fondamentale en termes d’usage d’argent public et de politique sanitaire », dénoncent-ils, avant d’accuser Von der Leyen d’avoir « agi de manière opaque en violant le droit fondamental des citoyens européens à être informés sur les décisions liées institutions publiques ».
Dans son article publié ce 28 mai, The Objective précise : « les demandes d’explication, qui datent de février et mars 2023, n’ont toujours pas trouvé de réponse de la part de la Commission Européenne malgré qu’elle a été notifiée d’y répondre dans un délai de 6 mois à compter de la date de réception de la note des députés ».
Pour rappel, ce n’est pas la première fois que des personnalités de l’UE exigent des explications sur les contrats de vaccins signés entre Von der Leyen et Pfizer. En effet, dans un document rendu public le 14 juillet 2022 et consulté par notre média, la médiatrice de l’Union Européenne, Emily O’Reilly, avait fait part de sa grosse déception avant de dénoncer une mauvaise gestion de cette affaire.
Dans son communiqué, elle ira jusqu’à parler de « signal d’alarme ». « L’enquête menée par la médiatrice de l’UE concernant la gestion des messages entre la présidente de la Commission de l’UE et le PDG de Pfizer est un signal d’alarme pour toutes les institutions de l’UE », écrit-elle.
Dans le même communiqué, la médiatrice de l’UE fait savoir que la gestion de cette affaire par la Commission de l’Union Européenne laisse une « impression regrettable d’une institution européenne qui n’est pas ouverte sur des questions d’intérêts publics hautement stratégiques ». "
" Tensions à Bruxelles : les ministres de la Santé de l’UE se révoltent contre Von Der Leyen sur l’o.pacité des contrats Covid "
30 mai 2023
" ors d’une rencontre qui s’est tenue à Bruxelles en décembre 2022, les ministres de la Santé de l’Union Européenne se sont soulevés contre Von Der Leyen, présidente de la Commission Européenne, exigeant une transparence totale sur les contrats de vaccins Covid-19 signés avec les laboratoires durant la pandémie
Les contrats de vaccins signés entre Von der Leyen et les labos finiront-ils par déclencher une véritable révolte au sein de l’Union Européenne? La question se pose moins de 24 heures après la révélation du média Lecourrier-du-soir.com qui a fait savoir que le gouvernement italien exige désormais que les indemnités des effets secondaires soient à la charge des laboratoires et non pas des Etats. C’est du moins la déclaration faite par Orazio Schillaci, ministre italien de la Santé, lors d’une rencontre à Bruxelles.
Mais, apparemment, cette histoire est plus sérieuse qu’on ne le pense. En effet, d’après le média Politico, les ministres de la Santé de l’Union Européenne, sous la pression de leurs concitoyens, ne digèrent plus l’omerta et la gestion opaque des contrats de plusieurs milliards d’euros signés entre la Commission Européenne et des grands laboratoires dont Pfizer.
« Les hautes autorités sanitaires de l’UE appellent à une plus grande transparence concernant les contrats de vaccins signés par le bloc, des contrats personnellement négociés par Ursula Von De Leyen, actuelle présidente de la Commission Européenne », renseigne la source.
Dans les coulisses de l’UE, les autorités sanitaires de plusieurs pays européens affirment avoir perdu patience et veulent savoir ce qui a été négocié. Parmi eux, figure Pierre Cartuyvels, vice-représentant permanent de la Belgique auprès de l’UE. « Qu’est-ce qui a été promis? Nous aimerions savoir », a-t-il déclaré lors d’une rencontre ayant réuni les ministres de la Santé de l’Union Européenne.
Apparemment, Cartuyvels ne fut pas le seul à s’indigner. Le ministre irlandais de la Santé, Stephen Donneelly, a également dénoncé l’absence de transparence dans cette affaire. Pour ce dernier, le manque d’information sur ces contrats pourrait remettre en cause la représentativité des euro-députés.
Lecourrier-du-soir.com tient à préciser qu’il avait déjà été informé de cette rencontre des ministres européens de la Santé par le média Pink.Pharmaintelligence.informa.com qui nous a appris, ce 06 décembre, que les ministres présents ont soulevé la question des approvisionnements en doses, exigeant de l’UE qu’elle les rende plus flexibles.
Pour rappel, il n’y pas que les ministres de la Santé à s’offusquer du manque de transparence dans l’achat des vaccins par la Commission Européenne. En avril dernier, un groupe de députés européens avait déjà porté plainte contre la même Commission, exigeant que la lumière soit faite sur une affaire devenu scandale d’Etat dans plusieurs pays européens.
C’est du moins l’information que notre média a obtenue, ce 06 décembre, de plusieurs sources fiables, dont le média EUObserver. A en croire cette source, la plainte a été déposée par cinq euro-députés du parti écologie Les Verts qui exigent de la Commission Européenne qu’elle révèle le prix des vaccins, les acomptes versés aux labos, les dons (de vaccins accordés aux pays sous-développés), la responsabilité des Etats (en cas d’effets secondaires) et les indemnisations.
S’exprimant sur cette plainte qui a été très peu médiatisée, l’euro-députée danoise, Margrete Auken, dénonce l&rsquoacité qui entoure ces contrats. « La confidentialité nourrit la méfiance et le scepticisme », prévient-elle. Parmi les députés ayant soutenu cette plainte figurent entre autres Kim van Sparrentak, Tilly Metz, Jutta Paulus et Michele Rivasi.
Il faut dire que l’initiative des cinq députés européens n’a aucune chance d’aboutir à la suite de la récente décision d’Albert Bourla, PDG de Pfizer, de refuser de témoigner devant le Parlement Européen. C’est en tout cas ce qu’a révélé ce 05 décembre le média Politico qui dit avoir consulté une lettre rédigée par le patron du laboratoire américain.
« Depuis les auditions d&rsquotobre dernier, nous n’avons plus aucune information à partager avec le comité. En conséquence, je décline poliment l’invitation d’aborder une nouvelle fois ce sujet », écrit Bourla. Et ce n’est pas la première fois que le patron de Pfizer refuse catégoriquement de répondre au Parlement Européen sur ce sujet extrêmement sensible. En effet, en octobre dernier, Bourla avait aussi déchiré une convocation de l’UE pour répondre aux questions du Parlement. "
" Coup de théâtre : les eurodéputés se révoltent et convoquent Von Der Leyen à témoigner sur les contrats signés avec Pfizer "
8 juin 2023
" Dans une lettre consultée par Politico, des députés européens, membres de la Commission spéciale sur le Covid, ont convoqué Von Der Leyen, présidente de la Commission Européenne, à venir s’expliquer publiquement sur les contrats de vaccins qu’elle a signés avec Pfizer et qui sont estimés à plusieurs milliards d’euros. Les eurodéputés justifient cette décision par la nécessité de faire la lumière sur une affaire opaque qui a déclenché une vive colère au sein de l’Union Européenne
La révolte contre Von Der Leyen reprend de plus belle. Moins d’un mois après le violent scandale qui a secoué Bruxelles à la suite de l’arrestation de hautes personnalités de l’UE accusées d’avoir été corrompues par le Qatar, l’étau se resserre autour de Von Der Leyen, actuelle présidente de la Commission Européenne pour son rôle dans la signature des contrats de vaccins avec le laboratoire américain Pfizer.
C’est du moins ce qu’a révélé le média Politico. En effet, d’après cette source qui dit avoir consulté une lettre confidentielle rédigée par Kathleen Van Brempt, présidente de la Commission spéciale sur le Covid, les eurodéputés membres de ladite commission ont pris la ferme décision de convoquer Von Der Leyen à témoigner publiquement sur les contrats de vaccins qu’elle a signés avec Albert Bourla, PDG de Pfizer.
« Les eurodéputés veulent poser des questions à Von Der Leyen concernant son rôle dans la négociation de gigantesques contrats de vaccins Covid estimés à plusieurs milliards d’euros signés au tout début de la pandémie. Elle (Von Der Leyen) aurait échangé par SMS avec Albert Bourla, PDG de Pfizer peu avant la signature desdits contrats », renseigne Politico.
Dans la lettre consultée par le média, Kathleen Van Brempt explique les raisons pour lesquelles la présidente de la Commission européenne doit témoigner publiquement. « L’Union Européenne a dépensé d’énormes ressources publiques dans la production et l’achat de vaccins durant la pandémie. Le Parlement a le droit d’obtenir toute la transparence sur les modalités de ces dépenses et sur les négociations qui se sont tenues au sein du Parlement ayant mené à ces dépenses », peut-on lire.
Il convient de souligner que la décision de convoquer Von Der Leyen à témoigner devant le Parlement ne devrait surprendre personne. Car, ce 16 décembre, 07 députés des Verts avaient déclaré la guerre à la présidente de la Commission Européenne et à son mari, Heiko Von Der Leyen, dont les activités, financées en partie par sa femme, suscitent une grosse polémique en Europe.
« Nous sommes particulièrement inquiets à la vue d’articles de presse en Italie et en Allemagne concernant l’activité commerciale dans les pays de l’UE, d’Orgenesis Inc., une société américaine employant M. Heiko Von Der Leyen, époux de la présidente de la Commission Européenne », pouvait-on lire dans une lettre postée sur Twitter par les eurodéputés.
Dans la lettre, ces derniers ont évoqué le récent scandale révélé, fin octobre dernier, par Lecourrier-du-soir.com et faisant état de la présence de Heiko Von Der Leyen dans le comité de surveillance d’une fondation qui a reçu un financement de plus de 300 millions d’euros de la Commission Européenne, dirigée par sa femme, Ursula Von Der Leyen.
Face à la forte pression médiatique, Heiko Von Der Leyen avait finalement démissionné de son poste, mais son entreprise (Orgenesis Inc.) reste maintenue au sein de cette fondation. Un détail qui n’a pas échappé aux sept députés qui l’ont bien souligné dans leur lettre.
« Selon les médias italiens, même si M. Von der Leyen a démissionné du comité de surveillance de la fondation, Orgenesis Italy S.R.L continue de faire partie du projet et recevoir des subventions, à hauteur de 200 000 euros par an, du Plan Italien de relance et de résilience. Les journalistes soulignent également qu’Orgenesis Inc., et ses filiales européennes ne sont pas enregistrées dans le registre de transparence de l’Union Européenne », dénoncent les eurodéputés. "
Les sept eurodéputés évoquent des possibles conflits d’intérêts. « Le mari de la présidente de la Commission Européenne assume un rôle managerial de premier plan en tant que directeur médical et directeur général dans une société privée, impliquée dans des projets financés ou cofinancés par les programmes européens, donc par de l’argent public. Les questions des citoyens de l’UE et de leurs représentants sur d’éventuels conflits sont légitimes », précisent-ils.
Les députés, dans leur lettre, ont également demandé à la commissaire chargée de la transparence de mener une enquête afin de déterminer si les postes de direction de M. Heiko Von der Leyen sont compatibles avec le rôle institutionnel de son épouse, Ursula Von Der Leyen.
Pour rappel, ce 11 janvier 2023, il a été confirmé par l’eurodéputée française, Michèle Rivasi, que Pfizer est, pour le moment, interdit d’accès aux locaux du Parlement Européen. Cette décision est une réponse à Albert Bourla, PDG du laboratoire qui a refusé, à deux reprises, de venir témoigner devant le Parlement. "