" La France est-elle toujours un état de droit ? "
22 février 2023
" Depuis qu’il a été élu, Emmanuel Macron est une véritable catastrophe pour la France et pour la démocratie en général. Cet individu inquiétant à la tête d’un si beau pays mérite de rejoindre les poubelles de l’histoire si les faits qui lui sont reprochés sont confirmés.
En France, il est difficile d’espérer une opération « mains propres » de genre « Mani Pulite » qui a permis à l’Italie de faire le ménage au sein de sa classe politique et d’envoyer ses politiciens corrompus en prison. En effet, la France est le seul pays au monde où le ministre de la justice est mis en examen et continue à fonctionner comme si de rien n’était. Sous le gouvernement Macron, le niveau de corruption et les conflits d’intérêts n’ont jamais été aussi éloquents.
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La Vérité prend toujours les escaliers, de 80000 pages, quand le Mensonge ne prend que quelques lignes dans les mainstream médias appartenant comme big pharma aux mêmes criminels "
" Michelle Perrot, Mélancolie ouvrière, collection Nos héroïnes
Paris, Grasset, 2012, 192 p. ISBN : 978-2-246-79779-1. "
" 1 Il est rare que l’histoire des travailleurs de la fin du xixe siècle passionne la presse aujourd’hui. C’est l’un des nombreux mérites de ce petit livre de Michelle Perrot que de remettre en lumière l’histoire des luttes sociales et des expériences ouvrières de cette époque. Issu à l’origine d’une commande de deux éditrices, pour une collection d’écrits féministes dédiée à « Nos héroïnes » chez Grasset, l’ouvrage réussit le tour de force d’être à la fois limpide, passionnant et d’une admirable humilité. Michelle Perrot y retrace le parcours et les luttes de Lucie Baud, ouvrière en soie dans le Dauphiné de la fin du xixe et du début du xxe siècle.
2 Cette ouvrière n’est pas tout à fait inconnue, Yves Lequin lui avait consacré une notice dans le Maitron en 1973 ; Michelle Perrot elle-même avait réédité, dans Le Mouvement social en 1978, sa brève autobiographie, publiée initialement en 1908 dans la revue Le Mouvement socialiste (et reprise ici en annexe). Pourtant, Michelle Perrot exprime à de nombreuses reprises ses doutes face à ce « pari hasardeux » consistant à retracer la vie d’une quasi-inconnue. C’est l’un des aspects de cette « mélancolie ouvrière » évoquée dans le titre, la mélancolie de l’historienne à qui échappent les traces de cette héroïne énigmatique. Le pari méritait pourtant amplement d’être tenté, car la vie de Lucie Baud est passionnante et incarne à merveille cette autre face de la mélancolie, celle du mouvement ouvrier vaincu et brisé aux lendemains des grèves.
3 Le parcours de Lucie Baud est d’abord assez classique pour une ouvrière de la soie du Dauphiné. Elle reçoit une éducation catholique, est alphabétisée, et mariée à un garde champêtre dont elle a deux enfants. Mais à la mort de ce dernier en 1902, elle choisit de s’émanciper selon un cheminement qui échappe largement au regard. Elle fonde un syndicat et engage une première grève à Vizille en 1905, les ouvrières sont alors confrontées à l’accroissement des rendements. Son face-à-face avec le patron impressionne et montre son courage. Après son renvoi de l’usine elle retrouve vite du travail à Voiron et elle y engage une deuxième grève le 1er mai 1906. Michelle Perrot donne à voir le dynamisme ouvrier de l’époque, son fonctionnement quotidien, ses grèves longues avec leurs soupes communistes, parfaitement organisées par Lucie Baud. Mais Lucie n’est pas une ouvrière tout à fait comme les autres, son attitude remarquable à l’égard des ouvrières italiennes le prouve. Alors que ses camarades les regardaient avec suspicion et hostilité, les considérant comme des briseuses de grève, Lucie prend leur défense. Mais la grève est globalement un échec, elle est suivie du licenciement massif des ouvrières, et de vives haines et tensions au sein du monde ouvrier local. "
" L’Union européenne et la corruption à grande échelle "
11 mars 2023
" En ce moment, quand on tape Europe et Scandale sur Google, on obtient quelques dizaines de millions de pages qui contiennent toutes le même mot : Qatargate.
Il y a quelques semaines, le sujet a fait les gros titres de tous les JT du monde.
4 élus du Parlement Européen ont été arrêtés et placés en garde à vue par la police belge pour des soupçons de corruption en lien avec le Qatar, qui fait alors lui aussi la une des journaux, mais pour d’autres raisons.
Parmi eux, la Vice-présidente du parlement, la socialiste grecque Eva Kaili, une ancienne vedette du petit écran familière de l’or et des paillettes, aurait perçu plusieurs sommes d’argent, 600.000 euros en tout, pour soutenir les intérêts du Qatar devant les eurodéputés, et l’aider à redorer son image dégradée par les scandales liés aux violations des droits humains.
Un tel appel à la compassion et à la clémence a surpris le parlement, et il n’est pas passé inaperçu aux yeux des enquêteurs belges, surtout que quelques heures plus tôt, Eva Kaili s’entretenait avec le Ministre du travail Qatari, Ali Al Marri, dans son bureau à Doha, lors d’une visite diplomatique.
Pas très malin, et lourd, très lourd de conséquences pour la plus haute institution Européenne en qui la confiance de plus ou moins 750 millions d’habitants se réduit un peu plus à chaque scandale.
Car non, le Qatargate n’est pas la première affaire à secouer l’Europe, et ce n’est pas non plus la seule de 2022, mais c’est certainement l’affaire de trop, d’autant plus que le Maroc est lui aussi récemment entré dans le cercle des coupables, avec l’Italie, la Pologne et la Belgique.
L’o.ccasion est toute trouvée pour aller visiter nos institutions européennes pour essayer de comprendre ce qu’il s’y passe.
Aujourd’hui, je vais vous parler de Bruxelles, des lobbys et de leur puissance, d’o.pacité et de trafic d’influence, et même : de démocratie en danger, mais juste avant de commencer, ai-je besoin de le rappeler, n’oubliez pas de vous abonner à la chaîne pour être sûr de ne manquer aucun de nos sujets, et pour nous aider à nous faire connaître. "
20 janv. 2023
Modifié il y a 1 an, le dimanche 30 avril 2023 à 10:41
" Élisée Reclus est un géographe et un anarchiste français de la seconde moitié du XIXe siècle. Après avoir suivi les cours du géographe allemand Carl Ritter, il voyage à Londres, en Irlande, en Louisiane, en Colombie.
À son retour en France en 1857, Elisée Reclus publie de nombreux textes scientifiques inspirés de ses voyages. Il écrit dans ses correspondances : « D’ailleurs voir la terre c’est pour moi l’étudier. La seule étude véritablement sérieuse que je fasse est celle de la géographie, et je crois qu’il vaut beaucoup mieux observer la nature chez elle que de se l’imaginer du fond de son cabinet. Aucune description, aussi belle qu’elle soit, ne peut être vraie, car elle ne peut reproduire la vie du paysage, la fuite de l’eau, le frémissement des feuilles, le chant des oiseaux, le parfum des fleurs, les formes changeantes des nuages pour connaître, il faut voir » [Citation] .
En 1858, il est admis à la Société de géographie de Paris.
Dans son ouvrage De l’action humaine sur la géographie physique : l’homme et la nature (1864), il met en lumière les agissements de l’homme contre le climat : « L’homme, qui par ses travaux peut ainsi troubler l’économie des rivières, dérange également l’harmonie. Sans mentionner l’influence toute locale que les villes exercent en élevant la température et malheureusement aussi en viciant l’atmosphère, il est certain que la destruction des forêts et la mise en culture de vastes étendues ont pour conséquence des modifications appréciables dans les diverses saisons » [Citation].
En 1868-1869, son ouvrage La Terre est publié. Il y décrit des phénomènes physiques, terrestres, météorologiques. Il aborde également le rôle de l’homme dans l’évolution de la nature. De 1875 à 1894, paraissent les dix-neuf volumes de La Nouvelle Géographie universelle : la terre et les hommes. Cette encyclopédie, résultat d’un travail collectif de géographes et de de cartographes, permet de connaître l’avancement des connaissances sur la Terre avec une attention toute particulière portée à la dimension humaine.
Il ne terminera pas L’Homme et la Terre (1905-1908) qu’il considère comme son œuvre majeure. Achevée par son neveu, cette œuvre revient sur l’une des idées majeures du géographe à savoir la forte corrélation entre les agissements des peuples et l’évolution de la planète. "
" COMMENT LA COCAÏNE, FORMIDABLE TRANQUILISANT SOCIAL, A DÉLOGÉ LA PENSÉE POLITIQUE CRITIQUE! "
27 avril 2023
" Dans les années 80, afin de lutter contre la pensée critique post-68 arde, ennemie du système mitterrand mondialiste, thatchérien, vassal des États-Unis, on a assisté à une explosion de la vente et de la consommation de cocaïne. Comment je le sais ? Parce que c’est Gérard Fauré, prince de la cocaïne du tout Paris, qui le dit. Et dont je possède les deux premiers livres dans ma bibliothèque. C’est Ariane qui m’a fait connaitre Fauré en 2016. Les clients de Fauré ? Entre autre, Chirac, Thierry Le Luron, Annie Girardot, Delon, Dupont-Moretti, presque tous les acteurs français. Beaucoup d’hommes politiques…..
En quoi cela nous concerne-t-il, nous les militants politiques du « Rassemblement Pouvoir au Peuple » ? A quel titre devons-nous consacrer un article sur le sujet ? Parce que la cocaïne est un formidable tranquilisant social, écrit justement le philosophe Gunther Anders dans son ouvrage intitulé : « l’Obsolescence de l’homme. Sur l’âme à l’époque de la deuxième révolution industrielle » (livre acheté sur un conseil de mon ami Domi, que je remercie), édition de l’Encyclopédie des nuisances, éditions Ivrea, 1956.
Mais ce n’est pas tout. Pendant ce qu’on appelle « les années rouges » (1968-1978), un beau concept forgé par Alain Badiou, tous les jeunes voulaient « faire la Révolution ». « Changer le monde ». Je suis un pur produit de ces « années rouges » : ayant « loupé » Mai 68 : j’avais 8 ans. Mais très politisée à gauche au lycée de Périgueux. Très « anti Giscardienne », comme on disait alors, dès l’âge de 15 ans : avant d’adhérer à 17 ans au PSU en1977 jusqu’en 1984, que je quitte pour la FGA : Fédération pour une gauche alternative avec la gauche du PSU (coucou Joël Rigolat) et l’Alliance Marxiste Révolutionnaire (AMR) de Maurice Najman jusqu’en 1988.
Domi m’a racontée comment, dans les années soixante-dix, la CIA, craignant une explosion sociale et politique de la jeunesse, a fait circuler dans les banlieues parisiennes une drogue bon marché, avec laquelle elle « tenait » avec férocité la jeunesse des années 70. Les empêchant de se révolter en modifiant profondément leur cerveau grâce à cette substance horrible…(Voilà dans quel marécage s’échoue la petite bourgeoisie frustrée-paupérisée-tétanisée, essentiellement Réformiste et sans perspective véritablement révolutionnaire…jaugeant son niveau de révolte par la quantité de gros mots marxistes, maoïstes, communistes, socialistes, anarchistes, gauchistes… prononcée. Aujourd’hui, nous savons que droite et gauche bourgeoise c’est du pareil au même. "
" AGENDA 2030
Les futures lois sur l'aménagement du territoire permettront aux Gvts de saisir les terres «polluées» et de transférer les habitants dans des villes intelligentes…
Toutes les catastrophes environnementales actuelles en sont-elles le moyen ?
" Le « Nouvel Ordre des Barbares » est un entretien de Randy Engel, directeur de la Coalition américaine pour la vie, avec le Dr Larry Dunegan, enregistré le 10 octobre 1991 à Pittsburgh, Pennsylvanie (traduction):
Le thème suivant est la médecine. L’exercice de la médecine connaîtrait de profonds changements. Dans l’ensemble, la médecine serait beaucoup plus étroitement contrôlée. L’observation suivante a été faite : « Le Congrès n’approuvera pas l’assurance maladie nationale. Cela (en 1969), a-t-il dit, est aujourd’hui tout à fait évident. Mais ce n’est pas nécessaire. Nous avons d’autres moyens de contrôler les soins de santé ». Ces moyens seraient mis en place plus progressivement, mais toutes les prestations de soins de santé seraient soumises à un contrôle rigoureux. Les soins médicaux seraient étroitement liés au travail. Si vous ne travaillez pas ou ne pouvez pas travailler, vous n’aurez pas accès aux soins médicaux. L’époque où les hôpitaux dispensaient des soins gratuits serait progressivement révolue, jusqu’à devenir pratiquement inexistante. Les coûts seraient augmentés de sorte que les gens ne pourraient plus se permettre de se passer d’assurance. Les gens paient… vous payez pour cela, vous y avez droit. Ce n’est que plus tard que j’ai commencé à réaliser à quel point vous ne paieriez pas. Vos soins médicaux seraient payés par d’autres. C’est pourquoi vous accepteriez avec gratitude, à genoux, ce qui vous est offert comme un privilège. Votre rôle de responsable de vos propres soins s’en trouverait amoindri. Soit dit en passant, ce n’est pas quelque chose qui a été développé à l’époque… Je ne l’ai pas compris à l’époque, soit dit en passant, la façon dont cela fonctionne, c’est que tout le monde est rendu dépendant de l’assurance. Et si vous n’avez pas d’assurance, vous payez directement ; le coût de vos soins est énorme. La compagnie d’assurance, qui paie pour vos soins, ne paie pas le même montant. Si l’on vous facture, par exemple, 600 dollars pour l’utilisation d’une salle d&rsquoération, la compagnie d’assurance ne paie pas 600 dollars de votre côté. Elle paie 300 ou 400 dollars. Cette différence de facturation a l’effet escompté : elle permet à la compagnie d’assurance de payer ce que vous ne pourriez jamais payer. Elle bénéficie d’une réduction que vous ne pouvez pas obtenir. Lorsque vous voyez votre facture, vous êtes reconnaissant à la compagnie d’assurance d’avoir pu faire cela. De cette manière, vous êtes dépendant et pratiquement obligé d’avoir une assurance. Toute la facturation est frauduleuse. Quoi qu’il en soit, l’accès aux hôpitaux serait étroitement contrôlé. Une pièce d’identité serait nécessaire pour entrer dans le bâtiment. La sécurité à l’intérieur et autour des hôpitaux serait établie et progressivement renforcée de manière à ce que personne sans identification ne puisse entrer ou se déplacer à l’intérieur du bâtiment. Les vols de matériel hospitalier, comme les machines à écrire, les microscopes, etc. seraient « autorisés » et exagérés ; les rapports à ce sujet seraient exagérés afin que ce soit l’excuse nécessaire pour établir la nécessité d’une sécurité stricte, jusqu’à ce que les gens s’y habituent. Et toute personne se déplaçant dans l’hôpital serait tenue de porter un badge d’identification avec photo et… indiquant la raison de sa présence… employé ou technicien de laboratoire ou visiteur ou quoi que ce soit d’autre. Cette mesure doit être introduite progressivement, afin d’habituer tout le monde à l’idée de s’identifier, jusqu’à ce que cela soit accepté. Ce besoin d’identification pour se déplacer commencerait par de petites choses : les hôpitaux, certaines entreprises, mais s’étendrait progressivement pour inclure tout le monde dans tous les lieux! Il a été observé que les hôpitaux peuvent être utilisés pour enfermer des personnes… pour le traitement des criminels. Il ne s’agissait pas nécessairement d’un traitement médical. A cette époque, je ne connaissais pas le mot « Psycho-Prison » – qui existe en Union soviétique, mais, sans essayer de me rappeler tous les détails, il décrivait essentiellement l’utilisation des hôpitaux à la fois pour le traitement des malades et pour l’enfermement des criminels pour des raisons autres que le bien-être médical du criminel. La définition de criminel n’était pas donnée. "