Citation de big-brother
lu loreen,mouais t'as vue,elle s'la pete intello,bon, pour la meuf qui pige que dalle,ton pote il a pomper un article sur le net;toi comprendo
c'était clair comme de l'eau de roche!
(c'est toujours valable comme expression avec la pollution? lol)
Citation de full
qui a dit :::: LE PEUPLE EST CON JE SUIS L ELU DES CONS """""""?
Ca me fait penser a dalladier,je crois ,en 1938 a Munich en rencontrant dodolf, le modele de mitterrond,jacques charic,sirkouza,moullhande et micron
A son retour ,le peuple l'acclamait
Lui:"Ah les cons! Si is savaient..!"
Pourtant,c'etait previsible
Citation de paturonlebeauf
Pauvre greg... A klebert c était les faf d extrême droite dont tu fais partie.... Des bon gros cons fachos. Quans a ton rêve de voir l extrême droite au pouvoir tu reve sans doute.... Au pire du pire meme si il y avait un demi million de gilets jaunes c est rien sur la population française.... Les urbains qui représentent 80% de la population ne vous suivent pas et les actions deviennent de plus en plus impopulaires.... Alkez retourne avec tes potes fachos rever du grand soir... Nous on va soigner les blessés que vous avez fait
tu devrais revoir ton service de renseignement....même s'il y avait l'extreme droite, il ne faut pas oublier les tags sur l'arc de triomphe signé d'extreme gauche, et sur les 378 gardes a vu, une grande parti est des gilets jaunes...
pour info beaucoup ne se sont pas déplacés a Paris, car payer un voyage pour se faire gazer ou matraquer...c'est pas la peine, d'autant qu'ils ont un faible pouvoir d'achat...donc peu de moyen de dépenser leur argent pour ça!
la colère grandissant, si ça dure bientôt ce sera encore plus violent... ton président est mal, ses sinistres aussi, surtout celui de l'intérieur venant du socialisme! ah,ah,ah...
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Selon plusieurs témoignages concordants issus des rangs policiers, les premiers heurts de la matinée de samedi, peu avant 9 heures, sont imputables à des groupes d’ultra-droite. Ils ont été dispersés à coups de grenades lacrymogènes. « Auparavant, ils ne s’en prenaient pas aux forces de l’ordre, relève Philippe Capon, secrétaire général de l’Unsa police. Ce temps-là est révolu. » Pour autant, très peu (pour ne pas écrire aucun) de représentants de l’extrême droite ne figurent au nombre des personnes interpellées.
Selon des informations recoupées policièrement et judiciairement, ces dernières appartiennent à trois groupes distincts. D’abord celui de Gilets jaunes en colère, majoritaire. Ensuite l’ultra gauche, venue pour en découdre avec les forces de l’ordre et s’en prendre aux symboles du capitalisme. Enfin, celui des pillards d&rsquoportunité, dont certains viendraient de banlieue parisienne. « Certains étaient venus pour manifester violemment, d’autres pour casser, d’autres enfin pour piller », résume Alexandra Onfray, premier vice-procureur au parquet de Paris.
Les Gilets jaunes prêtent main-forte aux ultras
La composition des barricades érigées avenue Kléber samedi après-midi en donne une illustration in situ. Elle se décompose alors en 3 strates distinctes mais solidaires. En première ligne, des « ultras », quelques dizaines tout au plus, mettent en place la barricade et l’alimentent.
A une cinquantaine de mètres en retrait, se tiennent des Gilets jaunes remontés, lançant des invectives contre les policiers, prêtant ponctuellement main-forte à la première ligne.
Viennent ensuite les pillards, à 100 ou 200 m. Pendant que la barricade est en place, ces derniers vandalisent les commerces. Lorsqu’ils s’en prennent aux voitures, ils brisent les vitres, prennent le temps de fouiller la boîte à gants, s’emparent de ce qui a de valeur puis incendient le véhicule.
A ces 3 strates, il faut ajouter à distance le cercle des badauds, Gilets jaunes sympathisants, qui maintiennent la pression mais aussi simples observateurs, Parisiens, touristes qui assistent au pillage et à la casse en filmant la scène depuis leur smartphone. Ces strates se déplacent de façon synchronisée, dans le même ordre, en fonction de l’avancée ou du recul des policiers.
« Ils s’en prennent à des gens qui pourraient être leurs voisins de palier »
Le profil des personnes interpellées ne reflète sans doute qu’imparfaitement cette sociologie. Les plus aguerris, spécialistes de la guérilla urbaine, savent en effet comment s’extraire de la nasse policière. Il semble que la majorité des 380 personnes placées en gardes à vue ne soient pas des professionnels politisés du désordre mais des manifestants Gilets jaunes.
« Ils sont soupçonnés d’avoir commis des violences et des délits, comme des vols et des dégradations, analyse David Le Bars, du Syndicat des commissaires de la police nationale. Ils viennent la plupart du temps de province. Ce sont des Français d’origine, âgés entre 20 et 40 ans, parfois alcoolisés, disposant d’un métier. »
« Ce qui est réellement surprenant, c’est cette rage qui pousse ces pères de famille, souvent sans antécédents judiciaires, à vouloir casser du flic, à s’en prendre à des gens qui pourraient être leurs voisins de palier, poursuit le commissaire. A l’évidence, le mouvement des Gilets jaunes se radicalise. »
Le frisson de l’émeute ne suffit pas à expliquer une telle détermination. Si, lorsqu’on les interroge, les manifestants pacifistes déplorent les violences commises, nombreux sont ceux qui en rejettent la responsabilité sur le gouvernement fermé, selon eux, à toute discussion.
« Un acte de résistance »
Lors de leur audition en garde à vue, beaucoup estiment avoir fait « acte de résistance ». Comme en écho à ce discours, ces scènes qui se sont répétées samedi après-midi : des manifestants applaudissent aux exactions, aux vitrines vandalisées, aux voitures retournées et brûlées quand ils ne se risquent pas à venir au contact des policiers.
Trois des personnes interpellées ont écopé ce dimanche d’un rappel à loi, notamment pour port d’arme prohibée (en l&rsquocurrence des fumigènes) et participation à un attroupement. Ils viennent de la Nièvre, du Rhône et du Bas-Rhin.
10 % de mineurs
Au côté de cette majorité de Gilets jaunes, un noyau de militants d’ultra-gauche. Les dérapages dont ils sont à l’origine sont devenus récurrents dans les manifestations. On a vu par exemple ces professionnels de l’émeute à l’œuvre le 1er mai dernier. Les tags A, pour « anarchie » ou ACAB (« All cops are bastards », « Tous les flics sont des salauds ») sont là comme preuve de leur passage.
Enfin, il faut ajouter quelques casseurs, certains mineurs, interpellés par les unités en civil de la BRI et les Bacs en fin de manifestation samedi et des personnes soupçonnées de « recel » pour avoir ramassé à terre des objets volés. Un grand nombre serait venu spécialement de banlieue, comme l’avaient anticipé les services de renseignement. Environ 10 % des personnes placées en garde à vue auraient moins de 18 ans.
Ce lundi, une soixantaine de suspects devrait être jugée en comparution immédiate, lors de trois audiences distinctes. Ils risquent entre trois et cinq ans d’emprisonnement en cas de violences. « Jamais autant de personnes n’ont été déférées après une manifestation qui a dégénéré », assure une source judiciaire. Sollicitée à de multiples reprises, la préfecture de police de Paris n’a pas donné suite.
Modifié il y a 5 ans, le dimanche 2 décembre 2018 à 19:59
Citation de paturonlebeauf
Pauvre greg... A klebert c était les faf d extrême droite dont tu fais partie.... Des bon gros cons fachos. Quans a ton rêve de voir l extrême droite au pouvoir tu reve sans doute.... Au pire du pire meme si il y avait un demi million de gilets jaunes c est rien sur la population française.... Les urbains qui représentent 80% de la population ne vous suivent pas et les actions deviennent de plus en plus impopulaires.... Alkez retourne avec tes potes fachos rever du grand soir... Nous on va soigner les blessés que vous avez fait
Citation de loiseaudenuit
tu devrais revoir ton service de renseignement....même s'il y avait l'extreme droite, il ne faut pas oublier les tags sur l'arc de triomphe signé d'extreme gauche, et sur les 378 gardes a vu, une grande parti est des gilets jaunes...
pour info beaucoup ne se sont pas déplacés a Paris, car payer un voyage pour se faire gazer ou matraquer...c'est pas la peine, d'autant qu'ils ont un faible pouvoir d'achat...donc peu de moyen de dépenser leur argent pour ça!
la colère grandissant, si ça dure bientôt ce sera encore plus violent... ton président est mal, ses sinistres aussi, surtout celui de l'intérieur venant du socialisme! ah,ah,ah...
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Selon plusieurs témoignages concordants issus des rangs policiers, les premiers heurts de la matinée de samedi, peu avant 9 heures, sont imputables à des groupes d’ultra-droite. Ils ont été dispersés à coups de grenades lacrymogènes. « Auparavant, ils ne s’en prenaient pas aux forces de l’ordre, relève Philippe Capon, secrétaire général de l’Unsa police. Ce temps-là est révolu. » Pour autant, très peu (pour ne pas écrire aucun) de représentants de l’extrême droite ne figurent au nombre des personnes interpellées.
Selon des informations recoupées policièrement et judiciairement, ces dernières appartiennent à trois groupes distincts. D’abord celui de Gilets jaunes en colère, majoritaire. Ensuite l’ultra gauche, venue pour en découdre avec les forces de l’ordre et s’en prendre aux symboles du capitalisme. Enfin, celui des pillards d&rsquoportunité, dont certains viendraient de banlieue parisienne. « Certains étaient venus pour manifester violemment, d’autres pour casser, d’autres enfin pour piller », résume Alexandra Onfray, premier vice-procureur au parquet de Paris.
Les Gilets jaunes prêtent main-forte aux ultras
La composition des barricades érigées avenue Kléber samedi après-midi en donne une illustration in situ. Elle se décompose alors en 3 strates distinctes mais solidaires. En première ligne, des « ultras », quelques dizaines tout au plus, mettent en place la barricade et l’alimentent.
A une cinquantaine de mètres en retrait, se tiennent des Gilets jaunes remontés, lançant des invectives contre les policiers, prêtant ponctuellement main-forte à la première ligne.
Viennent ensuite les pillards, à 100 ou 200 m. Pendant que la barricade est en place, ces derniers vandalisent les commerces. Lorsqu’ils s’en prennent aux voitures, ils brisent les vitres, prennent le temps de fouiller la boîte à gants, s’emparent de ce qui a de valeur puis incendient le véhicule.
A ces 3 strates, il faut ajouter à distance le cercle des badauds, Gilets jaunes sympathisants, qui maintiennent la pression mais aussi simples observateurs, Parisiens, touristes qui assistent au pillage et à la casse en filmant la scène depuis leur smartphone. Ces strates se déplacent de façon synchronisée, dans le même ordre, en fonction de l’avancée ou du recul des policiers.
« Ils s’en prennent à des gens qui pourraient être leurs voisins de palier »
Le profil des personnes interpellées ne reflète sans doute qu’imparfaitement cette sociologie. Les plus aguerris, spécialistes de la guérilla urbaine, savent en effet comment s’extraire de la nasse policière. Il semble que la majorité des 380 personnes placées en gardes à vue ne soient pas des professionnels politisés du désordre mais des manifestants Gilets jaunes.
« Ils sont soupçonnés d’avoir commis des violences et des délits, comme des vols et des dégradations, analyse David Le Bars, du Syndicat des commissaires de la police nationale. Ils viennent la plupart du temps de province. Ce sont des Français d’origine, âgés entre 20 et 40 ans, parfois alcoolisés, disposant d’un métier. »
« Ce qui est réellement surprenant, c’est cette rage qui pousse ces pères de famille, souvent sans antécédents judiciaires, à vouloir casser du flic, à s’en prendre à des gens qui pourraient être leurs voisins de palier, poursuit le commissaire. A l’évidence, le mouvement des Gilets jaunes se radicalise. »
Le frisson de l’émeute ne suffit pas à expliquer une telle détermination. Si, lorsqu’on les interroge, les manifestants pacifistes déplorent les violences commises, nombreux sont ceux qui en rejettent la responsabilité sur le gouvernement fermé, selon eux, à toute discussion.
« Un acte de résistance »
Lors de leur audition en garde à vue, beaucoup estiment avoir fait « acte de résistance ». Comme en écho à ce discours, ces scènes qui se sont répétées samedi après-midi : des manifestants applaudissent aux exactions, aux vitrines vandalisées, aux voitures retournées et brûlées quand ils ne se risquent pas à venir au contact des policiers.
Trois des personnes interpellées ont écopé ce dimanche d’un rappel à loi, notamment pour port d’arme prohibée (en l&rsquocurrence des fumigènes) et participation à un attroupement. Ils viennent de la Nièvre, du Rhône et du Bas-Rhin.
10 % de mineurs
Au côté de cette majorité de Gilets jaunes, un noyau de militants d’ultra-gauche. Les dérapages dont ils sont à l’origine sont devenus récurrents dans les manifestations. On a vu par exemple ces professionnels de l’émeute à l’œuvre le 1er mai dernier. Les tags A, pour « anarchie » ou ACAB (« All cops are bastards », « Tous les flics sont des salauds ») sont là comme preuve de leur passage.
Enfin, il faut ajouter quelques casseurs, certains mineurs, interpellés par les unités en civil de la BRI et les Bacs en fin de manifestation samedi et des personnes soupçonnées de « recel » pour avoir ramassé à terre des objets volés. Un grand nombre serait venu spécialement de banlieue, comme l’avaient anticipé les services de renseignement. Environ 10 % des personnes placées en garde à vue auraient moins de 18 ans.
Ce lundi, une soixantaine de suspects devrait être jugée en comparution immédiate, lors de trois audiences distinctes. Ils risquent entre trois et cinq ans d’emprisonnement en cas de violences. « Jamais autant de personnes n’ont été déférées après une manifestation qui a dégénéré », assure une source judiciaire. Sollicitée à de multiples reprises, la préfecture de police de Paris n’a pas donné suite.
Mdrr t es toujours ausdi con l alcoolo a klebert on s est fait caillassé par l ultra droite et ine minorité de gilets jaune... L extrême gauche du con n a pas de drapeaux vendéens ni de drapeaux français et ne chante pas la marseillaise.... Ton we au comptoir du bistrot c est bien passé... tu as fais peter tes records de ricard au mètre ?
Citation de paturonlebeauf
Mdrr t es toujours ausdi con l alcoolo a klebert on s est fait caillassé par l ultra droite et ine minorité de gilets jaune... L extrême gauche du con n a pas de drapeaux vendéens ni de drapeaux français et ne chante pas la marseillaise.... Ton we au comptoir du bistrot c est bien passé... tu as fais peter tes records de ricard au mètre ?
t'es vraiment un pauvre blaireau toi.... tout ce que j'ai publié émane de la police...je ne l'invente pas...
si la police dit que c'est l'ultra gauche qui a souillé l'arc de triomphe, et s'en est pris aux symboles du capitalisme, ils ont certainement raison plus que toi!
toi a part insulter et vivre sur le net...tu ne sais rien faire d'autre...t'as rien a défendre si ce n'est tes aides sociales pour ton handicap cérébral!
ne traite pas d'alcoolique les autres lorsque c'est toi qui souffre de cette maladie...
comme déjà dit, tu as de sérieux problèmes d'écriture le soir lorsque tu a consommé...même un gamin ne ferait pas ces fautes d'orthographe
Modifié il y a 5 ans, le lundi 3 décembre 2018 à 02:18
"Les forces de l'ordre sont au bout du rouleau" assure Yves Lefebvre du syndicat Unité-SGP Police FO
" (...) A une semaine d'intervalle, on est confrontés à des violences extrêmes. En province, on a des points de rassemblements relativement calmes mais mes collègues sont déployés quasiment 24 heures sur 24. On n'en peut plus. On est au bout du rouleau. J'en appelle au gouvernement à négocier sans délai avec les représentants pacifiques, tant des organisations syndicales que des gilets jaunes. Il faut que ça cesse, que le président de la République comprenne que sa police, la dernière barrière face à ces mouvements sociaux, est exténuée. C'est bien que Christophe Castaner vienne nous saluer, mais il faut qu'ils comprennent eux que nous, on ne pourra pas faire plus que ce qu'on a déjà fait."
Citation de alice-2
"Les forces de l'ordre sont au bout du rouleau" assure Yves Lefebvre du syndicat Unité-SGP Police FO
" (...) A une semaine d'intervalle, on est confrontés à des violences extrêmes. En province, on a des points de rassemblements relativement calmes mais mes collègues sont déployés quasiment 24 heures sur 24. On n'en peut plus. On est au bout du rouleau. J'en appelle au gouvernement à négocier sans délai avec les représentants pacifiques, tant des organisations syndicales que des gilets jaunes. Il faut que ça cesse, que le président de la République comprenne que sa police, la dernière barrière face à ces mouvements sociaux, est exténuée. C'est bien que Christophe Castaner vienne nous saluer, mais il faut qu'ils comprennent eux que nous, on ne pourra pas faire plus que ce qu'on a déjà fait."
Citation de jaune-d-oeuf
Ca me fait penser a dalladier,je crois ,en 1938 a Munich en rencontrant dodolf, le modele de mitterrond,jacques charic,sirkouza,moullhande et micron
A son retour ,le peuple l'acclamait
Lui:"Ah les cons! Si is savaient..!"
Pourtant,c'etait previsible
Salut l'ami jaune
Tu vois bien que les Francais savent se lever quand il faut..Comme zizou sur mazeratti
Modifié il y a 5 ans, le lundi 3 décembre 2018 à 03:54