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rencontre complicité feeling voila le maitre mot
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Ah ah ah, la voilà la France puritaine de la frustration canalisée politiquement ! Ah ah, la voilà la droite décomplexée, intolérante et dictatoriale. Tout compte fait, le virtuel n'est jamais que le réel désinhibé sur les quatre horizons qui crucifient le monde. Le libre pensantisme agonise dans les baves du soleil vespéral ! Amen...
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Citation de "athanason"Ah ah ah, la voilà la France puritaine de la frustration canalisée politiquement ! Ah ah, la voilà la droite décomplexée, intolérante et dictatoriale. Tout compte fait, le virtuel n'est jamais que le réel désinhibé sur les quatre horizons qui crucifient le monde. Le libre pensantisme agonise dans les baves du soleil vespéral ! Amen...
plus 1
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Citation de "oldschool34"Citation de "coeursanscible"rencontre complicité feeling voila le maitre mot
et la maitre fraze serai la quel?! je vai te l'ecrire!! tu vas rentré chez toi et dire a ta femme toute les horreurs que tu fai dans son dos.... un conseil ne met jamai de photo de toi sur le site! parce que finira sur youtube façon oldschool s'est moi qui te l'dit....
pauvre con tu sais meme pas si il est mariée et franchement qu'est ce que tu en a a foutre il te pique personne que je sache, et en plus il a raison
spece de frustre impuissant
si avec ca j'aipa sma photo lol
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Citation de "athanason"Ah ah ah, la voilà la France puritaine de la frustration canalisée politiquement ! Ah ah, la voilà la droite décomplexée, intolérante et dictatoriale. Tout compte fait, le virtuel n'est jamais que le réel désinhibé sur les quatre horizons qui crucifient le monde. Le libre pensantisme agonise dans les baves du soleil vespéral ! Amen...
lol je le dis joliment bien moins correctement que toi lol
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Là arrêtez tout de suite de mélanger sexualité et politique.
Faut vraiment être con pour penser que le puritanisme ne vient que de droite. Je n'ai pas cru comprendre que les soviétiques à leur âge d'or aient fait preuve d'une grande ouverture d'esprit, ou alors détrompez-moi.
La liberté, c'est aussi le choix, et le choix peut être la fidélité. Je n'ai rien contre les véritables libertins, mais je dézinque les connards et connasses qui trompent. Vous savez que vous pouvez amener des maladies parfois graves, sexuellement transmissibles avec vos conneries ? Quel choix pour votre ignorant compagnon ou compagne qui partage légalement votre lit ? Quelle sécurité ? Quelle honnêteté ?
Tout est dit dans ce dernier mot : faire ce qu'on veut de son cul mais sans tromper, mentir (même par omission), ni faire du mal.
Et si certains s'estiment sans devoir ou en tout cas peu concernés à propos de leur "libre" sexualité, ce ne sont que des irresponsables d'un âge mental guère avantageux.
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Amen.
Me reste une question : quelle légitimité à venir insulter un type qui cherche manifestement à produire l'adultère ? Le puritanisme c'est la sanction sociale d'un choix moral différent du sien, d'un comportement qui ne nous regarde pas, dans son attitude altruiste. L'altruisme en le sens de s'occuper des affaires d'autrui. Je le demande autrement : qu'est-ce que ça peut vous foutre ? Nous en venons aux enjeux de frustration, etc, qui rendent légitime un tel flicage dans une structure où c'est le citoyen qui construit la prison (morale et sociale) de son voisin. Vous n'avez aucun droit contre sa volonté d'adultère ; qu'elle soit émise dans la structure d'un couple libre ou non.
Arrêtons un peu de regarder l'assiette du voisin et contentons-nous de la nôtre, ça ira beaucoup mieux dans le monde. Premier point.
Deuxième point : vos insultes vous humilient et vous font tomber très bas dans l'image que j'avais de vous. Ce qui vous fait, je suppose, une belle jambe, soit, soit. Quant à votre "je dézingue", restez calme, vous ne faites rien du tout, d'abord par impuissance. Ce site est donc un ramassis d'esprits médiocres qui n'ont de recours d'indignation que par le mot corrosif. C'est minable. Et très décevant. Il est intellectuellement complètement au niveau de ses adeptes les plus discrets et les plus officiants : les plans cul. Pour ce qui est du lien avec le FN, ce n'est pas de la politique, c'est du non-humanisme, et si vous êtes de ceux qui parviennent à séparer votre esprit selon les sujets, sans cohérence et en pleine assomption d'une schizophrénie globale (cohérente avec l'état de la société au sens du lien entre les citoyens), grand bien vous fasse.
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Grand bien me ferait de n'avoir aucun mail sous-entendant qu'une partie de jambes en l'air en toute discrétion est ce qu'on m'offre de mieux. Non pas que tous les adultères me concernent -- aucun d'ailleurs -- mais à mes yeux c'est être pris pour un seau hygiénique parce que bobonne n'y satisfait pas.
Plus insultant que ça, c'est difficile.
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Eh bien, soit, mais ce n'est jamais qu'à votre sens. Et vous caractérisez fort péjorativement l'épouse en l'appelant bobonne. Non, vous avez une vision trop réductrice des choses, pas assez... Comment dire... Artiste ! Mais je conçois que c'est là la porte ouverte à toutes les fenêtres. Cependant j'aurais aimé entendre un tel discours épuré de toute insulte. Ce qui vous fait, tenons les comptes, une seconde belle jambe.
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Citation de "athanason"Eh bien, soit, mais ce n'est jamais qu'à votre sens. Et vous caractérisez fort péjorativement l'épouse en l'appelant bobonne. Non, vous avez une vision trop réductrice des choses, pas assez... Comment dire... Artiste ! Mais je conçois que c'est là la porte ouverte à toutes les fenêtres. Cependant j'aurais aimé entendre un tel discours épuré de toute insulte. Ce qui vous fait, tenons les comptes, une seconde belle jambe.
"Bobonne" n'est qu'une citation. J'ai même lu un "tolière" une fois. Vous parliez de considération ?
J'ai une vision plus analytique qu'artistique en effet. Non que je le revendique, c'est un fait.
Au reste, pardonnez mon franc-parler rablaisien, une image vaut parfois mille discours.
Modifié il y a 13 ans, le jeudi 7 juillet 2011 à 22:28
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Rabelais n'était pas vulgaire s'il était grossier. Mais je prends note, une fois de plus. Je suis un peu les pensées de Kierkegaard sur les trois pas de l'âme, et je crois que tout esprit fut d'abord artiste avant d'aspirer à l'analytique, vous savez, les trois états, esthétique, éthique et religieux. Ce que je veux dire par là, c'est que votre état d'intuition n'est pas loin derrière, peut-être est-il bon de ne pas l'enterrer tout à fait. Je trouve la vulgarité toujours dommage ; voyez le gesticulant qui insulte sans rien comprendre de nos échanges. Souvenez-vous que vous m'avez harponné pour défendre ce genre de parti. Je ne sais pas si c'est par esprit de contradiction ou par conviction ; remarquez que vous avez commencé par vous illustrer à sa mesure.
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Mettez la vulgarité sur le compte de la colère, et vous trouverez peut-être cette part "artiste" que vous imputez à tous et chacun.
La vulgarité a parfois son existence, à défaut d'être une vertu. Tout comme la guerre ("war" mais aussi dispute, ou campagne comme Kierkegaard) est un "dernier recours", cette vulgarité je l'use parfois pour exprimer non pas uniquement un état de fait, mais aussi un état d'âme qu'il serait injuste d'écarter puisqu'il motive pour une bonne part certaines interventions.
Quant au parti que je défends, qu'importe et qu'y puis-je si d'autres ont des opinions similaires mais bien moins de tact ou de tenue ? Qu'un individu soit desservi par son discours n'implique pas que je partage le même navire. Ce n'est pas un individu que je défends, c'est le manquement à la paix que je combats -- y compris le manquement à la paix des ménages pour peu qu'on m'y "invite" comme certains mails. Je ne conçois pas l'adultère comme autre chose qu'un manque de considération et un manquement à la paix sociale dans la mesure ou son ampleur outrepassera toujours le cadre du respect, en entraînant en plus au moins un tiers innocent dans la tourmente -- j'ai nommé le ou la cocu[e].
De plus j'ai déjà exprimé sur d'autres fils ma position bien tranchée.
Modifié il y a 13 ans, le vendredi 8 juillet 2011 à 00:14
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Lequel avis ne prend en compte que les vanités, les amours propres, s'embarrasse à mon sens d'un lien humain inhumain par ses verrous et ses aciers, écarte tout champ esthétique de la notion de couple, lui conférant par là même une sorte de vertu mortuaire à l'idéal des pierres tombales. Lequel avis est strictement basé sur un modèle moderne (entendre post XVIIIe) de relation conjugal tenant à la propriété, ce qui n'a jamais marché que pour un infime pourcentage des populations. Mais je reconnais à votre avis une qualité inouïe : celle de restaurer le rôle orgiaque, par ses interdits, ses bornes et son austérité, des institutions religieuses dans l'érotisme quotidien. Il ressuscite la transgression. Et ce n'est pas un mince exploit.
Quant au reste, j'ai évoqué sa plus grande limite et ce en quoi votre avis exprime à mon sens le modèle d'un formatage social : la propriété, la possession de l'être aimé, sinon dans son âme, du moins dans son corps. Alors c'est une prison et toujours il y aura fuite en avant. Je ne trouve pas cela joli. Se mentir sur la nature humaine. Cela-dit, je ne nie pas qu'il puisse exister quelques illuminés à qui ce modèle de possession puisse convenir au point de les combler. Bien au contraire, et tant mieux. Mais l'homme (générique) ne me semble être pas un objet.
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 Loin de moi l'idée de "posséder" quelqu'un.
En revanche j'aime l'exclusivité et je m'autorise à partir quand il y a de la "concurrence" -- savoir est une liberté, choisir en est une autre 
Et je revendique le droit de choisir si je veux ou non partager mon lit avec un être volage ou réciproquement exclusif. J'ai le droit de craindre et même refuser les maladies vénériennes des autres. J'ai le droit de refuser l’ambiguïté et l'ambivalence d'un parti, et de me retirer si ça me chante.
C'est vous qui avez une vision bien étriquée du problème. Je ne refuse à personne d'aller voir ailleurs, je refuse de faire partie d'un harem -- personne n'a le droit de m'imposer ça non plus 
Me refuser cette considération, ce respect, c'est refuser l'égalité de nos droits, de nos devoirs aussi, et attaquer ma dignité en tant qu'être humain. C'est inouï ce que les menteurs acceptent de faire mais n'accepteraient pas qu'on leur fasse. Depuis quand cet individualisme m'impose de reculer dans mon droit ? Depuis quand la bêtise doit prendre le pas sur le respect de la personne ?
Il en va de même pour chacun.
Modifié il y a 13 ans, le vendredi 8 juillet 2011 à 16:16
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Ouais sinon, tu retournes dans ta cuisine et tu arrêtes de faire chier.
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