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compote.depomme2 (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de "gagnodan"je peux en vendre de la neige!
j'en ai un peut trop dans ma cour !!
lol
La vendre ?
Je vais attendre qu'elle tombe ici !
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Citation de "compote.depomme2"Citation de "gagnodan"je peux en vendre de la neige!
j'en ai un peut trop dans ma cour !!
lol
La vendre ?
Je vais attendre qu'elle tombe ici !
mdrrrrrrrrrrrrrr
tant pis je la donnerais a mes voisins!
lolll
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Citation de "gagnodan" mdrrrrrrrrrrrrrr
tant pis je la donnerais a mes voisins!
lolll
Voilà une belle preuve de solidarité locale ! : )
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La notice...ou...tentative par le rôle play d'exposer certaines particularités et complexités humaines, surtout de celles si liées à certain obscur objet du désir...hum...
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mdrrr
en manque ti kul ??
lol
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T'inquiete pas....j'suis juste a l'etage en-dessous
Je les tiens
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Citation de "tsi-ku"- Bonjour monsieur Trois.
- Bonjour Docteur. C’est ma femme qui m’envoie. Elle dit que je deviens agressif.
- Ah ? Je suppose que c’est inhabituel ?
- Oui, c’est inhabituel. Mais là j’ai boules tellement pleines …
- Votre femme refuse le devoir conjugal ?
- Non, c’est moi ! Elle m’a vexé un jour et depuis je ne la touche plus.
- Oh la raison devait être très grave.
- Oui surement. Je ne me souviens plus.
- Donc depuis, vous êtes fidèle mais en manque de sexe ?
- En manque de sexe oui. Fidèle non. J’ai une maitresse depuis plus de 10 ans. Mais là ça fait plus de 2 mois qu’elle boude.
- Que s’est-il passé ?
- Oh, elle me fait le coup souvent. Je ne sais pas pourquoi.
- Dites, 10 ans ce n’est pas rien. Vous n’avez pas envisagé de divorcer pour elle ?
Vous n’y pensez pas ! je tiens à mon confort, ma maison, mes voitures.
Et puis ma maîtresse est grosse. Quitter une grosse pour une autre grosse, non. Et elle a 10 ans de plus que moi.
- Qu’est-ce qui vous a rapproché ?
- Le sexe. Elle a le chic pour me raconter des histoires salaces. Elle en parle sans retenue. Elle est même capable de faire des scénarios avec sodomie sans avoir pratiqué elle-même. J’étais à un doigt de l’introniser Myrtille.
Whaouais ! C'est chaud !
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arsinoe (clôturé)
il y a 7 ans
Il est sacrément construit ce récit. Je vais revenir lire tout cela attentivement. T'es une vraie écrivaine, toi (kiki, prends en de la graine).
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arsinoe (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de "e_ajar"L'humain n'est pas assez évolué pour accéder à ce sentiment communément appelé amour.
Visiblement celui-là n'a jamais aimé.
C'est curieux cette manière de faire une généralité, un universel, d'une situation ou d'un vécu qui n'est rien que personnel.
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arsinoe (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de "e_ajar"@ tsi-ku : un psychanalyste ne peut pas non plus prescrire un antidépresseur. Nul besoin d'avoir obtenu un diplôme pour exercer cette profession, de plus. Il suffit d'avoir fait soi même une psychanalyse.
Un psychiatre peut choisir de devenir analyste, et lui, il a le droit de prescrire des médicaments.
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arsinoe (clôturé)
il y a 7 ans
Le sexe je m'y suis donné, sans jamais être arrêté par aucune morale. Pour finir par constater que je cherchais quelque chose que je ne trouverai jamais dans le sexe.
Si les humains se réalisent en général dans le plaisir et dans l'orgasme, moi je n'y trouve plus rien.
Ainsi lentement j'ai fini par faire l'amour pour faire plaisir, uniquement pour faire plaisir, sachant que le plaisir, le mien, pour moi, ne signifirait plus jamais rien.
Comme pour les autres, cela signifie beaucoup, voire tout, au moins donner du plaisir a encore un sens, puisqu'alors je donne du sens à la vie de l'être qui jouit de moi.
Mais à force de renoncer à soi, à force de me forcer à jouir, j'ai alors rencontré le sentiment de viol. Dans cet abandon de moi-même, dans cet orgasme que je donnais à l'autre, dans cet orgasme que je m'efforçais de vivre moi-même pour donner l'impression à l'autre que lui ou elle me faisait aussi plaisir, dans cette obligation faite à moi-même j'ai rencontré ce sentiment : je subissais sans cesse un viol.
Modifié il y a 7 ans, le mardi 14 février 2017 à 00:15
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Cracher le sirop de corps d'homme ?
Un crime ..
Jeter la nourriture alors que la faim sévit dans le monde ?
Grrř
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On ne dit pas tsiku mais petit kil a poser les mains dessus !
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arsinoe (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de "tsi-ku"Citation de "arsinoe"Le sexe je m'y suis donné, sans jamais être arrêté par aucune morale. Pour finir par constater que je cherchais quelque chose que je ne trouverai jamais dans le sexe.
Si les humains se réalisent en général dans le plaisir et dans l'orgasme, moi je n'y trouve plus rien.
Ainsi lentement j'ai fini par faire l'amour pour faire plaisir, uniquement pour faire plaisir, sachant que le plaisir, le mien, pour moi, ne signifirait plus jamais rien.
Comme pour les autres, cela signifie beaucoup, voire tout, au moins donner du plaisir a encore un sens, puisqu'alors je donne du sens à la vie de l'être qui jouit de moi.
Mais à force de renoncer à soi, à force de me forcer à jouir, j'ai alors rencontré le sentiment de viol. Dans cet abandon de moi-même, dans cet orgasme que je donnais à l'autre, dans cet orgasme que je m'efforçais de vivre moi-même pour donner l'impression à l'autre que lui ou elle me faisait aussi plaisir, dans cette obligation faite à moi-même j'ai rencontré ce sentiment : je subissais sans cesse un viol.
C'est le ressenti après plusieurs années de mariage. Si l'on n'a pas choisit la bonne personne.
Non, ce ressenti je l'ai eu bien avant de me marier, d'autant que je me suis marié tardivement.
Vous n'y êtes pas du tout.
D'autant que le mariage ne m'a pas empêché de continuer de vivre toutes les expériences que j'ai voulu mener.
Ma femme et le mariage n'y sont pour tien.
Vous êtes dominée par l'esprit du siècle, vous semblez incapable de réfléchir à la sexualité en elle-même.
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arsinoe (clôturé)
il y a 7 ans
Quand je rencontrai Arlette je venais d'avoir 20 ans. Je me mis en tête de la conquérir. C'était une femme que les hommes désiraient. Belle et d'une sensualité enflammante.
Je parvins à la conquérir.
Conquérir une femme éminemment désirable est une satisfaction incomparable pour un mâle de 20 ans.
Nous faisions l'amour comme des sauvages.
J'éprouvais avec elle une satisfaction totale.
Alors que j'étais jusque-là obligé de faire l'amour sans cesse pour éprouver enfin une satisfaction, là, avec elle, faire l'amour une fois, ou deux, me donnait une satisfaction absolue.
Pourtant, dès le début de notre relation je tentais par tous les moyens de lutter conte le désir qu'elle m'inspirait.
Je ne pouvais pas ne pas la désirer.
Je ne pouvais pas ne pas la baiser.
Cette impossibilité de décider en toute indépendance me mettait en rage.
Je tentais, le soir, de me coucher loin d'elle à l'autre bout de notre petit studio.
Je délaissais le lit conjugal, je voulais reprendre le contrôle de mes pulsions.
Elle attendait dans le noir, respiration courte. Elle savait que je ne résisterais pas.
Je venais.
Elle me tendait ses fesses.
Elle attendait que je lui ôte sa petite culotte.
Je le faisais.
J'enrageais.
Elle coulait tant que tout son bassin était trempé.
Je devenais fou.
Je la baisais avec fougue, avec rage aussI.
J'éprouvais une satisfaction sexuelle totale.
J'enrageais.
Modifié il y a 7 ans, le mardi 14 février 2017 à 09:00
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