alfanumerix Tu veux le rencontrer ? Tchat avec lui !

Description

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Je suis le Nageur...
Je suis la vie de cette femme dont je suis l'enfant, je suis l'amour de cet homme dont je suis le père, le fils, le frère, l'ami, l'amant ...
Ainsi, le cercle du bonheur est parfait, infini, donc incontournable !
Et lui, et elle, c'est comme un univers mis à ma disposition, pour moi , à moi seul et aux autres , et à chaque seconde ... C'est mon intime besoin et mon vital secret !
En lui, en elle, toutes les statues, toutes les caresses, toutes questions, toutes les réponses .
Et, pour les avoir situés si haut et si loin, en tout bien, en toute bonté, le mal même qu'ils pourraient me faire ne saurait les atteindre en moi, et les défigurer à mes yeux .
Ce qui ne m'empêche pas d'être sensible à ma peine, et s'ils m'en font, c'est malgré lui, malgré elle ...
Et, s'ils me font de la peine, je n'ai de recours contre elle ou lui qu'en moi, qu'en m'éloignant aussi longtemps qu'il est nécessaire pour que la nouvelle ride, qui par leur faute et la mienne marque mon visage, se soit si bien habituée à moi, et moi à elle qu'ils ne la remarquent même plus .

Mais il ne s'agit pas pour moi de m'intégrer à un monde qui ne m'est rien, car il y a incompatibilité entre moi ou eux, et ce qui n'est pas l'amour .
L'amour est ! ...Un élément comme l'air, l'eau, le feu ...
C'est le mien, celui qu'ils me donnent à partager .
Tout le reste m'est indifférent, étranger .
Je n'ai à peu près - volontairement peut-être - rien compris à rien ...
Excepté ce qui relève de l'âme, du cœur et de la chair .
Je n'ai à peu près rien compris à rien ...
Excepté l'homme, l'humain, l'humanité entière à travers lui, à travers elle .

Il suffit d'être digne d'amour, d'abord .
En admettant que je n'aime personne et que personne ne m'aime, il faut, au moins que je ne déçoive pas et que j'espère suffire à l'enchantement de quelqu'un .

L'Homme, un homme, une femme, quel luxe !

Royal et sacré, voilà ce qu'il faut être en soi et pour soi, et à force d'exigence et de noblesse, devenir simple , très simple .

Narcisse aperçoit son image ...et, dégoûté de lui-même par elle, la suit amoureux au fil sans fin de l'eau ... !


( " Elle parlait à la troisième personne,
Sujet, verbe et objet répondait la Sorbonne .
Elle murmurait dans le vent des paroles
Que la raison tournait vite en paraboles .
Elle chantait le présent, doucement,
Et la mort ne survivait que de l'air du temps .
Elle était amour, l'espace de tout instant
D'où je l'écoute, ici et maintenant . ")

Je suis le Nageur ...
Et, au fond de l'eau, il trouve un archange .
Non ! La vérité n'est pas une femme nue au fond d'un puits !
La vérité ? ...C'est l'homme nu, aperçu entre deux sommeils !
Et ne pas se laisser tromper par ce mirage, mais le tenir pour ce qu'il est :
Nageur, comme moi, et ne pas se tromper sur sa nature
Aussi fuyante qu'attirante,
Aussi irréelle que l'impossible,
Aussi vraie que l'évidence .

Ne rien exiger de lui qui m'expose à être déçu !

Rencontrer le Nageur ...
En lui, en elle, la discrétion de l'émotion,
Aucune manière particulière, trop familière, mais une gravité surprise au hasard d'un moment, comme une dis-traction .
Pour qu'ils m'appellent par mon prénom, comme ça, tout seul, sans rien d'autre, il faut que ça soit d'un quai ou d'un train qui nous éloigne ...et nous sépare ...et leur geste alors confident signifie qu'ils ont beau me quitter mais qu'ils demeurent en moi et avec moi .

(" Sa peau me touche,
Son regard me pénètre,
En moi je sens naître
Un sentiment bien louche
Qui pousserait mon corps
A épouser sitôt le sien
Alors qu'il y a accord
Déjà de nos deux mains " )



Il nage ...
Ses procédés ne sont ceux de personne,
Excepté ...moi !
Nous nous ressemblons, et à personne d'autre .
Notre élément est le même, nous est commun, exclusivement .
Ce qui est l'amour, en moi son dieu et moi en lui le mien :
C'est l'homme !

Je songe beaucoup à je ne sais quel empire sous lequel je serais tombé, sans m'asservir, comme sous un charme ...et tout est changé .
Il y a métamorphose !
Douce servitude qui me délivre de tant d'autres !
Le ciel, la terre n'existent plus, je ne les vois plus, sensible à l'eau seule et à l'esprit qui souffle au dessus d'elle, comme avant le premier jour du monde ...
Au temps du chaos .

D'heure en heure, une voix, une main, un mot ...qui virevoltent, passent, repassent et me révèlent une présence, que quelqu'un est présent, dont tout d'un coup, entre deux vagues, j'aperçois la nudité, confidence privée et fidèle .

C'est lui !
Il surnage, replonge, ne disparaît que pour reparaître
Je le reconnais à ses yeux, ...ou encore à ses doigts qui glissent sur moi, ...ou enfin à son corps qui rebondit souplement, ondule et me fascine
Puissant comme le cours d'un torrent, mais fragile comme la brume qui nous enveloppe au sortir de la cascade .
Comme si je chevauchais un dauphin, cette autre sirène ...
Et puis son corps qui chavire et passe au dessus du mien comme une embarcation de rêve !
Son sexe opulent me caresse le front, le nez, les lèvres ...
La tendresse langoureuse de son regard d'homme-poisson me trouble, au toucher .Moi, nouveau Jonas, lui narval ou triton !
Et notre arabesque marine bientôt s'achève dans une baie de corail, sur un lit d'algues et de sable fin, au clair d'une pleine lune .

Le Nageur prononce le mot " amitié " avec trop de respect pour n'être pas digne de la mienne, qui est une religion .
Je ne veux rien de mal entre nous.
Entre lui et moi, l'âme toute en beauté ...
Impossible de ne pas être devant lui, à peine de ...mourir !

Parfois il se tait,
Apparemment pas un mouvement,
Semblable à sa propre image, solennel,
A la limite de l'Absolu .
Quand, tout d'un coup, son œil, ses doigts me cherchent,
Un sourire peut-être, un léger tremblement le secoue,
Puis un éclair, et un deuxième accompagné d'un tonnerre de rires
Suivi d'une rafale de baisers, de voluptueux embrassements
Et d'embrasements de torride jouissance ... !
C'est le Nageur ... !

Simplifier sa vie,
Ne penser qu'à une chose, essentielle, y ramener toutes préoccupations,
A " lui ", et tout lui subordonner en soi, autour de soi .
N'éprouver rien qu'à son égard, sans rien à prouver à quiconque !
Ne permettre à personne de me distraire de lui, à nulle chose de se glisser entre lui et moi, dans le champ de mon attention librement captive .

Rigueur de la contemplation, éthique du bien-fait .
Dormir, céder à l'impression qu'on ne cède au sommeil que pour permettre au Nageur de se reposer de vivre, en se changeant en songe .
Invisible dans l'acte, dans l'existence, et pourtant il est là :
" "

Secret ...on " en " parle jamais !
A ce signe le reconnaître, à ce qu'on ne peut nommer, prononcer,
Sans presque le profaner .

Le Nageur !

Et ta foi qui hésiterait entre le néant et l'être ... ! ! !
Tu dois le faire, le " créer ", le porter à maturité,
Le conduire, t'aider et le pousser à être, donné même abrupt .

Est-ce quelqu'un ,
Tu ne peux dire encore " ce " qu'il est, qui il est .
Peut-être un homme, peut-être l'Homme, peut-être Dieu !
Peut-être seulement toi-même, ta propre image aperçue " dans " l'eau !
Ce qu'il est, ce qu'il sera
Dépend de la profondeur et du respect dont tu l'entoures,
Et de l'ardeur que tu apportes à l'exalter .

Comme une figure d'or que je poursuis, qui me poursuit dans ma nuit ...
De-voir ...volontaire !
Ma victoire serait de lui dérober son mystère,
Même si sa vue a le poids d'un glaive au bout d'un bras de neige
Qui me glace,
Je préfère combattre et lutter pour offrir et donner ...
Le meilleur de moi-même, et le plus cher avec !

Dès le matin, par la fenêtre de mes yeux juste entrouverte,
Dans le brouillard un paysage se dessine,
Et dans l'encore-obscur quelqu'un s'anime parmi les nénuphars,
Puis s'évanouit dans un faible écho de mémoire ...

Mais non ! J'aime de sa part ces fiers refus, ces hauteurs ultimes
Qui me défendent contre lui,
Comme s'il se portait à mon secours
Quand je vais faiblir et renoncer ... ! ! !

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kan G T bébé c'etai cool maintenant je me di ke ce monde est crade et ke jorai voulu rester au chaud,ici c cru et bad, de l'amour y en a pas.La vie c show-bizness, le fric se prend pour dieu, moi chui riche en millions d'étoiles ke si ya l'apogée dans tes yeux.Regarde le monde, arrete d'etre aveugle et garde l'oeuil ouvert meme dans la brume et sache ke les serpents ont souvent les plus bo costumes et ke les blessures o coeur cicatrisent mal, surtout ke la haine sa peut detruire kan ont la maitrise mal.G plu envie de fuir, je me suis retrouver dans un putin de gouffre et la rue l'a prouver et je trouve mon bonheur dan peu de choses kan g trop morfler et on est kome flou dans un monde sous morfine et sa je le pose avec mon coeur et mes tripes.........dédicaces a ceux ki mon compris

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''''''''''''LOVE
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