Situation | Célibataire |
Recherche | Une femme |
Relation | Amoureuse |
Elle disait : "J'ai déjà trop marché
Mon coeur est déjà trop lourd de secrets
Trop lourd de peines"
Elle disait: "Je ne continue plus
Ce qui m'attend, je l'ai déjà vécu
C'est plus la peine"
Elle disait que vivre était cruel
Elle ne croyait plus au soleil
Ni aux silences des églises
Et même mes sourires lui faisaient peur
C'était l'hiver dans le fond de son coeur
Elle disait que vivre était cruel
Elle ne croyait plus au soleil
Ni aux silences des églises
Et même mes sourires lui faisaient peur
C'était l'hiver dans le fond de son coeur
Le vent n'a jamais été plus froid
La pluie plus violente que ce soir-là
Le soir de ses vingt ans
Le soir où elle a éteint le feu
Derrière la façade de ses yeux
Dans un éclair blanc
Elle a sûrement rejoint le ciel
Elle brille à côté du soleil
Comme les nouvelles églises
Et si depuis ce soir-là je pleure
C'est qu'il fait froid
Dans le fond de mon coeur
Elle a sûrement rejoint le ciel
Elle brille à côté du soleil
Comme les nouvelles églises
Et si depuis ce soir-là je pleure
C'est qu'il fait froid
Dans le fond de mon cœur
Mon coeur se serre, il me fait mal... Je voudrais tellement arrêter de le sentir battre à l'intérieur de moi!... J'en peux plus il me rend folle!... C'est comme le tic tac incéssant d'un réveil quand on veut dormir... Tic... Tac... Tu vis... Tic... Tu souffres... Tac... Rien ne te redonne la joie... Tic... Tu es malheureuse... Tac... Une moquerie incessante, il me nargue!
Mon estomac se noue, le stress arrive... J'ai envie de l'arracher...
Ma tête s'embrume, j'arrive plus à penser... Ca tourne, ça fuse, tout va à 3000 km à l'heure... Je peux plus écouter... Je veux plus entendre...
Les envies arrivent... Toutes plus noires les unes que les autres... Oh combien irrésistibles!... Je tente de me retenir, de résister, mais elles sont si fortes...
La musique teinte dans mes oreilles... La douleur grandit encore et encore... A chaque note un peu plus... Ce petit bout de métal qui brille devant moi... Comment lui résister?...
Comment résister à cette sensation magique?... Ce bien être qu'il procure... Cet instant si fugasse d'appaisement... J'y résiste pas... L'envie est trop forte... Je serre le poing... Contracte les muscles... Ca y est... Doucement mais fortement... Je presse... Enfin je le vois perler... Je me sens déjà moins mal... Voir ça me rassure... Le stress s'estompe....
J'attends... Le Tic Tac devient plus sourd... Ca pique puis ça brûle... J'aime cette sensation, cet instant où je sais précisement ce que je ressens... Je voudrais qu'il dure encore!... Le Tic Tac reprend peu à peu de son intensité... Le stress revient doucement... Mon coeur se serre, il me fait mal...
Retiens ta respiration
Frappe le mur
Crie très fort au moment où tu commences à ramper
Pour retourner dans ta cage
Le seul endroit
Où ils te laisseront tranquille
Car les personnes faibles chercheront un plus faible
Jusqu'à ce qu'ils l'aient brisé
Pourrais-tu revenir en arrière
Serait-ce alors la même chose
Leur accomplissement dû à leur manque de force à tes dépens
Te laisse sans défense
Ils te détruisent
Et j'ai ressenti la même chose
Comme toi, j'ai ressenti la même chose
Comme toi, j'ai ressenti la même chose
Enfermé
Dans ce seul endroit
Où tu te sens protégé
Où tu te sens en sécurité
Tu t'es perdu
Dans ta recherche
De quelque chose d'autre
Pour te cacher derrière
La peur fait de ta confiance sa proie
Ont-ils vu les conséquences
Ils te mènent par le bout du nez
L'arrogant construit des royaumes constitués de différents royaumes
Et les brisant jusqu'à ce qu'ils aient un autre roi
Et j'ai ressenti la même chose
Comme toi, j'ai ressenti la même chose
Comme toi, j'ai ressenti la même chose
Comme toi, j'ai ressenti la même chose
Refuse de ressentir, vraiment tout
Refuse de glisser,
Refuse de tomber
Tu ne peux pas être faible, ou rester sans rien faire
Tu surveilles tes arrières
Car personne ne le fera pour toi
Tu ne sais pas pourquoi ils ont dû aller si loin
Et échanger ton potentiel contre ces cicatrices
Pour seule compagnie
Ne croie pas à ces mensonges qu'ils te disent
Pas un seul mot n'était vrai
Tu as raison, tu as raison, tu as raison
Et j'ai ressenti la même chose
Comme toi, j'ai ressenti la même chose
Comme toi, j'ai ressenti la même chose
Comme toi, j'ai ressenti la même chose
Comme toi, j'ai ressenti la même chose
Il m'a souvent été demandé « pourquoi tu te coupes ? » « pourquoi tu fais ça ? » enfin vous voyez le genre de questions... Peut être vous-même vous les posez vous...
Je vais essayer d'y répondre...
Quand la douleur est si grande et à la fois si difficile à décrire et définir on ferait tout pour la voir s'atténuer et disparaître, mais vous avez beau tout essayer et rien n'y fait. Vous commencez à bouger... partout... vous retournant sans cesse, gesticulant. Vous vous asseyez sur votre mollet gauche puis sur le droit puis à nouveau le gauche puis vous étendez vos jambes puis à nouveau vous vous asseyez sur votre mollet. Vous sentez des sensations vraiment bizarres dans vos membres, dans l'estomac... C'est pas de la faim, c'est pas de la peur ; ça ressemble un peu au trac mais c'est pas tout à fait ça... Un mal être que rien ne fait taire. Le coeur qui se serre, vous avez envie de pleurer mais en même temps vous savez que vous n'y arriverez pas. Puis la douleur dans la poitrine aussi, comme si vous étiez oppressé, comme si on serrait vos entrailles dans un étau. Je crois que cette douleur là est la pire des douleurs que l'on peut ressentir et Ô combien de coups j'aurais préféré recevoir !
J'ai souvent cherché, inconsciemment je pense, à me détruire ou du moins me nuire psychologiquement... Ce fut sans doute l'étape précédant la destruction physique, enfin je ne sais pas parce que la destruction psychologique est plus douloureuse :/ peut être est-ce au contraire l'étape précédant ma guérison, ma nouvelle vie ; une vie où il y aurait moins de souffrance, où enfin j'accepterais et aimerais vivre... je l'espère.
Si je me coupe, m'automutile (j'ai du mal avec ce terme :s), c'est pour moins souffrir. Je sais que ça parait dingue de se couper pour moins souffrir et vous allez penser que couper son bras ne peut être que douleur, détrompez vous pour moi c'est synonyme de paix de l'esprit. Quand ça pique on ne pense plus qu'à cette sensation et plus à l'autre, c'est une douleur de substitution en quelques sortes...
A choisir on prend la méthode la plus supportable et la douleur physique est de loin la plus supportable pour moi !
Je ne sais pas si j'ai vraiment répondu au pourquoi, je l'espère, si ce n'était pas le cas je ferais quelques rectifications...
Si vous avez des questions j'y répondrais dans les com' ou vous pouvez me les envoyer sur lullyth_lulu@yahoo.fr je tenterais autant que possible de répondre ;)
La vie... Flot glacial qui coule dans mes veines... Me refroidit le coeur et l'âme...
Je n'ai plus de joie... Je ris... mais ce n'est pas moi... Je parle... Je respire... Mais je ne veux pas...
Je me vois de loin... Je m'apperçoie que je ne suis plus là... On ne me connait pas...
La vie... La vraie... Elle m'a quittée...
J'ai plus d'envies...
Je voudrais être ailleurs... Sortir de ce corps qui vit sans moi... Qui n'a plus besoin que je sois là... Je vis hors de moi... Cette enveloppe charnelle ne m'appartient pas... A qui l'ai-je prise?... Pourquoi m'a-t-on mise là?... Je ne sais plus pourquoi je vis... Je ne vis même pas... Je suis comme un automate... Je fais tout machinalement... Sans envie...
La sphère qui me protège de la douceur mortifère se rétrécie... Je vais bientôt l'atteindre... Bientôt la rejoindre... Un peu de courage et je ne suis plus là...Un peu de volonté et je retrouverais la paix...
Bon nombre nous ont quittés sans le désirer...
Je veux partir... Tout laisser... M'en aller...
Mais je n'y arrive pas...
Ca me ronge... Ca me dévore... Toutes ces idées noires qui ne me quittent pas...
J'ai besoin de toi... Mais tu n'arrives pas... Je suis seule... J'ai froid... J'ai besoin que tu me prennes dans tes bras...
Mais j'ai beau regarder... Je ne te vois pas... J'en viens à me demander si un jour je te verrais... Suis-je peut-être programmée pour vivre dans le froid?... J'avoue que là je ne sais pas...
La chose dont je suis sûre c'est que vivre me tue... Le temps m'est compté...
Si tu n'arrives pas je ne donne plus très cher de moi...
L'avenir je ne le vois plus... L'avenir est noir... Moi... Quelques planches... Beaucoup de terre autour de moi...
Je ne ressens rien... Ma vie n'est plus... J'essayes mais je n'y arrives plus...
Je me connais si bien... enfin je crois... Je me suis tellement souvent voilé la face qu'aujourd'hui j'ai du mal à distinguer le faux du vrai... J'aime... Je hais... J'ai des opinions... des "envies"... J'en viens à me demander si tout ça est réel ou si c'est encore mon imaginaire...
Soumise je suis... Soumise à la douleur de vivre...
La froideur de mon coeur maintenant me fait peur... J'y pense ça me hante... Je voudrais oublier que je ne vis pas et profiter de la fausse vie que je me suis créée : des joies, des peines, de l'amour, de la haine... Je ne sais pas si un jour je pourrais à nouveau ressentir les douceurs d'une vie qui sera vraiment à moi... Où je pourrais enfin choisir si je veux vivre ou mourir... Pour le moment mon choix est fait mais je n'arrive pas à le réaliser... C'est trop dûr... Je pense trop...
La douceur de l'amnésie j'envie... Ne me plus me souvenir... Ne plus penser à la personne que je ne serais jamais...
C'est un semblant de moi que les gens voient... Une personne que je ne suis pas...
J'ai des pensées... Des envies... J'aime des choses... Mais je n'assume pas... Je voudrais assouvir ce à quoi je pense tout au long des secondes qui gachent mon repos...
Aujourd'hui mon ennemie c'est la vie... A chaque secondes je me détruit...
Je ne m'aime pas... L'ai-je fais un jour?... Je ne crois pas... Je suis étrangère à moi...
J'aimerais me retrouver mais je n'y crois pas... Je me suis perdue... C'est fini pour moi... Condamnée à me regarder survivre loin... Je suis en dehors... Je veux être en dedans...
La noirceur de mon âme révèle le goût amer de ma vie....
C'est lui qui t'a détruite...
C'est lui qui a fait qu'aujourd'hui tu as envie de crever...
Tu le regardes et tu le détestes...
Tu le méprises...
Tu te fais croire que tu es forte face à lui et malgrè tout ce qu'il t'a obligée à vivre...
Mais au fond tu sais très bien qu'il a ruiné ta vie...
Tu as envie de le tuer...
De lui faire mal...
De te venger de tout ce qu'il t'a fait endurer...
Mais tout compte fait c'est toi que tu hais...
C'est toi que tu mutiles...
C'est toi que tu achèves lentement...
Comme pour continuer le travail qu'il a fait...
Tu refuses d'être une ruine...
Alors à défaut de pouvoir te reconstruire tu tentes de te détruire totalement...
Tous les moyens sont bons...
Chaque fois un peu plus...
Chaque fois plus fort...
Chaque fois plus loin...
Jusqu'où vas tu aller?...
Avant hier, les pensées...
Hier tu te coupais...
Aujourd'hui, les cachets...
Demain...
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