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Description

Je suis ici uniquement pour RP ( et pas de RP cul hein), donc passez votre chemin si vous appartenez a la catégorie de gens qui recherche uniquement du cul.

---------------------------Mya Toush'Athou----------------------------

Pseudo: lvlya.Toush-Athou
(Image n°4 & 7)
Nom : Toush'Athou
Prénom : Mya
Age : Indéterminé
Taille : 1m10
Poids : 18 kg
Race : Kender (Halfelin)
Apparence : De petite taille , elle a de longs cheveux noirs attachés en un chignon qui fait sa plus grande fierté . L'air malicieux, elle est agile tant pour se cacher dans des endroits improbables, que pour rafler tous ce qui passe à sa porté.
Particularités : Cleptomane , Ne connait pas la peur, téméraire, Une curiosité qui a tendance a taper sur les nerfs, Maitresse dans l'art du mensonge, de la raillerie et de l'insulte.

"Je l'ai trouvé par terre.
Il a glissé dans ma sacoches par pur hasard.
Tu es sur que c'est le tiens ?
Je pensais que tu en aurais plus besoin.
Tu es parti et tu l'as laissé là!
Je voulais le laver et te le rendre. "
(série d'excuses de kender à la découverte d'un objet disparu dans sa sacoche. )

"Demandez simplement à n'importe quel guerrier expérimenté : « pardon monsieur, mais avec qui préférez-vous être enfermé dans une pièce avec une armée d'Ogres, un régiment de Trolls, une brigade de Drakoniens, un dragon rouge... ou un kender ennuyé ? »
Le guerrier choisit les ogres, les trolls, les drakoniens et le dragon rouge, sans hésiter, chaque fois. Il vous dit comme chacun à qui on demande que rien sur Krynn n'est aussi dangereux qu'un kender ennuyé."

"Kender: Je ne vous connais pas, comment vous appelez vous ?
Humain: La ferme !
Kender: Oh j'avais un cousin qui s'appelait comme ça."
(Scene habituelle se deroulant dans une taverne)

-------------------------l3loody.dream---------------------------------

C'est une femme belle et de riche encolure,
Qui laisse dans son vin traîner sa chevelure.
Les griffes de l'amour, les poisons du tripot,
Tout glisse et tout s'émousse au granit de sa peau.
Elle rit à la Mort et nargue la Débauche,
Ces monstres dont la main, qui toujours gratte et fauche,
Dans ses jeux destructeurs a pourtant respecté
De ce corps ferme et droit la rude majesté.
Elle marche en déesse et repose en sultane ;
Elle a dans le plaisir la foi mahométane,
Et dans ses bras ouverts, que remplissent ses seins,
Elle appelle des yeux la race des humains.
Elle croit, elle sait, cette vierge inféconde
Et pourtant nécessaire à la marche du monde,
Que la beauté du corps est un sublime don
Qui de toute infamie arrache le pardon.
Elle ignore l'Enfer comme le Purgatoire,
Et quand l'heure viendra d'entrer dans la Nuit noire,
Elle regardera la face de la Mort,
Ainsi qu'un nouveau-né, - sans haine et sans remord.

(Baudelaire, Les fleurs du Mal - Allégorie)