NOM : Hoshizora
PRENOM : Hanakage
DIVISION : 6
RANG : 4e officier ...
AGE : 19ans
STATUT : Célibataire
FAMILLE : Oui : sœur, parents, etc.
GROUPE SANGUIN : A+
SIGNE ZODIACAL : Tigre (Gémeau)
TAILLE : 1, 68 m
POIDS : 52Kg
CHEVEUX : Brun
YEUX : Turquoise
HISTOIRE :
LA FAMILLE HOSHIZORA
« Noble et mystérieuse famille du Sereitei, la lignée des Hoshizora comporte un passé lourd de sens, nul trace ne figure leur sein, nul bouche à oreille de génération en génération, uniquement un mal, un fardeau à porter au présent, sans tenir compte du passé… ni du futur ; en effet, il est dit que les Hoshizora sont touchés d’un étrange mal, ils portent pourtant fièrement leur Kenseikaan, preuve de leur noblesse, de leur mal et, qui sait, leur perte. Les ragots disent également que seul certain d’entre eux ont des pouvoirs et sont, donc, affiliés tout jeune dans une école de Shinigami, pour l’honneur des leurs.
Il n’en reste pas moins que leur comportement est étrange, je sais de quoi je parle : une fille, une femme étrange que je côtoie depuis dix années, mon arrivée dans l’école de Shinigami… Elle semble froide et attirante, chaleureuse bien que distante, ses longs cheveux bruns au vent, son regard d’un bleu turquoise étrange et interpellant. Elle n’a pas vraiment changé depuis son arrivée, si ce n’est ce détail : ses bras constamment recouverts de grandes bandes blanches, sa main gauche gantée elle aussi masquée aux regards, du moins, ce fut au début. Au fur et à mesure du temps, ce n’étaient plus seulement ses bras, mais son décolleté, son coup, son menton, sa bouche, son nez, ces bandages s’arrêtaient de couvrir son corps en dessous de ses yeux, étrange manière de passer inaperçu. Ses pouvoirs et sa puissance étaient impressionnant et augmentaient au fur et a mesure que ces bandes la couvraient : est-ce donc cela que l’on nomme couramment : La malédiction du ciel Hoshizora ? Je n’ai jamais pu, en dix années, en apprendre plus…Que se passe-t-il donc au sein des murs de ce foyer soudé et célèbre pour ses membres puissants, beaux et importants mais tellement masqués pour certain ? Et Hanakage, pourquoi son shikaï semble-t-il si simple, une simple arme tranchante à la forme hors du commun ?»
HOSHI SOMA , ELEVE DE L’ECOLE DE SHINIGAMIS
UN PASSE LOURD A PORTER, LE JEU DU DEMON
Tout commença un jour, sur la terre, un homme du nom d’Hoshizora était connu pour son mystère, sa grande culture, lui qui vivait dans une ville isolée de Tanega : Nishinoomote, un endroit cruel, injuste, gouverné par la loi du plus fort : il était un mécréant, un hors la loi : un pitoyable voleur des rues, pourtant, son orgueil et sa fierté l’incitaient à prendre aux riches commerçants afin d’aider les plus démunis. Ces agissements lui valurent bien vite une réputation et des traces physiques de ses courses poursuites : des cicatrices recouvrant son visage, tel un tatouage rougeoyant sur sa peau claire et sale. Cet homme avait une femme et deux enfants, c’était il y a 25 générations désormais.
L’on soupçonnait Hoshizora de posséder des pouvoirs étranges… Mais, un jour, sa chance tourna, sa réputation faillit… Le destin ?
Les affaires honnêtes étaient peu présentes face aux trafics de ces lieux, mais, quelques personnes tentaient d’y faire régner un semblant de loi : les voleurs condamnés qui n’arrivaient pas à s’échapper étaient juger et châtiés, il va sans dire que ces justiciers étaient eux aussi des brigands. Leur puissante était telle qu’ils pouvaient se permettre de régner sur la ville en maître, dirigeant dans l’ombre les commerces. Ce que subissaient leur ‘prisonniers’ ? Des nuits et jours entiers dans une pièce sombre, peu ou pas de nourriture, les cris de douleurs de leur famille ou proches torturés ou tués, un châtiment rude afin de dissuader d’autres d’agir comme eux… C’est cela que subit Hoshizora durant 33 journées, les cris de douleur, de peur, la faim. Sans doute tout cela qui le poussa à sceller son pacte… Sa perte…
Un accord avec, dit-on, le chef des démons lui-même : un pouvoir maîtrisé, plus grand et une noblesse de sang surs pour Hoshizora et les siens. Mais tout pacte a son prix, un prêté pour un rendu, l’équivalence : offrir contre la noblesse et la vie à la lumière une Malédiction. Tout cela était stipuler un contrat maléfique comme le hollow aime à le faire…
« (…) Acte 10 : En échange de mes cadeaux, chaque membres des lignées futures se verra porteur de marques étranges, d’ampleur proportionnelle à sa puissance, de par cela il sera reconnu des gens, voir, rejeté pour cela.
(…) Acte 234 : Votre famille sera hantée, à tout jamais, par mon lieu originel, d’une façon où d’une autre ». A ce dernier acte, le démon ajouta une phrase, orale : « Hoshizora, ta culture est telle que tu dois connaître l’endroit d’où je viens, ils nomment cela un continent… Nombreux ont été mes noms, démon, hollow et tant d’autre, différent suivant les lieux. Soit heureux que mon pouvoir ait pu arriver jusqu’ici » Après avoir entendu ces mots, signé la page de sa perte, Hoshizora ne fut plus jamais le même… Quelques jours plus tard, contre ses espérances, il mourut avec ses femme et enfants, sans avoir l’impression que le hollow avait tenu son pacte car nul pouvoir n’était venu l’aider… Déjà, le monstre avait dévoré les âmes de ses enfants…
Son âme fut envoyée dans le Rukongai, ainsi que celle de sa femme morte en même temps, ils eurent comme première chance de pouvoir se rejoindre, sans savoir où ils étaient. Pauvres errants comme tant d’autre. C’est alors que le pacte du démon commença dans sa tête, Hoshizora, contrairement à son épouse, devait manger chaque jour, étrange pour une âme…
Ce hollow s’était joué de lui, ayant fait croire à un pouvoir offert en échange des âmes dévorées, cette puissance que Hoshizora la possédait déjà en lui, la preuve en est que vivant, sur terre il pouvait voir les hollow. Le monstre l’avait ressenti et voulait jouer avec, mais il n’avait pas prévu la mort de sa victime sous la torture des autres hommes, cela du le vexer fortement… Quant aux marques étranges, il les portait déjà, tout comme sa puissance spirituelle… « Seul les descendants d’Hoshizora porteur d’une marque serait puissant » avait dit le monstre, ce n’était pas une offre mais une réalité fondée.
La suite est aisée à deviner, ayant foi en son pacte, Hoshizora s’entraîna longuement, apprenant à maîtriser sa puissance, aider les Shinigamis, découvrir que le hollow s’était joué de lui, même si sa peau portait d’étranges marques, grandissant chaque jour. Avec le temps, la famille pris de l’importance, s’installa au Sereitei, fut reconnue des Shinigamis et anoblie dès la 3e génération, un prix lourd à payer pour Hoshizora : une vie de bataille, la perte de deux enfants et la vue à jamais de la peine de sa femme. La rumeur sur une malédiction, elle, n’échappa pas au bouches à oreilles.
LE TEMPS N’EST QU’ETERNEL REPERITION SANS ECHAPATOIRE
« Voici désormais 25 générations que ma famille vit au Sereitei, nous en sommes fiers et heureux, bien que nous soyons maudits, mais les gens y pensent de moins en moins, l’histoire devint légende, même si elle est à jamais marquée dans les esprits, mon aïeul Hoshizora prônait l’honneur ; en portant notre Kenseikaan chacun, nous poursuivons son travail : la dignité de notre famille en dépend. Notre malédiction semble s’être calmée, cela fait 2 générations que nuls tatouages n’apparaissent plus sur notre peau. Serions nous libérer ? Pour l’instant je ne puis le dire, nous nous contentons de vivre et faire vivre, mon épouse porte en son ventre une 26e génération à notre famille. »
AYAME HOSHIZORA, CHEF ACTUEL DE LA FAMILLE HOSHIZORA
« Je consigne sur ce papier toute l’ampleur de mon désespoir, mon devoir est de retenir mes larmes devant les regards, l’ombre mes les arrachant contre mon grés. Ma famille, celle que j’ai rejoint il y a cinq années vient de subir une tragédie sans pareil… Mes enfants, ma fille aînée, mon amour et mon sang pour elle viennent de m’être enlevé, que faire si ce n’est consigner ici, toute ma peine et mon chagrin ? Comment prendre du recul sur ce qui vient de se produire ? Où se trouve mon enfant ? Maudite soit cette servante ! Et je ne puis crier ma rage…C’était il y a huit jours.
Depuis treize années, Ayame et moi vivions heureux au sein de cette famille, soit disant maudite, mais de réputation seulement. J’ai une fille du nom de Soyokaze, nous venions de fêter ses trois ans, Hanakage, de deux ans sa cadette, était encore derrière, dans son berceau, souriante et pleine de vie. Puis, cela se produit, la servante, la main de mon enfant dans la sienne, leur pas pour rejoindre la sortie, je les ai perdue de vue, aucune inquiétude à se faire normalement, elles allaient dans le jardin cueillir quelques fleurs : Soyokaze n’allait pas se salir les mains dans la terre, voila pourquoi la servante l’accompagnait… Hanakaze ne les avait accompagnée, heureusement, car mon cœur n’y aurait survécu…
C’est comme un cauchemar, même éveillée, qui me hante, leur départ, le sourire de Soyokaze… Puis le silence, violemment brisé d’un cri ! Un hurlement déchirant, terrifiant. J’étais la première arrivée sur les lieux : du sang ? Non, j’avais si peur… Continuant, ce fut le corps mutilé de la servante que j’ai trouvé au pied du grand cerisier. Mon enfant ? Ma fille ? Où était-elle ? Si petite, dans ce monde, sans les siens ? Où est-elle ? Morte, vivante ? Enlevée ? Je … »
NANAMI HOSHIZORA, EPOUSE D’AYAME
« Cela fait dix années, aujourd’hui, que je suis entrée dans cette école de Shinigami, et me voici, à rêvasser sous une fenêtre. Demain, je me présente comme 4e officier de la 6e division, quel honneur ! Je me dois de le respecter. Il est vrai que j’ai pas mal progressé durant ce temps. Je me souviens comme si c’était hier de mon arrivée : j’avais 9 ans, Mère était toujours aussi triste, je l’ai connue ainsi depuis toujours, bien qu’on me dit que durant ma 1e année de vie elle était joyeuse, avec ses deux filles, je me demande ce qu’il est advenu de Soyokaze ? Elle est certainement morte, Paix à son âme.
Oh ! Comme ce jour où, à mes 7 ans, lors d’un bain avec Mère, elle découvrit cette étrange marque sur mon bras, intriguée, elle appela Père… C’est ainsi que tout commença : 1 année de culture sur ma Famille : ce tatouage maléfique et de forme typique qui est réapparu après 2 générations de calme, j’appris que j’avais une sœur, que je serais hantée d’esprits des croyances d’humains et tant d’autre. Le plus dur fut, sans doute, de masquer cette marque physique, typique de notre famille, il n’en est pas deux comme cela. Finalement, ces bandages sont comme une seconde peau, partie intégrante de mon corps. Quelle plaie, le jour de mon arrivée à l’école de Shinigami, convaincre Père et Mère que je n’avais pas besoin de Kenseikaan, que noble je l’étais de sang et que je le revendiquerais par ma puissance et mon acharnement, aussi, n’aurais-je été digne de porter le nom de Hoshizora. Sur ces dix années, seulement deux personnes m’ont parlé de cette légende de malédiction. Elle est finalement connue dans le Sereitei.
Finalement, m’y voici, les portes de la 6e division m’attendent, mes efforts auront portés leur fruit, je vais enfin rencontrer mon Capitaine et mon Lieutenant : Honneur et Respect… »
DESCRIPTION PHYSIQUE :
Une longue chevelure brunâtre, ramenée en arrière, quelques mèches par ci par la balayant son visage. Un minois fin et doucement rosé, un regard perçant et fort, intriguant et captivant : des yeux d’un bleu turquoise étrange. Rare son ceux ayant aperçu autre chose ; en effet, sous ses vêtements de Shinigami, de grandes bandes blanches masquent son corps, elles commencent en dessous des yeux, redescendent sur son nez, sa bouche, son menton, son coup, sa poitrine, ses bras. Sa main gauche porte, elle aussi, un étrange gant blanc. En réalité, le tatouage maudit de sa famille l’a touchée sur ses bras, sa main gauche, son ventre, sa poitrine et une partie de son visage, jusque sous ses yeux. Son corps, en soi, semble élancé et de forme généreuse, fin. Hanakage est une personne assez agile, lorsqu’elle se bat, la fin de ses bandages se déploient, formant au sol, sur son ombre, des ailes telles celle d’un papillon… Le fourreau de son Zanpakuto, elle le porte en diagonale dans son dos, la garde vers le haut, prêt à être dégainé.
DESCRIPTION MENTALE :
Hanakage est une jeune fille plutôt calme d’apparence, elle aime à rester dans l’ombre, bien que, mise en avant, elle en assume la place comme il se doit. Avec les gens qu’elle croise plus souvent, elle pourrait se révéler quelqu’un chaleureux malgré sa méfiance : un léger sourire en coin se devinerait sous les bandes blanches. Son humeur est assez lunatique, suivant la situation, la pression et autre, elle peut se révéler imprévisible, tantôt sur le point de pleurer pour la perte de quelqu’un ou restant de glace. On ne sait jamais ce qu’elle a en tête et agit souvent tel un jeune chien fou et impulsif. Son honneur est grand, tout comme sa fierté, elle est totalement dévouée aux siens, sa famille pour laquelle elle se bat chaque jour contre la malédiction qui la possède. Elle ne porte jamais de Kenseikaan, désirant que sa noblesse soit prouvée par son comportement et non un artefact, seule action pour laquelle elle va à l’encontre de la volonté parentale. Ne croyez pas qu’elle en est dépourvue pour autant, non, dans sa poche se trouve cet objet de titre, qu’elle ne sortira qu’en cas d’extrême urgence, ou bien jamais, même si la mort vient à la prendre.
POUVOIRS ET APTITUDES AU COMBAT :
D’une habilité sans pareille avec les armes, il n’en reste pas moins que sa puissance est à son paroxysme lorsqu’elle manie des armes courtes, sa technique est telle son caractère, impulsive et imprévisible.
L’école de Shinigamis lui permis d’apprendre la magie à la Soul Society, sa préférence allant volontiers vers des sorts d’attaque ou de feu, même si elle apprit à en manier énormément.
ZANPAKUTO :
NOM : Honoojigoku (flamme des ténèbres)
AME : Un chien à trois têtes avec des ailes de papillon.
SHIKAÏ : « Tranche le de tes flammes, Honoojigoku »
Le katana à la lame longue et extrêmement fine d’Hanakage s’allonge alors en une arme à fer pointu d’un côté, tranchant de l’autre : lisse et denté, voici le Shikaï…
Le corps à corps commence alors, la concentration psychique de la Shinigami augmente : du côté droit, extrêmement acéré, l’arme est blanche, son utilisation est telle une arme simple, son tranchant n’hésitant pas à transpercer l’ennemi. La particularité d’Honoojigoku réside dans l’autre côté, gauche, noir, denté, il ne semble pas très acéré mais une fois qu’il touche l’ennemi, une plaie apparaît sur sa peau, comme une morsure de chien, nulle goutte de sang ou douleur sur le coup : la morsure se cautérise en une fraction de seconde. Mais, quelques temps après, le corps de l’ennemi est comme, consumé de l’intérieur, la flamme d’Honoojigoku agit en brûlant le corps de l’ennemi de l’intérieur ; la rapidité et l’intensité de ce coup souvent mortel dépendent de l’énergie d’Hanakage sur le moment où il est porté, ce qui l’oblige à se concentrer un maximum lorsqu’elle utilise son arme à gauche.
BANKAÏ : Non atteint.
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