Situation | Célibataire |
Recherche | Un homme ou une femme |
Relation | Amicale |
Bonjour et bienvenue sur mon profil-dissertation !
Introduction :
Un « bienvenue » me parait indispensable vu sa longueur. Son but est d’éviter que mes dialogues se ressemblent tous en évitant au maximum les banalités d’usages et en donnant des pistes pour aborder des thèmes et des sujets plus élaborés. Si toutefois vous décrochez, ou que ce que vous lisez vous énerve, ayez l’amabilité de lire l’exposé de la problématique et surtout la conclusion, ces cas ont été envisagés. Bonne lecture !
Tout d’abord, répondons aux questions banales :
Non, je ne vais pas bien, pas la peine de me demander pourquoi, cela ne vous regarde pas encore. J’habite seul, à Nancy même, dans un petit appartement, j’ai 28 ans cette année et je suis officier dans l’armée de l’air. Plus précisément, j’y suis principalement responsable du dialogue de gestion et j’ai en charge le développement de divers logiciels, deux activités qui semblent hétéroclites mais qui se complètent, l’essentiel des logiciels en projet servent en effet au dialogue de gestion. J’ai deux petites chatonnes de 6 mois que j’adore, Pixel et Delphi, et non ce n’est pas l’une d’elles que l’ont voit sur la photo, elle s’appelait Swiffer (Elle restait cachée sous les meubles étant toute petite et ressortait couverte de poussière) et est décédée subitement en mai 2003 … oui la photo date un peu mais j’ai peu changé je pense. Je tacherai d’ajouter des photos supplémentaires plus tard.
Me décrire ? En gros, 1m68 pour 75 kg, yeux verts, brun. Pour le psychique, voir plus loin.
Mes passions ? Des tas, vous pourrez en comprendre quelques une plus loin aussi
Célibataire ? Et oui ! C’est à la fois un choix et une fatalité, un choix dans le sens où si je voulais me caser pour me caser, je pourrai, une fatalité au sens où je me caserai bien mais je ne trouve pas quelqu’un avec qui je sois réciproquement compatible. Il est vrai que je ne suis pas évident et que ce dont j’ai besoin semble ne pas se trouver en grand nombre sur cette planète. Comme je le dis de temps en temps, je suis un hétérosexuel non pratiquant parfaitement incasable. Mais bon, ce serait tout de même dramatique que je continue ma route tout seul … mais pourtant je me le demande sérieusement … suis-je casable …. ?
Problématique : Suis-je casable ?
Cela peut paraître une interrogation très mode dans ce monde où l’on se met en couple de plus en plus tard au vu d’un contexte socio-économique totalement différent de celui de nos parents. Mais c’est bien plus que cela, cette réflexion dont on sent à l’évidence que ma conviction est que je ne le suis pas, est la recherche d’une solution à un système de deux groupes d’équations : celles qui définissent qui je suis, et celles qui définissent ce dont j’ai besoin. Ces deux groupes d’équations traitant des même thèmes, j’ai préférer les traiter de cette façon.
Intelligence : Je me considère comme particulièrement intelligent, et je sais ce que cette affirmation peut avoir comme mauvais effet vu que notre société s’est parée des vertus les plus hypocrites qui soient (modestie, égalité, normalité), niant naïvement les évidentes différences oubliant que le pilier de la solidarité est justement de les reconnaître et d’en puiser les ressources pour s’entraider. On préfère nier, se moquer même de ceux qui sont différents, les pousser par frustration à du conformisme, à la banalité au lieu d’en puiser les richesses.
J’ai toujours aimé réfléchir, peser les choses et aussi m’y entraîner à le faire de plus en plus efficacement, développer ce que l’on appelle la vivacité d’esprit. Ce sont des capacités que j’ai besoin de ressentir chez autrui, bien sûr nous n’avons pas tous les même capacités et cela dépends aussi du genre d’informations traitées, mais les gens qui refusent la réflexion, pour qui se concentrer un peu est assimilé à un effort pénible, inutile, une « prise de tête » comme ils disent, m’inspirent un profond mépris. La logique, l’intelligence, définisse l’homme et ont permis toutes ses conquêtes dans tous les domaines, c’est renier sa nature, redevenir bestial que de ne pas s’y exercer. Vous aurez donc compris que j’ai besoin d’une fille intelligente et cela implique à l'évidence bien d’autres choses que je détaillerai tout de même par la suite par soucis de clarté.
Culture : Ceux qui en lisant le paragraphe précédent ont conclu qu’il me fallait donc quelqu’un en ait « pleins la tête » font partis de ceux qui n’ont rien compris à ce qu’est l’intelligence et je n’ai pas envie de perdre du temps à le redéfinir … cependant, sur le fond, ils n’ont pas tors, ils se trompent juste de mot. Il me vient à l’esprit une citation qui résume bien mon opinion sur ce thème en fait et que je vais restituer approximativement : Il n’existe pas de gens cultivés, il existe des gens qui se cultivent. J’ai toujours eu soif de savoir. La lecture d’une encyclopédie était un de mes divertissements préférés quand j’étais enfant, peu importe le sujet du volume. Puis j’ai dévoré des tonnes de revues scientifiques ainsi que les manuels d’école. Je crois qu’une des phrases que je haie le plus chez autrui c’est « M’en fou, ça va me servir à rien de savoir ça ». Je hais cette fermeture de l’esprit au monde qui les entoure. Si intelligence et culture sont distinctes, ils vont souvent de paire, l’intelligence conduisant à comprendre l’intérêt réel de la culture, qui ne se limite pas à des considérations pragmatiques. Certes, les domaines culturels sont eux même trop divers pour qu’on puisse se passionner pour tous. Je n’exige pas d’une fille qu’elle se cultive de la même manière que moi mais qu’elle ressente le besoin d’apprendre, il n’est pas nécessaire non plus qu’elle ai les même centres d’intérêt que moi mais lorsqu’on aime quelqu’un, on aime au moins comprendre un peu ses passions, ce qui le fait vibrer est un reflet de son être profond. Sans les faire siennes, on peut bien essayer d’en acquérir quelques notions. De plus, il n’y a rien de plus intéressant, d’enrichissant que l’échange. Pour conclure, il ne m’est donc pas nécessaire chez une fille qu’elle ai un certain bagage de connaissances mais qu’elle ai envie d’apprendre. Quoiqu’en ayant cette envie, il me paraît évident que ça va de paire avec un certain volume de culture, selon son âge.
Humour : Quoique tous ceci ai l’air très sérieux jusque là, j’ai énormément d’humour, rire, dire des choses ayant un aspect comique fait partie de ma nature. Je m’adonne à toutes les formes d’humour, sur tout sujet et avec toutes les approches. J’adhère autant aux vulgarités d’un Bigard, qu’à la finesse d’un Devos ou au cynisme de mauvaise foi d’un Desproges, ce dernier étant il est vrai mon préféré. Il disait très justement qu’on peut rire de tout, qu’on doit rire de tout même des sujets les plus grave telle que la mort qui ne se gène pas, elle, pour se rire de nous et qui atteint dans l’absurde des sommets inaccessibles aux Hommes. Je pratique volontiers l’autodérision, que j’aime énormément retrouver chez une fille. Avant de se permettre de rire d’autrui, il faut savoir bien rire de soit, et lorsqu’on sait le faire avec éclat, c’est que l’on a acquis la maturité pour s’assumer tel qu’on est. On dit souvent que l’humour est ce qui fait craquer les filles et les amène à moitié dans notre lit (et après tout, une moitié nous suffit bien, pourvu que ce soit la moitié utile LOL) mais chez moi, une fille qui sait me surprendre par la finesse de ses jeux de mots, l’acidité de son ironie, la spontanéité et l’emploi à bonne escient de sa répartie saura susciter mon respect et ma sympathie. Et si elle a en plus à son arc quelques bonnes vannes à deux balles, pardon, a 30 cents, alors là je craque lol Manier tout ceci est souvent le reflet d’une intelligence particulièrement vive et de références culturelles diverses.
Religion : Je suis avant tout un humaniste, un démocrate, un républicain (au sens institutionnel) et un athée convaincu et militant. Fervent défenseur des droits de l’homme, j’en ai d’ailleurs fait mon métier à ma façon, je serai le premier à exiger que quiconque soit libre de sa religion, qu’on ne puisse empêcher les gens de pratiquer leur culte, dans le respect des lois. Je suis pour la liberté de religion ce qui ne m’empêche pas de les combattre par le fond. En effet, je désire convaincre et non contraindre. Il me paraît aberrant que dans le monde où nous vivons, l’on puisse encore croire aux religions actuellement en place et qui ont tant de pouvoirs, par exemple ces religions qui prônent tantôt la tolérance tout en restant résolument monothéiste ce qui signifie bien qu’elle condamne à l’enfer ceux qui n’y adhère pas. Si l’on se place du point de vu des catholiques, avant que le catholicisme n’apparaisse, peut-on croire que les hommes, que le reste de la planète ensuite, allait tout droit aux enfers ? Peut-on encore croire en Adam et Eve face à Darwin ? Je sais, certain prêtre « moderne » n’hésite pas à avouer que cela n’est évidemment plus crédible mais que c’était une image, un symbole pour adhérer à des valeurs. Ils oublient qu’autrefois tout ceci était pour le peuple la vérité sur leurs origines, des mensonges qui leur assuraient un contrôle absolu. Toute ces valeurs qui font maintenant la vitrine de la religion, et qui par le passé ont été prétexte aux pires crimes, je refuse des les acquérir au nom d’un dieu, au nom d’une tradition, je préfère y adhérer par ma conviction, en intégrant leur origine véritable, leur but. Le prétexte de culte ou de tradition pour transmettre des valeurs à ceci de dangereux qu’elles en perdent leur pertinence noyée dans une obligation et non une adhésion, et il est alors facile de faire de ceci un moyen de contrôle, d’exploitation tel que cela perdure encore de nos jours, en Israël ou ailleurs. Tout ce que la religion catholique à toujours promis, elle ne l’a jamais donné, l’histoire de France en est un exemple. Le clergé s’y est enrichi, à justifier par la monarchie de droit divin toute la servitude du peuple à son souverain dont les caprices étaient lois. Les libertés fondamentales, la justice, les droits, c’est bien la république et la démocratie qui l'a donné aux Hommes, aux prix du sang, des révoltes et de bien des efforts au cours des 3 derniers siècles. Je ne conteste pas que l’on trouva parmi les plus modestes membres du clergé des pro-révolutionnaires, mais ceux-ci sont minoritaires et faisaient partie des rares à croire sincèrement aux valeurs qui les avaient séduits dans la religion. D’ailleurs, la fonction principale d’une religion est de répondre aux interrogations naturelles suivantes : ce que nous sommes, notre origine, notre but, et surtout ce qu’il y a au delà de la vie et c’est ce qui suscite au final le plus de peur et d’intérêt. Ses réponses, quelque que soit la religion, sont souvent manipulatrices, surtout en ce qui concerne le but de la vie : il s’agit trop souvent de servir une cause discutable, en général de multiplier les fidèles et de conquérir le monde, sorte de bonheur collectif au mépris des désirs naturels individuels acculés au rang de péchés, refoulés. Afin d’affermir le contrôle sur ses populations, les religions dépassent alors le cadre d’apporter des réponses, elle se met à régir toute leur vie, tous les aspects, et se dote d’une hiérarchie, d’une organisation qui dénature pleinement ce que les Hommes attendait d’elle. La religion ne sert plus à rassurer les hommes, à répondre, les Hommes deviennent les serviteurs de leur religion. Bref, j’ai déjà pas mal étalé ce que j’en pense, et je pourrais apporter encore bien des idées, des arguments sur le thème. J’ai du mal à concevoir l’adhésion à une quelconque religion compatible avec l’intelligence, nous avons un regard suffisamment large sur notre planète et son passé pour mesurer toute l’absurdité des religions. Ceux qui s’abrite derrière la tradition et leur éducation pour malgré tout ça continuer à se marier dans des églises (ou autres lieux) se voilent volontairement la face par complaisance avec leur famille. Je suis incapable de ça et je le qualifie d’hypocrisie vis-à-vis des autres et de soit même, se mentir ainsi pour arrondir les angles c’est manquer de dignité et de courage. Bref, sur ce point là, je me suis trop étalé déjà, mais vous avez compris que je ne pourrai difficilement tolérer une vrai croyante à mes cotés et encore moins me compromettre en participant au moindre cérémoniale religieux.
Citoyenneté : Comme vous l’aurez compris à travers le thème précédent, c’est ce que l’on pourrait considérer comme ma religion. Mais attention, cela à de grandes différences, la religion est une dictature, la citoyenneté est issu de choix et de la démocratie le tout dans le cadre des droits de l’Homme, des lois qui protègent autant la société que la liberté individuelle. Elle ne nie pas l’individu, elle construit une société aux services des individus. Attention, il ne faut pas confondre mon attachement à la citoyenneté avec une forme de patriotisme qui conduit des peuples à asservir d’autres peuples, je me sens avant tout citoyen du monde. J’ai déjà vanté précédemment ce que ces notions ont apporté à l’humanité, je ne vais pas y revenir. Pour moi, on ne peut vivre pleinement ses responsabilités d’adulte sans s’intéresser un minimum à la vie politique locale, nationale, européenne et mondiale. Lire un journal ne consiste pas à lire les faits divers, les petites annonces et les chiens écrasés. Les informations qui nous concernent vraiment sont d’ordre politique, social, économique et à toutes leurs échelles. On peut se sentir loin de tout ça mais nous avons cependant au minimum le droit et le devoir de vote. Ce n’est pas un geste anodin, notre petite voix est tout aussi capitale que l’ensemble des autres. Souvenez-vous de la dernière présidentielle française où tant de gens ont renoncé à ce droit et tant d’autres, avec des intentions inconscientes pour certains, et parfaitement conscientes pour d’autres, ont permis un véritable échec de la démocratie. Il me semble qu’en tant que citoyen Français, nous devons avoir conscience que notre vote n’est pas innocent par rapport au sort de la planète, les américains ne sont pas les maîtres du monde. L’Europe, et la France en particulier, sont une alternative, un contrepoids nécessaire à l’équilibre mondial. Nous avons une des puissances militaires les plus importantes au monde, en particulier notre puissance de frappe nucléaire est considérable, nous pouvons frapper la planète où et quand nous le désirons et en toute impunité. (Pour les pacifistes idéalistes qui rêvent d’un monde sans arme, je suis prêt à en débattre, j’ai matière à discuter. Je tiens à préciser que je suis aussi un pacifiste tout en étant militaire … d’une nation protectrice des droits de l’homme). Par notre vote, citoyens français, nous ne pouvons être égoïste, quand je vote pour un président, avant de penser à la politique intérieur, je me pose une question essentielle : auxquels de ces candidats je consens à confier ces armes là, lesquels sauront utiliser notre nation dans le bon sens de la paix mondiale et de nos responsabilités internationales. Cela limite ensuite le choix, les considérations à prendre en compte ensuite me paraissent plus d’ordre personnel. Au final, toujours lié à l’intelligence, j’ai besoin de quelqu’un qui sache cela aussi. Peu importe si dans le détail, des divergences puissent apparaître, et tant mieux d’ailleurs ce serait d’un ennui sinon, la conscience des enjeux que j’ai évoqué avant me parait primordial, porter un intérêt à tout cela est fondemental, peu importe les choix, tant qu’ils sont démocratiques, qui en découlent.
Intégrité : C’est une des valeurs qui me défini le mieux. Je ne la prends pas qu'au sens légal du terme mais aussi et surtout au sens ou je suis entier dans mes choix, mes convictions. Cela ne veut pas dire que je ne connaisse aucun compromis, cela veut dire qu’en aucune façon je ne participerais à une action contraire à ce que je pense, que je refuserais la compagnie de gens qui m’inspirent mépris même pour faire plaisir à d’autres ou obtenir quelque chose. Tout cela c’est pour moi se compromettre, se nier, renoncer à sa dignité et je ne mériterais plus mon propre respect. Cette intégrité, pour parler à nouveau de religion car c’est vis-à-vis de ça que ça s’illustre le mieux je trouve, me pousse à refuser tout compromis de mariage à l’église, même si je suis fou amoureux. On dit qu’on peut tout faire par amour et je suis d’accord, à condition que cela nous paraisse nécessaire. Or je ne suis pas croyant, vous le savez déjà, mais je suis tout de même respectueux d’autrui, je cherche à convaincre rationnellement de renoncer à ce que je considère comme des foutaises, mais je ne blesserais sûrement pas les gens dans leur croyance, je sais que c’est aussi fort pour eux que de violer leur pudeur. Aussi, me retrouver à faire le guignol, à participer à ce que sera de mon point de vue une mascarade, à ne mettre aucune conviction dans ce que j’y dis ou fait, c’est une totale hypocrisie, un manque de respect envers tout ceux pour qui cela à un sens profond, et c’est d’autant plus grave pour moi que cela a de l’importance pour mon hypothétique épouse, c’est une véritable insulte, une trahison, comment peut-on soit disant faire ça par amour ? Je ne le conçois pas, c’est tout le contraire d’aimer que de se soumettre par complaisance. Je pourrais ajouter d’autres exemples mais celui là me parait assez fort.
Conclusion au 8/04/2005 :
Si tu penses pouvoir t’accommoder de tout ceci et que tu penses aussi pouvoir me correspondre malgré toutes ces exigences … c’est un bon début, je n’ai pas encore tout mis ! Sinon je ne serais pas le parfaitement incasable que je revendique être voyons ! Je vais surement rajouter des thèmes un de ces jours prochains. Si toutefois tu ne corresponds pas vraiment (voir pas du tout) à tout cela … ce n’est pas grave, on peut être amis, je suis bien moins exigeant en amitié qu’en amour, et j’ai d’ailleurs surtout des amies plutôt que des amis.
Et enfin, si après avoir lu tout ou une partie de ça, je t’agace, t’énerve, te heurte ou si tout simplement je t’intrigue ou suscite ta curiosité, et bien viens donc en parler en privé, je suis ouvert au débat, je me délecte de débattre même, c’est ce qui va de paire avec l’intelligence et mon goût pour la réflexion : confronter son intelligence avec une autre, c’est d’ailleurs pour moi une condition indispensable de l’amour, ressentir par le dialogue et même le débat, l’intelligence, l’existence, le moi profond d’une autre entité pensante.
Je serai donc heureux de parler de ça ou autre s’il ne s’agit pas d’un étalage d’affirmations non argumentées, je veux de l’objectivité, des démonstrations, de la logique, du jus de cerveau sans quoi je n’hésiterai pas à laisser votre discours dans les égouts de mon indifférence.
A tout de suite alors !
PS : N'hésitez pas à me faire part des fautes d'orthographes que vous auriez remarquées, et pardonnez moi d'avance mon indigence en la matière, comme quoi, je ne suis pas parfait !
(Orthographe et quelques corrections de style du 13/08/2005)
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