kyste Tu veux le rencontrer ? Tchat avec lui !

Description

"Je suis mort, et alors?
La vie continue."


______ Alarius _______



Dit le Zombie, le Cadavre Animé...

Force: Relativement bourrine.
Constitution: Très bourrine. Un mort, c'est coriace.
Intelligence: Commune, mais une forte aptitude aux vannes cassantes et aux mauvaises blagues.
Dextérité: Aiguisée pour le jeu de carte, le lancé de verres, de poêles et de tabourets.
Sagesse: Moyenne, moyenne.
Charisme: Au ras des pâquerettes. L'oeil vitreux, les vêtements rarement choisis, le phrasé pas très délicat...

Arme: Poële, Gourdin, Tabouret, Choppe.
Compétences: Cuisine, Lancé, Athlétisme (Spécialisé dans le "Courir après celui qui vous doit de l'argent") Estimation (Troc en tous genres)


Notes: Oui, il est mort. Il ne respire pas, il n'a pas besoin de manger, mais pour autant, il ne se sent pas obligé de baver, de dire "Gweuuuuh" ou de marcher à deux à l'heure. Merci d'en tenir compte.


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Petite histoire au coin du feu...

"Tu vois, Pauline, parfois les marins en ont marre de la mer. C'est pas forcément vrai, ce qu'on dit; la mer est une amante merveilleuse, tout ça. Non, c'est une chienne comme beaucoup de femmes. Bon, pas toutes. "

Air songeur.

"Non, je pensais pas à l'herboriste. Tais-toi Paul', sinon je t'envoie faire la vaisselle. Bon. Pourquoi quitter la mer? C'est vrai. On est passionné. Quand on est passionnés, on fait des conneries. Et des grosses.
Comme? Tu vois ces histoires de malédiction?

Arrête de ricaner. C'est vrai.

Arrête.

T'as vu ma gueule?

Bon, je vois que ça commence à rentrer. Tu sais, quand on m'a tué pour ce que j'avais fait et que je me suis réveillé, j'étais rudement content. Vraiment content. Quand j'ai remarqué que j'étais toujours mort, je l'étais moins.
J'ai quitté la mer, j'ai quitté mes femmes, j'ai quitté mes enfants. J'avais peur que ça revienne à eux. Parce que j'avais planqué le trésor, et que je l'avais toujours, et que la cupidité... Ben, je voyais bien ce que c'était. Je l'étais, cupide.
Et j'me suis caché. Longtemps, jusqu'à ce que mon corps tombe en poussière. J'étais un spectre à un moment mais un de ces mages à la [Contrôle éditorial] m'a rendu un autre corps. Et comme j'ai rendu deux trois services et que j'en devais, j'essaye de l'entretenir. C'est pas si mal de vivre, même quand on fait semblant.

Eh, Pauline, tu dors? Sale gosse va. Je t'adore."

Pas si simple que ça. Mais au moins, ça, on peut le raconter aux enfants.