Prénom: Eyzaathes
Race: Humaine
Rang: Aucun
Classe: Roublard
Alignement: Chaotique Neutre
Force 17, Dextérité 18, Constitution 16, Intelligence 20, Sagesse 15, Charisme 20
Armure portée: Aucune
Compétences:
Acrobaties, Artisanat (des armes), Connaissance (folklore local), Contrefaçon,
Crochetage, Déguisement, Désamorçage/Sabotage, Détection, Discrétion,
Escalade, Escamotage, Estimation, Évasion, Feinte, Fouille, Maîtrise des cordes, Natation,
Perception auditive, Persuasion (bluff), Profession, Psychologie, Saut.
(Point:8)
Dons de Classe:
.Attaque handicapante; Attaque sournoise; Sens des pièges; Esquive totale; Esquive instinctive; Esquive instinctive .
Dons Additionnels:
Attaque en finesse: . Esquive: chaque round, Expertise du combat: Talent: bonus de 3
Objets Magiques:
anneau de protection 2. Médaillon de Saut; Anneau d'invisibilité ; Cape de non détection.
Armure: Légère (Vêtements).
Armements:
2 dagues
Fronde 1
Épée courte
Arbalète de poing 1.
~~Histoire~~:
Le Soleil commençait déjà à décliner à l'horizon lorsque le petit groupe sortait de leur cachette pour observer les habitants de la Petite Ville de Lae rentrer chez eux à grands pas. La Nuit n'avait pas encore envahi les lieux, mais le couvre feu avait été mis rapidement en place pour "la sécurité de la population"...Mais contre quoi? Sûrement contre "eux"! Ils se tenaient pour le moment en hauteur sur l'une des plaines qui entouraient la Cité Marchande et écoutaient la rumeur des voix et des pas nerveux s'atténuer de minutes en minutes pour laisser place à la marche lourde et pesante des Soldats de la ville...A cette vue, un grognement se fait entendre et le reste du groupe se tourne vers celui qui avait émis ce "bruit" animal...Le bruit provenait de la seule femme appartenant au groupe, composé d'hommes belliqueux mais surtout rusés ce qui ne semblait pas déranger cette femme qui ignorait royalement les regards de ses compagnons...Une étrange présence parmi eux, ils leur arrivaient souvent de se demander si les Dieux ne s'étaient pas trompés en faisant d'elle une femme? Car son caractère, sa force, son comportement n'étaient pas ceux d'une femme raffinée et sensible oh non, loin de là! Elle était hargneuse, belliqueuse, têtue,rancunière, familière et peu amène quand à son apparence. En effet, bien qu'elle soit une "belle femme" n'imaginez pas qu'elle se maquille, se coiffe ou autre...Loin de là! la Jeune femme faisait partie de cette variété de femme brune qui réalisaient un idéal dont les conditions semblaient se contrarier: c'est à dire une peau d'une blancheur éblouissante à rendre jaune le lait, la neige, le lis,
et tout ce qui servait aux poètes à faire des comparaisons blanches; des lèvres de cerise, et des cheveux aussi noirs que la nuit sur des ailes de corbeau. L'effet de cette opposition était irrésistible et produisait une beauté à part dont on ne serait trouver l'équivalent ailleurs. Car elle offrait assurément le type le plus parfait de ce genre de beauté. Le rond harmonieux de sa tête, son teint d'une incomparable pureté, son nez fin, mince transparent, ses yeux d'un ambre étincelant frangés de longs cils qui palpitaient sur ses joues comme des papillons noirs lorsqu'elle abaissait ses paupières, ses lèvres colorées d'un rosé éclatant, ses cheveux tombant en volutes brillantes mais désordonnés et peu soignés de chaque côté de ses joues, ses épaules jusqu'à ses reins et bien qu'agenouillée derrière une pierre on pouvait habilement deviner qu'elle était grande et svelte mais sans pour autant être frêle car sa force a développé sa constitution féminine pour en faire une de ces "amazones" fougueuses et sans peur. Ce tableau aux yeux de ces hommes pourrait paraître magnifique si , son accoutrement d'homme ,c'est à dire une grossière tunique en lin noir serrée par une ceinture en cuir où étaient accrochés ses armes ainsi qu'un pantalon de la même couleur et une lourde cape verte , ne lui conférait pas un air inaccessible aux sentiments et peu amène à la séduction, sûrement est-ce ainsi qu'elle se faisait respecter par cette meute de Loups ? Voilà que le Soleil avait enfin disparu à l'horizon, laissant place à un ciel sans Lune et sans étoiles...Un dernier regard à la ville et plus particulièrement à la bâtisse qui la surplombait, un sourire éclaira les faces de ces Roublards qui silencieusement, se dirigèrent vers un sentier impraticable et étroit qui menait directement vers ce qui pourrait sembler être un Palais...Ce soir encore, la colère grondera sur ces Terres.
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~l-.0phelia.-l~~~~~~~~~~~~~~~~
Prénom: Ophelia
Race: Humaine
Rang:Danseuse
Classe: Assassin
Alignement: Chaotique Neutre
Force 19, Dextérité 18, Constitution 17, Intelligence 20, Sagesse 15, Charisme 22
Armure portée: Légère (Vêtements)
Compétences
Acrobatie, Artisanat (des armes), Artisanat (alchimie), Connaissance (poison),
Contrefaçon, Crochetage, Déguisement, Désamorçage/Sabotage,
Détection, Discrétion, Escalade, Escamotage, Évasion, Feinte, Fouille,
Maîtrise des cordes, Natation, Perception auditive, Psychologie, Saut.
Dons de Classe:
Attaque sournoise;Coup morte; Utilisation du poison; Esquive instinctive; Esquive instinctive ;Esquive des pièges.
Armements:
4 dagues
2 cimeterres.
~~Histoire~~:
Le Désert Nocturne semblait d'un calme déconcertant mais de temps à autre le murmure d'une brise glacée interrompait le Cours de la Vie des Dunes Ensablées; éclairées par une Lune Ronde et des Étoiles étincelantes ,guides des Guerriers du Désert qui en ce jour s'arrêtèrent en une Oasis afin d'y désaltérer les montures et de s'y rafraîchir après une longue route éprouvante, sous les rayons d'un Astre peu clément. Une immense tente , avait été montée pour la nuit, elle était recouverte de riches tapis et l'intérieur ne manquait pas de richesse. Il semblait clair, que ces Hommes voulaient étaler leur richesse aux yeux des Cieux pour les remercier de leur protection et de leur Soutien dans leur quête du Pouvoir.
En cette soirée, une fête avait été organisée, en quel honneur? Sûrement pour une Victoire car les montures bien que calmes étaient encore couvertes de tâches de sangs et de poussières, et les cavaliers? Ils étaient d'une humeur fière et belliqueuse mais pourtant ils n'étaient pas là pour chercher querelle...En cette occasion -comme précisé précédemment- d'immenses tapis jonchaient le sol sablonneux du désert et formaient un cercle où étincelait un feu immense, symbole de leur Victoire.
Les Guerriers à demis-allongés sur les tapis, une coupe de vin à la main regardaient avec envie une Danseuse...Et quelle femme ! Voluptueuse, Belle...D'un type Orientale incomparable si nous devions la décrire nous dirions que c'était une jeune femme dont peau faisait penser à cette couleur cuivrée des statues Grecques. D'une beauté parfaite et rappelant le type orientale le plus pur; elle avait des yeux taillés en amande, dont les prunelles cyans transperçaient le c%u0153ur le plus dur, des sourcils tellement noirs qu'il paraissaient bleu, son nez était d'une coupe délicate presque grecque pour la finesse et, l'on aurait pu la prendre pour une statue de bronze Corinthienne, si l'épanouissement un peu africain de la bouche n'eussent fait reconnaître, à n'en pas douter, la race hiéroglyphique des bords du Nil. Ses bras minces étaient cerclés de lourds bracelets identiques à ceux qui emprisonnaient ses chevilles; une plaque d'or scintillait à son front et quelques traces de fard perçaient sous les teintes fauves de ses joues.
Quand à son costume, il consistait tout d'abord en un long voilage qui dissimulait une partie de son visage et de son corps mais lors de la danse, le voile virevoltait et laissait apparaître un corps souple aux courbes harmonieuses, sa poitrine était enserré dans court bustier fait d'or, tout comme "la jupe" qui ne lui arrivait qu'à mi-cuisses, laissant le reste découvert et offert aux regards enflammés de ces hommes qui ne cessaient de fixer avidement cette "Sirène" qui ondulait face à eux et dont les bras arrondis s'alliaient avec l'air tout comme les doigts caressaient l'atmosphère vibrante de désir.
Puis soudain, la flamme au centre s'agrandit et sembla happer la Danseuse sous les regards horrifiés des guerriers qui se levèrent pour porter secours à l'Orientale... qui avait disparu. Mais soudain, un cri perçant suivit d'un gargouillis se firent entendre derrière eux...L'un des compagnons était mort...égorgé.
Un cri de rage suivit cette découverte, tous comprirent qui était l'Assassin mais, elle était déjà loin...assise sur le dos d'une monture suivit de toute une troupe, elle retira le voile et laissa ses longs cheveux noirs flotter dans l'air derrière elle comme un Esprit malveillant et pourtant séducteur.
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Prenom: Merediana
Race: Humaine
Rang: Aucun
Classe: Aucune.
Alignement: Loyal Bon.
Histoire:
Sombre Forêt Nocturne...Même les animaux ne semblent plus vouloir s'y aventurer par peur, et pourtant...Oui pourtant, sous les épais feuillages qui ne laissaient aucun rayon de l'Astre Nocturne se rependre sur ces lieux, on pouvait entendre une voix...Une voix féminine, douce, cristalline, une voix qui chantait, une berceuse semble-t-il...
Assise sur la vieille souche d'un arbre, une charmante créature berçait quelque chose...ou quelqu'un...Elle était jolie sans pour autant être d'une beauté éclatante. La charmante créature, se détachait sur le fond d'ombres que créait cette forêt vivante mais...Maudite. Elle ressemblait à une apparition angélique et semblait éclairée d'elle même et donner le jour plutôt que le recevoir...Bien qu'il faisait nuit, elle était étincelante des couleurs du prisme, et dans une pénombre blanchâtre comme lorsqu'on regarde la Lune. Vierge d'Albâtre, elle était la Galatée abandonnée des Dieux...Une Madone perdue dans un enfer ténébreux. Elle était assez grande, avec une taille et un port de Princesse, ses cheveux d'un roux flamboyant coulaient jusqu'aux creux de son dos et dissimulaient une partie de son visage. On aurait dit une Vierge orné un diadème tant son front d'une blancheur tendre et innocente, s'étendait large et serein sur les arcs de deux cils légèrement arqués, singularité qui ajoutait encore à l'effet de prunelles verts de mer d'une vivacité et d'un éclat insoutenable...Le regard d'un démon et d'un ange semblaient avoir pris possession de ses prunelles...Et quand à ses lèvres, ils étaient d'un doux rosées qui exprimaient dans ses sourires l'Innocence et la pureté de sa personne. Elle était le Lys de la Vierge...ainsi vêtue d'une robe blanche et légère à fine bretelles qui découvraient ses fins bras tournés en fuseaux, comme ceux des douces jeunes filles, arrondis à ce moment là comme si elle portait un doux fardeau...Elle était un Ange ainsi, penchée sur quelque chose qui évoquait la tendresse...Elle était loin de représenter la femme voluptueuse et désirable, non...Mais elle était loin d'être Saine d'Esprit car son regard insoutenable évoquait la Folie, maîtresse des c%u0153urs Vulnérables. Elle était son esclave et ne semblait pas en être dérangée, isolée elle chantait une comptine à ce qui semblait être...Le Vide.
~~~~~~~~~~~~Tindomerel-arressel.eldarin~~~~~~~~~~~~~~
~~L'Ancienne Gondolin~~: Gondolin sur l'Amon Gwareth devint une ville d'une beauté digne d'être comparée avec la cité des Elfes, Tirion d'au-delà des mers. Hautes et blanches étaient ses murailles, et ses marches de marbre, haute et puissante était la tour du Roi.
Il y avait le jeu étincelant des fontaines et dans le palais de Turgon se dressaient des images des Arbres d'autrefois,taillées par le roi lui-même avec le talent des Elfes. L'arbre qu'il sculpta dans l'or fut nommé Glingal, celui dont les fleurs étaient d'argent fut nomme Belthil.
Le Gondolin était le second Royaume caché et ce Royaume inquiètait Morgoth qui envoya ses espions à Beleriand.
Hurin qui fut capturé mais il tint bon malheureusement lorsqu'il fut libérée, il fut tout de même suivit par Morgoth qui découvrit alors l'emplacement du Gondolin mais, Tuor avait prévenu le Roi du danger que courait sa Citée et celui-ci bloqua l'entrée. Mais Maeglin fut à son tour capturé et torturé et il avoua lui aussi l'entrée secrète du Royaume mais en échange il demanda la main d'Idril.
Morgoth enfin, attaqua le Royaume avec son armée et le Beleriand fut englouti. Seuls, Idril et sa famille réussirent à sortir du Royaume.
~~Tindomerel~~: "La Jeune fille du Crépuscule" Elle était la fille de Fingolfin et la soeur de Turgon Roi du Gondolin. Elle grandie dans la Cité et vit , sa Cité attaquée par Morgoth mais elle parvint à s'enfuir avec sa nièce Idril, son chemin se sépara de celle-ci à Nan-Tathren. Elle voyagea longuement, le coeur lourd de la Chute du Gondolin mais le hasard voulu qu'elle rencontra sa soeur Aredhel à Nan-Elmoth, elle fit part de son souhait de reconstruire la Cité du Gondolin à l'identique et c'est ce qu'elles firent. La Cité fut d'une grande Beauté bien qu'elle ne put être comparée à l'Ancienne.
Tindomerel était belle, comme un arbre en fleur, parfois comme un bois-gentil, mince et menu. Dure comme le diamant, douce comme le clair de lune. Chaude Comme le soleil, froide comme la gelée sous les étoiles. Fière est distante comme la montagne neigeuse, et aussi joyeuse que toutes les jeunes filles. Son c%u0153ur pur et généreux n'a jamais connu les tourments de l'amour.
Elle était grande et bien faite, elle avait un port Royal, ses cheveux bruns scintillaient d'étoiles d'argent qui illuminaient son doux visage aux traits elfiques et mettait en valeur ses yeux clairs; si sages.
Son père lui a offert, enfant, une épée forgée par les Elfes dont le nom est Naira "Coeur de flamme".
Sa jument a pour nom Nieninque "Larme Blanche" Fière et fougueuse tout comme sa cavalière, sa robe de couleur blanche et la crinière est d'argent et flottaient avec fierté sous le vent lors des grandes chevauchés de Tindomerel.
Alignement: Loyal bon.
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