~*~ La Maison Aveugle ~*~
Pâle comme le rayon de lune sur l'eau, la bâtisse majestueuse et colossale étend ses murs de pierres blanches, triomphante, dominatrice mais rassurante telle une mère aimante. Ses grandes fenêtres rectangulaires surplombées d'un arc brisé semblent être des paires d'yeux voilés, refermés sur le monde extérieur, effet donné par de lourdes tentures de velours d'une miriade de couleur selon la façade présentée. L'entrée se présente d'une courbette élégante par delà les escaliers larges de pierre bleue. Doubles portes d'un paradis terrestre ouvertes au public diurne et nocturne. Dans le hall d'entrée, l'intendante vous attend le sourire aux lèvres, prête à vous mener au salon, petite adolescente à la peau ambrée, typée indienne. Elle vous mène gentiment jusqu'au salon où des courtisans prendront le relais. Ils vous montrent les sièges individuels ou les canapés ainsi que les petites tables vous permettant de déposer vos affaires. Votre regard pourra glisser sur la petite scène, la piste de danse pour les désireux et sur votre droite, le bar avec son comptoir en ébène, ses tabourets stylisés et évidemment le Barman à la bonne bouille, assez jeune et enjoué. Quand aux chambres... il vous faudra en prendre une pour découvrir le reste de l'établissement, seul ou...accompagné... Que votre séjour parmis nous vous soit doux et si vous désirez manger, n'hésitez pas. Les tarifs restent abordables malgré le luxe extravaguant de la Maison Aveugle.
- l-lospodar - Aeleth -
Allez venez! Milord
Vous asseoir à ma table
Il fait si froid dehors
Ici, c'est confortable
Laissez-vous faire, Milord
Et prenez bien vos aises
Vos peines sur mon coeur
Et vos pieds sur une chaise
Je vous connais, Milord
Vous ne m'avez jamais vu
Je ne suis qu'un fils du port
Une ombre de la rue...
Pourtant, je vous ai frôlé
Quand vous passiez hier
Vous n'étiez pas peu fier
Dame! le ciel vous comblait
Votre foulard de soie
Flottant sur vos épaules
Vous aviez le beau rôle
On aurait dit le roi
Vous marchiez en vainqueur
Au bras d'une demoiselle
Mon Dieu! qu'elle était belle
J'en ai froid dans le coeur...
Allez venez! Milord
Vous asseoir à ma table
Il fait si froid dehors
Ici, c'est confortable
Laissez-vous faire, Milord
Et prenez bien vos aises
Vos peines sur mon coeur
Et vos pieds sur une chaise
Je vous connais, Milord
Vous ne m'avez jamais vu
Je ne suis qu'une fils du port
Une ombre de la rue...
Dire qu'il suffit parfois
Qu'il y ait un navire
Pour que tout se déchire
Quand le navire s'en va
Il emmenait avec lui
La douce aux yeux si tendres
Qui n'a pas su comprendre
Qu'elle brisait votre vie
L'amour, ça fait pleurer
Comme quoi l'existence
Ça vous donne toutes les chances
Pour les reprendre après...
Allez venez! Milord
Vous avez l'air d'un môme
Laissez-vous faire, Milord
Venez dans mon royaume
Je soigne les remords
Je chante la romance
Je chante les milords
Qui n'ont pas eu de chance
Regardez-moi, Milord
Vous ne m'avez jamais vu...
Mais vous pleurez, Milord
Ça, j' l'aurais jamais cru.
- l2abisu.-.eyes - Barbara
Deux prunelles d'une teinte violine pailleté d'or, des boucles brunes mais sa chevelure semble dérisoire tant son regard est étrange, intriguant... l'on pourrait presque croire qu'il est céleste tant il paraît surnaturel, irréel, d'une beauté divine et peu dans la norme. Une fois les paupières closes, elle redevient une jolie jeune fille à la taille fine, les hanches larges mais désirable, une vraie poupée de chair avec sa petite bouche teinte de rouge carmin.
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