l3eatrix Tu veux la rencontrer ? Tchat avec elle !

Apparence physique

Pour en savoir plus

Description

[Hi ! Je ne suis ici que pour du Jeu de Rôle, donc je n'accepte pas les cams et autres skypes (coquins ou pas d'ailleurs).

Si vous souhaitez jouer avec moi, venez me parler en privé, je ne répondrai pas sur le chat principal.

Je joue plutôt du Med-Fan, mais si vous avez d'autres idées, n'hésitez pas à proposer (je n'ai pas dit que je dirais oui à tout).

J'apprécie quand il n'y pas quatre fautes par mots, c'est un chat donc l'écriture compte un minimum pour moi, même si je suis loin d'être une grammar nazie. Mais sachez le, j'aime quand c'est bien écrit.

Et même si j'ai pas l'air comme ça, je suis plutôt sympa !]

Histoire de Ludwig Georgson, Seigneur de la Montagne Noire.

Ludwig était un guerrier il avait avait eu milles vies, milles heures de réjouissance et milles heures de tristesse.
Cette fois il était dans une vallée de larmes, sa vie n'était qu'un long chemin empli de haine et de batailles incessantes, jamais il n'avait eu de joie.
Il fredonnait une vieille chanson apprise dans ses terres du nord, bien avant qu'il ne quitte son clan, son peuple. Il regardait droit devant lui poussant son cheval à avancer dans la neige, près de la Montagne Noire. Lorsqu'il entendit un cri, court, plaintif et des bruits de fracas.
Il talonna son cheval avec le sentiment profond qu'il devait se dépêcher. Ludwig descendit de son cheval, et mis pied à terre dans le neige sortant sa fidèle lame, sans attendre … le silence régnait. Il tendit l'oreille, et soudain des vagissements lui montèrent aux oreilles.

Il se précipite, saute, laissant son cheval en arrière sans aucun remord, ce n'était pas dans ses habitudes de courir au devant des ennuies, les batailles étaient bien assez suffisantes pour ne pas vouloir se battre en plus.

Lorsqu'il déboucha sur la clairière hors d’haleine, ses yeux s’écarquillèrent et pour la première fois de sa vie, il hurla.

Histoire d'Iris Aux Yeux d'Or
« Ses yeux sont d'or, ils sont comme le plus pur des métaux. » Chantaient souvent les trobards depuis sa plus tendre enfance. Elle avait l'habitude de les écouter, étendue, sur des coussins de velours, entourée de milles parfums plus doux et raffinés les uns que les autres. Dans la palais de la Montagne Noire, la vie était douce et les hommes heureux. Elle avait vécu milles vies, de bonheur et d'insouciance, milles vies d'amour et de soupirants flattant sa beauté, elle avait vécu sans se rendre compte que le temps passait entourée qu'elle était d'une famille unie et heureuse. C'était avant les guerres de successions, et son époux s'était retrouvé impliqué, sans qu'elle n'en eut conscience, sans que personne n'ait pu comprendre.

Lorsque Harald aux Mains Bleues était entré dans le palais fortifiée, c'était sous le serment de la Paix, avec des intentions non belliqueuses. Mais le piège s'était rapidement refermé sur eux tous et les mains bleues furent tachées de rouge.

Les hommes furent bien souvent liquidé sur place, et les femmes traînées au dehors. Iris se souvint des yeux de son époux la mirant tandis qu'on lui tranchait la gorge. La tradition voulait qu'on emporte pas d'armes dans la forteresse de la Montagne Noire. Harald avait trahit la Paix.

Elle se souvint de la clairière de ses pieds gelées des longues croix levée, les gens qu'on hissait, des reins qui étaient brisés à coup de bâtons, et d'un homme qui hurle. De longs cheveux blong, une tunique d'un vert sombre, et soudain … Il se lance parmi eux, seul … seul ?

Il ne l'est rien qu'un instant, tandis qu'une compagnie le suis, et sauve ce qui reste à sauver... la nuit glace Iris jusqu'au cœur lorsque le jeune homme aux yeux de pierre la regarde.

Histoire de Béatrix
Béatrix aimait raconter l'Histoire de Ludwig et d'Iris dans les nombreuses tavernes et auberges qu'elle rencontrait sur son chemin. Elle remis en place son luth au grand manche sur son dos avec nervosité, elle n'aimait pas voyager seule, mais son choix avait été fait depuis longtemps.

Depuis qu'elle avait quitté la forteresse de la Montagne Noire après que son père l'avait voulu marier avec un nobliau sans envergure, elle cheminait son luth et sa flûte, ses balles se jonglage dans les fontes de sa selles et son médaillon en forme de chêne au creux des seins. Jamais elle n'oublierait que sa mère qui avait offert couvrant sa fuite désespérée.

La ballade d'Iris et Ludwig avait toujours un grand succès, et chacun pouvait admirer la jeune ménestrel verser une larmes lorsqu'ils s'épousaient sous un grand chêne, après tout c'était toujours comme cela que son père avait raconté sa rencontre avec sa mère.