Sous la voûte, des âmes sensibles. Le feu de la cheminée a pris soin de noircir des lambeaux de mur bien accrochés, seuls rescapés de l’ancienne demeure autrefois habitée. C’était un autre temps, un morceau de vie dans une tranche de siècle.
Les rires se sont évanouis, mais si l’on tend l’oreille, si le cœur sait parler aux murs, on peut entendre des ruissellements de voix, percevoir des visages, sentir l’odeur du bouillon et du pain qui se laisse cuire, doucement, sans se presser.
Sous la voûte, des âmes incandescentes. De la vie…à nouveau.
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