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A propos de lndigatio

Lndigatio , 114 ans , Homme
Etait en ligne il y a plusieurs jours

Apparence physique

Taille 1m88
Cheveux Noirs
Yeux Noirs

Description

"Pour ceux qui, comme moi, sont d'autant plus conscients de sa course et de ses errances, il est à la fois bien plus facile - bien, qu'au final, le coût de cet aveux rende la tâche terriblement ardue - d'affirmer la présence de cet éternel recommencement."

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Le bec de l'aigle au milieu du visage : seule aspérité dans ce qui semble avoir été lissé, lissé et lissé encore. Un masque de paraffine, où chaque mouvement - sourire - semble être le fruit d'un marionnettiste caché : un véritable automate de cire.
Pourtant il est doux, l'artifice semble prendre et on se laisse berner par pur plaisir. Les paroles sont de miel, les sourire chaleur et les rires comme berceuses.
Et puis, il y a les deux puits noirs et les larmes qu'ils évoquent et le cadre à ce tableau : véritable torrent d'ombres qui ne se laisse dompter que par un bijoux d'argent.

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Un grand navire de charbon ... des couloirs labyrinthiques, comme un horrible estomac de bois ... un homme levé dans la tempête, une lance à la main ... le même, et plusieurs autres dans une pièce luxueuse ... une grande croix en argent... puis plus légère, piégée au bout d'une chaîne... et enfin elle devient épée... le noir... un battement de coeur arythmique ... une rose et un sourire ...




. ===] Bethesda Orphanage [===


"Je comprends tout à fait votre requête, en vérité. Tout comme je partage la peine du jeune Alban. C'est la providence qui vous a fait franchir ces grilles en cette délicieuse nuit ! La providence pour vous... et pour ce cher Alban..."

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L'Orphelinat est de ces lieux qui se perdent dans les contes, le folklore, et les rêves agités. Source d'histoires cruels, de sermons pour garnements ou simplement de plaintes d'ivrognes.

Il est décrit tantôt comme un grand manoir de style colonial, un château hanté ou une longue bâtisse plus moderne, perdu dans un grand parc de bois et pelouses, bordés de marais à la population sonore.

Mais c'est la brume sur laquelle tous les bavards s'accordent. Une brume humide, lourde, dense ; au point qu'on y disparaît en quelques pas... D'autant plus facilement dans cette nuit perpétuelle qui couvre l'endroit.

On dit qu'il apparaît sur la route des personnages égarées, des plus jeunes frappés par le malheur, ou était-ce sur celle de ceux qui mérite la mort ? Il ne viendrait que la nuit : d'abord des lumières floues, plus la grande grille du domaine, des chants d'enfants et les fenêtres flamboyantes...

Quant à ceux qui l'habiteraient et le sort de ceux qui s'y aventurent, les paroles sont contradictoires, extravagantes ou simplement exagérées.

Un conte en somme, juste un conte.

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La, lala !
Garde ! la brume.
T'égares en jouant,
Loin des garnements,
Garde ! la brume.
Trois tout petit pas,
Plus rien derrière toi,
Garde ! la brume.
Surgit le grand vent,
Squellette d'enfant.
Garde, la brume.
Garde... la brume...
La la la la... la.

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