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A propos de lune.des.framboisieres

Lune , 58 ans , Femme
Etait en ligne il y a plusieurs jours

Description

une tit' framboise s'accrochait à la lune...


"redonne-moi"....M. Farmer

Comme un fantôme qui se promène
Et la main lourdie de ses chaînes
Réussir sa vie
Quand d’autres l’ont meurtrie
Et
Réussir sa vie
Même si comprendre ne guérit
Pas
Et ce fantôme se promène
Là sous l’apparence gît le blême
Murmure des flots
L’onde à demi mots
Me murmure que l’on doit parfois
Retrouver une trace de soi

Redonne moi redonne moi
l’autre bout de moi
Débris de rêve
Le verre se fêle
Redonne moi la mémoire de moi
Peut-être sève
Peut-être fièvre
Redonne moi pour une autre fois
Le goût de vivre
En équilibre
Redonne moi l’amour et le choix
De ce qui fait qu’on est roi

Comme un fantôme qui se démène
Dans l’aube abîmée sans épiderme
Et nul n’a compris
Qu’on l’étreint à demi
Et
Et nul n’a surpris son cri
Recommencer sa vie aussi

Redonne moi redonne moi
l’autre bout de moi
Débris de rêve
Le verre se fêle
Redonne moi la mémoire de moi
Peut-être sève
Peut-être fièvre
Redonne moi pour une autre fois
Le gout de vivre
En équilibre
Redonne moi l’amour et le choix
De ce qui fait qu’on est roi




merci à qui je sais pour ce qui suit.... sourire....
si je pouvais mettre la mélodie.....

Anne Sylvestre
" Pour qu'on m'apprivoise"

Quand j'ai perdu mon enfance,
j'étais pleine de piquants.
A quinze ans faut que l'on danse:
ils ne prenaient pas de gants.
Ceux qui m'ont vue triste, triste
esquisser mes premiers pas,
m'aventurer sur la piste,
ceux-là ne m'aidèrent pas.
J'aurais, pour qu'on m'apprivoise,
pour qu'on me tende la main,
cueilli toutes les framboises
dans les tout petits chemins,
mais on avait, je supposes
bien d'autres chats à fouetter,
à cueillir bien d'autres roses
que mon églantier.

J'étais pas la plus moche ni la moins futée,
mais j'avais la caboche pas bien rabotée.
J'étais pas la moins tendre, mais j'avais si peur
qu'on ne veuille pas m'attendre à l'autre coin d'un cœur.

Puis s'éparpillent les danses
comme s'en vont les années.
A grand' peine je commence
à ne plus désespérer.
Si quelquefois je m'attriste,
j'ai appris à le cacher.
Va, tant que le cœur résiste,
on peut bien le déguiser.
Je viens pour qu'on m'apprivoise,
pour qu'on me tende la main.
J'ai plus l'âge des framboises
pour ce qui est des chemins.
J'y ai couru, je suppose,
assez pour avoir compris
que plus vite meurt la rose
que le pissenlit.

Je suis pas la plus moche ni la moins futée,
et puis j'ai la caboche un peu mieux rabotée.
Je suis pas la moins , mais j' ai toujours peur
Qu' on ne veuille pas m'attendre à l'autre coin d'un cœur.

Je viens pour qu'on m'apprivoise,
pour qu'on me tende la main.
Je viens pour qu'on m'apprivoise,
pour qu'on me tende la main...




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