o0.loreline.0o Tu veux la rencontrer ? Tchat avec elle !

Description

°~° Kathleen °~°

Nom: Kathleen
Signification: Pur

Age: On lui donne 25 ans

Parents/famille:
- Mère: Cailin
- Père: Molossar, mais élevé par Morvan (son oncle)
- Frère/soeur: aucun connu
- Compagnon: Haerver
- Enfants: Sitael, Damaris, Dogvael

Apparences
Kathleen est une femme de taille moyenne, mince et gracieuse. Elle est pourvu d'une beauté fascinante, ennivrante, un visage aux traits fin et délicats, des yeux d'un vert d'émeraude qu'elle a hérité de sa mère et une longue chevelure de jais qui lui arrive au bas des reins. Elle est souvent vétu de vêtements léger et qui mettent son corps souple et fin en valeur. Provoquante et sur d'elle, elle a un caractère bien trempé et affirmé.

Histoire:
"... Kathleen se trouvait, comme souvent depuis qu'elle était revenu au manoir, devant la fenêtre de sa chambre, son regard posé sur l'horizon, sans pour autant qu'elle s'y attarde, ses pensées étant toutes tournées vers le même point. Des souvenirs encore brulant, intenses qui ne cessaient de la hanter, jour et nuit. Peut être aurait il mieux valu qu'elle les chasse, qu'elle tire un trait sur tout cela, mais elle n'arrivait pas à s'y résoudre, cela ne pouvait pas se finir ainsi, elle le savait, elle le sentait. C'est pourquoi quand elle entendrait cette voix impérieuse et familière tonner ses ordres à la volée, se pas décidé et conquérant traverser le couloir, un sourire en coin triomphant viendrait orner ses lèvres.

Elle resterait imobile quand la porte s'ouvrirait à la volée, et ne sursauterait qu'à peine quand elle se refermerait si brusquement que tous les murs du manoir en trembleraient. Le moment était venu de livrer bataille, c'était un adversaire de taille qui venait à elle, mais peut lui importer, cet affrontement là elle s'y était patiemment préparer, ses longs mois de séparation n'avaient pas servi à rien tout compte fait. Il suffisait de savoir qui commencerait les hostilités, la réponse viendrait vite, alors qu'il lui lancerait sur ce ton qui ressemblait plus à un ordre qu'à tout autre chose:
- Il faut que l'on parle Kathleen!
- Il est bien tant d'y songer Haerver, répondrait elle simplement en se retournant pour poser son regard d'émeraude sur lui.
Elle ne pu s'empécher d'être frappé par sa beauté, ce charisme animal qui émanait de lui. Le Seigneur du Draco était un homme grand, solidement bati, à l'expression fermé et peu engageante, "sauvage" c'était ainsi que tout le monde s'accordait à le qualifier, et rien n'était plus vrai qu'en cet instant.

Il n'ajouterait rien à ces mots, se contentant d'avancer plus avant dans la pièce pour ouvrir les armoirs et en inspecter le contenu de faço sommaire. Il finirait par sortir des malles et des coffres du fond d'une garde robe, les ouvrant il y jeterait pelle mèle de grandes brassées de vêtements tirés des armoires.
- Juste ciel, qu'est ce qui te prend? s'insurgerait elle en le voyant faire, enlevant ses habits avant qu'il ne ruine entièrement sa garde robe.
- Tu rentres au Draco avec moi, donnerait il pour toute explication.
- Ma parole, tu es devenu fou!
Il relèverait son regard vers elle, l'attrapant au poignet avec force pour l'arrêter dans sa tentative de ranger ses affaires de là où il les sortait. Ses yeux gris étaient aussi froid que l'acier d'une lame, mais il en fallait plus pour l'impressionner et lui faire avouer qu'il meurtrisait son poignet. Haerver avait ce don particulier de la déstabiliser, mais on en était pas encore à ce stade, elle s'était préparé à leur entrevue et était bien décidé à ne pas se laisser faire.
- Tu rentres avec moi, dussais je te trainer de force, est ce bien clair?
- Je suis ici chez moi, et j'y resterai, tu n'as aucun droit sur ma personne, rétorquerait elle avec calme et assurance.
- Crois tu vraiment que tu es en droit de choisir, tu es ici sur mes terres, tu es la mère de mes enfants, et tu vas venir avec moi. Il est hors de question que je permette au premier venu de se croire permis de tout, et de s'autoriser à élever ma fille comme étant la sienne! répondrait il d'un ton tout aussi calme, mais avec la froide assurance de celui qui à l'habitude de voir ses ordres exécuter sans discussion.
Kathleen aurait un bref moment d'hésitation, comment savait il? Il savait qu'il avait marqué un point en lui dévoilant cette information qu'elle pensait secrète pour tous, il en fallait plus cependant pour la déstabiliser. Sa rancune était plus grande, et sa colère encore cuissante, il avait eut envers elle un bien plus grand secret que celui là, et cela elle n'était pas prète à l'oublier ainsi.

Tentant de se dégager de sa prise, elle froncerait le regard, l'affrontant avec fierté et arrogance.
- De quel droit te permets tu d'intervenir dans nos vies, alors que tu y étais tout à fait indifférent voilà quelque temps encore!
- Je refuse que cet elfe pose ses mains sur toi, tu m'entends! sifflerait il d'une rage à peine contenue, resserant sa prise pour bien lui montrer qu'il n'était pas près à la relacher aussi vite que cela.
Alors c'était cela, elle en resterait un instant bouche bée. La déception remplaçant peu à peu la colère. Ce n'était donc qu'une question d'orgeuil mal placé. Elle ne pouvait être à lui, mais il refusait qu'elle succombe à un autre. Du jour où elle lui avait dit qu'elle était enceinte de leur fille, il s'était montré distant, presque indifférent. Il avait fini par lui avouer son secret, se forfait qui rendait la situation encore plus hypocrite, qui donnait à ses excuses quand à leur liaison un goût d'absurde plus prononcé que jamais. A présent, il se sentait blessé dans son orgeuil, il ne s'intéressait à elle que pour lui interdire de vivre sa vie ... S'en était trop, elle aurait pu comprendre bien des choses mais pas cela! Mordant sa main pour libérer son poignet, elle le toiserait avec hauteur, toutes griffes dehors.
- Hors de chez moi! Tout Seigneur du Draco que tu es!
Il en était encore à regarder les traces de dents que sa main, quand il la regarderait presque incrédule, devant sa réaction, mais elle n'était pas disposé à se laisser faire. Elle en avait plus qu'assez de ces hommes qui ne savaient jamais qu'assouvirent leur désirs, pas un seul n'était capable de chercher plus loin ...
- Ne vient pas ici, en jouant les outragés, c'est toi qui n'a pas voulu de moi, c'est toi encore qui t'es détourné de moi, comment oses tu prétendre régenter ma v ie à présent! s'emporterait elle devant son manque de réaction. Elle avait besoin qu'il contre attaque, qu'il explose, pour qu'elle puisse laisser elle même sa rancune exploser et lui jeter à la figure tous ses reproches qu'elle collectionnait depuis qu'elle était revenu au manoir.
- Il suffit, je t'ai déjà dit ..., commencerait il en s'approchant d'elle.
- Tais toi! l'interromperait elle sans qu'il ne puisse finir. Ne revient pas avec tes prétextes sordides, ne me parle pas de cet arrière grand père commun, alors que jamais personne n'a été certain que Morvan et son frère aient eut le même père, et quand bien même, il est tant d'y songer une fois que le mal est fait! s'emporterait elle.

Elle n'en avait pas fini avec ses reproches, elle avait encore tant de vérité à lui lancer qu'elle en bafouillait presque, mais elle n'eut pas le temps d'en dire d'avantage, tout comme elle l'avait coupé dans ses explications, il en ferrait autant, bien que de toute autre façon. Sans qu'elle ne s'y attende, aux vues de la situation, elle se retrouva entre ses bras, coupé dans son élan par ses lèvres s'emparant des siennes. Tout d'abord surprise, elle se repris ensuite, tentant de se dégager, frappant de toute ses forces des poings contre son torse, mais elle n'était pas physiquement de taille contre lui, tout comme elle due admettre qu'elle ne l'était pas émotionnellement non plus. Donnant sa rédition, elle ne pu que se rendre compte que son corps la trahisait, répondant à ce baiser brulant et sauvage, même son esprit se laisser embrumé, il ne perdait rien pour attendre avec ces pratiques déloyales et sournoises.
Quand ses lèvres quittèrent enfin les siennes, il y eut un instant de battement, où chacun jaugeait l'autre, où chacun gouttait encore à ce brève interlude. Mais quand elle voulut de nouveau prendre la paroles, il s'interposa à son tour sur un ton qui ne permettait pas la réplique.
- Non! C'est toi à présent qui va m'écouter Kathleen! Je ne veux plus d'excuses, de prétextes, tout comme je ne peux plus me cacher la vérité à moi même. J'ai été fou de rage et de jalousie quand j'ai appris que tu lui avais succombé. Des images insoutenables ont travesé mon esprit.
- Tu n'as aucun droit sur moi Haerver, ne put elle s'empécher de lui rappeler.
- Je sais, et pourtant je vis une véritable torture depuis que tu n'es plus là. J'ai cru a voir une famille déjà une fois, j'ai pensé aimer et être aimé ... Pourquoi souffrir encore une fois, c'était plus simple de te chasser ... Mais je ne peux me mentir d'avantage, mon coeur est à toi Kathleen ... Je t'aime.
Elle l'avait écouté cette fois, sans un mot. Il était étrange d'entendre la confession d'un homme qui ne parlait ni ne dévoilait jamais aucun de ses sentiments. Etrange et terriblement ennivrant, enfin ... Enfin ces mots qu'elle avait tant espérer sans jamais s'attendre à les entendre, ses yeux, à présent gris comme un ciel d'orage, dévoilait une sincérité presque innocente. Elle poserait un instant son front contre son torse, prise de vertiges.
- Tu es à moi, je te veux pour compagne, viendrait il encore murmurer contre son oreille.
- Donne moi une raison de te suivre, Haerver ..., répondrait elle après un instant.
C'était là une pure provocation, auquel il répondrait sans hésiter, elle le savait parfaitement. Non pas pour qu'elle le suive, ils savaient tout deux qu'elle partirait avec lui, mais parce qu'ils avaient besoin l'un de l'autre, besoin de combler cet absence, se temps perdu ..."

(Extrait d'un rp, adapter au profil avec l'aide du joueur de Haerver)

-------------------------------------------------------------------------------------------------------