Description
MON INJONCTION (prière): de grâce Messieurs passez votre chemin et ALLEZ exhiber vos 20-26-30 cm AILLEURS !!!!!!!!!!!!!!!!!!
MOI ET MOI ET ENCORE MOI :
Gourmande - je suis chocolat aux saveurs fruités;
Précieuse - mon rêve acheter ces diamants éternels;
Ponctuelle?? - sans commentaire hihihihi ce n'est pas un défaut !
Superstitieuse - oui car amoureuse;
Changeante car surprenante;
Enivrante c'est mon arme de séduction bah aussi énervante et chiante;
Séductrice mmmmmmm mon sourire ravageur;
Pétillante d'humour et mes yeux lancent des éclats de rire perle
Tendre à faire fondre d'amour
BREF je suis coquine taquine mutine !!!!
Je n'ai qu'une philosophie
Être acceptée comme je suis
Malgré tout ce qu'on me dit
Je reste le poing levé
Pour le meilleur comme le pire
Je suis métisse mais pas martyre
J'avance le coeur léger
Mais toujours le poing levé
Lever la tête, bomber le torse
Sans cesse redoubler d'efforts
La vie ne m'en laisse pas le choix
Je suis l'as qui bat le roi
Malgré nos peines, nos différences
Et toutes ces injures incessantes
Moi je lèverai le poing
Encore plus haut, encore plus loin
{Refrain:}
Viser la Lune
Ça me fait pas peur
Même à l'usure
J'y crois encore et en coeur
Des sacrifices
S'il le faut j'en ferai
J'en ai déjà fait
Mais toujours le poing levé
Je ne suis pas comme toutes ces filles
Qu'on dévisage, qu'on déshabille
Moi j'ai des formes et des rondeurs
Ça sert à réchauffer les coeurs
Fille d'un quartier populaire
J'y ai appris à être fière
Bien plus d'amour que de misère
Bien plus de coeur que de pierre
Je n'ai qu'une philosophie
Être acceptée comme je suis
Avec la force et le sourire
Le poing levé vers l'avenir
Lever la tête, bomber le torse
Sans cesse redoubler d'efforts
La vie ne m'en laisse pas le choix
Je suis l'as qui bat le roi
Ma philosophie d'Amel Bent
Almée
Almée, de l'arabe âlmet (« savante »), désigne une femme indienne qui fait profession d'improviser des vers, de chanter et de danser dans les fêtes, en s'accompagnant de la flûte, des castagnettes ou des cymbales.
Elles étaient choisies parmi les filles les plus belles, et recevaient une éducation soignée. Elles étaient souvent appelées chez les grands pour égayer les festins.
Les artistes orientalistes s'en sont souvent inspirés pour exalter un certain érotisme dégagé par le type de la danseuse orientale (de même que les odalisques pour le type de la femme au hammam)