Description
Je suis un homme de 50 ans, bien physiquement (1,79 m, 74 kg, et plutôt racé), non disponible maritalement… Et, pourtant, je reste disponible, alors quoi ?!
Comment l’expliquer et quelle est ma recherche ?
Pour l’expliquer, il faut remonter à une période de ma vie, j’avais 35 ans et elle en avait 15 de plus ; elle avait l’expérience, j’avais un bon physique. Nous nous sommes peu à peu installés dans une relation D/S, au début surprenante puis assumée. Elle, prenant des postures que je lui indiquais, moi faisant preuve d’une imagination perverse qu’elle alimentait en retour. Je n’en dirais pas davantage ici, disons que nous nous sommes livrés intégralement.
Cette période est désormais vécue par moi comme un leitmotiv lancinant, que j’aimerais retrouver.
Bref, j’assume rechercher une complicité féminine fondée sur une certaine allégeance à mon égard, dans le respect et la loyauté que ce type de registre impose. (Je suis à un âge de ma vie où, passé le coït ininterrompus, l’on assume une certaine maturité-sagesse dans les relations homme-femme.)
Je propose donc à une femme de tempérament, dont l’inclination secrète se porte plutôt vers un désir de soumission (tempérée), une rencontre devant un verre. Sans aucun engagement de part et d’autre. Mais avec le désir d’entamer, si nos intuitions se révèlent plutôt réciproques, une amitié hors des sentiers battus.
On prend notre temps, rien ne presse, suivant la jolie formule que « le meilleur de l’amour, c’est quand on monte les escaliers »…
Conditions indispensables : jolie fessier, belles jambes, hygiène irréprochable, respect des limites, loyauté et droiture. Autant d’exigences qui ne peuvent convenir qu’à une personne rare, probablement cérébrale.
Bien à vous.
Pascal
PS : S’il vous plaît, pros du blabla, hôtesses en tous genres, ne répondez pas à cette annonce, vous perdriez votre temps.