Description
Le regard de l’autre
Il est toujours surprenant d’apprendre comment on est perçu par un tiers. Effectivement personne n’a de lui une image qui correspond à ce que le autres voient en nous. Si certains aspects seront peut-être déplaisants, le tiers insistant sur un défaut, il est remarquable de reconnaitre qu’en nous même nous avons cherché à minimiser cet aspect, l’un en le maquillant réellement, l’autre en inventant des mensonges et cela peut même aller jusqu’à se convaincre soi-même de l’inexistence de ce défaut.
Pour autant la vision de l’autre est elle plus fiable que celle que nous avons-nous même ? En fait les deux visions sont faussées, l’une car elle ne connait pas tous les tenants et aboutissants qui ont amené à certaines choses, l’autre car elle idéalise et réfute ou à l’opposé amplifie l’importance de certains aspects. Du coup, et bien souvent pour se conforter dans son idée, les gens discutent entre-deux de certains tiers en émettant des jugements de valeur. « Untel a fait ceci, qu’en a tu pensé ?» , « tu ne trouves pas que untel a un mauvais comportement ? » ou encore « Mais pourquoi untel ne se fait pas soigner de ceci ou cela ? »
Dans un monde ou l’apparence semble déterminer la vie sociale, se déroulera alors toujours le même phénomène, les personnes n’ayant pas de défaut physique ou mentaux à la première perception seront toujours reçus prioritairement par rapport aux autres. Devons-nous nous fier à cette première perception et nous fier à ce besoin de concentration de normalité dans notre entourage, qu’il soit professionnel ou non ? Malheureusement, il semble prouvé depuis longtemps qu’il existe une certaine forme d’équilibre entre qualités et défauts (nous y reviendrons dans un texte ultérieur), et si une personne présente par exemple un coté ingrat sur le physique, il sera peut-être doté d’une grande intelligence. Dans une relation sociale cela ne peut avoir aucun impact, mais imaginons un peu les conséquences dans le cadre d’une entreprise. Si l’on sait par ailleurs que l’on a toujours tendance à embaucher des gens plus mauvais que nous même pour ne pas prendre le risque de se voir évincé par le nouveau venu (reflexe normal), imaginons alors l’effet boule de neige qui pourrait en résulter : obtenir une armée mexicaine de gens peu qualifiés mais dont l’aspect physique reste globalement agréable : c’est indubitablement voué à l’échec. Nous nous sommes ici penchés sur la dualité physique/intellect mais cela peut être plus subtil et nuancé, sur des aspects de la personnalité par exemple, ou au contraire plus prononcé, comme la situation de handicap.
Dans une société comme la notre on demande aux entreprises d’embaucher des handicapés à un certains pourcentage des effectifs salariés, sous la contrainte de payer une amende si ce n’est pas respecté, et ce n’est pas pour rien, car cela montre bien que le premier regard posé sur une personne est une forme de jugement qui ne tient compte que de facteurs subjectifs. Prenons un exemple : quel serait le problème d’employer une personne handicapée moteur si son travail consiste à répondre au téléphone ? Et pourtant de nombreuses entreprises préfèrent encore aujourd’hui payer une amende.
Ce regard initial, nous l’avons vu est donc non seulement faussé par méconnaissance des valeurs, de la culture, de l’histoire, de ce qui fait un être, mais également s’emploie à chercher une normalité, ou reprocher de s’écarter d’une normalité par simple reflexe culturel : la différence fait peur. Et c’est bien culturel, car d’une civilisation a l’autre, parfois même d’un pays à l’autre, les standards ne sont pas les mêmes, les idées reçues sont différentes, les pratiques parfois opposées.
Par le passé j’ai connu un recruteur qui n’embauchait systématiquement que des femmes très belles, se formant ainsi une sorte de cour de mannequins, et j’en suis arrivé a me demander ce que je faisais là, étant un homme d’un bien piètre aspect physique … C’était simple il en fallait bien un qui sache travailler pour compenser, ou dans le meilleur des cas, enseigner aux autres comment effectuer leurs taches. Je ne pouvais ainsi pas faire de l’ombre a ce recruteur auprès de ces dames, tout en assurant que la mission allait être remplie. Mais encore une fois, et nous revenons ici à la vision de l’autre, c’est encore se tromper que de procéder ainsi car après quelques mois, les dames elles-mêmes se rendent compte du procédé du recruteur, qui n’a pas de réelle compétence, finissent par le déprécier jusqu’à s’en moquer et se lient d’amitié avec une forme de respect avec celui qui est peut-être plus ingrat mais qui aura su les aider et leur enseigner leur métier.
Dans le regard de l’autre il ne peut y avoir qu’une erreur, et c’est uniquement avec le temps que l’on apprend à connaitre et appréhender les vrais qualités et défauts d’une personne, tout en se disant qu’on ne saura jamais exactement comment est celui que l’on observe. La seule nuance que je connaisse consiste dans les amis d’enfance, lorsque l’amitié se forge à partir de la maternelle, et se poursuit jusqu’à l’âge adulte : certes on ne connait pas tout (on n’aura pas vécu avec les parents de l’autre par exemple), mais il devient impossible et inutile de dissimuler ou masquer un aspect de sa personnalité, l’autre le saura immédiatement. Par contre, il connaitra toutes vos qualités, et pardonnera bien souvent toutes vos erreurs, quelles qu’en soient leur importance.
Dans le regard de l’autre il y a surtout sa non capacité à percevoir ce que l’on cache et pour l’illustrer très simplement, il suffit de parler du maquillage des femmes. Que veut dire le verbe maquiller ? On pourrait simplement dire que cela signifie « embellir », mais ne faut-il pas y voir plutôt « dissimuler » ou « mentir » ? Il en va de même pour l’esprit, si on est habile, on saura dire lors d’un entretien ce que le recruteur souhaitait entendre, même si ce n’est pas ce qui vous caractérise le plus, et il en va de même lors de l’initiation d’un dialogue amoureux, car sauf avoir l’extrême chance de tomber sur une personne qui cherche la sincérité et se dévoile elle-même sans retenue, il faut être sur et certain que chacun va « maquiller » son histoire, dissimuler certains aspects et ne mettre en exergue que les cotés qu’elle soupçonne positif pour l’autre.
Ainsi, le premier regard que l’on porte sur une personne est toujours biaisé, il est falsifié par l’interlocuteur lui-même, et s’il est un conseil à donner, c’est de ne pas en tenir compte mais revenir a des principes cartésiens et méthodologiques afin de ne pas se tromper, au risque sinon de conserver une image erronée de la personne, que cette première impression soit positive ou négative.
Alain ( 19 Nov 2020 )
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La part de l’autre
Eric-Emmanuel Schmitt nous décrit dans son ouvrage une histoire parallèle d’un dictateur ayant bouleversé le vingtième siècle, en imaginant qu’il n’ait vécu qu’une vie séparée du pouvoir en prenant pour postulat qu’il existe un moment à la croisée de deux destins qui peut implicitement avoir de grands impacts sur la suite d’une histoire qui n’est pas encore tracée. Cela voudrait dire qu’a chaque décision prise, qu’à chaque instant ou un choix est a faire, la route du destin se sépare en au moins deux possibilités, cela se répercutant à l’infini pour peut-être finir par devenir l’opposé de la personnalité que nous connaissons. Ainsi Gandhi aurait pu être un assassin et Attila un simple éleveur de bétail. En imaginant que chaque choix détermine une temporalité ou une vie parallèle, on aboutit bien vite, et au bout d’uniquement quelques années à des milliards de milliards de possibilités, dont notre pauvre esprit humain n’a pas la capacité de compréhension.
Ainsi fonctionne le regret « Ah si je n’avais pas fait comme ci », et occasionne dans notre esprit des lésions majeures plus les années passent. A chaque croisement de vie, que nous pourrions nommer « moments cruciaux », la décision prise va influer sur le reste de la vie, et qui sait, sur la vie des autres. En histoire, on nomme cela des « What-if », ou que se serait-il passé si … Et si Pétain n’avait pas fait son appel à la reddition en juin 1940, aurions-nous connu de Gaulle ? Et si la seconde guerre mondiale n’avait pas existé, l’homme serait-il allé sur la Lune au 20e siècle ?
Au-delà de cet aspect purement technique, il faut aussi de poser la question du pourquoi des choix. Tout comme il y a une distance entre « ce que je dis » et « ce que tu comprends », il existe un fossé immense entre la prise de décision et sa compréhension par un entourage. Bien souvent, d’ailleurs, et sans le savoir, nous influons sur les décisions prises par les autres, changeant ainsi leur vie, lors de moments cruciaux. Influencer indirectement l’autre est cependant ce qui se passe quotidiennement, et qui malheureusement peut laisser des marques indélébiles sur la mentalité de l’autre. Bien pis encore, l’autre peut influer sur une décision, ne pas s’en rendre compte, et rejeter le tout.
Donc nous avons tous en nous un système de décision qui sera influencé d’une part par notre éducation et notre culture, mais aussi et bien plus largement, par notre entourage et leur comportement extrinsèque. Si je prends la décision un jour d’effectuer un acte qui changera ma vie, je dois bien penser que je ne suis pas le seul en cause, mais qu’une bonne proportion est la part de l’autre.
Que devons-nous en déduire ? Est-ce que le destin est tracé ou dans nos mains ? Avons-nous vraiment le contrôle sur cet animal humain qui véhicule notre âme, ou ne sommes-nous qu’un pantin qui cherche à combattre les fils qui le manipulent … A combien évaluez vous la part de l’autre dans chacune de vos décisions majeures si vous y réfléchissez bien ?
L’idée ici n’est pas de déculpabiliser quiconque mais d’ouvrir les yeux sur une réalité qui semble insondable à un esprit étroit, chaque mot et chaque phrase est en soit une manipulation qui donne une orientation de choix à un tiers, que cela soit volontaire ou non, et au final, que cela soit désiré ou non, notre esprit en tient compte dans chacun des choix à effectuer : chacune de nos décisions est en fait dictée en grande part par l’autre, et c’est d’ailleurs le principe même de la communication, puisque une réponse est toujours façonnée et adaptée à l’interlocuteur.
Est-ce qu’il nous reste donc une part de liberté ? J’ose l’espérer !
Alain ( 18 Nov 2020 )
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Dans le miroir de l’autre ?
Ce que l’on cherche avant tout, c’est la vision de soi même a travers les yeux de l’autre. Tel un miroir, le regard de l’autre renverra - ou pas - l’image que vous vous faites de vous-même, tout en vous confortant dans l’idée que l’autre vous regarde pour ce que vous êtes. Lorsque la passion existe, les deux amoureux sont donc semblables à des miroirs se renvoyant à l’infini leur image mêlée a celle du conjoint, image qui ne diffère d’un coté ou de l’autre que par ce qu’elle est inversée. Cette symbiose ainsi obtenue semble indestructible et capable de résister à tous les événements aussi destructeurs puissent il êtres.
Mais imaginons juste qu’un des deux miroirs s’oriente que quelques degrés d’un coté ou de l’autre et la magie disparait, l’infini s’envole, et ne subsiste que quelques reflets qui s’éloignent de plus en plus pour finir par disparaitre dans un virage insensé : le regard de l’autre disparait pour refléter autre chose. Imaginons aussi qu’un fracas arrive et qu’un des deux miroirs soit brisé et alors le reflet sera partiel ou ne renverra qu’une image faussée. Que dire aussi d’une déformation d’un des deux miroirs, qu’elle soit volontaire ou non, et c’est alors l’image de vous-même qui disparait des yeux de l’être aimé.
Le miroir de l’autre, c’est le seul endroit ou la force de deux regards dispose d’une énergie sans limites, ou tout est réalisable, ou aucune barrière ne semble infranchissable, ou chaque parcelle du temps peut aussi bien sembler durer des heures qu’être déjà écoulée, passée trop vite. Car le temps a son influence dans l’échange des images de deux miroirs, plus le reflet mutuel s’allonge, plus le temps passe imperceptiblement et pourtant notre cerveau ne perçoit rien de plus qu’une vision fugitive de ce que pourrait être l’infini.
Dans le miroir de l’autre, il fait bon de s’y plonger, mais a chaque reflet subsiste le risque qu’une image s’interpose, qu’un mouvement soit effectué, et qu’au final on perde à jamais son propre regard ou celui de l’être aimé. Dans le miroir de l’autre, arrive alors un reflet perdu et illusoire d’un passé empli de regrets, qui finira par briser cette force construite sur un regard initial pourtant magique, qui a tout crée en son temps, début d’une course ou le temps ne semblait pas avoir de prise, ou personne ne devait ni gagner, ni perdre. Dans le miroir de l’autre on perd alors sa propre estime de soi, et il faudra du temps pour accepter qu’un autre regard puisse y entrer, vu initialement tel un viol oculaire, ou les machineries de l’esprit s’emploient à vous faire croire que tout est de votre faute et que plus jamais le reflet parfait n’existera.
Le miroir de l’autre, c’est vous, et vous n’êtes que le reflet de l’autre, alors est-il préférable de fuir votre regard à jamais, ou vous plonger à corps perdu et prendre un risque ? Nous sommes tous des Narcisse cachés, certains voulant plaire plus que d’autres, mais avant tout c’est à eux même qu’ils veulent plaire en dissimulant leurs défauts au regard de l’autre. Dans le miroir de l’autre, ce n’est pas le physique de l’encadrement du miroir qui prime mais la vision sans fin de deux âmes liées, qui s’échangent pour toujours un regard bienveillant et heureux.
Mon miroir (de l’autre) renvoie aujourd’hui un ciel vide, ou seuls passent quelques nuages gris, gonflés d’eau qui viennent souvent laver par leur pluie une façade qui ternit, à chaque reflet perdu. Mais qui sait, peut-être qu’un regard se posera un jour sur ce miroir fatigué, et que je lui renverrai l’image souhaitée, afin à nouveau de se renvoyer l’un à l’autre un espoir, moment intemporel de découverte de son propre reflet dans l’âme de l’autre.
Alain ( 17 Nov 2020 )
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Type de personalité ( test MBTI ) : INFJ (Avocat)
voir https://www.youtube.com/watch?v=Oum_esB3IIg
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Cultiver le fait d’être perçu comme malveillant est une activité à plein temps. Que ceux qui tombent dans le panneau passent leur chemin, et que les plus curieux ne s'imaginent pas pour autant franchir aisément les murailles de mon amitié. Le piquant de mon ascendant (scorpion) cumulé aux pinces et carapace du cancer font de moi une bête difficile à cerner, tantôt utilisant mon poison verbal, tantôt encaissant les coups sans broncher, tantôt faisant un pas de coté ...
Une fois la carapace franchie s'ouvre alors un autre monde, mais ceci est une histoire que je ne vais pas conter en ces lieux ...
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Trouvé sur le site : https://www.prenoms.com/prenom/caractere-prenom-ALAIN.html et copié ici car c'est en grande partie vrai.
Alain est une personne qui croit en lui. Lorsqu’il fait quelque chose, il ne lui vient jamais en tête qu’il pourrait échouer. Il use de tous les moyens du bord pour faire face aux problèmes qui pourraient nuire à la bonne marche de sa mission. Déterminé, Alain ne baisse jamais les bras et trouve toujours une solution de secours. Pour minimiser le risque d’échec, il préfère demander de l’aide plutôt que d’insister en sachant qu’il ne parviendra pas à s’en sortir tout seul.
Alain est de nature dynamique. Il cherche toujours quelque chose à faire pour ne pas s’ennuyer. Perfectionniste, il n’apprécie que les choses très bien faites. Pour obtenir satisfaction, il est exigeant tant envers lui qu’envers ceux qui l’aident dans l’accomplissement des missions auxquelles il s’attelle. Alain n’aime pas les gens qui ne sont pas impliqués dans ce qu’ils font car il est convaincu que la rigueur et la persévérance sont de mise pour prétendre à un résultat satisfaisant.
Derrière son air sévère, Alain est un être tendre et doux. Il résiste mal aux caprices de ses enfants et de sa femme. Pour lui, la vraie mission d’un homme sur terre consiste à offrir le bonheur à sa famille. Tant qu’il a les moyens, il ne refuse jamais de faire plaisir ni à sa femme, ni à ses enfants. Alain sait toutefois dire « non » lorsqu’il sent l’exagération.
Alain est aussi très protecteur et n’hésite pas à tout faire pour veiller à la sécurité de ses proches. Si ses moyens le lui permettent, il peut aller jusqu’à faire appel à des gardes du corps qui assureront la sécurité de sa famille.
Alain est très méfiant envers les autres. Il a des critères propres à lui pour sélectionner ses amis afin d’éviter les profiteurs. Pour Alain, les amis ont beaucoup de choses à partager et doivent se jurer loyauté les uns envers les autres. Il raye tout de suite de sa liste d’amis ceux qui ne répondent pas à ces deux conditions.
Caractère en tant que père :
Alain est un père strict surtout face à des adolescents. Quand ses enfants sont encore petits, il leur apprend progressivement les règles de la vie en société et les bonnes manières. Ils assimilent au fil des années la plupart des leçons de politesse qu’on leur a apprises. Concernant leurs études, Alain montre également de la fermeté. Il fait tout son possible pour suivre l’évolution scolaire de ses enfants. Dans le cas où l’un d’eux a du mal à apprendre, il n’hésite pas à louer le service d’un professionnel de l’enseignement qui se chargera de lui dispenser des cours d’appui.
Caractère en couple :
Alain est très soucieux de sa vie de couple. Chaque jour que Dieu fait, il prouve son amour à sa femme. Attentionné, il ne fait jamais de choses qui pourraient blesser sa bien-aimée. Au contraire, il n’hésite pas à lui faire des surprises pour qu’elle se sente heureuse. Il accorde une grande importance à ce que dit sa femme. S’il n’est pas entièrement d’accord avec elle, il lui fait part de son avis et ils décident à deux de ce qu’il faut faire. Alain est un éternel romantique qui se distingue par sa grande fidélité.
Amitié :
Alain ne tisse pas des liens d’amitié avec n’importe qui. Pour lui, les vrais amis ne courent pas les rues, d’où la nécessité de bien les choisir. Grâce à sa nature sociable, Alain n’a aucun mal à discuter même avec des personnes qu’il ne connaît pas. Il parvient ainsi facilement à trouver les personnes avec lesquelles il souhaite partager de nombreuses choses. Loyal, il est très apprécié et ceux qui deviennent ses amis font tout pour ne pas briser la relation qui les lie à Alain.
Signe astrologique de Alain
La personnalité d’Alain se reflète le plus chez un natif du Cancer. Ce dernier peut prétendre à une belle relation de couple à condition qu’il noue une relation amoureuse avec une femme née sous le signe du Capricorne, du Scorpion ou des Poissons.
Couleur de Alain
L’orange est la couleur des Alain. Cette couleur inspire la bonne humeur et symbolise la créativité. L’univers de la communication est également associé à cette couleur qui est considérée comme source d’optimisme et de confiance en soi. Elle connote également l’ouverture d’esprit et l’originalité, d’où le fait qu’elle a été très appréciée durant le mouvement hippie. L’orange peut également être associée à la révolte et à la soif de changement.
Pierre précieuse de Alain
Grâce à toutes ses qualités, la pierre porte-bonheur d’Alain est le diamant. Cette pierre renvoie à plusieurs significations notamment la pureté, l’immutabilité ou encore la force. Cette magnifique pierre est considérée comme le talisman qui revient à celui qui remporte la victoire. Le nom de cette pierre de très grande valeur vient du mot grec « Adamai » qui veut dire « indomptable ». A la fois dure et éclatante, cette pierre connote bien la personnalité d’Alain.