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A propos de shipporhya.dame.de.l.ombre

Shipporhya , 87 ans , Femme
Etait en ligne il y a plusieurs jours

Apparence physique

Apparence physique Très bien
Taille 1m91
Poids Athlétique
Cheveux Blancs
Yeux Autre

Mode de vie

Fume Oui

Pour en savoir plus

Situation Veuf(ve)
Enfant(s) Oui, 1
Désire un/des enfant(s) Non
Signe astrologique Scorpion

Description

Je suis morte, pour mieux baigner mon corps moribond dans l'Abysse. Exit ce foutu Serpent, on m'a offert une seconde chance, j'ai eu droit à une seconde naissance et l'on m'a baptisée Sha. Regarde moi, tu me veux déjà. Approche toi, ne touche pas, Sha, tu ne l'aura pas...

Du bout des doigts, des yeux, des lèvres, de l'essence même du Premier moi Sha eu l'honneur de recevoir Abhiseka, devenant Kaimetsu, la Troisième. Abnégation forcenée, Madone et martyr je sombrais dans le mutisme pour comprendre l'Anattâ; l'impersonnalité de l'existence du Soi, m'engageant sur la voie de Arhat , je suis devenue un bodhisattva, éveillé qui dans sa miséricorde, sa mansuétude, renonce au Nirvâna pour sauver les âmes.

Shippôrhya de Sawall

Attributs
Psyché: 80
Endurance: 75
Force: 80
Combat: 90

Pouvoirs:
Maîtrise du Logrus
Métamorphose
Mots de pouvoir
Logrus Avancé
Compulsion

Artefact: Yöyn et Sögn
Vitalité: Enorme
Mouvement: Véhiculaire
Souffle: Inépuisable
Agression: Maîtrise du combat
Résistance aux dégats: Invulnérabilité
Dégâts: Dommages destructeurs
Intelligence et communication: Intelligence
Capacité psychique: Perception extra-sensorielle
Défense psychique: Barrière

Pouvoirs:
Mouvement en ombres: Recherche en ombre
Contrôle d'ombre: Modeler l'ombre
Guérison: Régénération
Polymorphie: Formes variables

Pouvoirs magiques:
Support de MDP recensés
Transferts de qualités.



Le manteau de neige immaculée était souillé par les sabots des lourds destriers, tirant, l'écume aux mors, un traîneau de métal et de bois. Sous les fourrures noires, le démon regardait, l'oeil morne, ce paysage désolé défiler. Elle ne désserait la machoîre que pour expulser la fumée âcre de son cigarillo.
Rien sur son visage ne laissait présager son humeur... Et encore moins ses origines ethniques; bien que l'épiderme fût basané, elle n'était pas un de ses marchands de l'Orient, ses oreilles, hautes et pointues n'étaient pas caractéristiques de la race elfique. Rien, non rien ne laissait entrevoir quelle femme elle était, du moins, en surface.
Non, elle n'était pas une bourgeoise en balade. Elle n'avait rien de ses coquettes aux toilettes coûteuses. Non, et la férocité se dégageant de ses prunelles dorées en témoignait.
L'ennui, l'inactivité étaient des terrains propices à une humeur morne. Une unique échappatoire, le paradis artificiel. Elle risquait une main hors des chaudes fourrures pour la plonger dans ses longues locks blanches, se saisissant, prudente, d'une créature à l'aspect singulier; un corps long et souple, identique à celui des serpents mais blanc se confondant à la crinière du démon. Sa tête était maintenue entre deux doigts. Une tête monstrueuse aux trois yeux vitreux. Un long frisson lui parcourait l'échine...Nullement provoqué par le froid, mais par l'excitation. La main emmenait la face du parasite à sa tempe et d'une pression elle lui faisait découvrir ses deux courts crochets. Une longue inspiration et les paupières lourdes se fermaient...Les crocs pénétraient sa chair et s'ancraient dans sa veine temporale. L'adrénaline lui arrachait un spasme nerveux...Les toxines psychotropes se fondaient à son sang bâtard.

"Je représente ceux qui utilisent leur cervelle à la détruire..."


Mmm, c'est si bon de pénétrer votre cerveau. Je jouis dans votre hémisphère droit. Votre désir ne vous appartient plus; je vous impose le mien. Je vous défends de désirer au hasard. Il n'y a que moi, il n'y en a que pour moi. Tu m'aimes déjà...

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La pute se réveillait attachée, cambrée sur le dos au bord du lit, et le visage couvert de sang - car je venais de lui arracher les lèvres. Sa consoeur, elle, était attachée de l'autre côté du lit, à l'aide de cordes, gémissant de peur, totalement paralysée par la monstruosité de ce qui lui arrivait.

Souhaitant qu'elle regarde ce que j'allais faire à sa copine, je l'ai installée de manière à ce qu'elle ne puisse éviter de voir. Comme à l'habitude, et dans l'espoir de comprendre cette race, je prennais mon temps pour les mettre à mort.
Je commençais à dépiauter la première pute, un petit peu, lui faisant des incisions avec un couteau à viande, découpant des morceaux de chair de son ventre et de ses jambes, tandis qu'elle criait vainement, me suppliant de l'épargner, d'une voix aigüe, fragile.

J'espèrais qu'elle se rende compte que son châtiment se révélerai relativement bénin, comparé à celui que j'ai prévue pour l'autre.
J'essayais de lui découper des doigts à l'aide de ciseaux, et finissait par verser de l'acide sur son ventre et son vagin, mais rien de tout cela ne semblait l'achever le moins du monde, et je devais me résoudre à la poignarder à la gorge.
La lame du couteau finit par se casser dans ce qui reste de son cou, fichée dans un os, et j'arrêtais.

Sous le regard de son amie, je prennais la scie et lui tronçonnait entièrement la tête - un torrent de sang éclaboussait les murs, et même le plafond - puis, élevant la tête comme un trophée, j'arrachais de mes dents sa langue gonflée.

Ceci m'amusait un temps, mais j'avais besoin de repos, et je quittais la tête, la posant sur la commode en chêne, et m'installais dans un fauteuil, nue et couverte de sang pour me shooter, demandant à la pute, la voix haute et contrariée, de fermer sa gueule.

"Bordel..." crachais je enfin, le pouce sur le piston de la seringue. En mon sang aux reflets sombres s'écoulait maintenant une drogue artificielle.
Les dents claquaient, un seul instant, reflexe conditionné post-shoot. La seule vue de cette mâchoire carrée aux dents effilés fit sursauter la salope entravée.
L'aiguille hors du creux de mon bras, je me frottais instinctivement les narines de l'index, daignant accorder une once d'attention à cette pauvre fille.
"Je vais te détacher, Ccchhht..." lui disais-je, tout en caressant doucement son visage satiné de larmes, et je m'embrasais en la voyant lever vers moi un regard plein d'espoir, un instant, avant d'aperçevoir l'allumette enflammée que je tennais à la main que j'abaissais vers ses yeux, qu'elle fermait instinctivement, pour lui flamber les cils et les sourcils, avant de prendre une bougie que j'allumais sous ses paupières que je maintennais ouvertes d'une main, me brûlant le pouce et le petit doigt au passage, jusqu'à ce que ses yeux explosent. Pendant qu'elle était encore consciente, je la retournais et, lui écartant les fesses, je lui plantais un godemiché dans le rectum.

Puis, la retournant de nouveau, inerte de terreur, je coupais toute la chair autour de sa bouche et, saisissant un vilbrequin, j'agrandissait le trou tandis qu'elle gigotait et protestait et, une fois satisfaite de la dimension du trou pratiqué dans sa bouche largement ouverte, qui n'était plus qu'un tunnel rouge sombre de langue tordue et de dents arrachées, j'y plongeais la main, profondément, jusqu'au poignet, me forçant un passage vers la gorge- durant tout ce temps, elle ne cessait de secouer furieusement la tête, mais ne pouvait me mordre, puisque le vilbrequin lui avait arraché les dents des gencives- et saisissant les veines qui passent là comme des tubes, je les détachais doucement avec mes doigts et, une fois la prise bien assurée, les arrachais brutalement et les sortais par sa bouche béante, tirant, tirant encore jusqu'à ce que le cou lui même se rétracte et disparaisse, la peau tendue, déchirée.

Cependant, il y avait peu de sang. Presque tout l'intérieur de son cou, y compris la veine jugulaire, pendait au dehors de sa bouche ouverte. Tout son corps se mettait à se contracter par saccades, comme un cafard sur le dos, avec des mouvements convulsifs, ses yeux fondus dégoulinant sur ses joues, mêlés aux larmes et, très vite, ne souhaitant par perdre de temps, j'éteignais les lumières et, dans le noir, avant qu'elle ne meure, lui ouvrais le ventre à mains nues. Je ne voyais pas ce que je faisais, mais j'entendais des claquements humides, et mes mains étaint brûlantes, couvertes de ses sucs gastriques.

Ensuite. Ni peur, ni trouble. Pas le temps de traîner car j'avais des choses à faire aujourd'hui. Ce qui restait des deux corps était bientôt en état de rigor mortis. Un bout de corps de la dernière pute - je crois, car j'avais de sérieuses difficultés à les distinguer l'une de l'autre - s'était affaissé, et les côtes pointaient, la plupart cassées en deux, de ce qui restait de son estomac, perforant les seins. Il y avait une tête clouée au mur, des doigts éparpillés, ou disposés plus ou moins en cercle autour d'un cadavre. Un des corps, celui qui était par terre , était couvert d'excréments et de marques de dents, là où je l'avais mordue sauvagement. Je plongeais une main dans le ventre d'un des cadavres et, d'un doigt ensanglanté, griffonnais JE SUIS RENTRE, en lettres dégoulinantes, au dessus d'un panneau en faux cuir.

Je suis la Troisième, le dernier rejeton de l'Abysse, Kaimetsu la bien nommée, précédent Wu. Je me tiens dans l'ombre du premier, contre le bras du Second. Je suis le silence, l'oeil du cyclone, la solution à tous vos maux.

L'idéal serait que vous commenciez à me détester, avant de détester aussi l'époque qui m'a créée.

Les Trois sont réunis... Le décompte à déjà débuté. Bientôt la Mascarade, la supercherie prendra fin.

Je dégueulais mes dix cafés sur un mendiant éclopé qui dormait près de la porte du boui-boui, chose qui me fit rire un long moment, lorsque je lui mettais le nez dedans, le forçant à lécher. Fouillant ma besace, j'en sortais un mouchoir brodé trempé d'éther que j'appliquais contre mon nez. L'odeur était époustouflante. Et bientôt je me voyais là, à gravir en chancelant les quelques marches d'un perron, en riant stupidement. Là réside l'avantage principal de l'éther; il vous fait vous comporter comme le plus primitif des soulards... perte totale de toutes les capacités motrices de base: vision embrouillée, aucun équilibre, langue paralysée - rupture de toute coordination entre corps et cerveau.

Ce qui ne manque pas d'intêret puisque le cerveau continue à fonctionner plus ou moins normalement... à dire vrai, vous vous voyez vous comporter de cette déplorable manière, mais vous ne pouvez rien y faire.
Ah! Diabolique éther - complète drogue du corps. L'esprit recule d'horreur, incapable de communiquer avec la colonne vertébrale. Les mains s'agitent comme des démentes, incapables de saisir quoi que ce soit de tangible... rires faux et chuintements de bouche... toujours en souriant.
J'ai allumé un cigarillo et j'ai hâté mon pas; un banc en pierre me poursuivait sur à peu près un kilomètre, je l'ai chassé en inhalant une demi dose de poudre.

J'ai un mal de crâne hors du commun, j'ai l'impression que mon cerveau enfle sans cesse, sans prendre en compte la taille de ma pauvre boîte crânienne. Au final, je suis une véritable crapule, pourrissant tout ce que je touche. Mais ne suis-je pas divine?

N'est il pas effrayant de voir à quel point tout le monde semble trouver normale cette situation? Vous me dégôutez, minables esclaves soumis à mes moindres caprices. Pourquoi m'avez vous laissée devenir la reine du Monde? Je voudrais percer ce mystère: comment, au sommet d'une époque cynique, fus je couronnée impératrice? Jamais connasse irresponsable n'a été aussi puissante que moi depuis deux mille ans...

Dans une société bloquée où tout le monde est coupable, le seul crime est de se faire prendre. Dans un univers de voleurs, le seul péché définitif est la stupidité.
Sha Shippôrhyä Hîdnayaprudgapaya De Sawall

"Putain, t'en as trop pris frangine... Trop pris..."
Myrddin Farlane

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