Description
Je suis retournée là où longtemps mon cœur à vecu. Pas même la moindre palpitation... Simplement de nombreux souvenirs que le temps a rendus vagues et presque étrangers.
J'y ai laissé toute une vie, celle de l'adolescence et du temps interminable ou l'on aime sans compter, égoïstement. Pas même l'aigreur de la blessure profonde n'a survécue.
Le paysage est magnifique, c'est celui de ton enfance. J'aurai aimé te voir peut-être...
Je manque de t'aimer encore chaque fois que tu te glisses dans mes rêves, mes pensées...
Je te rêve, je te pense, et je t'idéalise à nouveau... au fond, j'oublie...