zsuzsanna Tu veux la rencontrer ? Tchat avec elle !

Description

...La première goutte de son sang était douce, la qualité orgasmique dans laquelle il a assassiné cette femme a fait briller sa peau. Elle l'avait provoqué, complètement, et il l'avait averti qu'elle mourrait, et elle est morte terriblement torturée.

Il l'a fait souffrir par la lumière qui par la suite à brulé ses yeux après qu'il ait finalement brisé son cou tandis qu'elle était fatiguée de ses cris perçants et constants.
Il lui a donné la pitié...qu'il avait fini sa vie.

Le corps enduit de son propre sang, elle s'est effondrée sur une table de marbre gris et froid, la bouche entrouverte.

Il a fait son fier. Avoir tué dès sa première nuit hors de sa tombe, avoir les mains enduites du sang desséché qu'il a volé à cette mortelle...

Arminius : " Je sais que vous êtes là... Et je veux tomber amoureux de vous. Je sais que vous me voyez. Et je peux vous voir aussi. J'ai tellement peu de temps pour vous trouver. Il y a tant de vies, tant de morts. C'est un repos facile. Je ne veux pas vous blesser. Suivez-moi. Je jure que je ne vous abandonnerai pas. Zsuzsanna. Je peux presque vous sentir dans mes bras. Veuillez écouter mes larmes. Comptez juste les étoiles, car elles sont mon néant.
Je sais que je ne peux pas vous avoir. Vous êtes hors de ma portée. Je sais qu'elle a une prise sur vous. Mais je n'abandonnerai pas... n'abandonnerai pas ... pas... vous. "

Zsu : " Oui. "

Elle s'est transformée et est tombée avec élégance, accroupie, position qu'elle avait prise avant sa fin. Tout était encore identique. Elle avait le même aspect qu'avant son éternité; une jeune femme avec la peau pâle se reposant sur le balcon de son manoir la nuit d'une lune lumineuse. Excepté ses yeux ; ses yeux qui reflètent la douleur et une solitude de mille ans. Beaux yeux bleus encadrés par de longues mèches dorées, yeux qui n'ont tenu aucune vie. Ce sont les yeux de la mort. Excepté aussi sa soif. Plus de vin, plus d'eau... mais du sang, beaucoup de sang, toujours du sang. Zsuzsanna marche de nouveau, à l'ombre.