Pas mieux, j'ajouterai, lui qui parle de trompe l'oeil en connaissance de cause en est un à lui tout seul le mytho !
D'ailleurs il le confirme lui même, ce topic « C'est quoi ..le langage..? », sans rire, il l'a classé dans la rubrique « Auto-moto », c'est assez révélateur chez un intello revendiqué !
Donc voilà, tout est dit !
A moins qu'il ne considère que, pour lui, le langage est le véhicule de sa pensée … des mots tôt pour véhiculer ses maux tard !
Voilà qui pourrait expliquer l'ampleur de sa dissonance cognitive et de ses résonnements parasites provoquant chez lui de tels conflits cognitifs !
Bonne journée à toi !
Bonsoir,
"A moins qu'il ne considère que, pour lui, le langage est le véhicule de sa pensée … des mots tôt pour véhiculer ses maux tard ! "
" Philip Dick, le grand Reset et la désolation du monde "
lun., 14 fév. 2022
" Revenons à Philip Dick via la crise et le Reset actuels, à ses romans qui traitent du thème du logement et de la survie des familles ordinaires. Dans la plupart de ses œuvres Dick nous parle des temps post-apocalyptiques qui durent interminablement et où nous nous retrouvons aujourd'hui.
Le futur dystopique décrit par ce très grand auteur, la dégénérescence d'une civilisation dominée par des milliardaires et des bureaucrates tarés, nous le vivons maintenant.
Pour l'écrivain le facteur moteur qui pousse le récit vers la science-fiction est la bombe atomique ou la conquête de l'espace. Sans l'un et sans l'autre les gens modernes se retrouvent dans les conditions « post-atomiques » - masqués jusqu'aux cheveux, effrayés jusqu'à ne pas sortir de chez soi et de haïr son prochain. Sans aucune bombe le monde se réduit en poussière... On se retrouve directement dans le décor du roman « Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? », écrit en 1968 et si bien mis en scène par sir Ridley Scott dans son « Blade runner ». Les vieilleries, le « junk », la poussière, les ordures sont des personnages de plein droit dans ce texte ; ils envahissent le monde, l'espace, ils prennent les dimensions surréelles. « Les vieilleries - les choses inutiles comme des enveloppes déchirées, des boites vides des allumettes, des emballages du chewing-gum ou des serviettes hygiéniques. Quand il n'y a personne à côté - ce junk se reproduit. Par exemple, si vous ne jetez pas tout cela à la poubelle le soir avant de vous coucher, le matin le junk doublera son volume. Partout il prend de plus en plus de place ». La planète entière est couverte des immeubles abandonnés et semi-ruinés. Cela nous rappelle les visions des villes industrielles américaines abandonnées et dévastées, décrites par Jim Jarmusch - Detroit, Cleveland etc. "
" Philip Dick, le grand Reset et la désolation du monde "
lun., 14 fév. 2022
" Revenons à Philip Dick via la crise et le Reset actuels, à ses romans qui traitent du thème du logement et de la survie des familles ordinaires. Dans la plupart de ses œuvres Dick nous parle des temps post-apocalyptiques qui durent interminablement et où nous nous retrouvons aujourd'hui.
Le futur dystopique décrit par ce très grand auteur, la dégénérescence d'une civilisation dominée par des milliardaires et des bureaucrates tarés, nous le vivons maintenant.
Pour l'écrivain le facteur moteur qui pousse le récit vers la science-fiction est la bombe atomique ou la conquête de l'espace. Sans l'un et sans l'autre les gens modernes se retrouvent dans les conditions « post-atomiques » - masqués jusqu'aux cheveux, effrayés jusqu'à ne pas sortir de chez soi et de haïr son prochain. Sans aucune bombe le monde se réduit en poussière... On se retrouve directement dans le décor du roman « Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? », écrit en 1968 et si bien mis en scène par sir Ridley Scott dans son « Blade runner ». Les vieilleries, le « junk », la poussière, les ordures sont des personnages de plein droit dans ce texte ; ils envahissent le monde, l'espace, ils prennent les dimensions surréelles. « Les vieilleries - les choses inutiles comme des enveloppes déchirées, des boites vides des allumettes, des emballages du chewing-gum ou des serviettes hygiéniques. Quand il n'y a personne à côté - ce junk se reproduit. Par exemple, si vous ne jetez pas tout cela à la poubelle le soir avant de vous coucher, le matin le junk doublera son volume. Partout il prend de plus en plus de place ». La planète entière est couverte des immeubles abandonnés et semi-ruinés. Cela nous rappelle les visions des villes industrielles américaines abandonnées et dévastées, décrites par Jim Jarmusch - Detroit, Cleveland etc. "
l'individuation de ce que tu consommes..en fonction de tes revenus...
plus t'es pauvre, plus c'est cher..!
en fait, l’avènement du cynisme ..
qui a de tous temps, conditionné les classes dirigeantes..
et après, on ose dire que le communisme est dépassé..
en fait , il n'a jamais été appliqué sur cette planète...!
il faut que ça se sache..!
c'est pas l’expérience soviétique qui peut se revendiquer ..
d'un quelconque marxisme...
staline a tué toute forme de contestation, et de contestataire...
à la limite Cuba...
face à l'empire des sauvages... juste à quelque centaines de kms..!
du coup, on peut comprendre la paranoïa des cubains..
c'est important de le comprendre..
parce que "comprendre"..
c'est prendre avec soi...
@+ fout
Salut Arthur,
Dick,j'avais lu quelques-unes de ses œuvres il y a fort longtemps... Puis j'ai délaissé la S-F sous sa forme livresque.Depuis je me borne à regarder des films et ils sont guère nombreux.En fait,je pense avoir lu les " essentiels ".
Je te cite:
" c'est pas l’expérience soviétique qui peut se revendiquer ..
d'un quelconque marxisme... "
Dick,j'avais lu quelques-unes de ses œuvres il y a fort longtemps... Puis j'ai délaissé la S-F sous sa forme livresque.Depuis je me borne à regarder des films et ils sont guère nombreux.En fait,je pense avoir lu les " essentiels ".
Je te cite:
" c'est pas l’expérience soviétique qui peut se revendiquer ..
d'un quelconque marxisme... "