hello Arthur ...
t'as vu tes micros trottoir ...
ils chantaient une autre chanson ...
pour la mélodie (du bonheur)
qui revient a mes oreilles en rengaine ....
comme un crincrin qui aurait perdu son allégresse ...
pour nous seriner la même chanson ...!!!
comment avancer ????
si on perds la note qui nous donnait le ton ...
et nous laisse sans voix ...
tandis que le coq reprend sa gamme ...
et nous serine son couplet ...
pour mieux nous emmerder ...!!!
ce matin
un gout d'amertume dans ma bouche avec la sensation d'un déja vu ...
Citation de savanee
hello Arthur ...
t'as vu tes micros trottoir ...
ils chantaient une autre chanson ...
pour la mélodie (du bonheur)
qui revient a mes oreilles en rengaine ....
comme un crincrin qui aurait perdu son allégresse ...
pour nous seriner la même chanson ...!!!
comment avancer ????
si on perds la note qui nous donnait le ton ...
et nous laisse sans voix ...
tandis que le coq reprend sa gamme ...
et nous serine son couplet ...
pour mieux nous emmerder ...!!!
ce matin
un gout d'amertume dans ma bouche avec la sensation d'un déja vu ...
salut Savane..
d' un coté comme de l'autre..
le climat n'est pas dans leur souci..!
dans 3 ans....
pas plus..!
tout va devenir irréversible..!
jadot doit de l'argent..!
mais ça me fait trop rire...
comme hidalgo.. la trop conne..!
ou.
pecresse..!
un jour on la verra à feu rouge..
s'il vous plait..
"donnez moi l'argent..!
je sais pas vivre autrement.."
lol
mais rien de rien...
pour le désastre à venir..
Modifié il y a 2 ans, le mardi 12 avril 2022 à 02:17
"Abel le Rat m’a pourtant livré leur secret un soir entre quatre-z-yeux et quatre litres aussi.
— Tu comprends,
je peux bien te le dire à toi, puisque tu ne restes pas dans le pays et que tu t’en bats l’œil.
Ils nous paient à boire des deux côtés, alors, on leur doit quelque chose.
Seulement, on ne peut pas partager une voix en deux,
comme un litre : alors, on s’arrange.
Une fois, c’est Laugu qui vote rouge et moi blanc,
la fois d’après,
c’est le contraire ;
la dernière fois,
comme il y a eu deux tours,
on a pu voter pour tous.
Comme ça, il n’y a rien à dire, ...
et on ne leur-z-y doit rien !
Et il ajouta, concluant :
— On est honnête ou on ne l’est pas !"
(Extrait de "Deux électeurs sérieux")
Les Rustiques : Nouvelles villageoises de Louis Pergaud