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Une petite inspiration du moment sans doute due au petit retour de la neige.
Bonne lecture.
Elle….
…… blasée d’une vie quelque peu mondaine, d’une éducation austère suivie dans un pensionnat de bonnes sœurs, née d’un père industriel et d’une mère noble, accablée d’un large héritage de protocoles. Elle avait passé la plus grande partie de sa vie comme directrice de société alliant son ou ses charmes aux relations discrètes quelle entretenait avec ses clients privilégiés ou de principe. Endurcie par toutes ces phases et moments d’aventures, que finalement elle avait oublié de vivre intensément quelconques passions qui l’auraient faite fleurir bien plus encore.
Elle essayait par des songes de retrouver cette douceur sensuelle qu’elle avait depuis trop longtemps enfuie au plus profond de ses oublis, se laissant guider par les caresses d’amies proches qui lui rendaient visites en les vieux murs de son domaine familiale. Autres filles dont le corps réclamait jouissances alors que le statut marital ne leur permettait pas de rencontres au grand jour. Femmes quelques peu délaissées, retranchées dans la découverte du plaisir féminin.
Sa curiosité l’avait poussée à suivre les traces de son père lorsqu’elle avait découvert l’existence d’un enfant qu’il aurait eut avec une fille de 16 ans, secret bien gardé à grands coups d’écus d’or. Pendant plus de deux ans elle fit des recherches pour retrouver l’acte de naissance à la mairie de Paris et chercha à suivre cet enfant prénommé Jack. Irrémédiablement elle se résigna à faire appel à des professionnels. Un échange de courriers s’ensuivit entre eux et finalement le quinquagénaire accepta son invitation à venir lui rendre visite et passer les fêtes de fin d’année en sa compagnie.
Le manoir reçu pour la cause un coup de baguette magique et se retrouva au temps de sa magnificence, les amies et amis invités pour cette réception ne cessaient de la complimenter sur sa recherche, elle leur présenta tour à tour son demi-frère. Un apollon d’allure sportive à qui aucune fille n’aurait résisté….. enfin jusque là.
L’orchestre appelé en cette occasion leur dédia la première danse et….. Jack était loin d’imaginer qu’au premier contact avec cette douceur de 15 ans son aînée qu’il tenait dans ses bras, il allait craquer. De danse en danse, de frôlements en caresses qu’il imaginait, il avait de plus en plus envie d’elle. Son regard se noyait dans celui de sa sœur, il ne voyait plus que ce corps qu’il devinait sublime et ne pensait plus qu’à l’étreindre au moins une nuit.
La femme au corsage nanti d’un décolleté profond enveloppant des seins lourds et généreux, des hanches larges ayant déjà subit de nombreux assauts horizontaux était dans ses bras…. Elle parlait, riait, s’amusait de le voir un peu perdu dans cette foule qu’elle connaissait si bien mais était si étrangère pour lui. Des années les séparaient finalement, et il ne voulait pas briser cette sphère familiale.
Il revint donc sur terre, la soirée se terminait, les invités ayant quitté les lieux, elle lui désigna une servante pour l’accompagner vers la chambre qui lui était réservée. Avant de gagner la sienne….. et l’ambiance d’une cheminée bien garnie.
Les journées suivant le passage de l’année se voyaient réservées à la découverte de leur vie respective qu’elle ne risquait de lui confier entièrement. Jack s’évertuait en cadeaux et compliments pour sa sœur, sa muse du moment, celle qu’il voulait conquérir, celle qui se refusait très naturellement à ses avances sans même jamais imaginer où il voulait en venir.
Elle avait retrouvé un frère et cette complicité lui suffisait largement…..
19 janvier 1901.
Debout devant la fenêtre de sa chambre quelque peu avant la tombée de la nuit, Anna-Johanna au regard vide parcourait l’horizon, plongée dans le passé de sa vie de femme solitaire. La neige s’amoncelait sur les pavés de la rue devant elle. Elle ne fut tirée de ses pensées que par des cris stridents de cochers de deux voitures attelées venant de s’accrocher là en face d’elle.
Par la fenêtre de l’une d’elle, elle discerna un de ses amis bourgeois nullement perturbé et vit une chevelure blonde allant et venant entre ses cuisses….
Vêtue uniquement d’une chemise de nuit transparente, la chaleur de la cheminée lui faisant coller à la peau, une poussée d’adrénaline à la vue de cette fille pratiquant une fellation dans la voiture lui remit en mémoire ces moments où c’était elle qui prodiguait ces attouchements.
Son corps était chaud, il avait envie d’être pénétré, même si elle ne voulait pas se l’avouer à elle-même. Le premier venu l’aurait baisée avec son accord.
Plongée au plus profond de ses souvenirs les plus torrides ; elle n’entendit pas la porte de sa chambre s’ouvrir et se refermer.
Jack son demi-frère entièrement nu vint de coller derrière elle, cherchant à découvrir ce qui lui occupait l’esprit. A son contact elle reste immobile, comme s’il n’était pas. Ses pensées l’emmenaient vers des moments où elle dispersait les mêmes services à ses amants, non pour de l’argent mais pour le plaisir.
Sa liquette entièrement cristalline appliquée à son corps ne servait plus de voile aucun…. Il était là, serré contre elle, sa main ayant légèrement déplacé le rideau pour se situer dans la scène vint se glisser sous le sein de Anna-Johanna et en capter le maximum de sa sensibilité.
Immobile, elle s’abandonnait à ses caresses, sentant entre ses fesses une bosse de plus en plus grandissante. En prise avec son subconscient ; le rejeter comme elle l’avait fait depuis leur première rencontre ayant découvert ses intentions ou accepter d’être totalement offerte à lui de la façon qu’il lui imposerait.
Le souffle chaud de Jack contre sa nuque décuple en elle cet élan d’adrénaline, il lui chuchote des mots doux à l'oreille, il en profite pour lui lécher le lobe, il sait combien ça fait frissonner. Une de ses mains descend vers le bas de son ventre se coule entre ses cuisses et est en train de chatouiller son clito noyé dans sa cyprine... il le titille pour le réveiller à nouveau. Tandis que de l'autre il caresse ses seins. Il enroule son téton en appuyant un peu autour de ses doigts... il tire dessus, l'étire... le fait rouler entre ses phalanges.... il grandit sous ses yeux tandis qu'une vague de plaisir la submerge... Soudainement, Anna-Johanna est prise par une envie de plus en plus forte... le diable qui est en elle se serait-il enfin réveillé?
Elle était au point où il voulait la cueillir, d’un geste il la fit se retourner avant de la saisir par les hanches et l’emporter deux mètres vers le lit, l’y coucher en travers et de tomber à genoux entre ses cuisses.
Sa langue s’activait sous le V de sa sœur pour faire surgir son bourgeon, mais elle restait passive, trop passive à son goût….il allait lui faire payer les longues journées où elle s’était inlassablement refusée à ses avances.
Soudain il lui ordonne
- Mets-toi à quatre pattes sur le lit!
Elle obéit et ferma les yeux de peur et étonnée elle senti sa langue lui caresser son petit trou. Ce qui la fit se réveiller au plaisir.
…………………… à suivre
Modifié il y a 4 ans, le dimanche 19 janvier 2020 à 16:33
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Disponible pour des plans coquines sans lendemain. Veuillez me contacter Whatsapp uniquement +33756803190
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salut Blonq
je dispose de peu de temps là
je viendrais lire plus tard pour bien l'apprécier
et je te dirais en deux trois mots (ou pluss)
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À propos de con...
Ou l'art d'être pris pour tel !
Par un ou unetelle.
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Citation de sedecmilla
Disponible pour des plans coquines sans lendemain. Veuillez me contacter Whatsapp uniquement +33756803190
"sans lendemain"
Pertinent.
Modifié il y a 4 ans, le dimanche 19 janvier 2020 à 21:56
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Citation de blonq
Une petite inspiration du moment sans doute due au petit retour de la neige.
Bonne lecture.
Elle….
…… blasée d’une vie quelque peu mondaine, d’une éducation austère suivie dans un pensionnat de bonnes sœurs, née d’un père industriel et d’une mère noble, accablée d’un large héritage de protocoles. Elle avait passé la plus grande partie de sa vie comme directrice de société alliant son ou ses charmes aux relations discrètes quelle entretenait avec ses clients privilégiés ou de principe. Endurcie par toutes ces phases et moments d’aventures, que finalement elle avait oublié de vivre intensément quelconques passions qui l’auraient faite fleurir bien plus encore.
Elle essayait par des songes de retrouver cette douceur sensuelle qu’elle avait depuis trop longtemps enfuie au plus profond de ses oublis, se laissant guider par les caresses d’amies proches qui lui rendaient visites en les vieux murs de son domaine familiale. Autres filles dont le corps réclamait jouissances alors que le statut marital ne leur permettait pas de rencontres au grand jour. Femmes quelques peu délaissées, retranchées dans la découverte du plaisir féminin.
Sa curiosité l’avait poussée à suivre les traces de son père lorsqu’elle avait découvert l’existence d’un enfant qu’il aurait eut avec une fille de 16 ans, secret bien gardé à grands coups d’écus d’or. Pendant plus de deux ans elle fit des recherches pour retrouver l’acte de naissance à la mairie de Paris et chercha à suivre cet enfant prénommé Jack. Irrémédiablement elle se résigna à faire appel à des professionnels. Un échange de courriers s’ensuivit entre eux et finalement le quinquagénaire accepta son invitation à venir lui rendre visite et passer les fêtes de fin d’année en sa compagnie.
Le manoir reçu pour la cause un coup de baguette magique et se retrouva au temps de sa magnificence, les amies et amis invités pour cette réception ne cessaient de la complimenter sur sa recherche, elle leur présenta tour à tour son demi-frère. Un apollon d’allure sportive à qui aucune fille n’aurait résisté….. enfin jusque là.
L’orchestre appelé en cette occasion leur dédia la première danse et….. Jack était loin d’imaginer qu’au premier contact avec cette douceur de 15 ans son aînée qu’il tenait dans ses bras, il allait craquer. De danse en danse, de frôlements en caresses qu’il imaginait, il avait de plus en plus envie d’elle. Son regard se noyait dans celui de sa sœur, il ne voyait plus que ce corps qu’il devinait sublime et ne pensait plus qu’à l’étreindre au moins une nuit.
La femme au corsage nanti d’un décolleté profond enveloppant des seins lourds et généreux, des hanches larges ayant déjà subit de nombreux assauts horizontaux était dans ses bras…. Elle parlait, riait, s’amusait de le voir un peu perdu dans cette foule qu’elle connaissait si bien mais était si étrangère pour lui. Des années les séparaient finalement, et il ne voulait pas briser cette sphère familiale.
Il revint donc sur terre, la soirée se terminait, les invités ayant quitté les lieux, elle lui désigna une servante pour l’accompagner vers la chambre qui lui était réservée. Avant de gagner la sienne….. et l’ambiance d’une cheminée bien garnie.
Les journées suivant le passage de l’année se voyaient réservées à la découverte de leur vie respective qu’elle ne risquait de lui confier entièrement. Jack s’évertuait en cadeaux et compliments pour sa sœur, sa muse du moment, celle qu’il voulait conquérir, celle qui se refusait très naturellement à ses avances sans même jamais imaginer où il voulait en venir.
Elle avait retrouvé un frère et cette complicité lui suffisait largement…..
19 janvier 1901.
Debout devant la fenêtre de sa chambre quelque peu avant la tombée de la nuit, Anna-Johanna au regard vide parcourait l’horizon, plongée dans le passé de sa vie de femme solitaire. La neige s’amoncelait sur les pavés de la rue devant elle. Elle ne fut tirée de ses pensées que par des cris stridents de cochers de deux voitures attelées venant de s’accrocher là en face d’elle.
Par la fenêtre de l’une d’elle, elle discerna un de ses amis bourgeois nullement perturbé et vit une chevelure blonde allant et venant entre ses cuisses….
Vêtue uniquement d’une chemise de nuit transparente, la chaleur de la cheminée lui faisant coller à la peau, une poussée d’adrénaline à la vue de cette fille pratiquant une fellation dans la voiture lui remit en mémoire ces moments où c’était elle qui prodiguait ces attouchements.
Son corps était chaud, il avait envie d’être pénétré, même si elle ne voulait pas se l’avouer à elle-même. Le premier venu l’aurait baisée avec son accord.
Plongée au plus profond de ses souvenirs les plus torrides ; elle n’entendit pas la porte de sa chambre s’ouvrir et se refermer.
Jack son demi-frère entièrement nu vint de coller derrière elle, cherchant à découvrir ce qui lui occupait l’esprit. A son contact elle reste immobile, comme s’il n’était pas. Ses pensées l’emmenaient vers des moments où elle dispersait les mêmes services à ses amants, non pour de l’argent mais pour le plaisir.
Sa liquette entièrement cristalline appliquée à son corps ne servait plus de voile aucun…. Il était là, serré contre elle, sa main ayant légèrement déplacé le rideau pour se situer dans la scène vint se glisser sous le sein de Anna-Johanna et en capter le maximum de sa sensibilité.
Immobile, elle s’abandonnait à ses caresses, sentant entre ses fesses une bosse de plus en plus grandissante. En prise avec son subconscient ; le rejeter comme elle l’avait fait depuis leur première rencontre ayant découvert ses intentions ou accepter d’être totalement offerte à lui de la façon qu’il lui imposerait.
Le souffle chaud de Jack contre sa nuque décuple en elle cet élan d’adrénaline, il lui chuchote des mots doux à l'oreille, il en profite pour lui lécher le lobe, il sait combien ça fait frissonner. Une de ses mains descend vers le bas de son ventre se coule entre ses cuisses et est en train de chatouiller son clito noyé dans sa cyprine... il le titille pour le réveiller à nouveau. Tandis que de l'autre il caresse ses seins. Il enroule son téton en appuyant un peu autour de ses doigts... il tire dessus, l'étire... le fait rouler entre ses phalanges.... il grandit sous ses yeux tandis qu'une vague de plaisir la submerge... Soudainement, Anna-Johanna est prise par une envie de plus en plus forte... le diable qui est en elle se serait-il enfin réveillé?
Elle était au point où il voulait la cueillir, d’un geste il la fit se retourner avant de la saisir par les hanches et l’emporter deux mètres vers le lit, l’y coucher en travers et de tomber à genoux entre ses cuisses.
Sa langue s’activait sous le V de sa sœur pour faire surgir son bourgeon, mais elle restait passive, trop passive à son goût….il allait lui faire payer les longues journées où elle s’était inlassablement refusée à ses avances.
Soudain il lui ordonne
- Mets-toi à quatre pattes sur le lit!
Elle obéit et ferma les yeux de peur et étonnée elle senti sa langue lui caresser son petit trou. Ce qui la fit se réveiller au plaisir.
…………………… à suivre
bonjour Blonq
à l'ouest l'Antioche…
j'avais pourtant percé ton intérêt aux "choses" du sexe
mais j'ai quand même été surprise du sujet
je ne sais pas trop ce que tu attends comme intervention
peut-être vais-je tomber à côté ou faire du hors sujet
je vais exprimer mon ressenti de lecture (non comme un jugement)
le sujet : relations, relation incestueuse
sujet pas franchement traité ouvertement dans la société, tabou même
tu l'abordes en direct, sans provocation, explication comme quelque chose de naturel
bien vu, bien fait
cependant ma "p'tit' nature, lors de rapprochement physique entre les 2 personnes préfère l'emploi de demi-sœur et demi - frère
le titre : "Elle..." , "... blasée"
peut-être que les points de suspension signifient qu'il y avait du texte précédemment mais si non
c'est un chouette effet
1ère partie : je l'ai trouvé monotone, manquant de rythme
peut-être l'emploi de phrases longues
2ème partie : en revanche cette partie, du rythme, de l'ambiance tout en respectant le côté bourgeois, feutré
(phrases moins longues, est-ce en rapport ?)
le cœur ("le cul") : écrit en conservant "le ton", l'atmosphère bourgeoise, luxueuse tout en entrant dans le vif du sujet
et vraisemblant, on pourrait s'y croire
(à part "le clito" , le mot dans son entier, clitoris, peut-être)
c'est cru et à la fois non, grâce à la non vulgarité, grossièreté peut-être
j'en ai fait une tartine
je n'aurais p'têt pas dû...
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Bonjour .
Merci pour ta pensée , ce sera sans doute la seule perçue .
Il est bien évident que tout les textes ne peuvent plaire à tout le monde .
Les points de suspensions ne cache pas un texte effacé, mais servent à marquer un espace temps voulu pour créer parfois un effet surprise . Ce que tu as si bien ressenti .
Oui, cette histoire est datée début 20 ieme , la longueur de la préparation , de la présentation est voulue . La rédaction des écrits 2020 comme les tiens est plus brutale , , ce que je voulais justement éviter . Amener doucement ce moment incestueux en la partie la plus sensuelle pour éviter le rejet . Son besoin d’être possédée à la seconde même par n’importe qui et son cadet était là à sa portée alors qu'il ne la percevait plus que comme un jouet ......
Merci encore pour tes remarques . Je suis certain que tu pourrais donner une suite .
Modifié il y a 4 ans, le lundi 20 janvier 2020 à 11:05
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Citation de blonq
Bonjour .
Merci pour ta pensée , ce sera sans doute la seule perçue .
Il est bien évident que tout les textes ne peuvent plaire à tout le monde .
Les points de suspensions ne cache pas un texte effacé, mais servent à marquer un espace temps voulu pour créer parfois un effet surprise . Ce que tu as si bien ressenti .
Oui, cette histoire est datée début 20 ieme , la longueur de la préparation , de la présentation est voulue . La rédaction des écrits 2020 comme les tiens est plus brutale , , ce que je voulais justement éviter . Amener doucement ce moment incestueux en la partie la plus sensuelle pour éviter le rejet . Son besoin d’être possédée à la seconde même par n’importe qui et son cadet était là à sa portée alors qu'il ne la percevait plus que comme un jouet ......
Merci encore pour tes remarques . Je suis certain que tu pourrais donner une suite .
perçue, je ne sais pas, parce qu'il y a des lecteurs
mais qui ne partagent pas ça oui !
on dirait que les gengens ne savent pas discuter, c'est "pour ou contre" et quand ça se produit !
j'ai même l'impression qu'il ne faut pas parler de soi, de ce que l'on voit, pense, ressent
un peu comme si c'était égocentrique et déplacé !
pluss les "non-dits" en messages codés, l'ironie ou autre façon de faire
pfff c'est très très décevant et pauvre en beaucoup de choses
voire écœurant si on en fait une photo de la société
Forum ? tu parles, en fait il y a la place, le lieu mais pas les échanges, les rencontres
chacun reste, en très très grande majorité dans son p'tit espace, confort
l'excuse : le nombre ! ben non, c'est pas la quantité qui fait la qualité, ya plus de potentialité oui
et quand tu es nouveau ! alors là fô résister ! aux agressions, aux "tu perds ton temps"
comme si "c'est comme ça, ça changera jamais" et sous entend "nous on sait, on connait"
heureusement que la vie évolue,
c'est comme ça pendant un temps, long parfois et un jour ça change petit à petit ou d'un coup
je ne vois pas pourquoi le forum n'évoluerait pas
ah d'la musique, ça, ça défile, ça débite pratiquement sans mot. Ce matin je crois qu' à la suite, il y avait au moins 5 topic !
j'ai même commencé par là pour "mon" premier topic parce que j'avais envie d'inter action (et un but) et j'ai pensé que ce serait plus facile…
j'arrête la tirade, escuse moi, ma machine s'est lancée
et j'ai pas eu envie de la censurée
je reviens pour parler de Ton histoire, ton écrit
intéressant sur bien des points
vraiment dommage du manque d'intérêt, plus tard peut-être
parce qu'il y a matière à discuter
à polémiquer sans se disputer ou s'insulter
Modifié il y a 4 ans, le lundi 20 janvier 2020 à 12:50
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Citation de blonq
Bonjour .
Merci pour ta pensée , ce sera sans doute la seule perçue .
Il est bien évident que tout les textes ne peuvent plaire à tout le monde .
Les points de suspensions ne cache pas un texte effacé, mais servent à marquer un espace temps voulu pour créer parfois un effet surprise . Ce que tu as si bien ressenti .
Oui, cette histoire est datée début 20 ieme , la longueur de la préparation , de la présentation est voulue . La rédaction des écrits 2020 comme les tiens est plus brutale , , ce que je voulais justement éviter . Amener doucement ce moment incestueux en la partie la plus sensuelle pour éviter le rejet . Son besoin d’être possédée à la seconde même par n’importe qui et son cadet était là à sa portée alors qu'il ne la percevait plus que comme un jouet ......
Merci encore pour tes remarques . Je suis certain que tu pourrais donner une suite .
bon la première phrase j'y ai répondu…
je me suis d'ailleurs arrêtée là ! smiley un peu désolé de ce laisser aller
Plaire à tout le monde, c'est peut-être l'envie profonde, l'idéal du créateur, de l'artiste
mais impossible, la diversité, le caractère des hommes, la culture dans le sens "sociologique" pas artistique
ne le permettent pas mais parfois quand ça touche le plus grand monde, ça doit apporter un punaise de bien être
à son nombril, attention à la grosse tête !
ça n'empêche que ton texte a du "chien", de la race, un profil, une forme et plus encore quand tu le développes (ci-dessus)
de la provocation (pas fait pour me déplaire même si ça me bouscule)
je suis bien contente que le début soit un effet parce qu'il en a et que ça en jette
je comprend mieux la différence des "deux parties" mais quand même
ce n'est pas la longueur de la première partie qui me gêne
mais plutôt l'ennui de l'écriture, plusieurs "thèmes" dans une même phrase.
Vraiment je crois qu'il y a, à y gagner (pas comme dans ce début de phrase)
parfois en faisant deux phrases au lieu d'une
la stratégie "d'amener doucement le moment incestueux pour éviter le rejet" c'est gagné
on se laisse prendre au jeu de la sensualité, sexualité, du désir, de ce qui se fait sans problème moral
une série "Under six feet" 6 pieds sous terre, une série que j'ai beaucoup aimé
aborde de manière très différente, l'homosexualité et l'inceste entre un frère et une sœur
et l'amour et la mort et d'autres choses, peu de cliché. Série de très grandes qualités
pour la suite, non Blonq, j'en suis bien incapable
je ne sais pas écrire d'histoire et malheureusement je suis bien trop prude et pudique même si on ne dirait pas
dans une histoire, il y a une projection de soi d'une manière ou d'une autre
expérience, envie, fantasme…
la sexualité c'est tout un thème que je ne peux exploiter
je peux échanger à partir d'un texte, d'une expérience, d'un souvenir, de quelqu'un d'autre
mais pas inventer, créer
toi en revanche, tu as un quelque chose de réel, de concret, qu'on peut lire et qui donne envie
à toi de te jeter à l'eau, encore…
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Citation de antioche.lyn
perçue, je ne sais pas, parce qu'il y a des lecteurs
mais qui ne partagent pas ça oui !
on dirait que les gengens ne savent pas discuter, c'est "pour ou contre" et quand ça se produit !
j'ai même l'impression qu'il ne faut pas parler de soi, de ce que l'on voit, pense, ressent
un peu comme si c'était égocentrique et déplacé !
pluss les "non-dits" en messages codés, l'ironie ou autre façon de faire
pfff c'est très très décevant et pauvre en beaucoup de choses
voire écœurant si on en fait une photo de la société
Forum ? tu parles, en fait il y a la place, le lieu mais pas les échanges, les rencontres
chacun reste, en très très grande majorité dans son p'tit espace, confort
l'excuse : le nombre ! ben non, c'est pas la quantité qui fait la qualité, ya plus de potentialité oui
et quand tu es nouveau ! alors là fô résister ! aux agressions, aux "tu perds ton temps"
comme si "c'est comme ça, ça changera jamais" et sous entend "nous on sait, on connait"
heureusement que la vie évolue,
c'est comme ça pendant un temps, long parfois et un jour ça change petit à petit ou d'un coup
je ne vois pas pourquoi le forum n'évoluerait pas
ah d'la musique, ça, ça défile, ça débite pratiquement sans mot. Ce matin je crois qu' à la suite, il y avait au moins 5 topic !
j'ai même commencé par là pour "mon" premier topic parce que j'avais envie d'inter action (et un but) et j'ai pensé que ce serait plus facile…
j'arrête la tirade, escuse moi, ma machine s'est lancée
et j'ai pas eu envie de la censurée
je reviens pour parler de Ton histoire, ton écrit
intéressant sur bien des points
vraiment dommage du manque d'intérêt, plus tard peut-être
parce qu'il y a matière à discuter
à polémiquer sans se disputer ou s'insulter
Tu as effectivement très vite cerné la situation .
Smail est en chute libre , l'élastique est pété
Le bateau coule les rats infestent le navire , ou l’inverse
Tracasse mon texte je sais où le placer pour être visite
En voici un plus brut lu 2300 fois en moins d’un mois et uniquement des pouces levés en plus des commentaires .
Nos regards
Nous nous sommes croisés sur un trottoir quelques peu bondé. Qui sait pourquoi , ton regard s'est tourné vers le mien un bref instant et une second un peu plus appuyé, tu étais à quelques mètres en face de moi . En me dépassant , nos yeux étaient rivés l'un à l'autre. J'y lisais , un message , un manque , une envie , un besoin suprême ....Je fais demi-tour , commence à te suivre, dans ta superbe démarche ton boule magnifique se balançait plus que provocant , mes yeux ne peuvent s'en détacher , mon regard brûlant le caresse, tu le perçois le ressens sur ta mini . Jack ne tient plus en place....ça t'excite de sentir un mec te matant le cul , de savoir qu'il bande pour toi, d.imaginer qu'il va te baiser là peut être ou plus loin encore . Tu ralentis ta marche , le plaisir te gagne à chacun de tes pas, trempée d'envie de te faire sodomiser tout de suite . Devant une vitrine , tu te penches légèrement , pour lire une annonce ...... Le sexe en main , je me presse contre tes fesses nues sous ta jupe , glisse un pied entre tes jambes pour les écarter et te pénètre le O d'un seul bond , tu adules , te colles à mon ventre . Je vais en toi en de gigantesques coups de bite, te pistonne , te lime, te baise là, devant les jeunes filles qui t'envient au passage . Notre plaisir monte , monte . Les mains glissées sous ta blouse emprisonnent tes seins ballants à chaque coup de buttoir, tétons pincés entre les doigts , je te démonte plus encore .... Notre reflet dans la glace nous excite d’avantage , tu caresses ton bourgeon. Une jouissance profonde gagne tes reins , ton dos, vient en étincelles dans ton cerveau , tu trembles.... Je joui en toi, une suite de jets brûlants inonde tes entrailles tout en te labourant encore. Mon Jack se recule , s’introduit sous ton bassin étroit , glisse sous ta chatte en écartant tes grandes lèvres, écrase ton bourgeon en le dépassant , tes cuisses se resserrent et...mon dernier jet fini sa course sur la vitrine . Reprenant un peu tes esprits , tu passes ta main entre nous, tire sur le bord de ta blouse , faisant voir le bas de ton cou où un tatou me dévoile ton n° de phone .
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Citation de blonq
Tu as effectivement très vite cerné la situation .
Smail est en chute libre , l'élastique est pété
Le bateau coule les rats infestent le navire , ou l’inverse
Tracasse mon texte je sais où le placer pour être visite
En voici un plus brut lu 2300 fois en moins d’un mois et uniquement des pouces levés en plus des commentaires .
Nos regards
Nous nous sommes croisés sur un trottoir quelques peu bondé. Qui sait pourquoi , ton regard s'est tourné vers le mien un bref instant et une second un peu plus appuyé, tu étais à quelques mètres en face de moi . En me dépassant , nos yeux étaient rivés l'un à l'autre. J'y lisais , un message , un manque , une envie , un besoin suprême ....Je fais demi-tour , commence à te suivre, dans ta superbe démarche ton boule magnifique se balançait plus que provocant , mes yeux ne peuvent s'en détacher , mon regard brûlant le caresse, tu le perçois le ressens sur ta mini . Jack ne tient plus en place....ça t'excite de sentir un mec te matant le cul , de savoir qu'il bande pour toi, d.imaginer qu'il va te baiser là peut être ou plus loin encore . Tu ralentis ta marche , le plaisir te gagne à chacun de tes pas, trempée d'envie de te faire sodomiser tout de suite . Devant une vitrine , tu te penches légèrement , pour lire une annonce ...... Le sexe en main , je me presse contre tes fesses nues sous ta jupe , glisse un pied entre tes jambes pour les écarter et te pénètre le O d'un seul bond , tu adules , te colles à mon ventre . Je vais en toi en de gigantesques coups de bite, te pistonne , te lime, te baise là, devant les jeunes filles qui t'envient au passage . Notre plaisir monte , monte . Les mains glissées sous ta blouse emprisonnent tes seins ballants à chaque coup de buttoir, tétons pincés entre les doigts , je te démonte plus encore .... Notre reflet dans la glace nous excite d’avantage , tu caresses ton bourgeon. Une jouissance profonde gagne tes reins , ton dos, vient en étincelles dans ton cerveau , tu trembles.... Je joui en toi, une suite de jets brûlants inonde tes entrailles tout en te labourant encore. Mon Jack se recule , s’introduit sous ton bassin étroit , glisse sous ta chatte en écartant tes grandes lèvres, écrase ton bourgeon en le dépassant , tes cuisses se resserrent et...mon dernier jet fini sa course sur la vitrine . Reprenant un peu tes esprits , tu passes ta main entre nous, tire sur le bord de ta blouse , faisant voir le bas de ton cou où un tatou me dévoile ton n° de phone .
pfff quelle audace
tout dans la sexualité, rien dans la vulgarité,
c'est si bien écrit que l'on s'imagine tout, que l'on y croit, que l'on voit sans voir
dès les premiers mots jusqu'à la fin,
ça se lit d'une traite sans un moment de malaise ou pire d'ennui
tout parait si vrai alors que l'on se dit, que je me dis furtivement,c'est de l'ordre de l'imagination
comme ça dans la rue, face à une vitrine de magasin, non, impossible
et la fin, le numéro de téléphone, un coup de maître…
c'est bien ce que je disais,
toi tu as quelque chose là à entreprendre
50 nuances de Grey peut se rhabiller, je n'ai pas fini le livre d'ailleurs,
je me suis fais ch.ier comme une rate morte
je n'ai pas regardé le film
cet engouement pour ça, je ne comprend pas ou trop des fois peut-être
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Citation de antioche.lyn
pfff quelle audace
tout dans la sexualité, rien dans la vulgarité,
c'est si bien écrit que l'on s'imagine tout, que l'on y croit, que l'on voit sans voir
dès les premiers mots jusqu'à la fin,
ça se lit d'une traite sans un moment de malaise ou pire d'ennui
tout parait si vrai alors que l'on se dit, que je me dis furtivement,c'est de l'ordre de l'imagination
comme ça dans la rue, face à une vitrine de magasin, non, impossible
et la fin, le numéro de téléphone, un coup de maître…
c'est bien ce que je disais,
toi tu as quelque chose là à entreprendre
50 nuances de Grey peut se rhabiller, je n'ai pas fini le livre d'ailleurs,
je me suis fais ch.ier comme une rate morte
je n'ai pas regardé le film
cet engouement pour ça, je ne comprend pas ou trop des fois peut-être
Vrais que ce petit bout de trottoir a été très apprécié lors d’échanges privés .
Mon texte profil peut-être pour faire suite .
Après une nuit inoubliable à chercher le summum, le plaisir sans fin, la jouissance éternelle, le bonheur incommensurable de deux âmes qui s’adorent qui ne veulent plus faire qu’une, quand les vagues de ton ventre poussées à l’excès de l’orgasme tel un océan en furie un soir de tempête nous emportent vers une île déserte…. nous nous sommes effondrés dans un sommeil réparateur et bénéfique. Lovés dans l’étreinte, soudés l’un à l’autre ……
Suis-je éveillé, suis-je en rêve, suis-je dans cette moiteur bien connue, dans ta douceur captivante enivrante, la tête dans la tiédeur de ton entre- jambe. La joue posée sur ta cuisse, les lèvres juste contre ton bouton qui s’émerveille dans la fraîcheur d’une rosée naissante.
Oh combien me pousse l’envie d’embrasser tes petits pétales à pleine bouche, de les prendre sur ma langue mais je n&rsquoe. Je n&rsquoe te réveiller, j’aime sentir ton souffle doux sur mon sexe, blotti contre ta joue, quand il commence à renaître de ses cendres. Oh combien tu l’as aimé cette nuit de folie furieuse, déchaînée, furibonde, où nous avons cherché les limites éternelles d’une volupté sans faille
Nous n’avons pas quitté notre dernier enlacement, les doigts plongés dans ton anus, croisés au plus profond, à le fouiller jusque qu’au sommeil. La tête prise dans l’étau de tes cuisses, juste contre ton intimité, je n’en peu plus, l’envie de happer ton bourgeon me ronge, de le prendre encore et encore, de l’enrouler dans ma langue de vipère, de l’étirer de le sucer de le serrer à l’étrangler. Je te sens revivre, j’imagine le sourire poindre sur tes lèvres que je ne vois pas, tu les écartes pour aspirer mon gland et faire grandir le mat du navire. Ta main se pose sur ma chevelure, tu me pousses le visage en toi, encore plus loin. Sous la surprise, ma langue glisse, pénètre ton antre, ta taverne de corsaires. Tu te cabres, t’ouvres, t’écartes, je sens la marée montante, tu commences à geindre gentiment…. Tu te réveilles, te couches sur le dos et remontes les jambes sur les épaules, tu t’offres, tu t’ouvres, mes doigts plongent en toi, caressent les parois de ton vagin, titillent la face avant, replongent aux confins.
Modifié il y a 4 ans, le lundi 20 janvier 2020 à 16:10
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Citation de blonq
Bonjour .
Merci pour ta pensée , ce sera sans doute la seule perçue .
Il est bien évident que tout les textes ne peuvent plaire à tout le monde .
Les points de suspensions ne cache pas un texte effacé, mais servent à marquer un espace temps voulu pour créer parfois un effet surprise . Ce que tu as si bien ressenti .
Oui, cette histoire est datée début 20 ieme , la longueur de la préparation , de la présentation est voulue . La rédaction des écrits 2020 comme les tiens est plus brutale , , ce que je voulais justement éviter . Amener doucement ce moment incestueux en la partie la plus sensuelle pour éviter le rejet . Son besoin d’être possédée à la seconde même par n’importe qui et son cadet était là à sa portée alors qu'il ne la percevait plus que comme un jouet ......
Merci encore pour tes remarques . Je suis certain que tu pourrais donner une suite .
Salut Blonq,
Oui, il y a des lecteurs et oui cela ne peut pas plaire à tout le monde
Ecrire, ce n'est pas facile et faire en sorte que le lecteur ne s'ennuie pas n'est pas chose évidente
Mais pourquoi peu interviennent ? Parce que c'est difficile de faire une critique en public et que par respect pour toi et pour ton travail, ils préfèrent s'abstenir
Enfin, je crois
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Citation de alice-2
Salut Blonq,
Oui, il y a des lecteurs et oui cela ne peut pas plaire à tout le monde
Ecrire, ce n'est pas facile et faire en sorte que le lecteur ne s'ennuie pas n'est pas chose évidente
Mais pourquoi peu interviennent ? Parce que c'est difficile de faire une critique en public et que par respect pour toi et pour ton travail, ils préfèrent s'abstenir
Enfin, je crois
Bonjour Alice,
Le fait que ça plaise ou non n’empêche pas un petit mot
De soutien par exemple : d’avoir osé, ouvert un topic, écrire sur un sujet « cru » ...
Ou dire que ça n’a pas plut sans pour ça être agressif, insultant, dévaloriser la personne
Un jeu de mot, une plaisanterie comme tu sais si bien le faire ou autre
Le respect, surtout pour un écrit, un travail, pour l’auteur, c.est plutôt de ne pas l’ignorer
Enfin c’est ma vision
Faire une critique en public pas évident : sûrement mais d’un autre côté, j.ai lu des choses, insultes, délation... en court ou en long : plus facile ?
Et puis Blonq ne demandait rien de précis, donc à l.initiative de chacun
J.en ai fit une tartine sûrement ch.iante mais rien n’était imposé
Bonne nuit et journée
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Citation de antioche.lyn
Bonjour Alice,
Le fait que ça plaise ou non n’empêche pas un petit mot
De soutien par exemple : d’avoir osé, ouvert un topic, écrire sur un sujet « cru » ...
Ou dire que ça n’a pas plut sans pour ça être agressif, insultant, dévaloriser la personne
Un jeu de mot, une plaisanterie comme tu sais si bien le faire ou autre
Le respect, surtout pour un écrit, un travail, pour l’auteur, c.est plutôt de ne pas l’ignorer
Enfin c’est ma vision
Faire une critique en public pas évident : sûrement mais d’un autre côté, j.ai lu des choses, insultes, délation... en court ou en long : plus facile ?
Et puis Blonq ne demandait rien de précis, donc à l.initiative de chacun
J.en ai fit une tartine sûrement ch.iante mais rien n’était imposé
Bonne nuit et journée
Personnellement, je n'ai pas donné mon avis parce que je n'ai pas encore tout lu (je prends mon temps)
Dans certains forum, on peut liker les messages et je trouve cela plutot sympa surtout quand tu ne sais pas trop quoi répondre mais que tu apprécies l'intervention d'un forumeur
Une idée à soumettre à l'admi du site
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