Citation de bullit77
T' habites où ?
Ah, dans la cabane au fond du bois.
C'est romantique ça.
Tu as cul, c'est bon, je viens,
Pour tes caresses.
Trop bonnes tes caresses.
Ca te changera des glands des bois.
Qui te cabossent,
Je viens en carrosse,
Et on se fait une balade,
Tous les deux dans le bois,
Belle au bois dormant ,
Tu feras,
Ma belle lolita.
Citation de bullit77
T'as encore oublié de me faire la bise petite coquine.
Et carmentaire, c'est quoi ça encore ma lolita ?
Tu perds tes mots ce soir ma douce.
Viens faire câlin , tu iras mieux.
Ah que j'aime ces clairs de lune à papoter bons mots coquins avec toi.
Ce qui m'embête est que ça va faire des jaloux notre élection " couple de l'année. "
Allez, les jaloux, on s'en fou !
Bise Lolita.
Si vous faites des p'tits, vous m'en gardez un ? Un beau mélange !
Citation de arthur_rambo
je sais...je'm connais...
les tiens étaient pas du tout mâle ...
pas du tout..
lol...
Moi mâle un ?
Je sais, il faut être malin,
Pour avoir droit,
A tes services ,
Jouissifs,
Qui te font oublier,
Tous tes...
Sévices,
Que tu as pu recevoir.
Ici est ta rédemption.
On lave tous tes maux,
Tendre lolita.
Citation de bullit77
Moi mâle un ?
Je sais, il faut être malin,
Pour avoir droit,
A tes services ,
Jouissifs,
Qui te font oublier,
Tous tes...
Sévices,
Que tu as pu recevoir.
Ici est ta rédemption.
On lave tous tes maux,
Tendre lolita.
toi game in...
gamine...
qui veux toujours...
avoir une bite à tricoter..
une maille à l'endroit...
et une maille à l'envers...
voire en même temps...
une bite..
à tous temps...
pour ne pas ressentir..
la peur de l' angoisse..
de l'effroi...
d’être une conne devant...
le grand rire qui t'attend..
et qui, par ailleurs....raillante...
nous attend tous..
mdr
Modifié il y a 6 ans, le mardi 9 octobre 2018 à 01:59
T' es toute excitée dis-moi.
J'adore.
J'adore tes mots doux
Aussi gouleyant que du Saint doux
Dégoulinant comme Justin Bridou
Comme ta salive
D'une bête en rut
Qui éructe et qui bave
Formant un filet de rosée
Loin d'être pétrichor
Totor à peur
Il crache de la vapeur
En criant l'exorde
Où se mêle de tragiques dissensions
Sans résipiscences ni aisances
Mais ô combien immarcescibles
Les souvenirs lointains
Sont impérissables
Même si méprisables
En naît une fable
Aux imposants palabres
Extraits de valeureux chevaliers
A en faire de piètres cavaliers galants
Alors que la courtisane
Qui demandait de lui faire la cour
Est tombée sur un chevalier alliciant
Le deuxième fût abattu de tristesse
Seul celui pourvu de séide
Aveugle et sourd
Face à sa conviction d'être un bon sujet
Aux yeux de son triste bataillon aux desseins
Caligineux
Dans cette sombreur des âmes souillées
Où même une pittoresque vision
Ne saurait musser
Faute d'un profond hubris
L'esprit est devenu trop abscons
Heureusement que les thaumaturges existent
Ils rendent la foi aux possédés
Aux obsédés obscènes
Devenus dans leur lutte acharnée
De tristes décavés insanes
Que Dieu les protège
Ils ne savaient pas ce qu'ils faisaient
Hélas, " en attendant Godot "
Ils ont fini comme des miséreux dans l'indifférence
Il n'est jamais venu
Le miracle n'a pas eu lieu
Mais il existe un autre miracle
Nous
Nous seuls, pouvons les aider
Les aider comme Artur-Rambo
Et finis de lire ses circas - ses mots cuistres -
Ses phrases émétisantes
Elles finiront en églogue
Et un joli prologue s' ouvrira.
Maintenant il n' attendra plus
Que je sois déconnecté
Tel le regard d'un fauve qui attend
Que sa proie dorme enfin
Pour lui bondir par surprise dessus
Mais la bête veillait et connaissait sa lâcheté
Alors la bête sauvage fuya
Et reviendra au galop
Puis fuira de nouveau
Tel est son destin
Sauf si nous le sauvons
Sans lui passer un savon
Mais lui laver son âme
Seuls nous en avons cette force
Et ce courage
De lui ôter sa rage.
J'en fait un présage bienveillant...