" La France lance une campagne de vaccination massive à base d’ARN Messager contre la grippe aviaire
Depuis le 1ᵉʳ octobre 2024, la France a entamé une campagne de vaccination sans précédent contre la grippe aviaire. Cette initiative vise "à protéger la filière avicole française" en vaccinant pas moins de 62 millions de canards dans quelque 2 500 élevages à travers le pays. Parmi les vaccins utilisés, certains reposent sur la technologie de l’ARN messager, une première mondiale qui suscite de nombreuses interrogations et inquiétudes, surtout suite au succès de leur expérience grandeur nature sur l'Être humain avec leur vaccin Covid... "
" On est en train de faire surcotiser nos enfants pour assurer les retraites actuelles "
" Ce n’est pas moi qui le dit c’est David Lisnard qui met les pieds dans le plat.
Nous n’avons pas un problème de retraites futures.
Nous avons un problème de retraites actuelles !
Dire cela ne veut pas dire que j’appelle de mes vœux une baisse des pensions de nos concitoyens retraités qui n’ont rien volé et qui ont effectivement cotisé toute leur vie.
J’aimerais même que l’on puisse augmenter les petites retraites.
Je ne suis donc pas dans le jugement moral.
Mais dans l’analyse économique.
Le problème, et ce qui explique 50 % de la dette accumulée ces dernières années et ces fameux 1 000 milliards de plus, c’est bien le paiement des retraites et en particulier celles des fonctionnaires et des régimes spéciaux qui ne sont pas équilibrés du tout et dont le paiement est assuré par les dépenses publiques. "
" Demain, la guerre civile ? Grande-Bretagne, France, USA… - Le Plus d'Eléments - TVL "
" À l&rsquocasion de la sortie du nouveau numéro d’Eléments, la rédaction revient sur les émeutes, cet été, en Grande-Bretagne. Sommes-nous au seuil d’une guerre civile ? De l’Angleterre à la Nouvelle-Calédonie et à la Martinique, sans oublier les banlieues françaises toujours prêtes à s’embraser, le fond de l’air serait-il à l’insurrection ? Notre débat et notre enquête.
Au menu également :
notre reportage exclusif sur le racisme antiblanc dans les écoles, tabou des tabous
le duo/duel Delon-Belmondo
le nouveau livre de Rodolphe Cart paru à La Nouvelle Librairie : "La menace néonservatrice - Une France et une Europe sous influence". "
" Le processus de dédollarisation de l'économie mondiale bat son plein. Quelles solutions alternatives sont avancées et comment affecteront-elles les échanges internationaux ❓ Pour aborder la question, Xavier Moreau reçoit Laurent Nicolas , entrepreneur et informaticien.
La numérisation et l'usage de monnaies virtuelles s'accélèrent en Russie et en Asie. La question de la mise en place d'une monnaie de réserve des BRICS, en réponse à la mainmise du dollar sur l'économie mondiale, sera abordée lors du prochain sommet qui se tiendra en octobre 2️⃣0️⃣2️⃣4️⃣ à Kazan. Washington craint de perdre le privilège exorbitant que procure le contrôle de la circulation monétaire mondiale, raison pour laquelle les acteurs du monde des cryptomonnaies sont mis au pilori. Le candidat à la présidence Donald Trump ????????, de nature plus pragmatique, souhaite accompagner la refonte inévitable du système financier américain. Les autorités européennes, quant à elles, affectent de croire que les cryptomonnaies sont principalement utilisées pour des activités criminelles, bridant ainsi toute avancée dans ce domaine. "
" Le saviez vous?
Dès 2025, de simples 208 essence seront taxées entre 550 et 750 € au titre du malus écologique.
En 2026, elles seront TOUTES taxées (même diesel) entre 100 et 1050 €.
En 2027, la taxe se situera entre 500 et 1450 €.
Mais ce n'est pas tout, on découvre dans cet article, que les escrologistes ont créé une taxe sur le poids (entre 10 et 30 €/kg), dès 2025, les véhicules de + 1600 kg sont concernés, puis dès 2026, + 1500 kg.
Ces tarés sont en train de transformer la voiture en produit de luxe.
Taxes sur les carburants, Zone Emission Prioritaire, péages, stationnements, baisse des vitesses...
Où se situe le point de rupture? "
" Pendant qu’on diabolise l’ivermectine, le paracétamol, médicament de tous les jours, cause des greffes de foie et des décès.
Et si on regardait de plus près ces ‘remèdes’ si largement prescrits, au lieu de suivre aveuglément Big Pharma ? "
" Expulsée de son camping où elle vivait à l’année , Paulette, 86 ans, se suicide.
Quel degré d’inhumanité sommes nous prêt à accepter, comme si c’était normal ? "
pic.twitter.com/fSFrL87Lod
— Alexis Poulin (@Poulin2012) October 21, 2024
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" Paulette, 86 ans, menacée d'expulsion de son camping d'Aix-en-Provence où elle vivait depuis une trentaine d'années, s'est suicidée : un peu de cette humanité qu'on distribue, par ailleurs, généreusement, aurait permis, peut-être, d'éviter le drame ? "
pic.twitter.com/CGnMzEPsHX
— Gilbert Collard (@GilbertCollard) October 20, 2024
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" Paulette????️????????
– À 86 ans, elle a choisi de partir, abandonnée par un État qui oublie ses patriotes.
Comment en sommes-nous arrivés là ?
Un présage sombre pour notre société.
Le suicide de Paulette à Aix-en-Provence, une femme de 86 ans menacée d'expulsion de son… "
pic.twitter.com/q5AJNuNvOl
— INVASION FRANCE INFO (@InvasionEuro) October 21, 2024
" La belle bêle « Label ». Comment trouver 75 millions d'euros ? "
30 octobre 2024
" Si-si ! Quand Rachida Dati, « traître de droite » (1) reconduite ministre de la Culture, l’a joué « Esméralda », cela donne cela : un nouveau label. L'idée totalement saugrenue de faire payer l'entrée de Notre-Dame de Paris, un lieu de culte. En violation, donc, d'une tradition chrétienne de gratuité millénaire, et surtout en violation de la loi de 1905 sur la séparation des églises et de l'État.
Si j'ai dit « La belle », bien évidemment, vous l'avez compris, c'est à la fois en référence au titre de la chanson phare de la comédie musicale « Notre-Dame de Paris », et en référence au fait affirmé par la presse people, que les multiples opérations de chirurgie esthétique que Madame Dati auraient subies, à son initiative (mais dont elle continue à se défendre), seraient une réussite totale. Auraient accouché d'une œuvre d'Art.
D'où sa nomination, le 11 janvier 2024, au poste de ministre de la Culture, par un Emmanuel Macron que, naguère, elle a conspué jusqu'alors dans chacune de ses interventions publiques (1), « vénére » (à donf) qu'elle était contre lui, depuis est l'idole qu'elle vénère comme un gourou.
Rachida Dati
Un cirage de pompes permanent, et plus si affinités, qui lui a valu d'être reconduite par Narcisse 1er dans l'exercice de cette fonction dans le gouvernement Barnier. La fonction de ministre de la Culture « et du patrimoine », c'est important de le noter. Ah si ! Pour ce qui est de la Culture, sincèrement, lorsque je l'entends jurer comme un gougnafier femelle (2), j'ai un doute. Par contre, pour ce qui est du patrimoine, c'est une experte, la Dati. Là elle s'y connaît.
Diantre ! 8 755 euros de salaire mensuel net comme Maire du 7ᵉ arrondissement de Paris (poste qu'elle occupe depuis 2008), série en cours, plus ses 15 735 euros de salaire mensuel net, là, comme ministre de la Culture et du patrimoine depuis bientôt dix mois, plus aussi pareil pendant les deux ans et un mois où elle a été ministre de la Justice, plus 7 853 euros de salaire mensuel net durant les dix années où elle a été députée européen, plus 7 220 euros de salaire mensuel net durant ses cinq années de conseiller ministériel de Nicolas Sarkozy (alors ministre de l'Intérieur), plus le montant total des retraites cumulées sans plafond qui vont avec, plus également - et surtout ! - les 900 000 euros net que l'entreprise Renault lui a versé de 2010 à 2012 dont les justifications semblent manquantes (raison pour laquelle elle est mise en examen pour corruption passive (3) et pour trafic d'influence). Elle s'y connait donc pour ce qui est de se construire un patrimoine... aux frais du contribuable. (4)
Eh oui ! D'où son idée géniale qui s'inscrit pleinement dans cette façon de penser idiosyncrasique des parasites du peuple que sont les politiciens : faire payer les gueux, ou tondre les moutons. D'où le terme « bêle » que j'ai utilisé, pour ce « label » que « la belle » propose d'institutionnaliser. Car ce faisant, elle appelle les moutons à cracher au bassinet. Une fois de plus. Or, la meilleure façon de se faire comprendre des moutons, c'est de leur parler « mouton. » À savoir, en français, le verbe « bêler » repris en titre.
Au fait, Madame Dati. Les 1,4 milliard d'euros d'argent des Français que votre gouvernement Attal a dépensés, soi-disant pour assainir le « patrimoine » de la Seine : on aimerait en bien connaître la justification réelle. Qu'est-ce qui a été facturé exactement ? Par qui ? Quelles ont été les prestations ? Quels produits ont été utilisés ? En l'état aucun élément d'information en ce sens n'a été rendu accessible au public. Et, l'odeur d'une ambition politique démesurée ou d'incompétence se profile qui pourrait facilement prendre le gout d'une corruption tant active que passive, de trafic d'influence, d'abus de biens sociaux et de recel. La Seine devrait être rendue accessible aux Parisiens, pour l'instant, ce sont les euros qui coulent bien dans les poches de certains.
Quand on veut, on peut ! Alors, il était certainement facile de diminuer le montant de ce qui s’apparente à une escroquerie en bande organisée, de 75 millions, pour, comme vous dites, « sauver » nos églises.
Si vous teniez véritablement à les sauver, nos églises, vous auriez fait ceci, plutôt que de vouloir extorquer aux Français 75 millions d'euros de plus, en leur faisant payer une entrée de Notre-Dame, qui bien sûr sera gratuite, pour vous, comme Pompadour de la Culture : intimer à votre collègue du ministère des Sports de l'époque, Amélie Oudéa-Castéra, qu'au lieu de dépenser 125 millions d'euros pour la cérémonie, fortement questionnée, d'ouverture des Jeux olympiques, et on ne sait combien pour celle de clôture, tout ça pour que votre nouveau mentor se la joue César devant les gogos, elle ramène ce montant total à « seulement » 50 millions d'euros, et que les 75 millions restants allassent à nos églises. "
" Députés Playmobil : Un élu RN défend un amendement LFI sans s’en rendre compte…
Une scène insolite s'est déroulée mercredi 30 octobre en commission des Finances à l'Assemblée nationale, et elle va donner du grain à moudre à ceux qui pensent que nos chers députés ne sont là que pour lire les textes qu'on leur donne et voter suivant les consignes. Le député du Rassemblement national (RN), Christian Girard, élu dans les Alpes-de-Haute-Provence, a en effet fait rire ses collègues en défendant un amendement déposé par la France insoumise (LFI), sans même s'en rendre compte. "
31 octobre 2024
VIDÉO
" Une Confusion Totale
Les yeux rivés sur un texte, le parlementaire lepéniste a lu intégralement l’exposé d’un amendement de la France insoumise, pensant défendre sa propre position. Pendant plus d’une minute, il a plaidé pour « l’augmentation des crédits de l’Office français de la biodiversité », alors que son parti prône plutôt la réduction de ses missions, voire leur suppression. Il a également soutenu le renforcement de la police de l’eau pour lutter contre la pollution aux pesticides et au plastique dans les Outre-mer.
Un Discours Pour le moins Inattendu
Christian Girard a défendu des positions sur le climat et l’eau, qualifiant ces enjeux de « défi numéro un de l’humanité ». Ce discours a surpris, car il contrastait fortement avec les positions habituelles de son parti. En réalité, le député voulait intervenir dans la discussion d’une série d’amendements pour défendre sa propre position, mais il a repris mot pour mot le texte d’une proposition des élus mélenchonistes examinée au même moment. Cette confusion a conduit Christian Girard à prononcer à plusieurs reprises « les députés du groupe parlementaire LFI-NFP proposent », sans broncher. "
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Rencontres
casion de la sortie du nouveau numéro d’Eléments, la rédaction revient sur les émeutes, cet été, en Grande-Bretagne. Sommes-nous au seuil d’une guerre civile ? De l’Angleterre à la Nouvelle-Calédonie et à la Martinique, sans oublier les banlieues françaises toujours prêtes à s’embraser, le fond de l’air serait-il à l’insurrection ? Notre débat et notre enquête.
