Citation de paturonlebeauf
J adore les mecs comme toi total megalo qui accuse les autres de rapporter des bruits alors que tu es le plus gros diffuseur de fakes news... A ton age avancé ca doit encore te faire triquer de croire aux complot sans bien sur pouvoir en apporter l ombre d une preuve... Le gars ( comme tous les complotistes) a profité et profite encore plus que de raison du système mais en hurlant au complot...
Quel courage mon vieux a presque 70 balais tu a profité a fond des trente glorieuses et maintenant c est quoi ton problème. Toi et le fake Alicee êtes les mêmes qui en 1959 déclaraient qu elvis dansait comme les singes et que c était la fin de la civilisation, qui en 1969 hurlaient que la jeunesses n était que drogués et que la civilisation était foutue, qui en 1977 montraient du doigt les Clash en disant que l anarchie et le diable était de retour, les mêmes qui en 90 aboyaient contre le rap cette musique de dégénérés, qui en 2000 nous prévoyaient la fin du monde, qui en 2010 essayaient de faire interdire le hellsfest sous prétexte que le diable possédait les gens.... Et qui actuellement font tout pour enlever le droit des femmes, font tout pour la domination de la race blanche avec l invasion de fakes news sur le net....
On voit le résultat de ces méfait sur un esprit faible ici sans aucune culture pour lui permettre de prendre du recul sur le monde, qui est incapable de distinguer le vrai du faux, dont sa seule culture est youtube et qui regrette une France qui n a jamais mais jamais existé et qu'il n'a jamais en dehors de son esprit fragile et des images d Épinal....
Très belle caricature, le Bof.
On se croirait sur la place du Tertre, à Paris, là où les touristes viennent se faire brosser le portrait et arnaquer du même coup par de pseudo-peintres « français » soit-disant traditionnels, sans aucun scrupule ni talent, et tout ça en souvenir de la France. Petit à petit, le pays s’en va nulle part et peu de monde s’en aperçoit parce qu’il faut penser comme çi, ou comme ça...
Quand le défends-tu, toi ? Jamais !
Tu le brades, au rabais. Prêt à te soumettre à celui qui a le pouvoir et te prosterner devant lui, disant déjà oui à tout. À quatre pattes face à n’importe quelle idéologie du moment que ce soit celle qui domine, selon l’ère des temps. Quant à l’avenir, peu importe, ce qui compte c’est que tu sois dans le camp du bien, du bon côté du manche et de la barrière. Des barbelés.
Ton charabia (ici ou ailleurs) plaide contre toi : Tu n’aimes pas ta patrie.
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Je n’ai rien contre toi, Paturon, mais sans déconner s’en est à se demander si tu tournes très rond. Y’a un bordel, là - d’dans !
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Bon. Je vois que tu as remanié ton message.
Tu t’es fendu.
Sauf que franchement tu dis de ces trucs, hein, à tel point que je sais pas quoi te répondre sans t’envoyer te faire voir. En fait, tu mets tout le monde dans le même panier, pêle-mêle, tous ceux qui résistent au courant ou à la pensée dominante que le système leur impose et leur vend, tous ceux qui défendent leur tradition, leur culture, leur famille, leur pays quoi, la paix aussi, soit par réaction de repli, soit par simple instinct de protection ou réflexe de survie. Rien de plus naturel, selon moi. Parce que c’est aussi ça l’histoire de l’Humanité, c’est le partage certes, la découverte de l’autre et de sa culture, l’enrichissement mutuel, l’échange, très bien, mais ce n’est pas le grand brassage « gloubiboulgatesque » de tous les peuples ensemble réunis dans une même misère, sous une seule et même loi, sans distinction, dans un mixer géant d’où s’écoulerait ensuite un jus incolore, fade et sans plus de saveur ni de goût. Un Homme sans pays puisque appartenant à la terre entière, sans passé, sans mémoire culturelle ni tradition, sans repère, d’une seule langue, d’une seule couleur, une seule race finalement : celle de l’esclave transformé en zombi-consommateur. Tel est le but. Le grand projet secret des mondialistes. Et encore, ça c’est la version soft. Symbolique, dirais-je.
La version smailienne.
Mais quiconque réfléchit un peu comprend assez facilement dès lors qu’il regarde autour de lui et se projette dans l’avenir ce qui nous menace, à terme. Demain, après-demain. Mais non, pas toi.
Toi, tu sais.
Je sais bien que tout ça te fais marrer. Mais moi aussi.
Question du jour : Est-ce que les complotistes ont le droit de respirer le même air que le tien ou devraient-ils se le fabriquer eux-mêmes ?
ou changer de planète ?
Modifié il y a 6 ans, le samedi 29 septembre 2018 à 02:07
Hélas. Finies les jongleries excentriques et autres forumeries...
Terminus !
Peut-être une prochaine fois ou dans une autre vie ?
Tout ça n’a plus beaucoup d’importance. Et Je dirais même qu’on s’en fout maintenant, puisque le temps n’est plus à l’amour ni à la poésie.
Visiblement.
Merdasserie et chiasserie sont partout par-ici, en dedans tout.
La mort aussi.
En chacune et chacun d’entre nous. Invisiblement.
Comme derrière tous les écrits.
Dans les non-dits.
Non-écrits.
J’ai droit de mort et de vie sur quiconque aujourd’hui. N’importe qui, n’importe quand, ici. N’importe quel autrui. N’importe quelle truie, n’importe quel gros porc ou gros con d’abruti, de cochon.
J’ai le droit de survie. Ou non.
C’est moi qui dit oui, ou qui ne répond pas. Celui qui donne le ton, le la, c’est moi.
J’ai droit de vie et de mort sur les vivants, les morts, les morts et les vivants. Les morts-vivants, déjà morts bien qu’encore vivants ou vivants, mais toujours pas morts.
Aussi les vivants-morts.
Qu’est-ce qu’y dit ? Ce message sera modifié sous peu. Et correcté.
Quiconque me dira qu’il ne comprend pas s’entendra répondre automatiquement que moi, je comprends.
De là à me comprendre, moi ? Il ne reste et ne restait qu’un pas.
Que nul ne fit ni jamais ne franchit.
Tant pis, encore une fois.
Comme quoi le mieux est encore de n’avoir plus grand-chose à foutre de tous ces gens qui n’en ont finalement que faire de moi non plus ! À quoi bon donc, s’emmerder ?
Autant les laisser à leur passe-temps préféré, à leur manière de tuer le temps, d’aimer la mort et le néant, le/et la leur accessoirement, l’instrument de leur aveuglement qui les aveugle et les rends sourds, celui de leur jugement, qui les jugera à son tour. Et par un échange de bon procédé ou disons tout naturellement, je dirais de la même façon exactement qu’ils et elles me laissent au mien/à la mienne, l’air de rien. Sourire en coin. Et bonjour en retour.
Tout est donc bien qui finit bien.
Chacune et chacun chez soi, avec les siens, à faire semblant de tout et de rien à propos de tout et de rien justement, ou de n’importe quoi.
Même dans ce putain d’endroit tout n’est qu’obstacles, hauts-murs, couloirs et labyrinthes. Dédales obscurs, froids. Murs d’enceinte.
Portes condamnées, dérobées. Cadenas, verrous, serrures et clefs.
Langages codés. Franc-parlers mensongers.
Chausse-trappes et pièges. W.-C.
Toilettes, chiottes à la turque. Vide-déchets.
Jardins secrets, bancs désertés et statues renversées.
Cul-de-sac ou de basse-fosse. Oubliettes.
Bouche d’égoût, ô mon amour.
Aller simple sans billet ni ticket retour.
Contre-allée n° tant et concession à perpétuité.
Point.
Et puis non, finalement.
Moi non plus je ne comprends pas - je ne me comprends même plus non plus !
Modifié il y a 6 ans, le samedi 29 septembre 2018 à 02:36
Citation de duschnock
Et quant aux unes d’entre les autres femmes, silence-radio.
D’après la météo, on les dirait parties se ballader en forêt, à pieds ou à vélo, se promener en bicyclette autour du lac ou s’enivrer d’air frais et s’assoupir au bord de l’eau, somnoler bientôt, puis s’endormir en rêvant d’un tour de barque à dos de chameau, par-dessus le sable des dunes, et se réveiller soudain sur quelque plage en maillot de bains ou sans rien. Enfin bref, incognito.
Pas un mot, non. Zoubi. Walou. Ces dames se bronzent en silence, bien cachées à l’abri de leur masque en peau de fesses, tout sourire derrière leurs lunettes de soleil à zieuter par en-dessous les azimuths et les alentours, mine de rien, au travers de leurs 1 ou 2 kgs d’huile de friture ou de vidange étalées sur la figure, jusque sur le bas-ventre et les entre-cuisses, ruisselantes, tartinées de milliers de tonnes de crème au beurre, épaules suintantes, affalées, retombantes, toutes goûtantes et quasi-débandantes de suées, d’o d eurs, dégoulinantes de graisse telles que de grosses et vulgaires frites en cornet toutes enroulées d’un papier gras, baveux, comme d’un léger drap semi-transparent laissant s’écouler partout de côté jusque sur les genoux ce liquide doré, ce jus brillant, du genre de ceux qui te colle aux doitgs et ne te lâche plus, telles qu’elles-mêmes entassées là, pêle-mêle et en tas, nues dessous leur grand chapeau mou, démoulées à l’air ou bien dissimulées loin des regards et des témoins, s’étalant à poil ou rasées derrière un alibi-parasol. Dixit leur avocat.
Mouais.
Cependant qu’un enfant se voit piétiner tous ses pâtés de sable à quelques pas de là, les uns après les autres. Silence total.
Être soi-même après ça, mais comment ? Impossible. Tout est faux.
Salut Duschnok....A te lire ,tu me fais penser à Bukowski...prends le comme un compliment..ou pas..lol...ta folie est parfois amusante....parfois..un peu lourde
Citation
"Certains ne deviennent jamais fous... Leurs vies doivent être bien ennuyeuses."
"Toi, tu es laid, et tu ne connais pas ta chance : au moins, si on t'aime, c'est pour une autre raison." - Contes de la folie ordinaire (1967)
"J’ai un projet, devenir fou."
"La poésie en dit long et c’est vite fait. La prose ne va pas très loin et prend du temps." - Contes de la folie ordinaire (1967)
"La chose importante est la chose évidente que personne ne dit."
"Les hôpitaux, les prisons et les putes, telles sont les universités de la vie. J'ai passé plusieurs licences, vous pouvez me donner du Monsieur."
"Aujourd'hui on ne conduit plus, on passe son temps à essayer de se garer, et les parkings sont au-dessus de mes moyens."
"Si vous désirez savoir qui sont vos amis, faites vous condamner à une peine de prison." - Journal d'un vieux dégueulasse (1969)
"L'individu parfaitement équilibré n'a pas toute sa raison."
Journal d'un vieux dégueulasse (1969)
"C'est ça le problème avec la gnôle, songeai-je en me servant un verre. S'il se passe un truc moche, on boit pour essayer d'oublier; s'il se passe un truc chouette, on boit pour le fêter, et s'il ne se passe rien, on boit pour qu'il se passe quelque chose."
"Trouvez-moi un homme qui vit seul et dont la cuisine est propre en permanence, et neuf fois sur dix je vous montrerai un homme tout à fait détestable."
Nouveaux contes de la folie ordinaire
"Trouvez-moi un homme qui vit seul et dont la cuisine est sale en permanence, et six fois sur dix je vous montrerai un homme exceptionnel."
Nouveaux contes de la folie ordinaire
"Je retourne aux putes et au scotch, pendant qu'il est encore temps. Si j'y risque ma peau, il me paraît moins grave de causer sa propre mort que celle des autres."
Nouveaux contes de la folie ordinaire
"Dans la vie, ne gagnent que ceux qui s'entêtent et auxquels la chance sourit. D'autant que, plus vous tenez ferme sur vos positions, et plus la chance peut se montrer bonne fille. Mais la plupart des humains lèvent le pied et échouent."
"Des gens qui n'ont jamais de moments de folie. Quelle horreur que leur vie!"
"Les mariages, les liaisons, les amours d'une nuit l'avaient convaincu que l'acte sexuel ne valait pas ce que les femmes exigeaient en échange"
"Presque tout le monde est né comme un génie et enterré comme un idiot"
"On nous traite comme des chiens, on fout en l'air nos meilleures idées, on transforme nos personnages en marionnettes, on édulcore nos dialogues - et qu'est-ce qu'on obtient au bout du compte ? La fortune !"
Hollywood
Charles Bukowski est un écrivain américain d'origine allemande né en 1920. Largement inspiré par sa propre vie et génie autant connu pour son écriture que pour sa passion pour l'alcool, l'auteur tanguera entre poésies, romans et nouvelles. Ma avant tout Bukowski c'est bien plus que des mots, c'est un style de vie bien particulier.
« Si la folie est une maladie, alors, qu’est-ce que la raison ? Elle qui envoie à la guerre des générations entières de jeunes hommes. Elle qui condamne l’avenir de ses propres enfants pour son profit immédiat. Tu parles d’une mère à l’Humanité – un assassin ! Mieux aurait-il encore valu naître orphelin d’une maman morte en couche et folle à lier...»
Un compliment, certes. Merci.
L’erreur est humaine, dit-on.
Il ne faudrait pas oublier que d’être humain n’est pas l’apanage exclusif de duschnock. Et que donc pour qu’il y ait conflit, il faut être 2. C’est mathématique.
Citation de arthur_rambo
t'es juste en train de mourir..
en fait...
ou tu as abusé du canabis..?
une expérience qu'on pourrait souhaiter...
à tous les haineux haters...
du Paf ....
comme du Net...
quelques exemples ..
pourris...
pour rire....
et tant qu'à mourir...
autant mourir de rire..
donc bon wekk end du milieu de semaine...
3 jours de congés ...c'est déjà ça...
et c'est "au temps..."
que les cons n'auront pas...
salut l'artiste.....
Sympa message. Amoureux d’un haineux ?
Ici, pas besoin de drogue ni d’aucune autre substance pour développer paranoïa, schizophénie, multiplication de profils et de pseudos, exponentiellisation des personnalités allant jusqu’à l’explosion, voire l’implosion, citations compulsives inconscientes et re-citations maladives dénuées de toute réflexion, aussi vides que répétitives, niaiseries réflexives, baisse de QI, atrophie bulbesque ultra-rapide et fulgurante, définitive en de certains cas, syndrome de la connerie, culte du néant, délire aigu de persécution, sans le moindre suivi ou sens, incompréhension, puis malentendus, quiproquos et pataquès, troubles de l’entendement et de la bonne entente cordiale, basique, hallucinations multiples, jalousies, haines et caetera, delirium tremens et compagnie. Un seul clic suffit, parfois.
Et 1 seul remède aussi : déconnection.
Selon qu’il est écrit ou à peu près, dans les textes : « N’est-il pas écrit qu’un jour équivaut à mille ans ? »
Du coup, ça risque d’être un long, long, très long week-end prolongé indéfiniment.
Vacances forcées. Retraite anticipée.
Durée inderterminée, durant probablement sans doute une bonne éternité.
Ainsi suis-je condamné par contumace (ou presque), selon l’air du temps et des idées du moment, à coups de jugements bien-pensants, de claquements de becs et de baffes dans la gueule ou de pieds au cul médiatiques, menaçants, grinçants des dents, à coups de flingues sur la tempe ou de couteaux dans le dos, de colis piégés, de peurs journalières et de terreurs obligatoires quotidiennes, de jolies traces de pneu dedans son froc comme preuve de sa bonne obéissance, de son bien-pensage, à coups de soumissions intellectuelles imposées à coups de marteaux dans les cervelles, les cerveaux - sous peine de - à ne plus être un aimant, mais un haineux...
Cela s’appelle et rappelle le terrorisme ambiant actuel.
De la dictature et du totalitaire.
Rien de plus que du bon-côtisme et de l’agenouillage ordinaire. Du gentillisme arbitraire, du pas-méchantisme, voire du ptit-bitage ou du pas-bien-gros-zizisme à la mode et de bon aloi, bien qu’aussi dangereux que va-t’en-guerre – on en reparlera - qu’il soit forumesque ou non.
Modifié il y a 6 ans, le samedi 29 septembre 2018 à 08:22