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Citation de duschnock
"Il me semble me souvenir que l'homme des cavernes n'a même pas le phone !"
https://www.smail.fr/forums/le-portail/qu-est-ce-qu-on-rigole/65
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Pôv' Artho_Rambur !
Toujours aussi largué...
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Citation de arthur_rambo
lol...
le procédé est lâche....
pour celui qui en appelle la nation ....!
remarque..
on tempère ..
puisque ce survival
est
vichissoix.....
tout dans la mémoire de l'histoire..
en quelques sortes..
Vichy ?
Sais tu au moins ce qui s'y est passé ?
Non alors ta gueule !
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Citation de duschnock
Pôv' Artho_Rambur !
Toujours aussi largué...
Je lui ai répondu justement pour éviter que tu ne le fasses
Je ne voudrais pas que tu t'épuises, il faut te ménager
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Citation de alice-2
Je lui ai répondu justement pour éviter que tu ne le fasses
Je ne voudrais pas que tu t'épuises, il faut te ménager
Merci, chérie.
Et ô public chéri, mon amour...
Bref. J'ai déjà donné. L'affaire est classée.
Modifié il y a 6 ans, le jeudi 11 octobre 2018 à 18:03
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Citation de alice-2
Vichy ?
Sais tu au moins ce qui s'y est passé ?
Non alors ta gueule !
tu veux apprendre l'histoire..
à qui..?
là j'ai pas l'temps...
il est tard...
mais t’inquiète....
tu ne referas pas l'histoire de france..
pour donner une quelconque légitimité..
à tes ailleux..
hmm..?
ok..?
Modifié il y a 6 ans, le jeudi 11 octobre 2018 à 01:02
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Citation de duschnock
Merci, chérie.
Et ô public chéri, mon amour...
Bref. J'ai déjà donné. L'affaire est classée.
Je sais à quel point tu souffres de tant de... euh, souffrance
Donc si tu as besoin, je suis là car j'ai de larges épaules, du crêpe autour des cornes et je m'en vais dans le soir, pendant tous les beaux soirs d'automne
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Citation de alice-2
Je sais à quel point tu souffres de tant de... euh, souffrance
Donc si tu as besoin, je suis là car j'ai de larges épaules, du crêpe autour des cornes et je m'en vais dans le soir, pendant tous les beaux soirs d'automne
et ben...
la vache..!
mdr..
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Citation de alice-2
Je sais à quel point tu souffres de tant de... euh, souffrance
Donc si tu as besoin, je suis là car j'ai de larges épaules, du crêpe autour des cornes et je m'en vais dans le soir, pendant tous les beaux soirs d'automne
La souffrance est un carburant.
Comme l'amour.
Merci du tien.
Et lâche-toi plus souvent, n'éhsites pas à poster.
Montre-nous ce qu'il y a làedans. Dégueule-nous tes tripes et tes boyaux. Merci.
On a faim. Et soif de vous, les filles. Allez-y, bordel.
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Fini la quantitude !
Place à la qualitance...
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Citation de duschnock
Ô trolls, pétroleuses & pétroliers, super-tankers et pétanqueuses, fakes déféqueurs et déféqueuses, tireuses de nœuds, moto-pompeuses, sous-marins et sous-mariniers, sous-marinières, mareyeuses ou vendeuses de poissons à la criée, marchandeuses et démarcheuses, marchandes d’œufs pourris, revendeuses de sentiments à bon prix, sentimenteuses, mauvais senteurs, enchanteuses et déchanteurs de monoprix, d’ascenseurs, descendeuses d’écrits, remonteuses de posts, démonteuses et remonteurs de bretelles, baisseuses de slip, débraguetteuses, murmureuses et sussureuses de non-dits, dégueuleuses et engueuleurs de mots plus ou moins bien sentis, grande-gueuleuses gluantes et anguleuses à demi plates ou applaties, à quatre-patteuses et à plat-ventreuses, les unes aussi vides que les autres sont creuses tandis que les uns creusent ici ou là, chercheurs de filons fameux, de mine d’or fabuleuse, d’Eldorado faramineux, enfarineuses, aventureux, bonne-aventureuses et inventeuses de vies, raconteuses de conneries, de saloperies, médiseurs aussi, diseuses et médiseuses de mes deux, de mon cul, de mon valseur et mes valseuses...
Et bien dansez maintenant !
Connaissez-vous seulement les pas de cette danse-là ? Vous n’en connaissez pas même un bout. Aucun rayon, non. Vous n’êtes que des connes et des cons. Des cochonnes et des cochons. Bourrines et bourrins. Bovines. Vaches à viande et quoi d’autre ? Rien !
Des lecteurs et lecteuses de néant. Néantiseurs, anéantisseuses de tout. Réducteurs et réducteuses peu séduisants ni séductants. Ni folichons ni reluisants non plus. Pas brillants pour un rond, peu lumineux. Assombrissantes et pénombreuses. Enfoireuses en grand nombre. Foireux nombreux, en surnombre. Encombreurs et combleuses de décombres. Videuses d’ordure, déchétteuses. Poubelleuses enlaidies, empuanteuses d’atmosphère. Puants de cochonnerie. Consommateuses et mateurs, amateuses. Gratisseuses et gratuiteurs, graisseuses, gros porcs et compagnie.
Je vous conchie.
Merci.
Ô combien de posteurs, combien de forumeurs ?
Qui s’inscrivants nombreux vers ces terres incertaines et ces contrées lointaines,
N’en sont plus revenus des amours inhumaines des amantes smailiennes...
Ô combien d’impostures de posteuses aux allures imposteuses aux postures allumeuses et menteuses aux figures fallacieuses et trompeuses aux injures pernicieuses et vicieuses. Ô combien de pseudos amoureuses !
Membres femelles insinuantes et sinueuses ou serpentantes et persiflantes vipères aux langues râpeuses distillantes leurs visqueuses et malodorantes fientes en vers-de-terre ou en prosateuses de terrain de tapin de bas-fonds de putain. Cul-terreuses aux odeurs de terreau sans culture et odieuses ou laborieuses insultes aux dieux et déesses d’antan de jadis. Aspirantes avaleuses et ravaleuses de morgues frimeuses ou renifleuses immondes et gobeuses d’œufs pourris d’épluchures et de larves gluantes englueuses et collantes de bêtises encolleuses abêtissantes petites marquises déglutissantes princesses de mes fesses cul-terrantes engloutisseuses bavantes ou baveuses à plat-ventreuses à quatre-pattantes et soumises écœurantes affameuses infâmantes dévoreuses et bouffeuses de crachats ou de morves glaireuses d’immondices et d’ordures et de vices. Pets foireuses !
Ô vicieuses et infâmes que ces puantes femmes emmerdeuses merdiques et salopeuses d’âmes salisseuses impudiques et joueuses éléphantes surjoueuses ou biaiseuses dames de cœur amateuses et de pique branlantes au cul démesurantes reccordeuses du monde podiumantes et grimpeuses de forum podiumeuses tapinantes tapineuses bringuebalantes emballeuses. Impostantes ! Eaux boueuses ! Pets foirantes !
Pourlécheuses et lécheuses de trous d’fions sucoteuses ou suceuses de bonbons de bombecs et de mecs à trois balles postulantes et tireuses de tirettes à 1 franc pochetteuses de surprise dévoreuses de kinder empaqueteuses et déballeuses de cadeaux cachetonnantes à deux ronds décachetonneuses de corsages faux-nibardantes siliconeuses de mamelles dépoitrinantes et déboutonneuses de braguettes fricoteuses de jouets de minets de minettes et de zobs dévorantes des yeux zozotantes et zieutantes clignoteuses feux-rougeantes zig-zagueuses auto-stoppantes autorouteuses station-servantes pompeuses de sens encenseuses dansantes enchanteuses enjolivantes enjoliveuses et salissantes de jolis vers dérimantes arrimeuses désamarrantes et largeuses d’amarre de grand-largeantes navireuses naufragantes robinsonneuses vendredissantes littérateuses râturantes dénatureuses malheurantes enfourcheuses de language et chevaucheuses de balais à chiottes balayantes aspireuses de détritus d’emballages plastiques caoutchouteux et juteux objets godmichets synthétiques joujoux électroniques bites en bois mécaniques et tic-tac en plastoque ou que sais-je encore écriveuses de père-noël attendeuses au-pied-du-sapinantes tapineuses patienteuses sapientantes desapientantes arpenteuses ou descendeuses et remonteuses de pentes.
Glandouilleuses d’anus et brandouilleuses de glands cul-butantes rebutantes bien que tentantes menottantes et branlettantes de petits matins ou servantes de petits-déjeuners au lit sous-la-couetteuses oreillantes traversineuses édredonnantes réchauffeuses de froidures mordantes redresseuses de raideurs de raidures déglaceuses de couvertures froidissantes radiateuses dépannantes et renvoyeuses d’ascenseurs dépanneuses réparatantes d’escalier démarchantes d’amour au rabais marchandeuses de cul démouleuses de trains électriques et cracheuses de jurons au sortir des tunnels et par-dessus les ponts.
Rêveuses virtuelles sans vertus ni vergognes attendant les cicognes en rêvant de cocagnes de châteaux espagnols de chanteurs italiens de vins californiques ou sud-américains de grand canyon intimes de chutes niagariques ou de celles des reins de légèreté des corps et du poids quotidien de la pesée pensante et pesante pensée de la vie d’eau de pluie entre le creux des seins de saisons de soleils de jeysers africains de courbes hyperboles boréales ou australes de courses hippodromes de sports aéronautes de nages sub-aquates de voyages spécials et de comptes-à-rebours de glou-glou et d’envols de encore et d’encore ou bien même de rien de plus jamais plus rien de jamais de toujours. D’etc et cætera. Et d’envie quelquefois que tout s’arrête là et de connaître enfin une simplicité une vraie relation de la complicité et puis du sentiment et de la vérité du vrai du ressenti du senti consenti pas que du réchauffé calculé desservi et puis désurgelé servi sur un plateau. Non. Du vrai. Du beau. Du bon et puis du bien. De l’être aimé. Aimant. De l’amour de l’amant. Pas du boulot ni du turbin. De la passion. Du vivant. De l’être humain.
– Bande de connes, se disent-elles soudain. Tout ce temps à passer ici en vain à le tuer pour rien alors que tout était là juste à portée de main... Bordel !
Ô combien de posteurs, combien de forumeurs ?
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Ceci n’est pas de la haine.
Mais une déclaration d’amour.
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Cela n’est pas non plus une pipe. Ni une turlutte.
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Tu as quand même une façon étrange de vilipender les Femmes...j'y lis un certain dégoût...dans pour toi..si j'ai compris....un comportement de mascarade...tout serait faux..chez elles..
Sauf celles qui auraient partager un amour vrai....
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