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Citation de loreen78
ou vice-versa!
Assassinat par suicide ?
Oui. C’est le grand ménage par le vide ou l’auto-nettoiement intérieur, la poire à lavement automatique débouchant sur l’arrosage journalier de son petit jardin particulier, un engrais 1oo% naturel, écologique, l’écoulage quotidien vers l’extérieur de ses propres étrons, de ses fèces, le big-bazardage et le gros dévidage interne du poids des intestins, des rancœurs et autres aigreurs d’estomac trop lourdes à porter, à supporter, des mille et une brûlures toutes plus acides et délétères les unes que les autres, des luttes intestines et détestables, millénaires, sans fin, devenant soudain chiables et déféquables à merci, selon le bon gré ou le mal gré de ses humeurs du jour.
Un déchiottage en direct !
Modifié il y a 6 ans, le vendredi 12 octobre 2018 à 12:22
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Sa plune s’affime.
S’affirne, se confirne.
Explorateur de confins et de connes pas très fines, voyageur de lointains, mesureur de gros cons, de près, arpenteur de hauteurs sous-plafonds comme de profonds et infinis sous-terrains, visiteur de loin en loin d’horizons, promeneur et baladeur de tréfonds, de fin-fonds, rencontreur de plus ou moins hauts et bas-fonds du cœur humain. De l’âme humaine.
Je vais, je viens. Je tourne en rond. Parfois carrément pas.
Sa lase s’aiguime.
Son esprit s’abîne, se subline, se divime.
S’exprine et s’extériorime en rises.
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Déraison.
Des raisons ?
Des raisins.
Et des pépins.
Des colères et des broutilles. Peu ou prou, rien que du brou de noix. Des cerneaux.
Et des pépites. De l’or à pleines mains. Qui jute.
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De @eireen :
"Chaque, mot, chaque phrase chaque intonation , se trouve et se formule dans un sens dérangé, qui se termine en non sens des mots , qui finissent on ne sait ou , en agenouillé, à se confier, d'aveux, en discrétion, soumettant l'incompris, dans un laxisme infini, de dérision, en raisonnement, d'affabilité, en animosité, une belle matière à servir, tout en desservant du rituelle de l'eau, au bain forcé , d'absolu , en mentalisme , tout cela est captivant, comme pas possible Merci"
Me voilà capté. Et capturé vivant...
Plongé et replongé de force dans mon propre bain, débaptisé puis rebaptisé d’un nouveau nom d’écrivaillon – à celui d’écrivain, n’écrivant plus en vain ni pour rien, mais pour quelqu’une, quelqu’un. Merci à toi.
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Des fosses sceptiques, à purin.
De vraies chausse-trappes et attrape-couillons (déjà dit ? Tant pis), des nasses à poissons, des paniers à crabes. Des écrevisses. Dégueulasses et crevetteuses, à moitié crevées. Poissonneuses pourrissant par la tête. Et sentant.
Des os à moëlle, démoéllées. Cerises dénoyautées, au bouchon de champagne déjà sauté depuis longtemps. Au verre vidé jusqu’à la lie. Coupe brisée. Et croûpe à demi-démontée, désarticulée, démantibulée, épaule et mandibule luxée. Mâchoire tombante, entrebâillée. Bavante en longs et suintant filets, se traînant. Décérebrées, décervolantes et lentes. Débandantes. Enfilée/désenfilée jusqu’à plus soif. Plus faim. Nudifiée jusqu’à l’ os. Désossée vivante. Robe froissée. Jupe et tôle arrachée. Dérapage incontrôlé. Aqua-planning et tête-à-queue.
Anti-sceptiques s’abstenir.
Modifié il y a 6 ans, le vendredi 12 octobre 2018 à 13:27
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Célinien ?
Hélas pas, non...
Marcel duschnockien lui-même, rien ni personne d’autre.
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Citation de duschnock
Célinien ?
Hélas pas, non...
Marcel duschnockien lui-même, rien ni personne d’autre.
Pour vous servir.
Alors, servez-vous en !
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Spermantes et spermeux.
Mouillantes, mouilleux.
Déjouissantes ou réjouisseux.
Chères habitantes de « smailie » et non-bitantes, incomprenantes amies bitauculeuses, méticulantes et ridicules précieuses, petites bitoniantes laborieuses, et vous, très chers amis biteux, vous zobant les uns après les autres et vous snobant à qui mieux mieux, qui n’êtes pas mieux, ni non moins pires qu’elles, ni queue, ni tête à vos propos, à vos combats de bite-à-la-mainteux, de plus-grossantes que l’autre, que lui, toi, moi, de celui-qui-pissera-le-plus-lointeux, le plus longtemps, la plus-longuantes, vous-y tenant comme à un parapet, une rambarde contre votre propre vide, votre précipice au fond duquel certains chutent, de haut, tandis que d’autres leur pissent dessus, de loin, leur déféquant même dedans pour certaines et certains, tout ça n’aboutissant qu’à trois fois rien, finalement.
À quoi ça tient, hein ? Ô faces de pets !
Concupiscentes et autres pisseux donc, pisseuses abstinentes, incontinents, pissenliteuses, pisse-froidants se mordant entre eux tels que des cleps, des clébards coupés, sans plus de queue, les remuant pourtant au nez et à la barbe de ces continentales plaques tournantes, mouvantes, émouvantes parfois, tectoniqueuses plaquantes implacables, volcanantes et cancaneuses, éruptantes, éructeuses abruptes, dévaleuses coulées pyroclastiques et plastiqueuses, dynamitantes, ou calamiteuses abrutissantes pyromaniaques, perpétueuses et continuantes de chienlit forumique, enchaîneuses de chiennerie, de châtterie, forumeuses, pauvres de nous, et vous, tristes cons, culs passants et repassants par derrière, par devant, s’en allant et revenant, pissant toujours dans le sens du vent, du courant, de l’air du temps. De la doxa du moment.
Et j’en oublie...
Point tout n’est dit.
Beaucoup restant encore non-écrit.
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Il distille le Schnock ...
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Citation de duschnock
Spermantes et spermeux.
Mouillantes, mouilleux.
Déjouissantes ou réjouisseux.
Chères habitantes de « smailie » et non-bitantes, incomprenantes amies bitauculeuses, méticulantes et ridicules précieuses, petites bitoniantes laborieuses, et vous, très chers amis biteux, vous zobant les uns après les autres et vous snobant à qui mieux mieux, qui n’êtes pas mieux, ni non moins pires qu’elles, ni queue, ni tête à vos propos, à vos combats de bite-à-la-mainteux, de plus-grossantes que l’autre, que lui, toi, moi, de celui-qui-pissera-le-plus-lointeux, le plus longtemps, la plus-longuantes, vous-y tenant comme à un parapet, une rambarde contre votre propre vide, votre précipice au fond duquel certains chutent, de haut, tandis que d’autres leur pissent dessus, de loin, leur déféquant même dedans pour certaines et certains, tout ça n’aboutissant qu’à trois fois rien, finalement.
À quoi ça tient, hein ? Ô faces de pets !
Concupiscentes et autres pisseux donc, pisseuses abstinentes, incontinents, pissenliteuses, pisse-froidants se mordant entre eux tels que des cleps, des clébards coupés, sans plus de queue, les remuant pourtant au nez et à la barbe de ces continentales plaques tournantes, mouvantes, émouvantes parfois, tectoniqueuses plaquantes implacables, volcanantes et cancaneuses, éruptantes, éructeuses abruptes, dévaleuses coulées pyroclastiques et plastiqueuses, dynamitantes, ou calamiteuses abrutissantes pyromaniaques, perpétueuses et continuantes de chienlit forumique, enchaîneuses de chiennerie, de châtterie, forumeuses, pauvres de nous, et vous, tristes cons, culs passants et repassants par derrière, par devant, s’en allant et revenant, pissant toujours dans le sens du vent, du courant, de l’air du temps. De la doxa du moment.
Et j’en oublie...
Point tout n’est dit.
Beaucoup restant encore non-écrit.
J'espère que tu fais un recueil de tes chroniques théâtrales ?
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(...)" et j en oublie" (...)
Dis-tu ?!
Mais ce me semble suffisant ici.
Oui ? Non ?
(Ce style me met en tous les cas mal à l aise)
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Citation de duschnock
Spermantes et spermeux.
Mouillantes, mouilleux.
Déjouissantes ou réjouisseux.
Chères habitantes de « smailie » et non-bitantes, incomprenantes amies bitauculeuses, méticulantes et ridicules précieuses, petites bitoniantes laborieuses, et vous, très chers amis biteux, vous zobant les uns après les autres et vous snobant à qui mieux mieux, qui n’êtes pas mieux, ni non moins pires qu’elles, ni queue, ni tête à vos propos, à vos combats de bite-à-la-mainteux, de plus-grossantes que l’autre, que lui, toi, moi, de celui-qui-pissera-le-plus-lointeux, le plus longtemps, la plus-longuantes, vous-y tenant comme à un parapet, une rambarde contre votre propre vide, votre précipice au fond duquel certains chutent, de haut, tandis que d’autres leur pissent dessus, de loin, leur déféquant même dedans pour certaines et certains, tout ça n’aboutissant qu’à trois fois rien, finalement.
À quoi ça tient, hein ? Ô faces de pets !
Concupiscentes et autres pisseux donc, pisseuses abstinentes, incontinents, pissenliteuses, pisse-froidants se mordant entre eux tels que des cleps, des clébards coupés, sans plus de queue, les remuant pourtant au nez et à la barbe de ces continentales plaques tournantes, mouvantes, émouvantes parfois, tectoniqueuses plaquantes implacables, volcanantes et cancaneuses, éruptantes, éructeuses abruptes, dévaleuses coulées pyroclastiques et plastiqueuses, dynamitantes, ou calamiteuses abrutissantes pyromaniaques, perpétueuses et continuantes de chienlit forumique, enchaîneuses de chiennerie, de châtterie, forumeuses, pauvres de nous, et vous, tristes cons, culs passants et repassants par derrière, par devant, s’en allant et revenant, pissant toujours dans le sens du vent, du courant, de l’air du temps. De la doxa du moment.
Et j’en oublie...
Point tout n’est dit.
Beaucoup restant encore non-écrit.
Sympa à lire..dans le délire...auto portrait...tu ne vas pas te trancher une oreille .
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Pensées en gestation d’un devenir.
Celui qui éjaculait son vivre dans le foutre de son âme.
Il aima, il aimait, il aimerait toujours l’autre.
Cet autre rencontré à la pointe du regard, à celle encore plus intense d’une émotion, il le vivait, vivrait, en lui pour toujours.
Cet autre, Elle, qui l’avait changé, tellement changé qu’il n’avait même pas besoin de se retourner sur ses souvenirs pour en saisir le contraste.
Le changement, ce contraste de lui, de ce qu’il était, il l’oubliait.
Une seconde vie émergeait, rendue tellement possible et si belle dans son devenir par cette seconde mère, Elle.
Sur la corde à obsolescence de ses désirs, si auparavant tendue dans l’incertain de sa fragilité au dessus de ce qui pouvait être des abimes, ses abimes, maintenant avançait-il sur l’asphalte si sûr de la route qu’elle lui offrit.
Voyageur de la vie, le véhicule souvent malmené et chaotique de son existence eut l’incroyable chance d’y rencontrer une auto-stoppeuse, entraperçue dans le presque obscur d’une nuit à venir de tant de nuits à venir.
Etait-ce la lumière intérieure qui habillait cet être, malmenée aussi par une solitude de l’existence, qui l’avait fait plus qu’entrevoir, voir de façon perçante ?
Elle, l'écriture!
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Sacré Duschnock, vas et continues avec ELLE !
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