duschnock

À Dieu-vat, schnockdu* !

il y a 6 ans
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duschnock il y a 6 ans

Obligé de procéder ainsi pour publier ces 2 ou 3 putains de phrases !

Bienvenu chez Big-Brother.
Ou quand l'esprit humain commence d'être contrôlé par des machines...

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duschnock il y a 6 ans

Citation de duschnock Obligé de procéder ainsi pour publier ces 2 ou 3 putains de phrases !

Bienvenu chez Big-Brother.
Ou quand l'esprit humain commence d'être contrôlé par des machines...


Mais visiblement, cela vous fait l'effet d'un cachet d'aspirine.
Un placébo.

Puisque ce n'est pas écrit dans vos journaux.

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duschnock il y a 6 ans

Ni entendu à la radio.

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duschnock il y a 6 ans

Visite téléguidée N°2 :
(sur-aquatique)

Bloup !
Eaux poissonneuses et ô combien poisseuses ou vaseuses, boueuses de féminité enfemmenistées, femmenisées, feministées ou défemellisées et remasculinisées.
Étendues marécageuses à peine encore miroiteuses. Ondes et vagues déjà sèchées, asséchées, rivières trompeuses d’algues et de chevelures ondoyeuses, enchanteuses de beautés aveugles et sourdes, menteuses, mirageuses mais non miraculeuses, hélas, plutôt castreuses et arracheuses d’attribut mâles, de bittes mal amarrées, émasculeuses de pauvres pécheurs à la main, sans hameçon aucun que leur vieux sexe pendant tel un leurre à vieilles truites au ventre gonflé, à tanches, un petit insecte en guise d’appât, telle une mouche, une larve, un ver ou un asticot gigotant pour tout épuisette face à leurs gueules grand-béantes, tout ouvertes, déchirant les mailles de nos filets, une à une, de nos casiers à crevettes duveteuses, à langoustines épilées ou poilues, selon, mais autant rugeuses au toucher que pierreuses à caresser, et si rocheuses au baiser, caillouteuses, amoureuses aux sourires de galets, mers mortes, marées poiscailleuses aux rires ensablés, ensablonneuses et noyeuses de chalutiers, couleuses de bottes et de cirés, dégonfleuses de bouées, épuiseuses, pirateuses de barquasses, d’embarquations légères à louer, débarqueuses de godasses et de souliers, voleuses de pieds, preneuses de têtes et de cœurs à aimer, tueuses de métiers, d’artisanat, d’art, détourneuses de gabarres, pagailleuses de pagaies, rameuses d’avirons, godilleuses, tribordeuses et babordeuses, tireuses de saffran à gauche et à droite, louvoyeuses, dévoyeuses de voiliers, tireuses de bords et de bordées au moteur, ameuneuses de foc ou de grand-voiles amateuses, jeteuses d’ancre, empanneuses, sous-marineuses, dériveuses lestées, jeteuses de lests, largeuses de dérives, abandonneuses de pleine mer, naufrageuses de naufragés non-volontaires, sectionneuses de boutes, de cordages, de cables et de filins, délaisseuses de drisses flottant aux vents marins, démâteuses de pieux, de vits et de gourdins, chavireuses à sec, navigueuses de plage, parasoleuses, ensableuses de sentiments, noyeuses de larmes, échoueuses d’amants, laguneuses de vases aux rives ravageuses et dévasteuses, démouleuses de moules avariées, d’huîtres déperlées, d’écrevisses viciées, poissons-chattes et araignées d’eaux stagnées, mauvaises odoreuses, embaumeuses et perdeuses de promeneurs du dimanche ou de saule-pleureurs esseulés, à demi-fondrés, emballadeuses aux berges bétonnées tout du long, isoleuses, fausses soyeuses, déguinguetteuses du sol au plafond, admireuse et mireuses de béton, aux courbes molles, flasques, aux reflets de pétrole, chimiqueuses muqueuses, mares fangeuses et flaques de boues alanguies, canoteuses de canapé, canopeuses de Pangée, de canöé, dégueulasseuses d’amour et d’amoureux transis, travestisseuses polluées d’affiches et de panneaux morts partout, de bout en bout : Attention. Pêche et baignade interdite. Non potable.
Parkings où s’égarer sans fin et longs rayonnages de supermarché, côté surgelés, rayons poissonnerie. Les yeux morts. Le cœur déjà frit. Congelées dans la glace pilée. Le cul découpé en petits-dés à jouer, à en découdre avec le premier poissonnier venu, amateur de poisson. L’abruti du jour en promotion. Poussant son caddie devant lui, comme un con.
Messieurs-Dames, il est l’heure, on ferme. Vous êtes invités à vous diriger vers la caisse ou la sortie...

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duschnock il y a 6 ans

En un mot, cassez-vous et merci !

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duschnock il y a 6 ans

J'aurais pu dire en un mot comme en cent, bande de connasses...
Mais je préfère en un mot finissant, me taire, et retourner dans ma tanière où me terrer loin de la masse et de la nasse.

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duschnock il y a 6 ans

Troisième et dernière visite touristique : (sous-orbitale/sur-aquatique/extra-pédestre)

Dessous les ciels, dessus les eaux,
j’aurais marché tel un oiseau,
comme un poisson dans le ciel bleu,
survivant de tous les milieux,
un chimpanzé tombé de haut,
à demi-fou, moitié idiot,
singe savant, sachant qu’il sait
n’être qu’un Homme qui rien ne sait,
ni ne comprend, non plus n’embrasse
de l’univers, devant sa glace,
le moindre reflet face au vide
si ce n’est son regard avide,
un trou béant d’inconnaissance,
qu’il dénomme lui-même : Science.

Un vaste mensonge aérien.
Une fake news, in-utérin.

Si Dieu est mort, donc moi non plus.

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duschnock il y a 6 ans

L’être humain, après avoir tué le Père, s’apprête aujourd’hui à violer sa propre Mère, la terre, et la ravager de fond en combles...

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duschnock il y a 6 ans

Jusqu’à ce que mort s’en suive.

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duschnock il y a 6 ans

Merci Sigmund.
Et tous les autres tarés de cette espèce.

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duschnock il y a 6 ans

Putain de race et d’engeance !

Vipères !
Serpents de misère !

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duschnock il y a 6 ans

Misérables salopards, quelquepart.

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duschnock il y a 6 ans

Peyrac se pense sans doute pertinent ?
Il ne chie que dans son propre esprit et ne pisse ainsi que sur son âme.

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duschnock il y a 6 ans

Un baptême urinaire et une ostie excrémentielle pour tout sacrement. Tel est le portrait de l’auto-dieu proclamé : soi. Ne régnant pas même sur sa propre conduite, ni sur son propre jugement intérieur. Il n’est pas – il paraît.

Apparaissant et disparaissant tout aussitôt.


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