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Du vent.
Un courant d’air.
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Comme un éternuement. Un pet.
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Citation de duschnock
L’être humain, après avoir tué le Père, s’apprête aujourd’hui à violer sa propre Mère, la terre, et la ravager de fond en combles...
Que fera t-il ensuite ?
Il mourra.
Mais ses œuvres demeureront à jamais. Et le mal aura été fait.
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Je te salue, St-Jean-Baptiste.
Et je rends gloire à Jésus, ô notre Christ.
La paix sur toi.
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Et sur le monde !
Celui passé, présent, à venir...
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S’il en reste un après demain.
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Citation de duschnock
« ELLE & LUI ».
On a envie d’en faire un livre. Un film.
De la musique.
L’histoire d’un poète-écrivain amoureux de sa mûse. Rien d’original, certes. Déjà vu. Ou l’histoire de Dieu, amoureux de sa création...
Et de ses créatures.
L’aiment-elles encore ? vraiment ? Pourquoi le nient-elles et le renient-elles ?
Comment survivent-elles, sans LUI ?
Et comment fait-il lui, là-bas, tout seul, sans ELLE ?
« DIEU », amoureux de sa création et de son visage, comme de ses créatures : les Hommes, qui eux, en retour à cet Amour, l’insultent et lui crachent à la figure – qui est la leur aussi – tout en piétinant et foulant au pied la terre, le poing levé vers le ciel.
Coup de tonnerre, pluie, suivie d’une éclaircie. Puis soleil et grand beau.
Rideau.
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Ô, vases incommunicantes et autres boues incommuniantes, gnan-gnantes, terre-à-terrantes ou plates, inrécipientes, pète-secantes et cassantes, se-la-pétantes, non réceptantes ni émettantes la moindre longueur d’onde ou profondeur d’idée, hauteur de point de vue panoramique ou recul de soi hormis leur propre cul dans un miroir les reflétantes, s’y miroitantes en gros plan, dézoomantes et travelling-avantes, fondues enchaînantes, ni menu-déroulantes non plus aucune icône autre que leurs fesses déconnantes, aveuglantes, pauvres imagantes et postérantes de fessiers toutes émoticonnantes d’émotions et de tristes sons se résumantes à lol ou mdr, toutes prout-proutantes de rires et soit-disantes drôles, légères, rigolettantes, alors qu’au-raz-des-pâquerettantes et rasantes, arrasantes, malentendantes ou non-voyantes ni comprenantes mais bien prenantes pourtant, preneuses de têtes entettées, alourdissantes, pesanteurantes à enterrer vivantes à coup de pelles et de pelleteuses, de bulldozers, décapitantes et étêtées, décervelantes aux voix désaiguillées, désaccordées, incohérentes et floues désenchaînées, en roues libres, déraillantes, vieilles pendules ou anciennes tocquantes dérèglées, dissonantes et retardantes d’un train ou deux comme de plusieurs tramways et de quelques métros de plus, déshorlogantes attardées sonnantes faux 2 fois par jour, dépendulantes à remonter en pleines descentes organiques, désorgasmées à tous les niveaux. Mécaniquantes défluidifiées. À jamais ne plus niquantes. Débandantes automatiques en prêt -à- porter, à louer ou baiser. En pré - payé...
Vous êtes marrantes, chères amaranthes !
Modifié il y a 6 ans, le vendredi 19 octobre 2018 à 09:55
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Des démarrantes de 1/4 de tour.
Et des recaleuses en côte, d'amour.
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Ô, photocopilleuses d’avatars, pirateuses des mers et razzieuses de déserts forumiques, caviardeuses de profils, tricheuses de pseudos, copiteuses ou réimprimeuses à jet-d’encre, pieuvres tentaculeuses à triples ventouses et à buses, attrapeuses de petits calamars ou de calmars géants, d’encornets, d’ os de seiches, pulpeuses poupées photogéniques ingénieuses, poulpes tentaculaires et spectaculeuses, 2o-mille-lieues-sous-les-mereuses, Nautilusseuses, Moby-Dickeuses, Ulysseuses, sirènes enchanteuses, inspireuses muses, tueuses d’homards, chairs -à- crabeuses, octopusseuses, James-Bond-girleuses, pussy-cateuses griffues et miauleuses, harpiesques, chattes à gouttières, couineuses de piaules, grinçeuses de ressorts, découlisseuses à pieds, molleteuses de clefs anglaises, preneuses de thé, tea-timeuses de salon, cookiteuses de gâteaux secs, biscuiteuses, cakeuses de fruits confits, boudeuses de boudoirs, enfourneuses de petits-fours et pourlécheuses de doigts, rongeuses d’ongles, suceuses ou baisseuses de pouces, « vae-victisseuses », déromantiqueuses, chuteuses de Rome, hordeuses de Huns, Vandaleuses, déferleuses de Barbares, tombeuses de Carthage, cacheuses de Troie, ensableuses de Babylone, jeteuses à bas de ziggourats, disparaisseuses d'Ur en Chaldée, oublieuses de Sumer, crocodileuses de Nil, avaleuses d'Égypte, applatisseuses de pyramides, hippopotameuses de Mésopotamie, caïmanteuses d'Afrique noire et d'Abyssinie, alligatoreuses de sacs-à-main ou de pompes en croco, pomponnées, saupoudrées de sucre cristallin, de sel fin, enfarinées de la tête aux pieds, Versailleuses, galeries-des-glaçeuses, chambres -à- coucheuses, leveuses en l’air d’auriculaires et pinçeuses de faux sourires en peaux de fesses. Jocondeuses, Mona-Liseuses.
Babineuses, échineuses. Épines dorsaleuses. Moëlle-épinièreuses. Nageoire caudaleuses. Désosseuses d’arrêtes de poissons. Fish-boneuses.
Aujourd’hui, c’était vendredi.
Demain, sera-ce Robinson ou samedi ?
Modifié il y a 6 ans, le vendredi 19 octobre 2018 à 11:42
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Bonjour et au revoir ici.
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Marécageux et vaseux ses derniers jours, Capitaine Schnock s'enlise t'il dans le marasme et la monotonie forumique .
Va t'il trouver des contrées moins hostiles ?
La belle Iseult finira t'elle par céder à ses avances et s'offrir à ce Gentleman ? (Oups c'est sur l'autre chaîne)
A suivre dans le prochaine épisode .
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