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Citation de loreen78
attds, là je suis ds le flou...
tu veux encore prendre des coups?
alors, allons-y, soyons fous,
même si, avec toi, je joue
ou que tu nous traites de tout...
et quand il y aura un loup,
si tu affiches du dégout,
attendons que vienne le redoux,
tu seras de bien meilleur gout!
car quand on pique comme le houx,
et ne nous prend que pour des trous
il faut pas s'étonner, au bout,
qu'on ne vienne se frotter à vous.
je suis et je reste debout
alors, surtout, ne sois pas mou
et montre-moi donc ton bagout
même si je ne vaux pas un clou!
pas mal...!!
t'as bloqué ton dico de rimes...
à la consonances....
ou..?
mais c'est pas....
mal du tout...
on sent que les neurones ont choufés....!
salut miss manga...
( à certains égards ...
on dirait du champs fort...)
non j' badine...
Modifié il y a 6 ans, le vendredi 28 septembre 2018 à 00:40
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Quel bagout ! A défaut de ragoût.
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loreen78 (clôturé)
il y a 6 ans
Citation de arthur_rambo
pas mal...!!
t'as bloqué ton dico de rimes...
à la consonances....
ou..?
mais c'est pas....
mal du tout...
on sent que les neurones ont choufés....!
salut miss manga...
( à certains égards ...
on dirait du champs fort...)
non j' badine...
bof!
c'est du vite fait...
7mn chrono, en fumant ma clope! lol
'jour arthur
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Duschnock a ete enlevé par le grand cabinet noir car il sachait trop de choses... Si ca se trouve ils l ont mis dans une prison secrète sur l ile d Amsterdam
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lecouperet (clôturé)
il y a 6 ans
Citation de paturonlebeauf
Duschnock a ete enlevé par le grand cabinet noir car il sachait trop de choses... Si ca se trouve ils l ont mis dans une prison secrète sur l ile d Amsterdam
Ils n ont pas besoin d un TDC au grand cabinet , ca te ferait un job ou tu pourrais te faire chier sans nous ?
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Citation de lecouperet
Ils n ont pas besoin d un TDC au grand cabinet , ca te ferait un job ou tu pourrais te faire chier sans nous ?
Tient voila le vieux roquet nazi de service... A la niche le cabot
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loreen78 (clôturé)
il y a 6 ans
Citation de paturonlebeauf
Duschnock a ete enlevé par le grand cabinet noir car il sachait trop de choses... Si ca se trouve ils l ont mis dans une prison secrète sur l ile d Amsterdam
et elle a été engloutie par un tsunami!
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Citation de loreen78
et elle a été engloutie par un tsunami!
oui mais le grand cabinet noir qui dirige le monde possède une base sous marine sous l'ile ils ont tous prévu il sachent tout
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Citation de loreen78
bof!
c'est du vite fait...
7mn chrono, en fumant ma clope! lol
'jour arthur
t'es souvent inspirée...
en rimes...?
par la clope...?
mais tu t'es chronométrée...
pourquoi faire...?
soir' loreen..
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Citation de lariebambelle
Quel bagout ! A défaut de ragoût.
Il y a d'excellent ragoût...et d'autres de bas goûts...
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Citation de duschnock
Ce n'était que moi.
Je repasserai.
Me revoici. Passant et repassant.
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Suicide raté ?
Remboursez !
Les unes crieront, ou plutôt non, elles penseront au fou. C’est un pervers, un malade, sadique et manipulateur. Un vrai psychopathe, etc.
Il a voulu tester sa popularité, ai-je lu. Quelle blague...
D’autres encore analyseront que tout ce que j’écris et décris ici n’est en définitive que mon autoportrait, tel que mon propre reflet dans un miroir.
Et après ? Joli tableau. Bel encadré.
C’est bien aussi le leur – celui qu’elles me renvoient.
Ainsi que le tien, toi là.
Tiens, je te le rends de bon cœur. Mais sans les fleurs cette fois.
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Pour Nada.
Ô toi,
qui tenta de m’arracher la bite avec les dents,
te voilà bien seule à présent,
avec ton bouquet de marguerites en plastique à la main.
Tant et si tant tellement sec est ton bien trop étroit et si petit jardin,
que jamais n’y poussera rien.
Pas même ça.
Nada.
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Quant aux uns des mâles ci-présents, je n’en ai vu jamais aucun d’entre eux s’offusquer de ce qu’on insultât l’une de leurs femelles. Ou si peu. Un, peut-être.
Nul d’entre eux, donc, pour les défendre.
Pas un non plus pour la sauver, elle, du haut de son donjon, lorsqu’elle y fut soit-disant attaquée ou retranchée, prise au piège de ses propres jeux. De ses manipulations sales et vicieuses. Souterraines et méandriques, tortuantes.
Non, pas un seul, dis-je, lorsqu’en sa feinte offuscation, quelquepart sur les remparts de son château-fort, d’entre les créneaux, elle hurlât telle une sainte en passe d’être violentée pour qu’on vienne la sauver à qui voulait l’entendre, assaillie qu’elle était de tous côtés. Mon cul...
Personne ne voulut. Nul n’intervint ni ne bougeât le moindre petit doigt de pied.
Ah, les preux et valeureux chevaliers que voilà – n’est-ce pas ?
Eux sont le bien. Je suis le mal. Moi.
Puisqu’il en faut bien un, je peux comprendre. Et puis je sais, on prend ce qu’on a sous la main sur le moment, pas vrai. Lui ou un autre, ça fera bien l’affaire pour l’instant.
Ce n’est, à tout prendre, pas très important.
La chevalerie ni la galanterie n’existant plus, que me veulent-elles donc encore ces connes, à monter sur leurs grands chevaux ? Merde !
Je ne suis pas moi-même un canasson...
Ni un cheval de bois ou à bascule. Pas de marbre non plus. Ni de glace.
Statue de chair et de sang, je suis vivant. Non pas un froid serpent, une vipère.
Le mort ici, ce n’est pas moi.
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Et quant aux unes d’entre les autres femmes, silence-radio.
D’après la météo, on les dirait parties se ballader en forêt, à pieds ou à vélo, se promener en bicyclette autour du lac ou s’enivrer d’air frais et s’assoupir au bord de l’eau, somnoler bientôt, puis s’endormir en rêvant d’un tour de barque à dos de chameau, par-dessus le sable des dunes, et se réveiller soudain sur quelque plage en maillot de bains ou sans rien. Enfin bref, incognito.
Pas un mot, non. Zoubi. Walou. Ces dames se bronzent en silence, bien cachées à l’abri de leur masque en peau de fesses, tout sourire derrière leurs lunettes de soleil à zieuter par en-dessous les azimuths et les alentours, mine de rien, au travers de leurs 1 ou 2 kgs d’huile de friture ou de vidange étalées sur la figure, jusque sur le bas-ventre et les entre-cuisses, ruisselantes, tartinées de milliers de tonnes de crème au beurre, épaules suintantes, affalées, retombantes, toutes goûtantes et quasi-débandantes de suées, d’o d eurs, dégoulinantes de graisse telles que de grosses et vulgaires frites en cornet toutes enroulées d’un papier gras, baveux, comme d’un léger drap semi-transparent laissant s’écouler partout de côté jusque sur les genoux ce liquide doré, ce jus brillant, du genre de ceux qui te colle aux doitgs et ne te lâche plus, telles qu’elles-mêmes entassées là, pêle-mêle et en tas, nues dessous leur grand chapeau mou, démoulées à l’air ou bien dissimulées loin des regards et des témoins, s’étalant à poil ou rasées derrière un alibi-parasol. Dixit leur avocat.
Mouais.
Cependant qu’un enfant se voit piétiner tous ses pâtés de sable à quelques pas de là, les uns après les autres. Silence total.
Être soi-même après ça, mais comment ? Impossible. Tout est faux.
Modifié il y a 6 ans, le samedi 29 septembre 2018 à 02:09
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