duschnock

À Dieu-vat, schnockdu* !

il y a 6 ans
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duschnock il y a 6 ans

Chers mange-cacas et ramasse-crottes.
Ô chères petites miettes de rien, de pain sec et d’eau, de néant, d’insignifiant. D’inexistant.

Perroquets, cacatoès et autres cactus aux parfums de fleur d’anus, cacateuses et cacateux. Beaux merles siffleurs ou moqueurs – clin d’yeux à Isolde & Iseult – souffleurs de jolis noms d’oiseaux, d’oizelles et d’oiseleurs. Théâtreux. Cinémateuses. Comédiants, acteuses.

Asseyants de tabouret de bar ou bien debout devant leur verre, solitaires. Agenouilleuses de marche-pieds, buveuses de belles paroles, ingurgiteuses de nouvelles idéologies, de jolies prières, d’homélies, de chants de messe et de modernes lithurgies, quasi-obligatoires. Droits-de-l’Hommistes et autres Humanistes à la mord-moi-l’nœud, à poil, tel qu’à confesse. Vicelardants et vicelardeuses, communiant mais ne communiquant point. Pas. Plus. Croyeuses, croivants. Sachants, sacheuses. Les unes soumises à l’argent-Roi, prosternées, pieds et poings liés, cou tendu, cul et fesses aussi, offerts gratis, les autres vendus à la grande braderie du marché des morts-vivants comme à la grande distribution de la Mort et de la Vie : Il y en aura pour tout le monde. Viendez ! Entrez donc...
Affûteurs, aiguiseurs de ciseaux, vitriers. Changeurs de changes et de carreaux, de monnaies de singes, de papiers. Blaireaux. Lunettiers. Cuvetteurs de chiottes. Râclures de toilettes. Dérouleurs de PQ. Hola, les gens. Oyez ! Oyez ! Rimailleurs et rimaillantes. Versilleuses sillonnantes, suivantes et suiveuses essuyantes, torchantes. Chiadées chiottantes. Quant à vous, chiottards chiotteux, faïencieux siègards, siègeants et trônants dessus qui ? Le fondement assis dessous quoi ? Dominants mais ne régnant sur rien de concret ni de palpable, non plus sur aucune pièce, aucun billet. Rien de consommable ni de mangeable, potable, ni même baisable. Royaumants d’illusions, d’images, d’avatars ou de pseudos-rayonneuses de néant, de soleils électriques, de néons, reines de Saba, de sabir, de langage tronqué, de mentir, de langue fourchée, fourchue, rois de la tchatche et du m’as-tu-vu. Princes du ta-gueule sinon je te tue. Ou je t’encule, c’est au choix. Selon comme tu voudras. Princesses du comprenne-qui-pourra, du qui m’aime-me-suivra. Ou non.
Ducs, vicomtes et petits marquis du qu’est-ce que-tu-veux-que-ça-m’foute. Pôv’con. Rempailleurs de chaise d’ occasion, de rocking-chairs bidon. Empailleurs et dépareilleurs de femelles, Barbe-Bleue de fin de série, Landru de comédie, Dr Petiot de fond de stock et de dernière petite guéguerre pas même mondiale, d’inventaire de début ou de fin d’année même pas vital. De bonnes résolutions irrésolues. Sans solutions non plus. De réassorts à trois francs six sous, au rabais. De ré-édition à pas cher. De promotion. De têtes de gondoles en bout de rayon. De mongols et de turcs. D'abyssins. De tirailleurs sénégalais. De chair à canon, à pâté. Libérateurs de dernier jour, de dernière heure. Tondeurs de vaincues, de femelles mises à nues, battues. Humiliées. Résistants d’une à deux dernières minutes, de 59e ultime seconde. Du mot FiN sur l’écran. Du temps de la pub, et point. Collabos de première et enfants de salauds. Fils de... Enculés, va ! Délateurs. Traîtres et pendeurs de patriotes, de combattants. Dénonciateurs de maquis, écriveurs de Kommandantur. Spectateurs de pendaisons. Basheurs et clasheurs de drapeau français. Chieurs de passé, de mémoire. Tueurs et combleurs de tranchées. Débandeurs de bandaison patriotique, et défileurs bien planqués des commémorations de 14-18 ou 39-45. Salueurs affichés du défilé de l’armée allemande sur les Champs-Élysées. Décolleurs d’affiches de la Résistance ou colporteurs de la propagande ennemie anti-France. Allô ? Ici radio-Paris... Là-bas, Londres ! « désangloteurs des violons de l’automne, déberçeurs de langueurs monotones ». Ré-embarqueurs de Normandie. Désembarquementeurs. Fusilleurs de poteau, de peloton. Pendouilleurs ou suspendeurs d’entrailles, de tripes et de boyaux à la moindre libération du pays. Désoeuvrés dès l'occupation, bien qu'oeuvrants, dans l'ombre. Au marché noir, comme aux abattoirs. Bouchers-Charcutiers. Confréries. Tripiers. Ripailleurs, rimiers de vers ensanglantés, versifiants de rimes détripaillées, aillées, fourrées de persil, d'oignons. Fumiers. Bouffeurs de rillettes et de jambons humains, de saucissons avariés, de terrines. Dévoreurs de boudins d’Hommes, de saucisses en tous genres.
Félateurs ! Auto-jouisseurs !

Assoyeuses de canapé, enfonceuses de coussins à coups d'immonde et odieux fessiers, péteurs ou pas, comateuses de télé, somateuses et traumateuses, psychoteuses de programmes imposés entre deux ou trois-cent mille publicités. Gobeuses de mouches tsé-tsé. Enculeuses de moustiques. Bzzz. Débranleuses de fourmis dans les jambes, de puces ou de morpions quelquepart entre ici et là. Et puis tiens, vas-y, enfonce-toi donc ça là - dedans, oui, non, un peu plus profond, mets-la moi, fous-moi le, je te sens pas, tu viens ou pas, dis-moi ? Scotcheuses de punaises de lit. Cloueuses de cafard. Fly-toxeuses de bourdon. Empoisonneuses d’air pur. Vaporiseuses de bombes et de sent-bons. Bombardeuses de pets insonores et de prouts incolores, bien que nauséabonds. Mal-odorants. Mystificateuses décacatantes. Poseuses de cul et soupireuses d’ennui, de lassitude, rêveuses de bites, d'hébétudes. Bouches béeuses, béantes. Découvercleuses de boîtes de conserves, cuisonneuses de pâtes à la sauce tomate. Décongeleuses de plats cuisinés. Imbouffables, non-baiseuses. Ouvreuses et refermeuses de frigo. De fenêtres aussi, mais pas de gueule, hélas. Pour dire quoi d'ailleurs ? et à qui ? Claqueuses de portes à la figure en guise d’au-revoir, d’adieu. De bonjour. Interrupteuses de lumière. Fermetures-éclairs. Zips. Boutonneuses de robes de chambre et de chemises de nuit, de grenouillères crapaudantes, anti-crapuleuses. Porteuses de bigoudis, de pantoufles de verre, dévernies, de vieilles charentaises essoufflées, dégueulantes d'orteils. Repasseuses de slips, de paires de chaussettes trouées. De torchons à vaisselle. Passeuses de serpillère sur le parquet, de coups d’éponges dans l'évier. De pommade grasse à en vomir, de baûme au cœur jusqu’en dégueuler, de crème anti-rides à pleurer de rire et se chier dessus de tristesse. Frotteuses de dos. D’entrejambes ou d’entre-cuisses, d’entre-fesses. Couleuses de bains-moussant, frictionneuses de shampoing, mousseuses de savon. Bulleuses ébullissantes. Ravisseuses, pétillantes. Magnifiques et merveilleuses bulles de plop, de splatch, de bloup !
Particules vivantes. Aimantes, menteuses.
Désaimantantes, aimanteuses. Tueuses de vivant. Amourantes. Surviveuses.

Et moi, au milieu de tout ça, moureux. Crevant, m’écrevant.
Mourant, là.

Entre vos bras et vos virtuels draps.

Modifié il y a 6 ans, le samedi 13 octobre 2018 à 04:38

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duschnock il y a 6 ans

Citation de tortue-punk Il distille le Schnock ...

Son venin, son poison.
Et son meilleur vin.

Un cru sans prétention, mais plutôt très bon selon moi. Une grande année.

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duschnock il y a 6 ans

Citation de iseult J'espère que tu fais un recueil de tes chroniques théâtrales ?

Avis = néant. Ni bien, ni mal.
Calme plat. Pas un pet de vent comme on dit. Ni derrière.
Horizon morne, vain.
Stérile. Froid.
Mort.

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duschnock il y a 6 ans

Citation de lariebambelle (...)" et j en oublie" (...)

Dis-tu ?!

Mais ce me semble suffisant ici.
Oui ? Non ?

(Ce style me met en tous les cas mal à l aise)


Ah oui ?!
Eh bien moi, cela me fait du bien...

Une manière de régler certains comptes avec une Humanité qui le mérite et ne vaut guère plus que cela, en cet instant T. C’est une vision photographique ou peinte, décrite, pas un jugement pseudo-scientifique ou philosophique que vient ensuite sanctionner et légitimer définitivement le marteau d’un juge suprême.
Un témoignage sous serment fait à moi-même, et rien d’autre.

Désolé de la gêne occasionnée.

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duschnock il y a 6 ans

Citation de peyrac75 Sympa à lire..dans le délire...auto portrait...tu ne vas pas te trancher une oreille .:-)

L’autocritique est permanente, oui. Ainsi que l’autodérision.
Un examen de conscience perpétuel, et une remise en question de chaque instant. De chaque mot ou expression, chaque invention, double-sens, etc.

Non, je laisse ce pauvre vieux Vincent aux gogues où le système l’a remisé de son vivant. Un sani-broyeur inhumain et briseur de talent, de génie. Suicideur de Van Gogh, tueur de Mozart dans l’œuf. Assassin d’enfants.
Que les amateurs de papiers peints ou d’emballages cadeaux s’en délectent aujourd’hui, hélas, peu me chaut, tant pis pour eux comme pour lui, et cela me suffit. Qu’y puis-je de toutes les façons, et que pourrais-je ? qu’ai-je à faire donc de ces hideux goguenards ou joyeux et tristes guoguenots de l’Histoire, là où pullulent et s’entassent par milliers artistes ratés, oubliés, perdus, niés, comme autant de simples amateurs d’art ou de cadavres humains encore chauds - qui m'attendent, demain, bientôt ? Nécrophiles, coprophages...

PS : si je devais me trancher quoi que ce soit ou retrancher de moi et m’ôter la moindre partie, ce serait le sexe que je m’arracherais avec les dents en direct à la télévision, histoire de donner enfin au peuple un spectacle qui lui convienne et soit digne de son nom, de sa folie, de ses passives et complices abnégations et renoncements. Un show historique en direct-live !
Un morceau de préhistoire. De réécriture hystérique. De révisionnisme pur.

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duschnock il y a 6 ans

Citation de rienousipeu Pensées en gestation d’un devenir.

Celui qui éjaculait son vivre dans le foutre de son âme.

Il aima, il aimait, il aimerait toujours l’autre.

Cet autre rencontré à la pointe du regard, à celle encore plus intense d’une émotion, il le vivait, vivrait, en lui pour toujours.

Cet autre, Elle, qui l’avait changé, tellement changé qu’il n’avait même pas besoin de se retourner sur ses souvenirs pour en saisir le contraste.

Le changement, ce contraste de lui, de ce qu’il était, il l’oubliait.

Une seconde vie émergeait, rendue tellement possible et si belle dans son devenir par cette seconde mère, Elle.

Sur la corde à obsolescence de ses désirs, si auparavant tendue dans l’incertain de sa fragilité au dessus de ce qui pouvait être des abimes, ses abimes, maintenant avançait-il sur l’asphalte si sûr de la route qu’elle lui offrit.

Voyageur de la vie, le véhicule souvent malmené et chaotique de son existence eut l’incroyable chance d’y rencontrer une auto-stoppeuse, entraperçue dans le presque obscur d’une nuit à venir de tant de nuits à venir.

Etait-ce la lumière intérieure qui habillait cet être, malmenée aussi par une solitude de l’existence, qui l’avait fait plus qu’entrevoir, voir de façon perçante ?

Elle, l'écriture!

_ _ _

Sacré Duschnock, vas et continues avec ELLE !


Très belle invention littéraire que ce « ELLE »...
Et touchant(e) bien sûr. Merci à toi.

Sacrée vision aussi. Et re-touchante là encore. Visant juste. Une auto-gestation - chose curieuse, je m’en suis amusé hier même, ici :

"S'il n'avait tenu qu'à lui, il se serait accouché lui-même après s'être porté durant neuf mois.
Et plus encore, il se serait engendré lui-même.
Ce qu'il fait d'ailleurs ici..."

https://www.smail.fr/forums/le-portail/qu-est-ce-qu-on-rigole/70

Les grands esprits se rencontrent !
Les grandes et belles âmes aussi. Ici ou ailleurs...

Elle est une mûse (je l’écris comme ça, avec un « ^ »). Une déesse. Quelquechose d’impalpable, de fugace, et qui te glisse entre les doigts cependant qu’en même temps elle s’empare de toi, de ton intérieur, et de tes mains sur le clavier, faisant courir tes doigts tout seuls de touche en touche, d’idées en idées, mots après mots, phrases par phrases.
D’où cela vient–il ? D’où vient-elle ?
Questions sans réponse aucune.

Fruit d’un travail également. Mais avant tout d’un amour.
Une alliance des deux.

Et une envie. Quoi de plus beau d’ailleurs que celle de communiquer avec son prochain, ici-même, de communier. Quant au résultat, il est ce qu’il est. Ce qu’il sera. Mais jusque-là je ne me plains pas. Pas trop.

Si je ne la trahis pas, elle me restera fidèle. Idem de moi, d’elle.

Salut à toi @rienousipeu et que les vents te portent !
Là où tu le voudrais...

Modifié il y a 6 ans, le samedi 13 octobre 2018 à 02:42

Photo de lariebambelle
lariebambelle il y a 6 ans

" Parasitage " selon moi que cette vidéo ici.

La lecture du texte qui la précède étant si densément riche en images et en pensées si joliment entrelacées.

Choix du posteur et avis d une lectrice.

Photo de duschnock
duschnock il y a 6 ans

Citation de lariebambelle " Parasitage " selon moi que cette vidéo ici.

La lecture du texte qui la précède étant si densément riche en images et en pensées si joliment entrelacées.

Choix du posteur et avis d une lectrice.


"vidéo supprimée"

Cette lectrice avait raison.
Avis du posteur.

Modifié il y a 6 ans, le samedi 13 octobre 2018 à 09:16

Photo de iseult
iseult il y a 6 ans

Citation de duschnock Avis = néant. Ni bien, ni mal.
Calme plat. Pas un pet de vent comme on dit. Ni derrière.
Horizon morne, vain.
Stérile. Froid.
Mort.


Avis sur quoi ? Sur ta diatribe contre les femmes ? Il n'y a rien à rajouter ..... ou il y aurait trop !
Pis, de toute façon, tu t'en fiches de ce que je pourrais dire puisque je ne dis que des conneries !

Modifié il y a 6 ans, le samedi 13 octobre 2018 à 11:11

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loreen78 (clôturé) il y a 6 ans

de gateux papas gateau désirant un gaté, des poules caquetant à qui aura le coquetier le plus coquet, des mal emmanchés endimanchés à l'esprit penché cherchant un déhanché, des inconscients inconsidérement inconséquents,
des reines distillant leur peine avec haine sur cette chaine en filant leur laine et des rois déchus déçus voulant reprendre le dessus inaperçus...

que du beau monde à la ronde, autour de cette tombe...
toute cette marmaille braille, piaille, bataille, se chamaille, pareille à la volaille
de méfiance en alliances on avance, on s'élance sur la toile avec véhémence, en transe, défiant l'accoutumance, visitant les différences mais un peu sur ses défenses...

quelle existence!

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duschnock il y a 6 ans

Tension/sous-tension. High-voltage.
Panneau d’alimentation.
Survoltage.

Attention !

Pétages et fondages de plombs, sautages de fusibles. Rupture de câblages.
Lâchage et abandon de soi-même tout entier à l’écriture, au laisser-aller en roue libre, au lâcher-prise et d’emprise du réel, de la conscience, de la morale ou de la bien-pensance, jusqu’en de fulgurants jets d’inconscience qui s’étalent, s’envolent ou décollent, de décharges électriques intellectuelles, de gerbes et de gerbances d’étincelles, de fulgurances a-morales qui dansent entre elles et se balancent ou s’enculent, d’éjaculages de pensées qui s’élancent, s’accumulent, s’entremêlent, de grands giclages d’idées, de giclances, de fusantes petites fusées, fines et fuselées, ciselées, de pets assumés tels que des accents, des virgules, non plus de simples impressions mais d’expressions nouvelles à explorer, à chier ou à vomir, d’explosions de semence et de substance cervicale, d’essence, de sens, de petits bouts de cervelles crachées haut vers le ciel, à la volée, de morceaux plus ou moins gros qui s’éjaculent en bouquets, fleuris, comme par paquets de mille, de milliers de millions, de km2 à la tonne, au litre, le tout issu, sorti ou accouché, mis-bas, à jour, de notre propre et divinement humaine quintessence - cette substantifique et ô combien magnifique moëlle...

La création, d’où vient-elle ?
Qui est-elle ?

« ELLE ».

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duschnock il y a 6 ans

Citation de loreen78 de gateux papas gateau désirant un gaté, des poules caquetant à qui aura le coquetier le plus coquet, des mal emmanchés endimanchés à l'esprit penché cherchant un déhanché, des inconscients inconsidérement inconséquents,
des reines distillant leur peine avec haine sur cette chaine en filant leur laine et des rois déchus déçus voulant reprendre le dessus inaperçus...

que du beau monde à la ronde, autour de cette tombe...
toute cette marmaille braille, piaille, bataille, se chamaille, pareille à la volaille
de méfiance en alliances on avance, on s'élance sur la toile avec véhémence, en transe, défiant l'accoutumance, visitant les différences mais un peu sur ses défenses...

quelle existence!


De toutes les soit-disant quiches et autres potiches de ce forum, tu es bel et bien la reine !
Et pas des pommes...

Bise. (sincère et de bon cœur)

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duschnock il y a 6 ans

« LUI ». Qui est-ce ?

Dieu.
Ou le néant.

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loreen78 (clôturé) il y a 6 ans

Citation de duschnock De toutes les soit-disant quiches et autres potiches de ce forum, tu es bel et bien la reine !
Et pas des pommes...

Bise. (sincère et de bon cœur)


waouw!
celui-là je vais l'encadrer! lol

(kiss)

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iseult il y a 6 ans

Citation de loreen78 waouw!
celui-là je vais l'encadrer! lol

(kiss)


Quelle veinarde !
Oui, ze suis zalouze ! ;-)
Et garde le bien au chaud !

Modifié il y a 6 ans, le samedi 13 octobre 2018 à 14:08


Participants

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