Citation de fouthese
" Révélation explosive de Jean Lassalle : “j’ai eu le vaccin Johnson qui a failli me tuer, il m’a déformé le cœur”, dit-il "
10 octobre 2022
" Dans dans une interview accordée à NDT et postée sur les réseaux sociaux, Jean Lassalle, ex député français et candidat malheureux à la présidentielle 2022, fait une révélation explosive sur le vaccin Johnson and Johnson qu’il a reçu.
Lecourrier-du-soir.com vous laisse écouter les propos tenus par l’ex député
A 0,46 bombe médiatique pic.twitter.com/rhwfOBTEOt
" Les petits pas de la vérité: l’Australie rembourse même des frais d’obsèques des victimes des injections , plusieurs pays protègent du poison les moins de 50 ans et les études multiplient les exemples inquietants "
Publié le 11 octobre 2022 par pgibertie
" La vérité avance à petits pas… L’AUSTRALIE REMBOURSE LES FRAIS DES OBSEQUES AUX VICTIMES DES INJECTIONS, LES USA RECONNAISSENT que l’intubation ivasive a tué des milliers de malades
En France Louis Fouché fut le premier a dénoncer l’intubation mécanique invasive des malades, il préférait l&rsquoygène à haut débit , il est toujours suspendu et ceux qui se réjouissaient d’intuber pour ne pas être éclaboussés sévissent toujours… "
" Rappel – Martinique : des gendarmes patrouillent à l’intérieur de l’hôpital pour arrêter les soignants non-vaccinés "
Publié le 13 octobre 2022
" Pour un devoir de mémoire, nous avons décidé de remettre en avant les articles où des personnalités (ou pas) s'en sont prises frontalement à une minorité de la population, en l'occurrence les non-vaccinés. Afin de ne pas oublier les souffrances, les injures et la violence qu'ils ont subies avec l'aval des gouvernements.
Nous sommes en Martinique, il y a un an jour pour jour, à l’hôpital Pierre Zobda-Quitman (Fort-de-France), la vidéo (voir ci-dessous) , a été filmée à l’intérieur de l’hôpital. Des gendarmes parcourent les couloirs, afin de débusquer des soignants — médecins, infirmières, brancardiers — sans le passeport sanitaire. La scène est surréaliste et digne d’un film de science-fiction ou d’horreur.
Rappelons que deux brancardiers avaient été arrêtés et menottés au sol par la police. Suite à cela, des heurts avaient eu lieu à l’extérieur de l’établissement, et se sont soldés par l’arrestation de trois soignants.
En Martinique, les gendarmes patrouillent à l’intérieur de l’hôpital Pierre Zobda — pas pour rechercher les délinquants ou des criminels — pour « traquer » les soignants non vaccinés. "
" Octobre Rose pour un dépistage précoce du cancer du sein, Movember pour le dépistage du cancer de la prostate, quels sont les objectifs de ces campagnes de dépistage des cancers ?
Gilles Lartigot retransmet le message de la spécialiste du cancer, Nicole Delepine, dont l’AP-HP s’est débarrassée. Ses déclarations se révélaient gênantes pour le business médical. La thèse officielle est : « le dépistage constitue toujours l’une des armes les plus efficaces contre le cancer ». C’est faux. Toutes les études scientifiques récentes montrent que la mortalité par cancer du sein baisse indépendamment du dépistage, grâce aux progrès des traitements. De plus, les nombreux surdiagnostics pourraient largement faire pencher la balance bénéfices/risques du mauvais côté. "
À lire : « Octobre rose » : désinformation sur le dépistage du cancer du sein
" Le Parquet européen confirme une enquête sur l’acquisition de vaccins covid-19 dans l’Union européenne "
Publié le 14 octobre 2022
" Le compte Twitter du ministère public indépendant de l’Union européenne (EPPO), confirme le 14 octobre 2022 qu’une enquête est en cours sur l’acquisition de vaccins covid-19 dans l’Union européenne. Cette confirmation exceptionnelle vient après l’intérêt extrêmement élevé du public soulevé par l’audience de Pfizer au Parlement européen. Aucun autre détail ne sera rendu public à ce stade.
Une confirmation qui vient le lendemain de l’audition sur les vaccins où Janine Small, présidente des marchés internationaux — qui représentait le PDG Albert Bourla (Pfizer) — laquelle avait admis le 10 octobre 2022 que aucun test sur l’arrêt de la transmission du covid n’a été réalisé sur les vaccins avant leur mise sur le marché. Elle s’était en revanche montrée très évasive concernant les contrats d’achat de vaccins et les textos échangés entre le laboratoire et Ursula von der Leyen.
Les efforts de plusieurs députés européens dont Virginie Joron, Michèle Rivasi, Christine Anderson, Cristian Terhes… ont porté leurs fruits. "
" "Il y a une menace immédiate de mort avec chaque vaccin" Peter McCullough "
Publié le 14 octobre 2022
" Fausses allégations sur l'efficacité et la sécurité des vaccins anti-Sars-CoV-2, sous évaluation de la tolérance des produits, données manquantes sur l'immunogenicité, dans ce nouveau "Debriefing", Peter McCullough nous livre de nouvelles informations sur les événements cliniques graves provoqués par les injections anti-Covid-19. Des événements indésirables sous-estimés par les agences de santé publique, niés par la majorité des grands médias et censurés par les grandes revues médicales qui, depuis le début de la campagne de vaccination, acceptent pour seuls articles ceux qui présentent les vaccins comme étant "sûrs et efficaces".
" RESISTANCES | Suspensions, censures et science en déroute "
" La généticienne et spécialiste de l'ARN revient sur le premier anniversaire de la suspension des soignants à cause de la politique sanitaire menée par nos gouvernants depuis deux ans. "
" Coup de tonnerre : le Procureur général de l’UE déclenche une enquête sur les contrats entre Pfizer et Von der Leyen "
16 octobre 2022
" Le Bureau du procureur général européen a confirmé, ce 14 octobre, avoir ouvert une enquête sur les contrats de vaccins signés entre la Commission de l’Union Européenne (UE) et le laboratoire américain Pfizer. L’o pacité autour de ces contrats et le refus catégorique du PDG de Pfizer (Albert Bourla) de témoigner ont fini par provoquer l’immense courroux de la population européenne qui exige que ses dirigeants lui rendent des comptes
Les choses sérieuses commencent. Moins d’une semaine après le témoignage de Janine Small, représentante de Pfizer, devant les députés européens sur les contrats de vaccins signés entre le laboratoire américain et Von Der Leyen (présidente de la Commission Européenne), la justice européenne entre en action.
C’est du moins ce que nous a appris ce 15 octobre le média Polico.eu. En effet, d’après cette source très informée sur les scandales qui secouent Bruxelles, le Bureau du procureur général européen (European Public Prosecutor’s Office) a ouvert une enquête sur l’un des contrats les plus controversés que l’UE ait signé. "
C’est assez phénoménal cette obstination chez toi Putinette que de sublimer et étaler H24 7/7 ton ignorance et ta vacuité intellectuelle pour t’arranger avec la réalité et soutenir ton idole en servile idiot utile pour colporter la propagande antivax !
Mais pourquoi s’en étonner, c’est dans la logique des choses chez les champions du monde ! ! CQFD
Pfizer n'a absolument rien caché concernant l'absence d'étude comparative sur la transmission du virus entre les vaccinés et les contaminés !
Quelques minutes suffisent pour trouver l'étude clinique des vaccins publiée dans la Revue New England Journal of Medicine le 31 décembre 2020 en date du 10 décembre
et de lire la partie « Method »de l'« abstract »/ Résumé :
...
« The primary end points were efficacy of the vaccine against laboratory-confirmed Covid-19 and safety. »
Donc en 1 minute chrono on trouve l'objet de cette étude clinique :
« - la mesure de l'efficacité du vaccin » « - et sa sécurité »
Point barre !
Pfizer, tout comme Moderna n'ont rien caché dans leur étude, l'étude comparative de la transmission du virus n'a pas fait l'objet de l'étude clinique ... puisque les 2 points les plus importants étaient l'efficacité du vaccin et sa sécurité !
Donc ceux qui ont lancé cette polémique ne comprennent rien et n'ont certainement pas lu ces études !
Concernant l'objet d'une étude sur la transmission, le Pr. Gaudry explique de façon pédagogique et très claire la raison pour laquelle cet objet n'a pas été inclus dans ces études !
Gaudry @StephaneG05
Professor of Critical Care Medicine. @aphp @corakid Université Sorbonne Paris Nord
Tweets are my own
5:54 PM · Oct 14, 2022
« Essais thérapeutiques sur vaccins #COVID Mieux comprendre le débat sur la réduction de transmission versus la réduction des formes graves (niveau débutant) Importance du choix du critère de jugement THREAD (garanti sans conflit d’intérêt) 1/13
[b]Les essais thérapeutiques ont pour objectif de montrer la supériorité (ou la non-infériorité parfois) d’un traitement (dispositif médical, médicament, stratégie, vaccin ect…) par rapport à soit rien soit un autre traitement. 2/13
Pour cela on commence par une hypothèse. Ex: le vaccin XX est supérieur au placébo. MAIS le terme « supérieur » ne veut pas dire grand-chose car la question qui persiste est « pourquoi supérieur ? sur quel élément ?? » C’est là qu’intervient le CRITERE DE JUGEMENT 3/13
Or pour un essai on ne peut utiliser qu’un seul critère de jugement qu’on appelle le critère de jugement principal. Les autres critères de jugement sont appelés « secondaires » mais on recommande de ne pas en tirer des conclusions trop tranchées. 4/13
Du coup, si vous montez un essai thérapeutique sur le vaccin COVID vous devez choisir votre critère de jugement principal. C’est là qu’interviennent les fameux critères de jugement « centrés sur les patients » (ou « importants pour les patients ») 5/13
Exemple: Vous avez comme hypothèse qu’un traitement contre le diabète est plus efficace que le traitement classique. Si vous choisissez comme critères de jugement « la glycémie moyenne quotidienne » (taux de sucre dans le sang) c’est pas vraiment « important » pour le patient..
Vous allez donc préférer prendre comme critère de jugement principal « le nombre d’AVC et d’infarctus » (ou même « la survie », encore plus important peut-être). 7/13
En résumé : le patient préfère prendre un médicament qui a montré qu’il réduisait les risques d’AVC et d’infarctus plutôt qu’un médicament qui a montré qu’il réduisait son taux de sucre dans le sang. 8/13
Eh bien pour les essais sur la vaccination COVID c’est la même histoire. Le problème de cette pandémie (qui je l’espère est derrière nous) c’est l’afflux massif de cas graves à l’hôpital et en réanimation (et la mortalité qui en découle). 9/13
Du coup le critère de jugement principal choisi dans les essais évaluant les vaccins COVID doit plutôt être le « nombre de cas graves » ou la « mortalité » que « la transmission ». 10/13
Et rappelez-vous : on ne peut choisir qu’un critère de jugement principal (comme son nom l’indique). Il était donc parfaitement justifié d’évaluer le risque de formes graves plutôt que la transmission. 11/13
Par ailleurs, l’évaluation de la transmission est très complexe dans un essai thérapeutique alors que savoir si le patient inclus dans l’étude a été hospitalisé pour COVID c’est beaucoup plus facile. 12/13
CCL: La décision de mettre sur le marché un vaccin #COVID était donc motivée par le bénéfice individuel (non discutable) de la vaccination et également par le bénéfice collectif (réduire l'afflux de patients à l’hôpital et permettre de soigner tt le monde sans perte de chance)
Alors n'écoutez pas les neuneus conspifafs comme @dupontaignan et @idrissaberkane Ils n'ont encore rien compris..... »
En conclusion, les neuneux et crétins ultracrépidarianistes atteints par l'effet Dunning-Kruger, devraient plutôt nous montrer leurs talents en photographie, en infographie ou en musique, ou en jardinage ... qu'on rigole, plutôt que de colporter des âneries ou des mensonges sur des sujets dont ils ne comprennent manifestement absolument rien !
Ca fait encore pshiiiiit ... comme tout le reste !
Modifié il y a 2 ans, le lundi 17 octobre 2022 à 03:47
« Vaccin Pfizer et transmission de la COVID : un eurodéputé publie une vidéo trompeuse » Jeff Yates - mercredi
« Une vidéo publiée sur Twitter par un eurodéputé a causé un tollé sur les réseaux sociaux. Celle-ci avance que Pfizer n’a pas étudié l’efficacité de son vaccin à empêcher la transmission de la COVID-19 avant de le mettre en marché et que cela a été caché. Or, ce fait était bien connu à l’époque de l’homologation du vaccin et il n’a jamais été question de tester son effet sur la transmission au moment de le faire approuver, selon des experts.
Cela dit, des études plus récentes démontrent qu’il réduit effectivement la transmission.
Pourtant, les experts que nous avons contactés n’y voient aucune grande révélation : c’était une information bien connue à l’époque de la mise en marché du vaccin Pfizer. D’ailleurs, dans un communiqué de la FDA américaine au moment d’accorder une autorisation d’urgence pour le vaccin Pfizer, le 11 décembre 2021, les autorités américaines ne pouvaient pas être plus claires.
Il n’y a aucune donnée qui permet de déterminer que le vaccin prévient la transmission du SRAS-CoV-2 (le virus à l’origine de la COVID) d’une personne à une autre», peut-on lire dans le communiqué.
Dans un autre communiqué de la FDA, celui-ci publié plus tôt, en mai 2021, même chose : Au moment présent, nous ne possédons que des données limitées à savoir si le vaccin peut empêcher la transmission d’une personne à une autre».
Un effet déjà connu
De plus, les deux experts sont d’accord pour dire que, même si Pfizer n’avait pas étudié l’efficacité de son vaccin pour réduire la transmission, l’idée qu’il aurait probablement un effet salutaire ne sortait pas de nulle part.
On avait des données d’autres infections qui démontraient clairement que si on prévient les infections symptomatiques, bien, en général, ça veut dire qu’on réduit la charge virale chez les gens vaccinés, et en faisant ça, on réduit le risque de transmission, explique-t-il. On ne se basait pas sur rien. On avait des données pour d’autres infections respiratoires.»
Ça ne veut pas dire que tout est basé sur ces premiers tests et que le passeport vaccinal était complètement basé sur aucune donnée. On avait quand même des données qui démontraient qu’il y avait une protection contre le risque d’être infecté», ajoute M. Barbeau.
Pour le Dr Alain Lamarre, il faut aussi prendre en considération le fait que le vaccin Pfizer a été homologué dans un tout autre contexte sanitaire.
À cette époque-là, c’était très clair qu’on protégeait les autres [en se faisant vacciner].
Aujourd’hui, avec les nouveaux variants, la protection contre l’infection a diminué par rapport à ce qu’on avait à cette époque-là. Mais ça protège une certaine partie de la transmission. Pas complètement. Il n’y a jamais rien de 100 % en biologie. Mais c’est encore vrai que ça protège encore de la maladie et de la transmission», dit-il. »
Citation de fouthese
" "Il y a une menace immédiate de mort avec chaque vaccin" Peter McCullough "
Publié le 14 octobre 2022
" Fausses allégations sur l'efficacité et la sécurité des vaccins anti-Sars-CoV-2, sous évaluation de la tolérance des produits, données manquantes sur l'immunogenicité, dans ce nouveau "Debriefing", Peter McCullough nous livre de nouvelles informations sur les événements cliniques graves provoqués par les injections anti-Covid-19. Des événements indésirables sous-estimés par les agences de santé publique, niés par la majorité des grands médias et censurés par les grandes revues médicales qui, depuis le début de la campagne de vaccination, acceptent pour seuls articles ceux qui présentent les vaccins comme étant "sûrs et efficaces".