Est-ce que nos jeunes "racailles" de banlieue de 3e ou 4e génération (qui crachent sur la France et sur les gaulois) ré-émigrerons vers l'Algérie une fois que le régime sera tombé ?
Comment seront-ils accueillis ?
En voulez-vous ?
Citation de duschnock
Est-ce que nos jeunes "racailles" de banlieue de 3e ou 4e génération (qui crachent sur la France et sur les gaulois) ré-émigrerons vers l'Algérie une fois que le régime sera tombé ?
Comment seront-ils accueillis ?
En voulez-vous ?
bonjour tout le monde...
a mon avis ça c'est du aux inégalités sociales et les plus touchés sont les mals- aimés , ceux qui vivent dans les banlieues de paris... et ils seront les bienvenus l'algérie est préte a accueillir tout le monde ..sans exclusion..
Dans tous LES pays, la religion a toujours été une politique.
Ne dédouanons pas l'ident.
Puisque nous considérons le Vatican comme un "état".
Vous-même, Vous présentez comme une Icône.
Bien-pensant, persuadé d'être sur "la bonne voie", parfois Dédaigneux.
Si Si.
Baisant Sur Vos Harley ou en Votre Mercedes "compressée"...
"Écolos", puisque vous ne jetez pas les reliefs de vos repas sur la voie publique mais, ne les offrez pas non plus aux nécessiteux.
Un "Cortège Royal" vers les Highlands ou le Bordelais... Sourire
slt nao ...c'est vrai que la religion a été tjrs la source des sciences _politiques dans le moyen age, a voir la guere des croisés , les conquetes musulmanes pour le maghreb ETC... et meme la fondation de l'ETAT ISLAMIQUE.. mais de nos jours c'est loin de voir les choses par le meme angle...
Modifié il y a 5 ans, le lundi 8 avril 2019 à 11:20
Le président du MSP, Abderazak Makri a estimé ce dimanche que « l’ère du Bouteflikisme est terminée ». « Quelles qu’en soient les options, elle vit ses derniers temps », écrit-il sur son compte Facebook en allusion à la proximité de l’élection présidentielle.
Selon Makri, l’Algérie est confrontée à trois options : celle des « corrompus, des laïco-extrémistes, des opportunistes et les assoiffés du pouvoir qui veulent hériter (du pouvoir de Bouteflika, ndlr), même au détriment de l’Algérie et des Algériens », celle des « naïfs, impatients, crispés et les revanchards qui veulent en finir avec cette ère contre leurs propres aspirations et contre leur pays, par inconscience ou mépris » et enfin, « les patriotes sincères et conscients qui veulent y mettre fin au profit de la patrie et du citoyen, même au détriment de leurs propres ambitions et en prenant de grands risques en toute lucidité ».