compote.depomme

Les métiers d'aujourd'hui

il y a 9 ans
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lavande11 (clôturé) il y a 9 ans

je conseille a tout le monde de faire une formation en voie directe !
c'est à dire je rentre en formation et je me consacre qu'à çà
y'a plein de solutions pour le financement fongécif pole emploi conseils généraux
le seul problème c'est que l'anpe se débrouillant avant pour courir après les financements et que maintenant que c'est pole emploi c'est toi qui te tape tout le parcours du combattant !
après il ne faut pas s'étonner si y'a peu de gens qui accèdent à la formation et arrive à trouver un travail !

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effluve.mysterieuse (clôturé) il y a 9 ans

Citation de "lavande11"allez voir le taux de réussites des diplomes en validation des acquis
c'est dérisoire !
il faut bien justifier les centres de formation! et les budget qui sont alloués .........


Tu confonds, puisque le lien que j'ai donné n'a rien a voir avec un concours et (ou) une formation, ni même avec la validation d'acquis en entreprise..
Tu as juste à justifier de tes années d’expériences, tu passes devant un jury et le tour est joué ...
En gros, c'est une validation de tes expériences, qui te donne droit a une reconnaissance et un diplôme, parce que nous savons tous qu'il y a que l’expérience qui compte, mais aujourd'hui les employeurs demandent +, ce qui démotive la plupart des demandeurs d'emploi ...

J'ai une amie qui l'a fait et crois moi ça fonctionne!

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lavande11 (clôturé) il y a 9 ans

la chambre d'agriculture propose aussi des formations !
et beaucoup sont en voies directes

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lavande11 (clôturé) il y a 9 ans

Citation de "effluve.mysterieuse"Citation de "lavande11"allez voir le taux de réussites des diplomes en validation des acquis
c'est dérisoire !
il faut bien justifier les centres de formation! et les budget qui sont alloués .........


Tu confonds, puisque le lien que j'ai donné n'a rien a voir avec un concours et (ou) une formation, ni même avec la validation d'acquis en entreprise..
Tu as juste à justifier de tes années d’expériences, tu passes devant un jury et le tour est joué ...
En gros, c'est une validation de tes expériences, qui te donne droit a une reconnaissance et un diplôme, parce que nous savons tous qu'il y a que l’expérience qui compte, mais aujourd'hui les employeurs demandent +, ce qui démotive la plupart des demandeurs d'emploi ...

J'ai une amie qui l'a fait et crois moi ça fonctionne!


oui c'est de ce que je parle ! et c'est des pros qui valident tes acquis
et aussi des profs de centres professionnels !


Modifié il y a 9 ans, le mardi 3 novembre 2015 à 08:08

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effluve.mysterieuse (clôturé) il y a 9 ans

Citation de "lavande11"je conseille a tout le monde de faire une formation en voie directe !
c'est à dire je rentre en formation et je me consacre qu'à çà
y'a plein de solutions pour le financement fongécif pole emploi conseils généraux
le seul problème c'est que l'anpe se débrouillant avant pour courir après les financements et que maintenant que c'est pole emploi c'est toi qui te tape tout le parcours du combattant !
après il ne faut pas s'étonner si y'a peu de gens qui accèdent à la formation et arrive à trouver un travail !


C'est facile de parler sans savoir vraiment ce qui se passe aujourd'hui ...
Les aides allouées se départagent selon les départements et certains départements n'ont plus les moyens financiers ou du moins, c'est ce qui veulent faire croire, je te laisse imaginer pour une personne de + de 50 ans ....parce que pour le moment c'est ce qui pré;occupe la posteuse ..

Le fongecif, pole emploi et le conseil général c'est une seule et même entité aujourd'hui...Un peu comme les syndicats et l’état LOL
Bref .. Sur ce .. hein ...

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lavande11 (clôturé) il y a 9 ans

Depuis une décennie, la Validation des Acquis de l'Expérience (VAE) permet de transformer une expérience en diplôme reconnu. Le dispositif est toutefois diversement abordé selon le titre visé et l'établissement choisi.
VAE. Trois lettres et de nombreux espoirs au pays du diplôme roi. Instituée par la loi de modernisation sociale du 17 janvier 2002, la validation des acquis de l'expérience est un outil qui permet de transformer une expérience ou un parcours en diplôme ou en titre reconnu. « Un choc culturel » pour les universités, des promesses de développement pour les organismes de formation délivrant des certifications professionnelles.
30.000 VAE en 2011
Après dix ans de pratique et plusieurs bilans d'étape fertiles en préconisations diverses, le dispositif est en marche. Mais il est loin de tourner à plein régime, et ne répond toujours pas à l'objectif initial : certifier 60.000 personnes par an. En 2011, près de 30.000 candidats ont obtenu une certification ou un diplôme. Et sur l'ensemble de la décennie, ce sont près de 230.000 personnes qui ont décroché un diplôme avec la VAE. En moyenne 23.000 personnes par an, avec quelques « pics de fréquentation » : en 2004, probablement sous l'effet d'une certaine nouveauté et de la mise en place progressive de la réforme LMD (licence-master-doctorat), et en 2007, grâce à une campagne de sensibilisation des pouvoirs publics et à un marché de l'emploi propice.

Les cadres, et particulièrement les cadres moyens, constituent la première catégorie à recourir au dispositif (45 %, une proportion toutefois en baisse ces dernières années). Ils sont suivis de près par les professions intermédiaires, techniciens en tête. Dans ce contexte, les licences professionnelles sont talonnées par les masters, avec une prééminence de quelques champs disciplinaires, comme la gestion et l'administration des entreprises. Tout titre inscrit au Répertoire national de la certification professionnelle (RNCP) est accessible à la VAE. Mais chaque type d'établissement ou d'école a sa culture VAE. Et « il est utile de s'assurer que l'organisme est favorable à la démarche et ouvert au monde professionnel », recommande Nathalie Atlan-Landaburu, consultante en RH et formation, et coach.
Organisme de formation : la logique de métier prévaut
À lire aussi : Un double-diplôme est un accélérateur de carrière
Du fait de leur forte identité métiers, les organismes de formation professionnelle revendiquent « une inclinaison naturelle » pour la VAE. Le groupe Cesi, qui propose des formations de niveau bac à bac +6, école d'ingénieurs comprise, a « une approche compétences historique », explique son directeur général, Vincent Cohas, pour qui « la philosophie de départ de la VAE n'est pas celle de la formation ». Pour lui, « la loi invite à présenter une cohorte de personnes, qui ont de vraies chances d'obtenir une certification totale », c'est-à;-dire sans aucune préconisation de formation ou d'action supplémentaire. « Quand la validation du titre est de l'ordre de 40 à 50 %, nous considérons qu'il y a un dévoiement de la logique VAE », indique-t-il.

« La VAE fonctionne bien si vous êtes sur un diplôme de type RNCP et que vous travaillez sur les compétences », approuve Michel Haristoy, directeur de la formation d'IGS. Depuis l'ouverture du dispositif, le groupe - qui annonce un taux de réussite de 90 % - a diplômé 250 personnes sur des masters 1 et 2. « Mais si l'on donne une validation totale à une demande en master 2, souvent le président du jury s'étouffe ! » confie-t-il.

Invitée par son manager à suivre une formation, Frédérique Pennuen a voulu faire valider ses vingt ans d'expérience professionnelle et ses six années de management. « J'estimais que j'avais le niveau », justifie cette titulaire d'un DUT de génie électrique, qui a choisi le Cesi pour sa VAE - un diplôme de niveau II en management - parce que son entreprise, STIE (Schneider Electric), avait établi un partenariat avec l'organisme. Elle a décroché une validation totale de son expérience avec avis « très favorable » du jury. Une reconnaissance de ses acquis et une étape vers une reprise d'études : elle s'est aujourd'hui lancée dans un master II à l'IAE de Caen.
Université : le changement culturel s'opère
Du côté de l'université, la VAE et sa reconnaissance de la dimension formatrice de l'expérience ont parfois été perçus comme une remise en cause. « Il me semblait que nous allions brader nos diplômes », explique cet enseignant-chercheur, sans cacher les réticences initiales de certains quant à l'irruption de l'entreprise dans leur univers. Mais les choses évoluent. L'université, comme les écoles, se prête désormais au jeu. En fonction de ses moyens... À Paris-Dauphine, le département formation permanente offre un accompagnement aux candidats à la VAE. Les validations totales sont rares, mais pour ceux qui viennent à Dauphine, la VAE, majoritairement une démarche individuelle, est un préliminaire à une reprise d'études.

Valérie, manager dans la banque, visant un master en conseil et accompagnement du changement, a opté pour Dauphine au vu de la place accordée aux sciences sociales dans le programme. Sa VAE a été validée à hauteur de, seulement, deux unités d'enseignement. « Je n'étais pas dans une négociation pour que l'on donne un diplôme. Je voulais optimiser la situation et ne pas avoir tous les modules à suivre », explique-t-elle. Surtout, veut-elle partager, cette VAE - dont elle n'estimait pas l'ampleur - a constitué « un super bilan de compétences » après vingt ans d'activité professionnelle. « J'ai revisité mon expérience et fait un point sur ma trajectoire par le prisme d'un programme académique ».
La VAE pour asseoir sa légitimité
D'autres y trouvent un moyen de résoudre un problème de légitimité. À un tournant de carrière, Bruno de Combiens a, lui, trouvé dans la VAE une façon de traiter une question d'identité professionnelle. De formation scientifique, devenu développeur, puis directeur du marketing d'un gros éditeur technique, il peinait à se faire identifier comme « un expert technique et un homme du marketing ». Il a décroché un master en management des systèmes d'information via une VAE, à Dauphine puis, un nouveau poste de directeur du marketing.

À l'IAE de Paris, Patrick Gilbert, enseignant et auteur de plusieurs publications sur le sujet, fait un pas de recul à l'évocation de la VAE. « Les candidats savent produire le geste professionnel, mais quid des savoirs ? Nous sommes très regardants là;-dessus », relève-t-il en évoquant le cas d'un directeur général, dont seulement un tiers des unités d'enseignement ont été validées. Quoi qu'il en soit dans cet établissement sélectif, très axé formation continue, « huit demandes de VAE sur dix aboutissent à une validation totale ». Mais la sélection est draconienne en phase de recevabilité.
Peu de diplômés par la VAE dans les écoles d'ingénieurs
« Pratiquer la VAE est une obligation », rappelle Alain Jeneveau de la CTI (Commission des titres d'ingénieur), pour qui « le dispositif n'a pas vocation à alimenter la formation continue des écoles ». Mais aux Mines de Nantes, Lionel Luquin, directeur des études,semble quelque peu déconcerté. « Nous serions ravis de pouvoir diplômer des personnes par cette voie. Mais il faudrait monter un programme d'accompagnement adapté », estime-t-il. « Depuis que la loi existe, nous avons eu une vingtaine de demandes. Pas une n'a abouti ». Une situation en partie due à la taille de l'école.

La solution passe probablement par la mutualisation des moyens, à l'instar de ce qu'a initié l'école des Mines d'Albi-Carmaux avec six autres écoles d'ingénieurs autour de Toulouse, en créant le CRIVA (Centre régional inter-écoles de validation des acquis de l'expérience en région Midi-Pyrénées).

3 lettres d'importance
Postuler à un diplôme par la voie de la VAE, c'est constituer un dossier de 80 à 100 pages dans lequel les compétences développées au long d'un parcours professionnel ou bénévole sont démontrées et analysées au regard d'un référentiel métier et/ou des unités d'enseignement du diplôme visé. La démarche, déroulée sur une année, se conclut par une soutenance devant un jury. La validation peut être totale ou partielle et, dans ce cas, donner lieu à des préconisations de formation.


En savoir plus sur http://business.lesechos.fr/directions-ressources-humaines/ressources-humaines/gestion-de-carriere/0202722395381-validation-des-acquis-de-l-experience-le-bilan-des-dix-ans-6722.php?zTfvRljmvTPxwhCl.99

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lavande11 (clôturé) il y a 9 ans

Citation de "effluve.mysterieuse"Citation de "lavande11"je conseille a tout le monde de faire une formation en voie directe !
c'est à dire je rentre en formation et je me consacre qu'à çà
y'a plein de solutions pour le financement fongécif pole emploi conseils généraux
le seul problème c'est que l'anpe se débrouillant avant pour courir après les financements et que maintenant que c'est pole emploi c'est toi qui te tape tout le parcours du combattant !
après il ne faut pas s'étonner si y'a peu de gens qui accèdent à la formation et arrive à trouver un travail !


C'est facile de parler sans savoir vraiment ce qui se passe aujourd'hui ...
Les aides allouées se départagent selon les départements et certains départements n'ont plus les moyens financiers ou du moins, c'est ce qui veulent faire croire, je te laisse imaginer pour une personne de + de 50 ans ....parce que pour le moment c'est ce qui pré;occupe la posteuse ..

Le fongecif, pole emploi et le conseil général c'est une seule et même entité aujourd'hui...Un peu comme les syndicats et l’état LOL
Bref .. Sur ce .. hein ...


j'ai passé un diplome l'année dernière mais fini le social y'a jamais de plein temps ! donc nous maintenir pendant des années dans des contrats de 100 h pour avoir les allègements de charges patronales non merci!!

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lavande11 (clôturé) il y a 9 ans

la VAE c'est pour les cadres pas pour la femme de ménages qui veut avoir un diplomes d'auxiliaires de vies !
10 % de réussites dans la région langued'oc roussillon
il faut dire que parrallèllement la chambre d'agriculture l'afpa et des tas formations privés ont le monopole !

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effluve.mysterieuse (clôturé) il y a 9 ans

Citation de "lavande11"Depuis une décennie, la Validation des Acquis de l'Expérience (VAE) permet de transformer une expérience en diplôme reconnu. Le dispositif est toutefois diversement abordé selon le titre visé et l'établissement choisi.
VAE. Trois lettres et de nombreux espoirs au pays du diplôme roi. Instituée par la loi de modernisation sociale du 17 janvier 2002, la validation des acquis de l'expérience est un outil qui permet de transformer une expérience ou un parcours en diplôme ou en titre reconnu. « Un choc culturel » pour les universités, des promesses de développement pour les organismes de formation délivrant des certifications professionnelles.
30.000 VAE en 2011
Après dix ans de pratique et plusieurs bilans d'étape fertiles en préconisations diverses, le dispositif est en marche. Mais il est loin de tourner à plein régime, et ne répond toujours pas à l'objectif initial : certifier 60.000 personnes par an. En 2011, près de 30.000 candidats ont obtenu une certification ou un diplôme. Et sur l'ensemble de la décennie, ce sont près de 230.000 personnes qui ont décroché un diplôme avec la VAE. En moyenne 23.000 personnes par an, avec quelques « pics de fréquentation » : en 2004, probablement sous l'effet d'une certaine nouveauté et de la mise en place progressive de la réforme LMD (licence-master-doctorat), et en 2007, grâce à une campagne de sensibilisation des pouvoirs publics et à un marché de l'emploi propice.

Les cadres, et particulièrement les cadres moyens, constituent la première catégorie à recourir au dispositif (45 %, une proportion toutefois en baisse ces dernières années). Ils sont suivis de près par les professions intermédiaires, techniciens en tête. Dans ce contexte, les licences professionnelles sont talonnées par les masters, avec une prééminence de quelques champs disciplinaires, comme la gestion et l'administration des entreprises. Tout titre inscrit au Répertoire national de la certification professionnelle (RNCP) est accessible à la VAE. Mais chaque type d'établissement ou d'école a sa culture VAE. Et « il est utile de s'assurer que l'organisme est favorable à la démarche et ouvert au monde professionnel », recommande Nathalie Atlan-Landaburu, consultante en RH et formation, et coach.
Organisme de formation : la logique de métier prévaut
À lire aussi : Un double-diplôme est un accélérateur de carrière
Du fait de leur forte identité métiers, les organismes de formation professionnelle revendiquent « une inclinaison naturelle » pour la VAE. Le groupe Cesi, qui propose des formations de niveau bac à bac +6, école d'ingénieurs comprise, a « une approche compétences historique », explique son directeur général, Vincent Cohas, pour qui « la philosophie de départ de la VAE n'est pas celle de la formation ». Pour lui, « la loi invite à présenter une cohorte de personnes, qui ont de vraies chances d'obtenir une certification totale », c'est-à;-dire sans aucune préconisation de formation ou d'action supplémentaire. « Quand la validation du titre est de l'ordre de 40 à 50 %, nous considérons qu'il y a un dévoiement de la logique VAE », indique-t-il.

« La VAE fonctionne bien si vous êtes sur un diplôme de type RNCP et que vous travaillez sur les compétences », approuve Michel Haristoy, directeur de la formation d'IGS. Depuis l'ouverture du dispositif, le groupe - qui annonce un taux de réussite de 90 % - a diplômé 250 personnes sur des masters 1 et 2. « Mais si l'on donne une validation totale à une demande en master 2, souvent le président du jury s'étouffe ! » confie-t-il.

Invitée par son manager à suivre une formation, Frédérique Pennuen a voulu faire valider ses vingt ans d'expérience professionnelle et ses six années de management. « J'estimais que j'avais le niveau », justifie cette titulaire d'un DUT de génie électrique, qui a choisi le Cesi pour sa VAE - un diplôme de niveau II en management - parce que son entreprise, STIE (Schneider Electric), avait établi un partenariat avec l'organisme. Elle a décroché une validation totale de son expérience avec avis « très favorable » du jury. Une reconnaissance de ses acquis et une étape vers une reprise d'études : elle s'est aujourd'hui lancée dans un master II à l'IAE de Caen.
Université : le changement culturel s'opère
Du côté de l'université, la VAE et sa reconnaissance de la dimension formatrice de l'expérience ont parfois été perçus comme une remise en cause. « Il me semblait que nous allions brader nos diplômes », explique cet enseignant-chercheur, sans cacher les réticences initiales de certains quant à l'irruption de l'entreprise dans leur univers. Mais les choses évoluent. L'université, comme les écoles, se prête désormais au jeu. En fonction de ses moyens... À Paris-Dauphine, le département formation permanente offre un accompagnement aux candidats à la VAE. Les validations totales sont rares, mais pour ceux qui viennent à Dauphine, la VAE, majoritairement une démarche individuelle, est un préliminaire à une reprise d'études.

Valérie, manager dans la banque, visant un master en conseil et accompagnement du changement, a opté pour Dauphine au vu de la place accordée aux sciences sociales dans le programme. Sa VAE a été validée à hauteur de, seulement, deux unités d'enseignement. « Je n'étais pas dans une négociation pour que l'on donne un diplôme. Je voulais optimiser la situation et ne pas avoir tous les modules à suivre », explique-t-elle. Surtout, veut-elle partager, cette VAE - dont elle n'estimait pas l'ampleur - a constitué « un super bilan de compétences » après vingt ans d'activité professionnelle. « J'ai revisité mon expérience et fait un point sur ma trajectoire par le prisme d'un programme académique ».
La VAE pour asseoir sa légitimité
D'autres y trouvent un moyen de résoudre un problème de légitimité. À un tournant de carrière, Bruno de Combiens a, lui, trouvé dans la VAE une façon de traiter une question d'identité professionnelle. De formation scientifique, devenu développeur, puis directeur du marketing d'un gros éditeur technique, il peinait à se faire identifier comme « un expert technique et un homme du marketing ». Il a décroché un master en management des systèmes d'information via une VAE, à Dauphine puis, un nouveau poste de directeur du marketing.

À l'IAE de Paris, Patrick Gilbert, enseignant et auteur de plusieurs publications sur le sujet, fait un pas de recul à l'évocation de la VAE. « Les candidats savent produire le geste professionnel, mais quid des savoirs ? Nous sommes très regardants là;-dessus », relève-t-il en évoquant le cas d'un directeur général, dont seulement un tiers des unités d'enseignement ont été validées. Quoi qu'il en soit dans cet établissement sélectif, très axé formation continue, « huit demandes de VAE sur dix aboutissent à une validation totale ». Mais la sélection est draconienne en phase de recevabilité.
Peu de diplômés par la VAE dans les écoles d'ingénieurs
« Pratiquer la VAE est une obligation », rappelle Alain Jeneveau de la CTI (Commission des titres d'ingénieur), pour qui « le dispositif n'a pas vocation à alimenter la formation continue des écoles ». Mais aux Mines de Nantes, Lionel Luquin, directeur des études,semble quelque peu déconcerté. « Nous serions ravis de pouvoir diplômer des personnes par cette voie. Mais il faudrait monter un programme d'accompagnement adapté », estime-t-il. « Depuis que la loi existe, nous avons eu une vingtaine de demandes. Pas une n'a abouti ». Une situation en partie due à la taille de l'école.

La solution passe probablement par la mutualisation des moyens, à l'instar de ce qu'a initié l'école des Mines d'Albi-Carmaux avec six autres écoles d'ingénieurs autour de Toulouse, en créant le CRIVA (Centre régional inter-écoles de validation des acquis de l'expérience en région Midi-Pyrénées).

3 lettres d'importance
Postuler à un diplôme par la voie de la VAE, c'est constituer un dossier de 80 à 100 pages dans lequel les compétences développées au long d'un parcours professionnel ou bénévole sont démontrées et analysées au regard d'un référentiel métier et/ou des unités d'enseignement du diplôme visé. La démarche, déroulée sur une année, se conclut par une soutenance devant un jury. La validation peut être totale ou partielle et, dans ce cas, donner lieu à des préconisations de formation.


En savoir plus sur http://business.lesechos.fr/directions-ressources-humaines/ressources-humaines/gestion-de-carriere/0202722395381-validation-des-acquis-de-l-experience-le-bilan-des-dix-ans-6722.php?zTfvRljmvTPxwhCl.99[/quote]






Ce qui prouve que la validation d’acquis n'est pas attribuée à n'importe qui et qu'il faut quand même justifier de certaines connaissances dans le métier ..
Je n'ai pas tout lu, pas le temps, les copier coller ce n'est pas mon truc, je préfère les interventions sur le concret, parce que ont peut très bien trouver tout et son contraire sur internet ..
Hormis quelques liens utiles...

Modifié il y a 9 ans, le mardi 3 novembre 2015 à 08:23

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lavande11 (clôturé) il y a 9 ans

quand tu as 50 ans tu vends les allégèments de charges patronales
un smic ta part est de 400 euros celle du patron est tombée à 124 euros

Modifié il y a 9 ans, le mardi 3 novembre 2015 à 08:28

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effluve.mysterieuse (clôturé) il y a 9 ans

Citation de "lavande11"la VAE c'est pour les cadres pas pour la femme de ménages qui veut avoir un diplomes d'auxiliaires de vies !
10 % de réussites dans la région langued'oc roussillon
il faut dire que parrallèllement la chambre d'agriculture l'afpa et des tas formations privés ont le monopole !


Pour être auxilliaire de vie pas besoin de diplômes, ils en cherchent partout sans diplômes, si c'est qu'il faut avoir une certaine dévotion ....Que ce n'est pas un métier facile ...
Mais je dois avouer qu'ils devraient exiger d'avoir certaines connaissances.

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lavande11 (clôturé) il y a 9 ans

Citation de "effluve.mysterieuse"Citation de "lavande11"Depuis une décennie, la Validation des Acquis de l'Expérience (VAE) permet de transformer une expérience en diplôme reconnu. Le dispositif est toutefois diversement abordé selon le titre visé et l'établissement choisi.
VAE. Trois lettres et de nombreux espoirs au pays du diplôme roi. Instituée par la loi de modernisation sociale du 17 janvier 2002, la validation des acquis de l'expérience est un outil qui permet de transformer une expérience ou un parcours en diplôme ou en titre reconnu. « Un choc culturel » pour les universités, des promesses de développement pour les organismes de formation délivrant des certifications professionnelles.
30.000 VAE en 2011
Après dix ans de pratique et plusieurs bilans d'étape fertiles en préconisations diverses, le dispositif est en marche. Mais il est loin de tourner à plein régime, et ne répond toujours pas à l'objectif initial : certifier 60.000 personnes par an. En 2011, près de 30.000 candidats ont obtenu une certification ou un diplôme. Et sur l'ensemble de la décennie, ce sont près de 230.000 personnes qui ont décroché un diplôme avec la VAE. En moyenne 23.000 personnes par an, avec quelques « pics de fréquentation » : en 2004, probablement sous l'effet d'une certaine nouveauté et de la mise en place progressive de la réforme LMD (licence-master-doctorat), et en 2007, grâce à une campagne de sensibilisation des pouvoirs publics et à un marché de l'emploi propice.

Les cadres, et particulièrement les cadres moyens, constituent la première catégorie à recourir au dispositif (45 %, une proportion toutefois en baisse ces dernières années). Ils sont suivis de près par les professions intermédiaires, techniciens en tête. Dans ce contexte, les licences professionnelles sont talonnées par les masters, avec une prééminence de quelques champs disciplinaires, comme la gestion et l'administration des entreprises. Tout titre inscrit au Répertoire national de la certification professionnelle (RNCP) est accessible à la VAE. Mais chaque type d'établissement ou d'école a sa culture VAE. Et « il est utile de s'assurer que l'organisme est favorable à la démarche et ouvert au monde professionnel », recommande Nathalie Atlan-Landaburu, consultante en RH et formation, et coach.
Organisme de formation : la logique de métier prévaut
À lire aussi : Un double-diplôme est un accélérateur de carrière
Du fait de leur forte identité métiers, les organismes de formation professionnelle revendiquent « une inclinaison naturelle » pour la VAE. Le groupe Cesi, qui propose des formations de niveau bac à bac +6, école d'ingénieurs comprise, a « une approche compétences historique », explique son directeur général, Vincent Cohas, pour qui « la philosophie de départ de la VAE n'est pas celle de la formation ». Pour lui, « la loi invite à présenter une cohorte de personnes, qui ont de vraies chances d'obtenir une certification totale », c'est-à;-dire sans aucune préconisation de formation ou d'action supplémentaire. « Quand la validation du titre est de l'ordre de 40 à 50 %, nous considérons qu'il y a un dévoiement de la logique VAE », indique-t-il.

« La VAE fonctionne bien si vous êtes sur un diplôme de type RNCP et que vous travaillez sur les compétences », approuve Michel Haristoy, directeur de la formation d'IGS. Depuis l'ouverture du dispositif, le groupe - qui annonce un taux de réussite de 90 % - a diplômé 250 personnes sur des masters 1 et 2. « Mais si l'on donne une validation totale à une demande en master 2, souvent le président du jury s'étouffe ! » confie-t-il.

Invitée par son manager à suivre une formation, Frédérique Pennuen a voulu faire valider ses vingt ans d'expérience professionnelle et ses six années de management. « J'estimais que j'avais le niveau », justifie cette titulaire d'un DUT de génie électrique, qui a choisi le Cesi pour sa VAE - un diplôme de niveau II en management - parce que son entreprise, STIE (Schneider Electric), avait établi un partenariat avec l'organisme. Elle a décroché une validation totale de son expérience avec avis « très favorable » du jury. Une reconnaissance de ses acquis et une étape vers une reprise d'études : elle s'est aujourd'hui lancée dans un master II à l'IAE de Caen.
Université : le changement culturel s'opère
Du côté de l'université, la VAE et sa reconnaissance de la dimension formatrice de l'expérience ont parfois été perçus comme une remise en cause. « Il me semblait que nous allions brader nos diplômes », explique cet enseignant-chercheur, sans cacher les réticences initiales de certains quant à l'irruption de l'entreprise dans leur univers. Mais les choses évoluent. L'université, comme les écoles, se prête désormais au jeu. En fonction de ses moyens... À Paris-Dauphine, le département formation permanente offre un accompagnement aux candidats à la VAE. Les validations totales sont rares, mais pour ceux qui viennent à Dauphine, la VAE, majoritairement une démarche individuelle, est un préliminaire à une reprise d'études.

Valérie, manager dans la banque, visant un master en conseil et accompagnement du changement, a opté pour Dauphine au vu de la place accordée aux sciences sociales dans le programme. Sa VAE a été validée à hauteur de, seulement, deux unités d'enseignement. « Je n'étais pas dans une négociation pour que l'on donne un diplôme. Je voulais optimiser la situation et ne pas avoir tous les modules à suivre », explique-t-elle. Surtout, veut-elle partager, cette VAE - dont elle n'estimait pas l'ampleur - a constitué « un super bilan de compétences » après vingt ans d'activité professionnelle. « J'ai revisité mon expérience et fait un point sur ma trajectoire par le prisme d'un programme académique ».
La VAE pour asseoir sa légitimité
D'autres y trouvent un moyen de résoudre un problème de légitimité. À un tournant de carrière, Bruno de Combiens a, lui, trouvé dans la VAE une façon de traiter une question d'identité professionnelle. De formation scientifique, devenu développeur, puis directeur du marketing d'un gros éditeur technique, il peinait à se faire identifier comme « un expert technique et un homme du marketing ». Il a décroché un master en management des systèmes d'information via une VAE, à Dauphine puis, un nouveau poste de directeur du marketing.

À l'IAE de Paris, Patrick Gilbert, enseignant et auteur de plusieurs publications sur le sujet, fait un pas de recul à l'évocation de la VAE. « Les candidats savent produire le geste professionnel, mais quid des savoirs ? Nous sommes très regardants là;-dessus », relève-t-il en évoquant le cas d'un directeur général, dont seulement un tiers des unités d'enseignement ont été validées. Quoi qu'il en soit dans cet établissement sélectif, très axé formation continue, « huit demandes de VAE sur dix aboutissent à une validation totale ». Mais la sélection est draconienne en phase de recevabilité.
Peu de diplômés par la VAE dans les écoles d'ingénieurs
« Pratiquer la VAE est une obligation », rappelle Alain Jeneveau de la CTI (Commission des titres d'ingénieur), pour qui « le dispositif n'a pas vocation à alimenter la formation continue des écoles ». Mais aux Mines de Nantes, Lionel Luquin, directeur des études,semble quelque peu déconcerté. « Nous serions ravis de pouvoir diplômer des personnes par cette voie. Mais il faudrait monter un programme d'accompagnement adapté », estime-t-il. « Depuis que la loi existe, nous avons eu une vingtaine de demandes. Pas une n'a abouti ». Une situation en partie due à la taille de l'école.

La solution passe probablement par la mutualisation des moyens, à l'instar de ce qu'a initié l'école des Mines d'Albi-Carmaux avec six autres écoles d'ingénieurs autour de Toulouse, en créant le CRIVA (Centre régional inter-écoles de validation des acquis de l'expérience en région Midi-Pyrénées).

3 lettres d'importance
Postuler à un diplôme par la voie de la VAE, c'est constituer un dossier de 80 à 100 pages dans lequel les compétences développées au long d'un parcours professionnel ou bénévole sont démontrées et analysées au regard d'un référentiel métier et/ou des unités d'enseignement du diplôme visé. La démarche, déroulée sur une année, se conclut par une soutenance devant un jury. La validation peut être totale ou partielle et, dans ce cas, donner lieu à des préconisations de formation.


En savoir plus sur http://business.lesechos.fr/directions-ressources-humaines/ressources-humaines/gestion-de-carriere/0202722395381-validation-des-acquis-de-l-experience-le-bilan-des-dix-ans-6722.php?zTfvRljmvTPxwhCl.99







Ce qui prouve que la validation d’acquis n'est pas attribuée à n'importe qui et qu'il faut quand même justifier de certaines connaissances dans le métier ..
Je n'ai pas tout lu, pas le temps, les copier coller ce n'est pas mon truc, je préfère les interventions sur le concret, parce que ont peut très bien trouver tout et son contraire sur internet ..
Hormis quelques liens utiles...
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quand bien même un exemple ne résume pas l'état des lieux quand même !!!

Photo de effluve.mysterieuse
effluve.mysterieuse (clôturé) il y a 9 ans

Citation de "lavande11"Citation de "effluve.mysterieuse"Citation de "lavande11"je conseille a tout le monde de faire une formation en voie directe !
c'est à dire je rentre en formation et je me consacre qu'à çà
y'a plein de solutions pour le financement fongécif pole emploi conseils généraux
le seul problème c'est que l'anpe se débrouillant avant pour courir après les financements et que maintenant que c'est pole emploi c'est toi qui te tape tout le parcours du combattant !
après il ne faut pas s'étonner si y'a peu de gens qui accèdent à la formation et arrive à trouver un travail !


C'est facile de parler sans savoir vraiment ce qui se passe aujourd'hui ...
Les aides allouées se départagent selon les départements et certains départements n'ont plus les moyens financiers ou du moins, c'est ce qui veulent faire croire, je te laisse imaginer pour une personne de + de 50 ans ....parce que pour le moment c'est ce qui pré;occupe la posteuse ..

Le fongecif, pole emploi et le conseil général c'est une seule et même entité aujourd'hui...Un peu comme les syndicats et l’état LOL
Bref .. Sur ce .. hein ...


j'ai passé un diplome l'année dernière mais fini le social y'a jamais de plein temps ! donc nous maintenir pendant des années dans des contrats de 100 h pour avoir les allègements de charges patronales non merci!!


Il reste que des contrats précaires et pour trouver un temps plein, il faut s'accrocher aujourd'hui, encore plus pour un CDI ..

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spartac2 il y a 9 ans

Citation de "effluve.mysterieuse"Citation de "lavande11"la VAE c'est pour les cadres pas pour la femme de ménages qui veut avoir un diplomes d'auxiliaires de vies !
10 % de réussites dans la région langued'oc roussillon
il faut dire que parrallèllement la chambre d'agriculture l'afpa et des tas formations privés ont le monopole !


Pour être auxilliaire de vie pas besoin de diplômes, ils en cherchent partout sans diplômes, si c'est qu'il faut avoir une certaine dévotion ....Que ce n'est pas un métier facile ...
Mais je dois avouer qu'ils devraient exiger d'avoir certaines connaissances.


Des trésors d'empathie et de la force physique aussi..

Bonjour par ici.!-)

Photo de lavande11
lavande11 (clôturé) il y a 9 ans

Citation de "effluve.mysterieuse"Citation de "lavande11"la VAE c'est pour les cadres pas pour la femme de ménages qui veut avoir un diplomes d'auxiliaires de vies !
10 % de réussites dans la région langued'oc roussillon
il faut dire que parrallèllement la chambre d'agriculture l'afpa et des tas formations privés ont le monopole !


Pour être auxilliaire de vie pas besoin de diplômes, ils en cherchent partout sans diplômes, si c'est qu'il faut avoir une certaine dévotion ....Que ce n'est pas un métier facile ...
Mais je dois avouer qu'ils devraient exiger d'avoir certaines connaissances.


et ba va voir sur pole emploi . fr !
ne confond pas auxiliaire de vie et aide à domicile ou aide ménagère !


Participants

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