|
maquis (clôturé)
il y a 8 ans
C'est le moment de le balancer là pourtant ton argumentaire
Aproposdeprouts
Mais il n'y rien derrière
C'est du vent
|
|
zebraleon (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "apocope"Citation de "zebraleon"je suis désolé!
mais quelque chose m'échappe !
on ne dit apocope masculin !
mais une apocope ?
serait ce une dame qui se cache sous le nom apocope ???
Une apocope, du grec apokoptein/αποκοπτειν (« retrancher »), est une modification phonétique, parfois utilisée comme figure de style, qui se caractérise par l'abréviation du mot complet, en gardant uniquement son ou ses premiers phonèmes ou syllabes (vocaliques ou consonantiques)1, par exemple « auto » pour « automobile ».
On notera que l’apocope est le processus proprement dit (dans l’exemple précédent, la chute de « -mobile ») tandis que le résultat de l’apocope (ici, « auto ») est une abréviation2.
Elle correspond à un sens bien précis du mot complet lorsqu'il possède plusieurs homonymes. Cette contracture est souvent utilisée de manière familière pour simplifier le langage.
Elle peut être employée sciemment pour oraliser un discours ou pour brouiller le message dans un but esthétique particulier. Elle est proche de l'élision, de l'ellipse, et de l'abréviation et contribue à la formation de néologismes.
La dernière lettre est quelquefois remplacée par la voyelle « o ».
Bref! Une apocope est une contraction, qui ne modifie pas le sens du mot
oui mais cela ne répond pas à la question sous-jacente !
êtes vous une dame ou un homme ?????
|
|
maquis (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "maquis"Citation de "maquis"Grand maître Apropodeprouts
Vous avez déjà enlevé votre photo avatar de débile mental qui sentait bon la naphtaline et le poncif
Y aurait il un mieux ? Après validation je m’attends au pire quant au prochain accoutrement de votre avatar de demi dieu vivant oh grand maître
Revenons en à Henry Miller
Résumez moi l’œuvre et la vie d’Henry Miller vous avez dix lignes PTDR
C’est bien révélateur de ta culture de salonard de surface qui lui aussi fait de jolis copier coller
De se contenter d’un commentaire de surface convenu et ordinaire pour parler d’Henry Miller
N’importe quel blaireau est capable de faire ça !!!!
De quel Henry Miller veux tu qu’on parle
Du Miller new yorkais des années 20 qui écrit Opus Pistorum sous le manteau , qui bosse à la Western Union , qui vient de rencontrer June (La future Mona Mara de ses trilogies) qui se désespère d’être écrivain un jour
Du Miller parisien des années 30 qui vit Villa Seurat , qui rencontre Anais Nin qui va le révéler à lui-même , qui écrit Tropique du Cancer le dos au mur
Du Miller de Tropique du Capricorne qui revient sur les années new yorkaises , qui est hanté par Dostoievski ; qui est le seul surréaliste véritable à mes yeux car il ne se contente de faire salon mais vit dans la rue : « Tout ce qui ne se passe pas en pleine rue n’est que littérature »
Henry Miller le prolo de la littérature qui passe son temps dans les cafés
Du Miller de la période de guerre qui s’exile chez son ami Durell puis en Grèce pour écrire le colosse
Du Miller de Big Sur et de la trilogie dont Nexus ou des oranges de JB ou du diable au paradis
Du Miller qui entame un gigantesque travail sur DH Lawrence qui lui prendra toute sa vie
Du Miller qui écrit le temps des assassins pour faire le portrait le plus intelligent qu’on est fait de Rimbaud
Du Miller des correspondances avec Joseph Delteil , Anais Nin ou le gallois John Cowper Powys
Du Miller qui écrit « Les livres de ma vie »
Du Miller de Virage à 80 à PP
Et toi comme un pseudo intello de façade ; tu cherches à réduire ça en dix lignes comme un bon pro prof de littérature
Je ne parlerais d’aucun de ses Miller avec toi . Tu ne le mérites pas
Ton attitude systématiquement dédaigneuse ; ta prétention ; ton côté intello de salon sont aux antipodes du message , de la vie et de l’œuvre d’Henry Miller
Pour ton info , l’extrait où il parle de Roy Hamilton est tiré de Tropique du Capricorne
Tu es dans un absolu manque de savoir être
TU ES REBUTANT PARCE QUE TU PUES DU CŒUR !!!
Relis un Diable au Paradis tu ressembles à Moricand
J' ATTENDS TOUJOURS
|
|
zebraleon (clôturé)
il y a 8 ans
heuuu
je me retire !
bonne journée !
|
|
maquis (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "maquis"Citation de "maquis"Citation de "maquis"Grand maître Apropodeprouts
Vous avez déjà enlevé votre photo avatar de débile mental qui sentait bon la naphtaline et le poncif
Y aurait il un mieux ? Après validation je m’attends au pire quant au prochain accoutrement de votre avatar de demi dieu vivant oh grand maître
Revenons en à Henry Miller
Résumez moi l’œuvre et la vie d’Henry Miller vous avez dix lignes PTDR
C’est bien révélateur de ta culture de salonard de surface qui lui aussi fait de jolis copier coller
De se contenter d’un commentaire de surface convenu et ordinaire pour parler d’Henry Miller
N’importe quel blaireau est capable de faire ça !!!!
De quel Henry Miller veux tu qu’on parle
Du Miller new yorkais des années 20 qui écrit Opus Pistorum sous le manteau , qui bosse à la Western Union , qui vient de rencontrer June (La future Mona Mara de ses trilogies) qui se désespère d’être écrivain un jour
Du Miller parisien des années 30 qui vit Villa Seurat , qui rencontre Anais Nin qui va le révéler à lui-même , qui écrit Tropique du Cancer le dos au mur
Du Miller de Tropique du Capricorne qui revient sur les années new yorkaises , qui est hanté par Dostoievski ; qui est le seul surréaliste véritable à mes yeux car il ne se contente de faire salon mais vit dans la rue : « Tout ce qui ne se passe pas en pleine rue n’est que littérature »
Henry Miller le prolo de la littérature qui passe son temps dans les cafés
Du Miller de la période de guerre qui s’exile chez son ami Durell puis en Grèce pour écrire le colosse
Du Miller de Big Sur et de la trilogie dont Nexus ou des oranges de JB ou du diable au paradis
Du Miller qui entame un gigantesque travail sur DH Lawrence qui lui prendra toute sa vie
Du Miller qui écrit le temps des assassins pour faire le portrait le plus intelligent qu’on est fait de Rimbaud
Du Miller des correspondances avec Joseph Delteil , Anais Nin ou le gallois John Cowper Powys
Du Miller qui écrit « Les livres de ma vie »
Du Miller de Virage à 80 à PP
Et toi comme un pseudo intello de façade ; tu cherches à réduire ça en dix lignes comme un bon pro prof de littérature
Je ne parlerais d’aucun de ses Miller avec toi . Tu ne le mérites pas
Ton attitude systématiquement dédaigneuse ; ta prétention ; ton côté intello de salon sont aux antipodes du message , de la vie et de l’œuvre d’Henry Miller
Pour ton info , l’extrait où il parle de Roy Hamilton est tiré de Tropique du Capricorne
Tu es dans un absolu manque de savoir être
TU ES REBUTANT PARCE QUE TU PUES DU CŒUR !!!
Relis un Diable au Paradis tu ressembles à Moricand
J' ATTENDS TOUJOURS
|
|
apocope (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "zebraleon"Citation de "apocope"Citation de "zebraleon"je suis désolé!
mais quelque chose m'échappe !
on ne dit apocope masculin !
mais une apocope ?
serait ce une dame qui se cache sous le nom apocope ???
Une apocope, du grec apokoptein/αποκοπτειν (« retrancher »), est une modification phonétique, parfois utilisée comme figure de style, qui se caractérise par l'abréviation du mot complet, en gardant uniquement son ou ses premiers phonèmes ou syllabes (vocaliques ou consonantiques)1, par exemple « auto » pour « automobile ».
On notera que l’apocope est le processus proprement dit (dans l’exemple précédent, la chute de « -mobile ») tandis que le résultat de l’apocope (ici, « auto ») est une abréviation2.
Elle correspond à un sens bien précis du mot complet lorsqu'il possède plusieurs homonymes. Cette contracture est souvent utilisée de manière familière pour simplifier le langage.
Elle peut être employée sciemment pour oraliser un discours ou pour brouiller le message dans un but esthétique particulier. Elle est proche de l'élision, de l'ellipse, et de l'abréviation et contribue à la formation de néologismes.
La dernière lettre est quelquefois remplacée par la voyelle « o ».
Bref! Une apocope est une contraction, qui ne modifie pas le sens du mot
oui mais cela ne répond pas à la question sous-jacente !
êtes vous une dame ou un homme ?????
Qu'importe, pourvu que l'on débatte...
|
|
maquis (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "apocope"Citation de "zebraleon"Citation de "apocope"Citation de "zebraleon"je suis désolé!
mais quelque chose m'échappe !
on ne dit apocope masculin !
mais une apocope ?
serait ce une dame qui se cache sous le nom apocope ???
Une apocope, du grec apokoptein/αποκοπτειν (« retrancher »), est une modification phonétique, parfois utilisée comme figure de style, qui se caractérise par l'abréviation du mot complet, en gardant uniquement son ou ses premiers phonèmes ou syllabes (vocaliques ou consonantiques)1, par exemple « auto » pour « automobile ».
On notera que l’apocope est le processus proprement dit (dans l’exemple précédent, la chute de « -mobile ») tandis que le résultat de l’apocope (ici, « auto ») est une abréviation2.
Elle correspond à un sens bien précis du mot complet lorsqu'il possède plusieurs homonymes. Cette contracture est souvent utilisée de manière familière pour simplifier le langage.
Elle peut être employée sciemment pour oraliser un discours ou pour brouiller le message dans un but esthétique particulier. Elle est proche de l'élision, de l'ellipse, et de l'abréviation et contribue à la formation de néologismes.
La dernière lettre est quelquefois remplacée par la voyelle « o ».
Bref! Une apocope est une contraction, qui ne modifie pas le sens du mot
oui mais cela ne répond pas à la question sous-jacente !
êtes vous une dame ou un homme ?????
Qu'importe, pourvu que l'on débatte...
Tu parles d'un débat
Tu te débines
FAUX JETON
|
|
maquis (clôturé)
il y a 8 ans
Tu es coincé là il va falloir sortir autre chose que tes "que sais je"
|
|
maquis (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "maquis"C'est le moment de le balancer là pourtant ton argumentaire
Aproposdeprouts
Mais il n'y rien derrière
C'est du vent
|
|
apocope (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "maquis"C'est le moment de le balancer là pourtant ton argumentaire
Aproposdeprouts
Mais il n'y rien derrière
C'est du vent
Aurais-tu déjà oublié mon point de vue, que je t'ai exposé lorsque j'ai initié ce sujet ? Mon argumentaire y est pourtant !
Tu m'avais posté un extrait de Miller, sans autre explication. Dans cet extrait, Miller discoure sur le bonheur, alors qu’il est au crépuscule de sa vie.
Alors, je te demandais : qu’en est-il de ta critique de l’extrait en question ? Que signifie pour toi le propos de Miller?
Je t’ai précisé que pour apprécier l’oeuvre iconoclaste de Miller, il fallait la camper dans un lieu et une époque, i.e. l'oeuvre de Miller témoigne d'un lieu et d'une époque.
Ce préambule qui situe l’œuvre de Miller en un lieu et en une époque permet d’apprécier l’extrait que tu as tiré d’Henry Miller, dans lequel l’écrivain résume l’essence que porte son oeuvre.
Ses écrits sont iconoclastes, parce qu’ils vont à l’encontre des canons moraux de l'époque aux USA.
Miller était interdit de publication aux USA, jusqu’au début des années soixante.
C'est donc dire que même si Miller a écrit ses livres les plus sulfureux durant la Grande dépression, c'est lorsqu'il fut finalement édité en américain et distribué aux USA qu'il a influencé la jeunesse américaine de la bohème de la Beat-generation des années soixante... À ce sujet, je précise que c’est en 1965 que les USA ont commencé à intensifier leur intervention militaire au Vietnam; il y a donc un contexte historique qui a favorisé la diffusion de l’oeuvre de Miller parmi la jeunesse qui contestait l’intervention militaire et l’enrôlement pour la guerre.
Miller est donc devenu une figure sympathique et emblématique.
Ainsi, l’extrait que tu as tiré d’Henry Miller, et qu'il a formulé vers la fin de sa vie, résume l’essence que porte son oeuvre:
Le bonheur de l'individu est inhérent à sa libération des contraintes matérielles et au refus de la mortification que nous impose la société.
Maintenant, si vraiment l’œuvre de Miller t’interpelle, je te suggère d’écouter l’entretien suivant :
Entretien en français d'Henry Miller avec Fernand Seguin, dans le cadre de l'émission Le Sel de la Semaine (1969)
Modifié il y a 8 ans, le dimanche 17 avril 2016 à 10:19
|
|
maquis (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "apocope"Citation de "maquis"C'est le moment de le balancer là pourtant ton argumentaire
Aproposdeprouts
Mais il n'y rien derrière
C'est du vent
Aurais-tu déjà oublié mon point de vue, que je t'ai exposé lorsque j'ai initié ce sujet ? Mon argumentaire y est pourtant !
Tu m'avais posté un extrait de Miller, sans autre explication. Dans cet extrait, Miller discoure sur le bonheur, alors qu’il est au crépuscule de sa vie.
Alors, je te demandais : qu’en est-il de ta critique de l’extrait en question ? Que signifie pour toi le propos de Miller?
Je t’ai précisé que pour apprécier l’oeuvre iconoclaste de Miller, il fallait la camper dans un lieu et une époque, i.e. l'oeuvre de Miller témoigne d'un lieu et d'une époque.
Ce préambule qui situe l’œuvre de Miller en un lieu et en une époque permet d’apprécier l’extrait que tu as tiré d’Henry Miller, dans lequel l’écrivain résume l’essence que porte son oeuvre.
Ses écrits sont iconoclastes, parce qu’ils vont à l’encontre des canons moraux de l'époque aux USA.
Miller était interdit de publication aux USA, jusqu’au début des années soixante.
C'est donc dire que même si Miller a écrit ses livres les plus sulfureux durant la Grande dépression, c'est lorsqu'il fut finalement édité en américain et distribué aux USA qu'il a influencé la jeunesse américaine de la bohème de la Beat-generation des années soixante... À ce sujet, je précise que c’est en 1965 que les USA ont commencé à intensifier leur intervention militaire au Vietnam; il y a donc un contexte historique qui a favorisé la diffusion de l’oeuvre de Miller parmi la jeunesse qui contestait l’intervention militaire et l’enrôlement pour la guerre.
Miller est donc devenu une figure sympathique et emblématique.
Ainsi, l’extrait que tu as tiré d’Henry Miller, et qu'il a formulé vers la fin de sa vie, résume l’essence que porte son oeuvre:
Le bonheur de l'individu est inhérent à sa libération des contraintes matérielles et au refus de la mortification que nous impose la société.
Maintenant, si vraiment l’œuvre de Miller t’interpelle, je te suggère d’écouter l’entretien suivant :
Entretien en français d'Henry Miller avec Fernand Seguin, dans le cadre de l'émission Le Sel de la Semaine (1969)
Merci pour cette interview que je ne connaissais pas et que j'ai rangé dare dare dans mes favoris .
Chapître audiovisuel , j'ai depuis longtemps fait l'acquisition de "l'Odyssée d' Henry Miller"
le film de Robert Snyder seul film réalisé sur lui
(Lire aussi "Henry Miller Rocher heureux " du photographe Brassai )
Il faut que tu comprennes que j'ai ouvert mon premier livre d' Henry Miller le 26 Décembre 1984 à 22 ans .J'étais en vacances en Belgique ; à Bruxelles
C'était "Tropique du Capricorne" et là je te demande de me me croire sur parole
Ce livre à 22 ans a été un tel choc pour moi que j'ai passé une nuit blanche dans de multiples tavernes bruxelloises pour littéralement le dévorer d'une traite .
Je me sentais déjà un peu bizarre avant de lire Dostoievski ; je le devins totalement et à mon contentement après l'avoir lu" dit il dans Tropique du Capricorne
C'est exactement ce que j'ai ressenti pour Miller cette nuit là
Et après j'ai peu à peu acheté quasiment tout de lui
J'ai depuis 20 ans 33 ouvrages de Miller qui trônent à la place d'honneur dans ma bibliothèque bardés de notes de stabilo de points d'exclamations
Encore plus que l'écrivain stricto sensu , c'est l'homme et le parcours de l'homme que j'admire
Une boulimie de vie sans égal ; une force et une obstination à accomplir son destin d'écrivain envers et contre tout
Sans compter sa boulimie de littérature qui fait que je dois à Miller la découverte ou redécouverte d'une bonne vingtaine d'écrivains d'envergure
Nin Giono et Cendrars en France Powys ; Hamsun . Hesse pour n'en citer que quelques uns
Pour moi Miller dépasse le simple cadre de la littérature , il est dans la vie pleine et absolue
dans une soif de savoirs et de sensations hors du commun
Il n'a à mon sens aucun équivalent en littérature
Son style avec ses digressions magiques et son enthousiasme quasi prophétique est inimitable
Henry Miller est plus qu'un écrivain
Il a toujours été pour moi une des plus grandes leçons de générosité et de vie
Voilà ce qu'est Henry Miller pour moi
Modifié il y a 8 ans, le dimanche 17 avril 2016 à 11:42
|
|
maquis (clôturé)
il y a 8 ans
C'était "Tropique du Capricorne" et là je te demande de me me croire sur parole
Ce livre à 22 ans a été un tel choc pour moi que j'ai passé une nuit blanche dans de multiples tavernes bruxelloises pour littéralement le dévorer d'une traite .
Ce jour là je m'en souviens très exactement puisque ma vie n'a plus été tout à fait la même depuis
|
|
annonciation (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "apocope"Citation de "annonciation"
Je te vois ouvrir un topic (as-tu un autre mot? je n'aime pas ce mot
« fake »
.
Topic ... Sujet (de discussion)
Fake... Imposteur, simulateur, contrefaiseur
OK. Je préfère tout de même simulacre pour fake...
Mais "sujet", oui bien sûr, cela a le mérite de la simplicité.
|
|
annonciation (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "maquis"C'était "Tropique du Capricorne" et là je te demande de me me croire sur parole
Ce livre à 22 ans a été un tel choc pour moi que j'ai passé une nuit blanche dans de multiples tavernes bruxelloises pour littéralement le dévorer d'une traite .
Ce jour là je m'en souviens très exactement puisque ma vie n'a plus été tout à fait la même depuis
Quand tu te livres tu es intéressant à lire, ton expérience, chacun peut alors tenter de se la faire sienne, au moins par l'imagination; ce qui permet au lecteur de voir ce que tu vois (sentir ce que tu sens).
|
|
maquis (clôturé)
il y a 8 ans
Entretien en français d'Henry Miller avec Fernand Seguin, dans le cadre de l'émission Le Sel de la Semaine (1969)[/quote]
Réponse complète
Merci pour cette interview que je ne connaissais pas et que j'ai rangé dare dare dans mes favoris .
Chapître audiovisuel , j'ai depuis longtemps fait l'acquisition de "l'Odyssée d' Henry Miller"
le film de Robert Snyder seul film réalisé sur lui
(Lire aussi "Henry Miller Rocher heureux " du photographe Brassai )
Il faut que tu comprennes que j'ai ouvert mon premier livre d' Henry Miller le 26 Décembre 1984 à 22 ans .J'étais en vacances en Belgique ; à Bruxelles
C'était "Tropique du Capricorne" et là je te demande de me me croire sur parole
Ce livre à 22 ans a été un tel choc pour moi que j'ai passé une nuit blanche dans de multiples tavernes bruxelloises pour littéralement le dévorer d'une traite .
Ce jour là je m'en souviens très exactement puisque ma vie n'a plus été tout à fait la même depuis
Je me sentais déjà un peu bizarre avant de lire Dostoievski ; je le devins totalement et à mon contentement après l'avoir lu" dit il dans Tropique du Capricorne
C'est exactement ce que j'ai ressenti pour Miller cette nuit là
Et après j'ai peu à peu acheté quasiment tout de lui
J'ai depuis 20 ans 33 ouvrages de Miller qui trônent à la place d'honneur dans ma bibliothèque bardés de notes de stabilo de points d'exclamations
Encore plus que l'écrivain stricto sensu , c'est l'homme et le parcours de l'homme que j'admire
Une boulimie de vie sans égal ; une force et une obstination à accomplir son destin d'écrivain envers et contre tout
Sans compter sa boulimie de littérature qui fait que je dois à Miller la découverte ou redécouverte d'une bonne vingtaine d'écrivains d'envergure
Nin Giono et Cendrars en France Powys ; Hamsun . Hesse pour n'en citer que quelques uns
Pour moi Miller dépasse le simple cadre de la littérature , il est dans la vie pleine et absolue
dans une soif de savoirs et de sensations hors du commun
Il n'a à mon sens aucun équivalent en littérature
Son style avec ses digressions magiques et son enthousiasme quasi prophétique est inimitable
Henry Miller est plus qu'un écrivain
Il a toujours été pour moi une des plus grandes leçons de générosité et de vie
Voilà ce qu'est Henry Miller pour moi
Modifié il y a 8 ans, le dimanche 17 avril 2016 à 11:13
|