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PS:
Je lui ai écrit une lettre dans laquelle je lui déclare mon amour. J'attends des nouvelles.
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Citation de schnockdu
PS:
Je lui ai écrit une lettre dans laquelle je lui déclare mon amour. J'attends des nouvelles.
Bigre ! Il risque d'y avoir confuse entre un pluriel et un singulier, suivant la publication de vos bans ou ta mise au ban.
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Citation de cassenoisette25
Bon ben, je vais te répondre sur celui ci alors
Je n'aime pas quand on me coupe le sifflet
Donc je disais
Mais je te lis mon cher duschnock, je te lis et même si tes écrits sont très développés, très explicites, instructifs. Il n'en reste pas moins que tes réponses sont très négatives et méprisantes.
Si tu supprimes ton message de la page 1, je veux bien te répondre avec une paire de gant mais pas de boxe - promis, et une pince à linge sur le nez...
Question d'esthétisme à la lecture !
Et puis, quitte à passer pour un psycho-rigide ou ce genre de malade comme tu le sous-entendais cet après-midi, eh bien, allons-y gaiement.
Tu copies/colles ton message puis tu l'effaces. Ensuite, tu cliques tout en bas à gauche de la page dans la case : répondre au sujet. Tu colles, t'envoies et c'est parti.
Bonne promenade.
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Citation de rienousipeu
Bigre ! Il risque d'y avoir confuse entre un pluriel et un singulier, suivant la publication de vos bans ou ta mise au ban.
Une 3e possibilité serait de m'asseoir au banc des accusés, parmi les miens frères et sœurs de galère. Puis de me lever à l'appel de mon nom pour faire face à mes juges, emperruqués et poudrés, sur leur perchoir à perroquet.
J'entends déjà le coup de marteau final et les applaudissements de certains smailiennes et smailiens, hélas.
On en a guillotiné pour moins que ça.
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Citation de schnockdu
Une 3e possibilité serait de m'asseoir au banc des accusés, parmi les miens frères et sœurs de galère. Puis de me lever à l'appel de mon nom pour faire face à mes juges, emperruqués et poudrés, sur leur perchoir à perroquet.
J'entends déjà le coup de marteau final et les applaudissements de certains smailiennes et smailiens, hélas.
On en a guillotiné pour moins que ça.
Une quatrième possibilité est d'en rire avec la distanciation nécessaire.
Manière de se créer une échappatoire momentanée à ce que je devine chez toi d'être toujours sur le haut de la barricade.
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Citation de rienousipeu
Une quatrième possibilité est d'en rire avec la distanciation nécessaire.
Manière de se créer une échappatoire momentanée à ce que je devine chez toi d'être toujours sur le haut de la barricade.
Ma barricade n'est que virtuelle.
En vérité, je suis au pied de la Montagne, la vraie. Comme tout le monde d'ailleurs, ici-bas. Et c'est bien pour ça que je gueule si fort après elle, croyant, pauvre fou que je suis, qu'à m'entendre elle s'enfuie en courant, de terreur, vaincue à ma seule vue...
J'en rie, oui.
Mais j'en pleure aussi.
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Citation de schnockdu
Ma barricade n'est que virtuelle.
En vérité, je suis au pied de la Montagne, la vraie. Comme tout le monde d'ailleurs, ici-bas. Et c'est bien pour ça que je gueule si fort après elle, croyant, pauvre fou que je suis, qu'à m'entendre elle s'enfuie en courant, de terreur, vaincue à ma seule vue...
J'en rie, oui.
Mais j'en pleure aussi.
L'image est belle, en ce qu'elle soulève si justement le paradoxe terrible que c'est à la fois beau et terrible que d'être un humain.
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Citation de rienousipeu
L'image est belle, en ce qu'elle soulève si justement le paradoxe terrible que c'est à la fois beau et terrible que d'être un humain.
Un sublime abîme, comme nous le disions hier soir avec fouthese.
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na0-le-vrai (clôturé)
il y a 5 ans
Pertinence ?
:large
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Citation de schnockdu
Un sublime abîme, comme nous le disions hier soir avec fouthese.
Sur la corde à obsolescence même pas planifiée de ces désirs, de ses aspirations, l'humain ne serait-il pas condamné à avancer toujours borderline, avec comme respiration de son existence, le souffle que lui intime de façon parfois si prégnante, quand ce ne l'est poignante, celui qu'il ne veut pas toujours voir, l'abîme.
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Citation de rienousipeu
Sur la corde à obsolescence même pas planifiée de ces désirs, de ses aspirations, l'humain ne serait-il pas condamné à avancer toujours borderline, avec comme respiration de son existence, le souffle que lui intime de façon parfois si prégnante, quand ce ne l'est poignante, celui qu'il ne veut pas toujours voir, l'abîme.
Le déséquilibre est sa mesure, comme l'équilibre sa démesure.
C'est un trou béant au fond duquel il chute à chacun de ses pas et se relève pour le suivant. Sans fin. Ne sachant pas même où il va. Sauf à la mort.
Mais il y marche quand même - puisqu'elle apparaît comme la seule issue finalement !
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Citation de schnockdu
Merci à toi.
C'est aussi mon avis.
Oups ! Un merci ! Je vais l'encadrer des fois que le topic sauterait !
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Citation de iseult
Oups ! Un merci ! Je vais l'encadrer des fois que le topic sauterait !
Mets-le avec les autres, car ce ne sera pas la première fois que tu encadres l'un de mes messages te concernant, que ce soit un compliment ou pas, plus rare, une jolie tournure de phrase à ton endroit ou non, encore plus exceptionnel, une peinture au couteau, voire au marteau-pilon ou piqueur, un paysage de champ de ruine ou un désert en fleur...
J'ai bonne mémoire.
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Citation de schnockdu
Mets-le avec les autres, car ce ne sera pas la première fois que tu encadres l'un de mes messages te concernant, que ce soit un compliment ou pas, plus rare, une jolie tournure de phrase à ton endroit ou non, encore plus exceptionnel, une peinture au couteau, voire au marteau-pilon ou piqueur, un paysage de champ de ruine ou un désert en fleur...
J'ai bonne mémoire.
Moi aussi mais contrairement à toi, je n'enregistre rien.
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Citation de iseult
Moi aussi mais contrairement à toi, je n'enregistre rien.
Si ce n'est dans ton ordinateur interne. Incorporé.
Est-ce un reproche ?
L'écriture, tout comme la danse, est une discipline et un travail. En plus d'être une passion.
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