Messieurs-Dames les censeurs !
Ô vous, confrères et sœurs, qui avez dégainez les premiers votre bon-à-tirer me visant jusqu’au cœur, en pleine page centrale, par-derrière, m’ainsi condamnant au pilon comme au pilori ou au peloton d’exécution, à la mort par pendaison ou électrocution voire injection léthale, et à quelqu’enterrement de seconde classe au pied du mur de l’une de vos prisons mentales, intellectuelles, droits de l’Hommistes et inhumaines, je vous conchie...
À la censure, je renvoies l’ascenseur. En panne. Le monte-charge de la critique facile et du clic anonyme, à vide. Et à la césure finale, je dit merde en lui tirant un dernier trait d’union comme ultime point de rendez-vous prochain. Plus des pointillés.
Modifié il y a 5 ans, le lundi 10 juin 2019 à 11:46
Citation de schnockdu
Ne sommes-nous pas des archivistes-nés ?
Des compilateurs fous ?
Quant à la postérité, les gloires posthumes, les honneurs – qui sait !
Mais mieux vaudrait sans doute pour nos survivants, nos prochains, ne pas avoir à se fader certaines fadaises et autres foutaises ni s’imposer la lecture de certains pavés tels que quelques-unes de ces gôchiasseries forumistiques ici-présentes...
Ton obscurité te convient, dis-tu. Moi, ma propre lumière me fait parfois de l’ombre.
Ah ben alors t'es bien le seul à avoir des éblouissements aussi singuliers sur ce forum.
Mais bon ton propos reste éclairant sur notre petitesse !
Citation de fouthese
Ah ben alors t'es bien le seul à avoir des éblouissements aussi singuliers sur ce forum.
Mais bon ton propos reste éclairant sur notre petitesse !
Sans vouloir me vanter ni épouvanter personne autrement qu’en m’éventant un peu sur le sujet et m’aérant quelques neurones, je suis en effet le seul ici-bas à pouvoir me gratter le crâne depuis l’intérieur ainsi que m’explorer la boite crânienne du dedans. Et ceci sans lampe-torche aucune, ni carte ni boussole. Non pas en passant par cet endroit que l’on pourrait penser, d’entrée (et par où, hélas, certaines et certains pensent ou réfléchissent eux-mêmes, y passant et y repassant le plus sombre de leur temps, donc) mais plutôt en m’introduisant moi-même le doigt dans l’œil tous les matins ou presque, jusqu’à l’ os, parfois l’omoplate, selon les cas et l’humeur du jour.
Une introspection manuelle plus qu’intellectuelle, certes. Et un rien médicale puisqu’étant alors mon propre stéthoscope ou thermomètre, psychiatriquement parlant s’entend.
Bref, je reste malgré tout un amateur, moi aussi. Éclairé.
Citation de schnockdu
Sans vouloir me vanter ni épouvanter personne autrement qu’en m’éventant un peu sur le sujet et m’aérant quelques neurones, je suis en effet le seul ici-bas à pouvoir me gratter le crâne depuis l’intérieur ainsi que m’explorer la boite crânienne du dedans. Et ceci sans lampe-torche aucune, ni carte ni boussole. Non pas en passant par cet endroit que l’on pourrait penser, d’entrée (et par où, hélas, certaines et certains pensent ou réfléchissent eux-mêmes, y passant et y repassant le plus sombre de leur temps, donc) mais plutôt en m’introduisant moi-même le doigt dans l’œil tous les matins ou presque, jusqu’à l’ os, parfois l’omoplate, selon les cas et l’humeur du jour.
Une introspection manuelle plus qu’intellectuelle, certes. Et un rien médicale puisqu’étant alors mon propre stéthoscope ou thermomètre, psychiatriquement parlant s’entend.
Bref, je reste malgré tout un amateur, moi aussi. Éclairé.
Fi de la langue Anusienne... Pouah ! - Sans évoquer l'Onusienne...
Du pariétal au temporal ( et inversement ),ce genre de gymnastique n'est pas pour bibi...
Je laboure mes sens avec mon soc - kul-terreux je suis,kul-terreux je reste...
Citation de fouthese
Fi de la langue Anusienne... Pouah ! - Sans évoquer l'Onusienne...
Du pariétal au temporal ( et inversement ),ce genre de gymnastique n'est pas pour bibi...
Je laboure mes sens avec mon soc - kul-terreux je suis,kul-terreux je reste...
Un cultureux physique ?
Paysan-laboureur et grand arpenteur de labours livresques, culturelles et littéraires. Un laborieux cultivateur à pieds et à mains nues, retourneur d’arpents et tourneur de pages et de pages, feuille à feuille. Artisan-travailleur du chapeau, du bulbe et d’haricot, de chou-fleur. Étant lui-même son propre cheval de trait, sa propre charrue, qu’il tire et pousse à hue comme à dia...
C’est beau !
J'aime assez quant à moi l'exploration des grottes et cavernes occipitales, sans lampe-frontales là non plus, leurs longs boyaux intestinaux et cérébraux, profonds diverticules ou vastes vestibules et autres cul-de-sacs. On y peut même faire quelque rencontre, quelquefois, préhistorique : soi. Cet ancien autre. Nouvel inconnu.
Citation de schnockdu
Un cultureux physique ?
Paysan-laboureur et grand arpenteur de labours livresques, culturelles et littéraires. Un laborieux cultivateur à pieds et à mains nues, retourneur d’arpents et tourneur de pages et de pages, feuille à feuille. Artisan-travailleur du chapeau, du bulbe et d’haricot, de chou-fleur. Étant lui-même son propre cheval de trait, sa propre charrue, qu’il tire et pousse à hue comme à dia...
C’est beau !
J'aime assez quant à moi l'exploration des grottes et cavernes occipitales, sans lampe-frontales là non plus, leurs longs boyaux intestinaux et cérébraux, profonds diverticules ou vastes vestibules et autres cul-de-sacs. On y peut même faire quelque rencontre, quelquefois, préhistorique : soi. Cet ancien autre. Nouvel inconnu.
L'inachèvement,
.........se déployant dans une carcasse aux désirs gargantuesques,
.........la Création n'a pas fini d'entendre parler de nous !
Citation de fouthese
L'inachèvement,
.........se déployant dans une carcasse aux désirs gargantuesques,
.........la Création n'a pas fini d'entendre parler de nous !
Foutre-Dieu, non !
Nous n'avons qu'à peine commencé à résonner en ELLE et jusque LUI, tout là-haut, assoupi ou terré et dissous quelquepart dans les cieux, tout comme en nous, ici-bas...
L'Homme contient tout l'univers dedans sa tête. Un monde en marche à lui tout seul. Un Big-Bang ambulant et déambulant au hasard, d'espace en espace, d'un néant à l'autre, passant de la vie à la mort et parfois même, paraît-il, au travers, puis allant jusqu'à en revenir, vivant. C'est dire si l'avenir nous est promis, et le futur quasiment acquis.
Sauf que, hélas, il y a un mais. Un hic, un hoquet. Un rot. Un pet.
Messieurs-Dames les censeurs !
Ô vous, confrères et sœurs, qui avez dégainez les premiers votre bon-à-tirer me visant jusqu’au cœur, en pleine page centrale, par-derrière, m’ainsi condamnant au pilon comme au pilori ou au peloton d’exécution, à la mort par pendaison ou électrocution voire injection léthale, et à quelqu’enterrement de seconde classe au pied du mur de l’une de vos prisons mentales, intellectuelles, droits de l’Hommistes et inhumaines, je vous conchie...
À la censure, je renvoies l’ascenseur. En panne. Le monte-charge de la critique facile et du clic anonyme, à vide. Et à la césure finale, je dit merde en lui tirant un dernier trait d’union comme ultime point de rendez-vous prochain. Plus des pointillés.
Citation de schnockdu
Foutre-Dieu, non !
Nous n'avons qu'à peine commencé à résonner en ELLE et jusque LUI, tout là-haut, assoupi ou terré et dissous quelquepart dans les cieux, tout comme en nous, ici-bas...
L'Homme contient tout l'univers dedans sa tête. Un monde en marche à lui tout seul. Un Big-Bang ambulant et déambulant au hasard, d'espace en espace, d'un néant à l'autre, passant de la vie à la mort et parfois même, paraît-il, au travers, puis allant jusqu'à en revenir, vivant. C'est dire si l'avenir nous est promis, et le futur quasiment acquis.
Sauf que, hélas, il y a un mais. Un hic, un hoquet. Un rot. Un pet.
Chercheur d'énigmes.
Faut-il préférer l'Histoire ou l'éternité ? - En supposant que la question soit bien posée...
Modifié il y a 5 ans, le mardi 11 juin 2019 à 09:51
De simples erreurs d’impression. Autorisées, légales. Contrairement aux fautes d’expression. Verbalisées, sanctionnées. Plutôt que sanctuarisées et sacralisées.