|
Que sont devenus les Pin"s de Pierre Gattaz ?
|
|
http://www.lejdd.fr/Politique/EXCLUSIF-Les-patrons-prient-Hollande-d-agir-pour-l-emploi-767637 EXCLUSIF. Les patrons prient Hollande d’agir pour l'emploi Le JDD publie la lettre ouverte au chef de l'État des grands dirigeants de société. Ils appellent à "une mobilisation générale" pour l'emploi. C’est la dernière chance. Il reste une semaine. François Hollande doit livrer le 18 janvier l’ultime plan pour l’emploi de son quinquennat. Au moment où l’Elysée planche sur les arbitrages, les principales organisations de chefs d’entreprises lui adressent une lettre ouverte que le JDD publie en exclusivité. Les patrons proposent des mesures d’urgence, ils en appelent au soutien de "l’ensemble des partis politiques" et à "une mobilisation générale" dans un esprit d’unité nationale. Cette initiative rare unit le Medef, l’Association française des entreprises privées (Afep) qui compte les 115 plus grandes multinationales du pays, Croissance plus, Ethic, EDC (patronat chrétien), le Cercle de l’industrie et le mouvement des entreprises de taille intermédiaire. La création d’un "contrat de travail agile" Réforme du contrat de travail, suppression des charges dans les petites sociétés, auto-entreprise... Les signataires - qui représentent la majeure partie de l’économie française - ont ciblé cinq propositions, "un socle minimal" selon eux, touchant à l’embauche et au coût du travail. Ils espèrent que le chef de l’Etat ne se borne pas à des effets d’annonce. "Hollande a promis un plan mais il y a un risque de se retrouver avec des mesurettes. Il n’y aura pas d’autre occasion d’agir en profondeur avant 2017", pointe un haut responsable patronal. La batterie de mesures ne devrait pas susciter d&rsquoposition à droite, où l’on préconise en outre de revoir les 35 heures et de supprimer les seuils sociaux. A gauche, le PS n’a eu de cesse depuis 2012 de dénoncer "une surenchère patronale". Parmi les dispositifs, la création d’un "contrat de travail agile" est le plus sensible. Les syndicats y sont hostiles. Par le passé, le gouvernement a retoqué cette mesure. La promotion de "nouvelles formes d’activités indépendantes" fait aussi débat. Les signataires de la lettre ouverte devraient rencontrer un écho plus favorable sur d’autres points : la suppression de cotisations patronales et l’instauration d’un barème aux Prud’hommes. Le nombre de demandeurs d'emploi peine à décroître À seize mois de l'élection présidentielle, François Hollande s'apprête à prendre les dernières mesures dont l'efficacité sera visible, ou pas, avant le scrutin de 2017. Le président de la République en a tracé les grandes lignes lors de ses vœux à la télévision. Il espère enfin l'inversion de la courbe du chômage, dont il a fait une condition de sa candidature. Le nombre de demandeurs d'emploi peine à décroître malgré les dispositifs déjà pris, notamment le pacte de responsabilité, et en dépit d'une conjoncture très favorable sur les prix du pétrole, le dollar et les taux d'intérêt. Selon l'Insee, le taux de chômage reculerait seulement de 0,1 % d'ici à fin juin.
|
|
" M. GATAZ a perdu son badge : 1 000 000 d'emplois ? les patrons ont eu des aides mais rien n'a suivi ! c'est toujours plus pour les actionnaires et rien pour les salariés déjà alors embaucher avec M. GATAZ oui mais style anglais O contrat ! les syndicats eux refusent tout ! bref personne ne veut négocier finalement avec le medef : Il y a comme un problème non ? et pendant ce temps des gens voudraient vraiment BOSSER - M. GATAZ en fait n'est pas clair du tout et je pense qu'il fait tout pour saper l'embauche " Exactement !
|
|
Pus de contrat de travail, moins de charges patronale, C'est la porte ouverte a l’esclavage et moins de protection sociale (retraites et soins)
|
|
Quid des promesses dans le secteur de la restauration quand le patronat at obtenu la baisse de la TVA ? Ou sont les embauches promises ? Quid des subventions perçues par les entreprises en vertu du crédit impôt recherche ? Ou sont les embauches ? Quid de la reconnaissance d'un changement d'ère dans le monde du travail par le patronat : entre les salariés et les néo indépendants ? Les statuts ne sont pas les mêmes, les garanties non plus. Quid du contrat agile ? Excellente idée, mais que prévoit le patronat face au sein de ses adhérents ? Quand est-ce qu'une banque va prêter des fonds à un travailleur en contrat 'agile' pour acheter son appartement ou sa maison ? Le monde bouge, le monde change, mais l'écart entre les demandes du patronat, la vie réelle des salariés d'aujourd'hui. Ca manque de souplesse, mais que le patronat aille au bout de ses propositions et joue également le jeu en utilisant sa responsabilité qui est avant tout sociale au sens large du terme.
|
|
Ce cher Mr. Gattaz est quant même le grand spécilialiste de l'enfumage !! Il veut nous faire croire qu'avec la mise en place d'un "contrat de travail agile", prévoyant un plafonnement des indemnités prud'homales et des motifs de rupture liés à la situation économique des entreprises, celles-ci vont soudainement embaucher !! Il y a encore quelques mois, le même Mr. Gattaz arborait crânement au revers de son veston , le pin's de 1 MILLION de créations d'emplois (avec les aides du CICE et du pacte de responsabilité) !!!! Il l'a jeté rapidement aux oubliettes, il suffit de voir la progression incessante du chômage..... Que dire des ruptures conventionnelles (2 millions depuis sa création en 2008, avec un nouveau record de 350 000 en 2015 !!), la plupart du temps subites par le salarié, et déguisées en préretraites. Combien de milliers de gens encore au chômage (surtout les seniors !) en raison de ce dispositif qui est, tout le monde le sait, une machine infernale à créer des chômeurs !!! Et donc Mr. Gattaz veut encore ajouter une mesure contre les intérêts des salariés (le contrat de travail agile) qui va faire augmenter de façon exponentielle la courbe du chômage !! Arrêtons de prendre les français pour des imbéciles. Ils connaissent la vraie vie et le monde du travail..... et savent pertinemment que ce n'est pas en limitant les indemnités prud'homales que les entreprises vont subitement créer de l'emploi, mais en diminuant leurs charges, leurs impôts et les contraintes administratives. Mr. Gattaz devrait sonder ses propres salariés sur les mesures qu'il préconise et rendre public le résultat, s'il croit vraiment à ses propositions.....
|
|
Citation de "sibelius"Que sont devenus les Pin"s de Pierre Gattaz ? La mode des pin's a déjà montré qu'elle était éphémère.
|
|
http://tempsreel.nouvelobs.com/economie/20150601.OBS9916/gattaz-et-le-million-d-emplois-c-est-pas-moi-c-est-les-autres.html Gattaz et le million d'emplois : c'est pas moi, c'est les autres Arborant fièrement son pin's "un million d'emplois", le président du Medef se dédouane pourtant de toute promesse et renvoie la responsabilité au gouvernement. Faut-il croire Pierre Gattaz quand il affirme haut et fort sur Canal+ qu'il n'a "jamais promis" de créer un million d'emplois dans le cadre du pacte de responsabilité ? Qu'est-ce que c'est que ce pin's alors ? Les revers des vestes de Pierre Gattaz peuvent bien souffrir en silence depuis des mois, le patron du Medef ne quitte plus cette décoration qui annonce fièrement "un million d’emplois" en lettres bleues sur fond jaune. "Un million d'emplois" : le slogan en forme de promesse engage tout le monde. Tout le monde sauf Pierre Gattaz. Il l’avait d’ailleurs déjà expliqué en janvier 2014, dans "Le Figaro" : "Je ne signerai jamais que nos entreprises vont créer un million d’emplois, ce serait suicidaire." Le patron des patrons aurait-il menti à un moment ou à un autre ? Que nenni ! Aucune obligation chiffrée ne figure dans le pacte. Pierre Gattaz a toujours rejeté cette idée avec virulence. Une chance pour lui puisque de nombreuses branches ne sont toujours pas parvenues à un accord sur les contreparties en termes d’emploi : sur 50, seulement 10 ont finalisé un texte. Lors de la distribution du fameux pin’s, le Medef ne s’est jamais engagé seul sur la voie de la promesse, laissant la responsabilité d’un échec aux autres, au gouvernement ou bien aux syndicats. Vieille lune "L’ambition que nous vous proposons, c’est de créer un million d’emplois en cinq ans", écrivait Pierre Gattaz en octobre 2013 à ses adhérents. Dès ce moment, la donne était pourtant claire : ce serait un million d’emplois créés dans et par les entreprises, si… Si le gouvernement levait les freins à l’embauche. Si les syndicats regardaient les choses avec courage. Une manière d’induire que le Medef voudrait bien mais qu’il ne peut point, que ce sont les autres qui l’en empêchent. La preuve ? Les baisses de charges pour les entreprises ne sont pas suffisantes, assure Pierre Gattaz. C’est pour cela que les patrons ne peuvent pas embaucher. Le Medef réclamait 100 milliards de baisse des prélèvements et estime que le pacte de responsabilité représente 40 milliards seulement. Alors ? 6818 Pierre Gattaz fait ses comptes : "200.000 emplois à cinq ans, peut-être". Se gardant bien de faire une promesse. Louis Morice
|
|
Il est bien évident que les 80 milliards d’euros d’évasion fiscale dont souffre notre pays chaque année est plus le fait de gens ayant énormément d’argent, notamment certains membres du patronat, tout comme les 20 milliards d’euros de travail non déclaré. Ces gens sont en train de ruiner la France, et ils le savent. Avec la complicité des banques et de leurs établissements installés dans des pays complices. Complices les politiciens aussi, comme le président de la commission européenne et ancien premier ministre luxembourgeois, Junker, paradis fiscal où bon nombre de groupes présents en europe planquent leur chiffre d’affaire afin d’échapper à l’impôt..
|
|
Je ne peux pas écrire ici les noms d'oiseaux qui me viennent à l'esprit quand je vois le sourire narquois de M. Gattaz, mon commentaire ne passerait pas. Il y beaucoup de vérités dans les commentaires. C'est vrai que le patronat a massivement licencié dés le lendemain de l'élection de François Hollande, avant même qu'il ait entrepris quel-qu'action que ce soit (et que les embauches reprendront aussi rapidement au lendemain du retour de la droite). ( ça, c'est moins sûr) C'est vrai aussi que les exigences des actionnaires plombent les entreprises alors qu'on taxe toujours plus ceux qui n'ont pas droit à cette manne. Mais il faut bien reconnaître que le patron des patrons a beau jeu d'en demander toujours plus avec en face de lui un président qui passe son temps à reculer et à lui cirer les pompes... sans retour positif. L'embellie, grâce à ces deux là, c'est comme l'horizon, elle recule au fur et à mesure qu'on avance.
|
|
le film préféré de Gattaz? " Prends l'oseille et tire toi " ... oui aux réductions de charges oui au chèque CICE. mais pour les créations d'emploi, c est " circulez ya rien à voir " . .. Quelles ont été les répercussions du milliard du C I C E ?
|
|
http://www.liberation.fr/france/2016/01/19/plan-d-urgence-sur-l-emploi-gattaz-redoute-la-pasteurisation-des-bonnes-intentions_1427417 Plan d'urgence sur l'emploi : Gattaz redoute la «pasteurisation des bonnes intentions» Par Nathalie Raulin — 19 janvier 2016 Le patron des patrons s'est gardé d'accueillir avec trop d'enthousiasme les annonces de Hollande sur l'emploi Pour un peu, Pierre Gattaz l’aurait applaudi. En écoutant le chef de l’Etat présenter son plan d’urgence pour l’emploi à la tribune du Conseil économique social et environnemental (Cese), le patron des patrons a mesuré à quel point le lobbying actif du Medef ces dernières années était payant. Mardi devant la presse, c’est pourtant bien plus à ses non-dits qu’à ses louanges que se mesurait sa satisfaction. Du discours de François Hollande, Pierre Gattaz retient surtout un diagnostic élyséen «bon, intéressant, pragmatique». «Le Président a parlé de mutations vertigineuses, réhabilité la valeur travail, valorisé l’entrepreneuriat», dit Gattaz. «Pour la première fois, j’ai entendu un chef de l’Etat parler de notre modèle économique et social. Economique, le mot a été prononcé alors que l’on souffre d’un modèle social hors sol depuis des années.» En dépit de «mesures qui vont dans le bon sens», la suite pourtant l’a laissé sur sa faim. C’est du moins ce que Pierre Gattaz veut que l’on retienne. Litanie de récriminations Histoire de lever tout doute, le patron des patrons entonne la litanie de ses récriminations : il dit sa «grande déception» devant l’absence d'«amélioration» du contrat de travail alors même que l’Espagne fait désormais de la baisse prolongée du chiffre d’affaires un motif de licenciement et que l’Italie a porté à trois ans la période d’essai pour un CDI. «Notre contrat de travail est encore anxiogène», insiste Gattaz, qui sait pourtant depuis l’automne l’exécutif fermé à cette exigence-là. Il enchaîne avec cette exaspérante histoire de prime à l’emploi (2 000 euros par an correspondant au reliquat de cotisations encore payées par les entreprises en deçà de 1,3 fois le Smic). «On n’est pas des chasseurs de prime !» s’agace-t-il, tout s’empressant d’ajouter qu’il «la souhaite quand même»… Mais pour le patron du Medef, l’objectif ne sera atteint que quand les diverses primes (y compris celles liées au CICE), par nature «aléatoires», seront transformées en baisse de charges «lisibles» et «pérennes». Même si lundi François Hollande a promis que ce serait chose faite en 2017, maintenir la pression est de bonne politique patronale. Il y a pourtant un sujet de récrimination récurrent du Medef que Gattaz a omis mardi : les 35 heures. A son sourire bonhomme, on comprend que l’assouplissement des règles du temps de travail auxquelles François Hollande a semblé lundi consentir a ouvert d’heureuses perspectives au patronat. «J’attends de voir», confie Pierre Gattaz «La loi Rebsamen à laquelle on croyait a accouché d’une souris. La loi Macron a été pasteurisée à l’Assemblée nationale. Le risque pour la France c’est que les bonnes intentions du Président soient à leur tour pasteurisées. J’espère que l’économique l’emportera sur les petites manœuvres.» Avant de décerner un quelconque satisfecit à l'exécutif, Gattaz veut du concret. Un «calendrier». Mais aussi le «marketing» des mesures «y compris à l’international». «A l’étranger, le french bashing est alimenté par deux choses : les 35 heures et les 75% de surtaxation sur les hauts revenus», explique le PDG de Radiall. «On a beau leur dire que les 75%, c’est fini, ça tourne toujours. Du coup, beaucoup de gens qui aimeraient revenir n&rsquoent pas. Si le gouvernement prend des mesures qui vont dans le bon sens, il faudra qu’il le fasse savoir haut et clair, y compris à l’international.» Nathalie Raulin
|
|
Joseph Thouvenel, vice-président de la CFTC, a ironisé lundi sur les propos du président du Medef, Pierre Gattaz, qui après les annonces de François Hollande sur l'emploi, a confondu saint Thomas, symbolisant le doute, et saint Thomas d'Aquin, théoricien du "juste salaire". Après les voeux du président de la République, qui a annoncé des mesures en faveur de l'emploi, Pierre Gattaz a affirmé : "Nous sommes comme saint Thomas d'Aquin, nous attendons maintenant de voir des mesures concrètes après ces bonnes déclarations d'intention." "Nous nous réjouissons de voir le président du Medef soutenir la voie tracée par saint Thomas d'Aquin au XIIIe siècle, lui qui théorisa sur le juste salaire. Salaire suffisant pour que tout travailleur puisse vivre dignement, lui, sa famille et épargner", affirme Joseph Thouvenel. Le syndicat chrétien "appelle le Medef à passer aux actes".
|
|
toninord (clôturé)
il y a 8 ans
hier a la téle ou debattaient des experts en economie toujours le meme discourt il faut il y a qu'a, il faudrait,regardez les autres pays, un super expert a fait la remarque que 1 ouvriers français = 7 ouvriers bulgares,sous entendu qu'en france les ouvriers sont trop payés et qu'il faudrait aligner leur salaire s a ceux bulgares,mais personne n'as posé cette equations 1 economiste français = 7 economistes bulgares comme quoi avec ces super expert en economie on est pas pres de sortir du trou
|
|
Citation de "toninord"hier a la téle ou debattaient des experts en economie toujours le meme discourt il faut il y a qu'a, il faudrait,regardez les autres pays, un super expert a fait la remarque que 1 ouvriers français = 7 ouvriers bulgares,sous entendu qu'en france les ouvriers sont trop payés et qu'il faudrait aligner leur salaire s a ceux bulgares,mais personne n'as posé cette equations 1 economiste français = 7 economistes bulgares comme quoi avec ces super expert en economie on n'est pas pres de sortir du trou en effet !
|