VINGT GENERAUX ECRIVENT A MACRON ..LA SITUATION EST TRES GRAVE
À l’initiative de Jean-Pierre Fabre-Bernadac, officier de carrière et responsable du site Place Armes, une vingtaine de généraux, une centaine de hauts-gradés et plus d’un millier d’autres militaires ont signé l’appel ci-dessous pour un retour de l’honneur et du devoir au sein de la classe politique.
Monsieur le Président,
Mesdames, Messieurs du gouvernement,
Mesdames, Messieurs les parlementaires,
L’heure est grave, la France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent. Nous qui, même à la retraite, restons des soldats de France, ne pouvons, dans les circonstances actuelles, demeurer indifférents au sort de notre beau pays.
Nos drapeaux tricolores ne sont pas simplement un morceau d’étoffe, ils symbolisent la tradition, à travers les âges, de ceux qui, quelles que soient leurs couleurs de peau ou leurs confessions, ont servi la France et ont donné leur vie pour elle. Sur ces drapeaux, nous trouvons en lettres d’or les mots « Honneur et Patrie ». Or, notre honneur aujourd’hui tient dans la dénonciation du délitement qui frappe notre patrie.
– Délitement qui, à travers un certain antiracisme, s’affiche dans un seul but : créer sur notre sol un mal-être, voire une haine entre les communautés. Aujourd’hui, certains parlent de racialisme, d’indigénisme et de théories décoloniales, mais à travers ces termes c’est la guerre raciale que veulent ces partisans haineux et fanatiques.
Ils méprisent notre pays, ses traditions, sa culture, et veulent le voir se dissoudre en lui arrachant son passé et son histoire. Ainsi s’en prennent-ils, par le biais de statues, à d’anciennes gloires militaires et civiles en analysant des propos vieux de plusieurs siècles.
– Délitement qui, avec l’islamisme et les hordes de banlieue, entraîne le détachement de multiples parcelles de la nation pour les transformer en territoires soumis à des dogmes contraires à notre constitution. Or, chaque Français, quelle que soit sa croyance ou sa non-croyance, est partout chez lui dans l’Hexagone ; il ne peut et ne doit exister aucune ville, aucun quartier où les lois de la République ne s’appliquent pas.
– Délitement, car la haine prend le pas sur la fraternité lors de manifestations où le pouvoir utilise les forces de l’ordre comme agents supplétifs et boucs émissaires face à des Français en gilets jaunes exprimant leurs désespoirs. Ceci alors que des individus infiltrés et encagoulés saccagent des commerces et menacent ces mêmes forces de l’ordre. Pourtant, ces dernières ne font qu’appliquer les directives, parfois contradictoires, données par vous, gouvernants.
Les périls montent, la violence s’accroît de jour en jour. Qui aurait prédit il y a dix ans qu’un professeur serait un jour décapité à la sortie de son collège ? Or, nous, serviteurs de la Nation, qui avons toujours été prêts à mettre notre peau au bout de notre engagement – comme l’exigeait notre état militaire, ne pouvons être devant de tels agissements des spectateurs passifs.
Aussi, ceux qui dirigent notre pays doivent impérativement trouver le courage nécessaire à l’éradication de ces dangers. Pour cela, il suffit souvent d’appliquer sans faiblesse des lois qui existent déjà. N’oubliez pas que, comme nous, une grande majorité de nos concitoyens est excédée par vos louvoiements et vos silences coupables.
Comme le disait le cardinal Mercier, primat de Belgique : « Quand la prudence est partout, le courage n’est nulle part. » Alors, Mesdames, Messieurs, assez d’atermoiements, l’heure est grave, le travail est colossal ; ne perdez pas de temps et sachez que nous sommes disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation.
Par contre, si rien n’est entrepris, le laxisme continuera à se répandre inexorablement dans la société, provoquant au final une explosion et l’intervention de nos camarades d’active dans une mission périlleuse de protection de nos valeurs civilisationnelles et de sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national.
On le voit, il n’est plus temps de tergiverser, sinon, demain la guerre civile mettra un terme à ce chaos croissant, et les morts, dont vous porterez la responsabilité, se compteront par milliers.
Les généraux signataires :
Général de Corps d’Armée (ER) Christian PIQUEMAL (Légion Étrangère), général de Corps d’Armée (2S) Gilles BARRIE (Infanterie), général de Division (2S) François GAUBERT ancien Gouverneur militaire de Lille, général de Division (2S) Emmanuel de RICHOUFFTZ (Infanterie), général de Division (2S) Michel JOSLIN DE NORAY (Troupes de Marine), général de Brigade (2S) André COUSTOU (Infanterie), général de Brigade (2S) Philippe DESROUSSEAUX de MEDRANO (Train), général de Brigade Aérienne (2S) Antoine MARTINEZ (Armée de l’air), général de Brigade Aérienne (2S) Daniel GROSMAIRE (Armée de l’air), général de Brigade (2S) Robert JEANNEROD (Cavalerie), général de Brigade (2S) Pierre Dominique AIGUEPERSE (Infanterie), général de Brigade (2S) Roland DUBOIS (Transmissions), général de Brigade (2S) Dominique DELAWARDE (Infanterie), général de Brigade (2S) Jean Claude GROLIER (Artillerie), général de Brigade (2S) Norbert de CACQUERAY (Direction Générale de l’Armement), général de Brigade (2S) Roger PRIGENT (ALAT), général de Brigade (2S) Alfred LEBRETON (CAT), médecin Général (2S) Guy DURAND (Service de Santé des Armées), contre-amiral (2S) Gérard BALASTRE (Marine Nationale).
NOTE
Nous sommes une immense majorité à apporter notre soutient total et indéfectible à cette armée.
Cette armée qui va peut-être enfin remettre ce gouvernements de tocards dans le droit chemin.
Citation de mr.robert
VINGT GENERAUX ECRIVENT A MACRON ..LA SITUATION EST TRES GRAVE
À l’initiative de Jean-Pierre Fabre-Bernadac, officier de carrière et responsable du site Place Armes, une vingtaine de généraux, une centaine de hauts-gradés et plus d’un millier d’autres militaires ont signé l’appel ci-dessous pour un retour de l’honneur et du devoir au sein de la classe politique.
Monsieur le Président,
Mesdames, Messieurs du gouvernement,
Mesdames, Messieurs les parlementaires,
L’heure est grave, la France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent. Nous qui, même à la retraite, restons des soldats de France, ne pouvons, dans les circonstances actuelles, demeurer indifférents au sort de notre beau pays.
Nos drapeaux tricolores ne sont pas simplement un morceau d’étoffe, ils symbolisent la tradition, à travers les âges, de ceux qui, quelles que soient leurs couleurs de peau ou leurs confessions, ont servi la France et ont donné leur vie pour elle. Sur ces drapeaux, nous trouvons en lettres d’or les mots « Honneur et Patrie ». Or, notre honneur aujourd’hui tient dans la dénonciation du délitement qui frappe notre patrie.
– Délitement qui, à travers un certain antiracisme, s’affiche dans un seul but : créer sur notre sol un mal-être, voire une haine entre les communautés. Aujourd’hui, certains parlent de racialisme, d’indigénisme et de théories décoloniales, mais à travers ces termes c’est la guerre raciale que veulent ces partisans haineux et fanatiques.
Ils méprisent notre pays, ses traditions, sa culture, et veulent le voir se dissoudre en lui arrachant son passé et son histoire. Ainsi s’en prennent-ils, par le biais de statues, à d’anciennes gloires militaires et civiles en analysant des propos vieux de plusieurs siècles.
– Délitement qui, avec l’islamisme et les hordes de banlieue, entraîne le détachement de multiples parcelles de la nation pour les transformer en territoires soumis à des dogmes contraires à notre constitution. Or, chaque Français, quelle que soit sa croyance ou sa non-croyance, est partout chez lui dans l’Hexagone ; il ne peut et ne doit exister aucune ville, aucun quartier où les lois de la République ne s’appliquent pas.
– Délitement, car la haine prend le pas sur la fraternité lors de manifestations où le pouvoir utilise les forces de l’ordre comme agents supplétifs et boucs émissaires face à des Français en gilets jaunes exprimant leurs désespoirs. Ceci alors que des individus infiltrés et encagoulés saccagent des commerces et menacent ces mêmes forces de l’ordre. Pourtant, ces dernières ne font qu’appliquer les directives, parfois contradictoires, données par vous, gouvernants.
Les périls montent, la violence s’accroît de jour en jour. Qui aurait prédit il y a dix ans qu’un professeur serait un jour décapité à la sortie de son collège ? Or, nous, serviteurs de la Nation, qui avons toujours été prêts à mettre notre peau au bout de notre engagement – comme l’exigeait notre état militaire, ne pouvons être devant de tels agissements des spectateurs passifs.
Aussi, ceux qui dirigent notre pays doivent impérativement trouver le courage nécessaire à l’éradication de ces dangers. Pour cela, il suffit souvent d’appliquer sans faiblesse des lois qui existent déjà. N’oubliez pas que, comme nous, une grande majorité de nos concitoyens est excédée par vos louvoiements et vos silences coupables.
Comme le disait le cardinal Mercier, primat de Belgique : « Quand la prudence est partout, le courage n’est nulle part. » Alors, Mesdames, Messieurs, assez d’atermoiements, l’heure est grave, le travail est colossal ; ne perdez pas de temps et sachez que nous sommes disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation.
Par contre, si rien n’est entrepris, le laxisme continuera à se répandre inexorablement dans la société, provoquant au final une explosion et l’intervention de nos camarades d’active dans une mission périlleuse de protection de nos valeurs civilisationnelles et de sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national.
On le voit, il n’est plus temps de tergiverser, sinon, demain la guerre civile mettra un terme à ce chaos croissant, et les morts, dont vous porterez la responsabilité, se compteront par milliers.
Les généraux signataires :
Général de Corps d’Armée (ER) Christian PIQUEMAL (Légion Étrangère), général de Corps d’Armée (2S) Gilles BARRIE (Infanterie), général de Division (2S) François GAUBERT ancien Gouverneur militaire de Lille, général de Division (2S) Emmanuel de RICHOUFFTZ (Infanterie), général de Division (2S) Michel JOSLIN DE NORAY (Troupes de Marine), général de Brigade (2S) André COUSTOU (Infanterie), général de Brigade (2S) Philippe DESROUSSEAUX de MEDRANO (Train), général de Brigade Aérienne (2S) Antoine MARTINEZ (Armée de l’air), général de Brigade Aérienne (2S) Daniel GROSMAIRE (Armée de l’air), général de Brigade (2S) Robert JEANNEROD (Cavalerie), général de Brigade (2S) Pierre Dominique AIGUEPERSE (Infanterie), général de Brigade (2S) Roland DUBOIS (Transmissions), général de Brigade (2S) Dominique DELAWARDE (Infanterie), général de Brigade (2S) Jean Claude GROLIER (Artillerie), général de Brigade (2S) Norbert de CACQUERAY (Direction Générale de l’Armement), général de Brigade (2S) Roger PRIGENT (ALAT), général de Brigade (2S) Alfred LEBRETON (CAT), médecin Général (2S) Guy DURAND (Service de Santé des Armées), contre-amiral (2S) Gérard BALASTRE (Marine Nationale).
NOTE
Nous sommes une immense majorité à apporter notre soutient total et indéfectible à cette armée.
Cette armée qui va peut-être enfin remettre ce gouvernements de tocards dans le droit chemin.
t'as pas honte, BOB l"éponge ??????????????????? et pi bien sûr, la seule personne à leur apporter son soutien, c'est Marine le pen !!!!!!!!!!!!!!! bah tiens !!!!!!!!!!!!! j'espère qu'ils vont être sévèrement punis oui,!!!!!!!!!!!!!!! ces renégats !!!!!!!!ces scélérats !!!!
Modifié il y a 3 ans, le mercredi 28 avril 2021 à 13:25
Citation de mr.robert
VINGT GENERAUX ECRIVENT A MACRON ..LA SITUATION EST TRES GRAVE
À l’initiative de Jean-Pierre Fabre-Bernadac, officier de carrière et responsable du site Place Armes, une vingtaine de généraux, une centaine de hauts-gradés et plus d’un millier d’autres militaires ont signé l’appel ci-dessous pour un retour de l’honneur et du devoir au sein de la classe politique.
Monsieur le Président,
Mesdames, Messieurs du gouvernement,
Mesdames, Messieurs les parlementaires,
L’heure est grave, la France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent. Nous qui, même à la retraite, restons des soldats de France, ne pouvons, dans les circonstances actuelles, demeurer indifférents au sort de notre beau pays.
Nos drapeaux tricolores ne sont pas simplement un morceau d’étoffe, ils symbolisent la tradition, à travers les âges, de ceux qui, quelles que soient leurs couleurs de peau ou leurs confessions, ont servi la France et ont donné leur vie pour elle. Sur ces drapeaux, nous trouvons en lettres d’or les mots « Honneur et Patrie ». Or, notre honneur aujourd’hui tient dans la dénonciation du délitement qui frappe notre patrie.
– Délitement qui, à travers un certain antiracisme, s’affiche dans un seul but : créer sur notre sol un mal-être, voire une haine entre les communautés. Aujourd’hui, certains parlent de racialisme, d’indigénisme et de théories décoloniales, mais à travers ces termes c’est la guerre raciale que veulent ces partisans haineux et fanatiques.
Ils méprisent notre pays, ses traditions, sa culture, et veulent le voir se dissoudre en lui arrachant son passé et son histoire. Ainsi s’en prennent-ils, par le biais de statues, à d’anciennes gloires militaires et civiles en analysant des propos vieux de plusieurs siècles.
– Délitement qui, avec l’islamisme et les hordes de banlieue, entraîne le détachement de multiples parcelles de la nation pour les transformer en territoires soumis à des dogmes contraires à notre constitution. Or, chaque Français, quelle que soit sa croyance ou sa non-croyance, est partout chez lui dans l’Hexagone ; il ne peut et ne doit exister aucune ville, aucun quartier où les lois de la République ne s’appliquent pas.
– Délitement, car la haine prend le pas sur la fraternité lors de manifestations où le pouvoir utilise les forces de l’ordre comme agents supplétifs et boucs émissaires face à des Français en gilets jaunes exprimant leurs désespoirs. Ceci alors que des individus infiltrés et encagoulés saccagent des commerces et menacent ces mêmes forces de l’ordre. Pourtant, ces dernières ne font qu’appliquer les directives, parfois contradictoires, données par vous, gouvernants.
Les périls montent, la violence s’accroît de jour en jour. Qui aurait prédit il y a dix ans qu’un professeur serait un jour décapité à la sortie de son collège ? Or, nous, serviteurs de la Nation, qui avons toujours été prêts à mettre notre peau au bout de notre engagement – comme l’exigeait notre état militaire, ne pouvons être devant de tels agissements des spectateurs passifs.
Aussi, ceux qui dirigent notre pays doivent impérativement trouver le courage nécessaire à l’éradication de ces dangers. Pour cela, il suffit souvent d’appliquer sans faiblesse des lois qui existent déjà. N’oubliez pas que, comme nous, une grande majorité de nos concitoyens est excédée par vos louvoiements et vos silences coupables.
Comme le disait le cardinal Mercier, primat de Belgique : « Quand la prudence est partout, le courage n’est nulle part. » Alors, Mesdames, Messieurs, assez d’atermoiements, l’heure est grave, le travail est colossal ; ne perdez pas de temps et sachez que nous sommes disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation.
Par contre, si rien n’est entrepris, le laxisme continuera à se répandre inexorablement dans la société, provoquant au final une explosion et l’intervention de nos camarades d’active dans une mission périlleuse de protection de nos valeurs civilisationnelles et de sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national.
On le voit, il n’est plus temps de tergiverser, sinon, demain la guerre civile mettra un terme à ce chaos croissant, et les morts, dont vous porterez la responsabilité, se compteront par milliers.
Les généraux signataires :
Général de Corps d’Armée (ER) Christian PIQUEMAL (Légion Étrangère), général de Corps d’Armée (2S) Gilles BARRIE (Infanterie), général de Division (2S) François GAUBERT ancien Gouverneur militaire de Lille, général de Division (2S) Emmanuel de RICHOUFFTZ (Infanterie), général de Division (2S) Michel JOSLIN DE NORAY (Troupes de Marine), général de Brigade (2S) André COUSTOU (Infanterie), général de Brigade (2S) Philippe DESROUSSEAUX de MEDRANO (Train), général de Brigade Aérienne (2S) Antoine MARTINEZ (Armée de l’air), général de Brigade Aérienne (2S) Daniel GROSMAIRE (Armée de l’air), général de Brigade (2S) Robert JEANNEROD (Cavalerie), général de Brigade (2S) Pierre Dominique AIGUEPERSE (Infanterie), général de Brigade (2S) Roland DUBOIS (Transmissions), général de Brigade (2S) Dominique DELAWARDE (Infanterie), général de Brigade (2S) Jean Claude GROLIER (Artillerie), général de Brigade (2S) Norbert de CACQUERAY (Direction Générale de l’Armement), général de Brigade (2S) Roger PRIGENT (ALAT), général de Brigade (2S) Alfred LEBRETON (CAT), médecin Général (2S) Guy DURAND (Service de Santé des Armées), contre-amiral (2S) Gérard BALASTRE (Marine Nationale).
NOTE
Nous sommes une immense majorité à apporter notre soutient total et indéfectible à cette armée.
Cette armée qui va peut-être enfin remettre ce gouvernements de tocards dans le droit chemin.
Tiens, un putschiste ???
Dis tu comptes mettre quoi à la place quand t'auras renversé le gouvernement ???
T'es pour une dictature des colonels (comme en Grèce) ???
Citation de stephanesan1973
Tiens, un putschiste ???
Dis tu comptes mettre quoi à la place quand t'auras renversé le gouvernement ???
T'es pour une dictature des colonels (comme en Grèce) ???
j'me pose une question : bob, il y croit vraiment à ce qu'il dit ???????? il adhère vraiment à ces mouvements, à ces idéaux ????????????? ou bien c'est juste de la provoc ?????????
Citation de stephanesan1973
Tiens, un putschiste ???
Dis tu comptes mettre quoi à la place quand t'auras renversé le gouvernement ???
T'es pour une dictature des colonels (comme en Grèce) ???
NB : mon message ne veut pas dire que je soutiens qui que ce soit ni j'adhère à certaines idées, je fais écho à un mot émis.
Heu... stephane1973, toi qui parle de dictature, dans quelle société vivons nous? Serions-nous en dictature douce ou en profonde démocratie? Pouvons-nous nous exprimer librement ou existe-t-il des outils pour nous faire peur et nous faire taire (via des textes de loi votés par des personnes en déconnexion de la base).
Citation de ventilateur
NB : mon message ne veut pas dire que je soutiens qui que ce soit ni j'adhère à certaines idées, je fais écho à un mot émis.
Heu... stephane1973, toi qui parle de dictature, dans quelle société vivons nous? Serions-nous en dictature douce ou en profonde démocratie? Pouvons-nous nous exprimer librement ou existe-t-il des outils pour nous faire peur et nous faire taire (via des textes de loi votés par des personnes en déconnexion de la base).
Nous sommes dans une fausse démocratie où on ne t'enferme pas, mais par contre on te décridibilise quand tu veux être trop honnête (entre autres choses).
Il existe aussi déjà des outils pour te dire comment penser.
Et puis tu connais l'adage :
- la dictature c'est : fermes ta gueule,
- la démocratie c'est : causes toujours...
Citation de alexinette
tu te rends compte le chat ???????????? comment on peut soutenir de tels mouvements !!!!!!!!!! sont effrayants ces gens comme BOB l'éponge !!!!!!!!!
Je pense que BOB a compris de son côté que je suis ouvertement républicain et pacifiste,
ouvert aux autres cultures,
et que jamais je ne soutiendrai un part antirépublicain, nationaliste et de surcroît imposteur et nourri par des forces racistes.
Je suis pour qu'on garde ce pays avec les mêmes valeurs que m'ont transmis mes grand-parents : des valeurs fraternelles.
Je ne souhaite ni guerre, ni nationalisme illusoire, ni dictature nauséabonde,
Lettre à nos militaires sur l’honneur des gouvernants et des politiques
Messieurs, J’ai lu avec attention la lettre que vous avez adressée au président de la République, aux membres du gouvernement et aux parlementaires. Dénonçant « le délitement qui frappe notre patrie », vous expliquez que celui-ci a pris la forme de trois graves dangers : la haine racialiste qui gangrène la France et dissout sa culture, ses traditions, son histoire ; la soumission qui laisse les islamistes chasser la loi de la République de nombre de nos quartiers ; l’instrumentalisation des forces de l’ordre et de groupuscules cagoulés afin d’étouffer dans la violence le désespoir des gilets jaunes. Tenant « ceux qui dirigent notre pays » pour responsables de ce délitement, vous les appelez à « trouver le courage nécessaire à l’éradication de ces dangers » en « appliquant sans faiblesse les lois qui existent déjà ». C’est la défense de votre « honneur », écrivez-vous, qui a motivé votre appel. Si une large majorité de Français entendent encore ce mot que, collégiens, ils découvrirent en lisant le théâtre de Corneille, pensez-vous qu’il fasse encore partie de l’imaginaire de nos responsables politiques, notamment du premier d’entre eux ? Que signifie, en effet, l’honneur pour un candidat à la présidence de la République qui prétend qu’il n’y a pas de culture française ? Que signifie l’honneur pour un candidat qui, depuis le sol algérien, accuse la France de crimes contre l’humanité ? Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, en Martinique, se laisse enlacer par un jeune homme torse nu tandis qu’un autre, sur la photo, fait un doigt d’honneur qui fera le tour du monde ? Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, la veille du 14 Juillet, humilie publiquement, devant des représentations étrangères et des familles de soldats morts au combat
dans l’année, son chef d’état-major des armées en lui rappelant, avec une morgue déplacée, que c’est lui le chef ? Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, le soir de la fête de la Musique, livre la cour de l’Élysée à un groupe de musiciens dont l’un d’eux arbore, sur son T-shirt, le slogan « fils d’immigrés, noir et pédé » ? Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, sur les marches de la Maison de l’Amérique latine, entouré d’un gouvernement riant à chacun de ses mots, déclare aux députés de sa majorité : « Alexandre Benalla, lui non plus, n’a jamais été mon amant » ? Que signifie l’honneur pour un président de la République qui accorde sa confiance à un ministre qui, après avoir fait la promotion de l’écriture inclusive, envisage de mettre un genou à terre devant des manifestants vociférant leur haine de la France ? Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, tout sourire, se fait photographier au festival de la BD d’Angoulême avec, dans les mains, un T-shirt montrant un chat à l’œil crevé sous lequel sont imprimées les lettres « LBD » ? Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, en pleine crise des gilets jaunes, laisse son administration inaugurer, à l’intérieur de l&rsquoéra Garnier, des pneus de tracteur en or réalisés par un plasticien qui sera poursuivi, un an plus tard, pour pédophilie ? Que signifie l’honneur pour un chef des armées qui, dans la « guerre » qu’il entend conduire contre le coronavirus, montre aux Français qu’il est effectivement le chef ? Et quel chef ! Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, six mois après la décapitation du professeur d’histoire Samuel Paty devant son collège, et quelques jours avant l’assassinat d’une fonctionnaire de police au commissariat de Rambouillet, déclare en anglais, depuis l’Élysée, sur la chaîne CBS, que « nous devons déconstruire notre propre histoire » ? Saluant, Messieurs, votre décision de sortir de dessous le boisseau la question de l’honneur, je vous laisse prendre la mesure, à travers toutes ces interrogations, du difficile « travail sur soi » que vous demandez à nos gouvernants et à nos politiques. Ne serait-il pas plus sûr, pour la France, de ne pas les renouveler en 2022 ?
Citation de full
Lettre à nos militaires sur l’honneur des gouvernants et des politiques
Messieurs, J’ai lu avec attention la lettre que vous avez adressée au président de la République, aux membres du gouvernement et aux parlementaires. Dénonçant « le délitement qui frappe notre patrie », vous expliquez que celui-ci a pris la forme de trois graves dangers : la haine racialiste qui gangrène la France et dissout sa culture, ses traditions, son histoire ; la soumission qui laisse les islamistes chasser la loi de la République de nombre de nos quartiers ; l’instrumentalisation des forces de l’ordre et de groupuscules cagoulés afin d’étouffer dans la violence le désespoir des gilets jaunes. Tenant « ceux qui dirigent notre pays » pour responsables de ce délitement, vous les appelez à « trouver le courage nécessaire à l’éradication de ces dangers » en « appliquant sans faiblesse les lois qui existent déjà ». C’est la défense de votre « honneur », écrivez-vous, qui a motivé votre appel. Si une large majorité de Français entendent encore ce mot que, collégiens, ils découvrirent en lisant le théâtre de Corneille, pensez-vous qu’il fasse encore partie de l’imaginaire de nos responsables politiques, notamment du premier d’entre eux ? Que signifie, en effet, l’honneur pour un candidat à la présidence de la République qui prétend qu’il n’y a pas de culture française ? Que signifie l’honneur pour un candidat qui, depuis le sol algérien, accuse la France de crimes contre l’humanité ? Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, en Martinique, se laisse enlacer par un jeune homme torse nu tandis qu’un autre, sur la photo, fait un doigt d’honneur qui fera le tour du monde ? Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, la veille du 14 Juillet, humilie publiquement, devant des représentations étrangères et des familles de soldats morts au combat
dans l’année, son chef d’état-major des armées en lui rappelant, avec une morgue déplacée, que c’est lui le chef ? Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, le soir de la fête de la Musique, livre la cour de l’Élysée à un groupe de musiciens dont l’un d’eux arbore, sur son T-shirt, le slogan « fils d’immigrés, noir et pédé » ? Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, sur les marches de la Maison de l’Amérique latine, entouré d’un gouvernement riant à chacun de ses mots, déclare aux députés de sa majorité : « Alexandre Benalla, lui non plus, n’a jamais été mon amant » ? Que signifie l’honneur pour un président de la République qui accorde sa confiance à un ministre qui, après avoir fait la promotion de l’écriture inclusive, envisage de mettre un genou à terre devant des manifestants vociférant leur haine de la France ? Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, tout sourire, se fait photographier au festival de la BD d’Angoulême avec, dans les mains, un T-shirt montrant un chat à l’œil crevé sous lequel sont imprimées les lettres « LBD » ? Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, en pleine crise des gilets jaunes, laisse son administration inaugurer, à l’intérieur de l&rsquoéra Garnier, des pneus de tracteur en or réalisés par un plasticien qui sera poursuivi, un an plus tard, pour pédophilie ? Que signifie l’honneur pour un chef des armées qui, dans la « guerre » qu’il entend conduire contre le coronavirus, montre aux Français qu’il est effectivement le chef ? Et quel chef ! Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, six mois après la décapitation du professeur d’histoire Samuel Paty devant son collège, et quelques jours avant l’assassinat d’une fonctionnaire de police au commissariat de Rambouillet, déclare en anglais, depuis l’Élysée, sur la chaîne CBS, que « nous devons déconstruire notre propre histoire » ? Saluant, Messieurs, votre décision de sortir de dessous le boisseau la question de l’honneur, je vous laisse prendre la mesure, à travers toutes ces interrogations, du difficile « travail sur soi » que vous demandez à nos gouvernants et à nos politiques. Ne serait-il pas plus sûr, pour la France, de ne pas les renouveler en 2022 ?
Que signifie l’honneur pour un président de la République qui, six mois après la décapitation du professeur d’histoire Samuel Paty devant son collège, et quelques jours avant l’assassinat d’une fonctionnaire de police au commissariat de Rambouillet, déclare en anglais, depuis l’Élysée, sur la chaîne CBS, que « nous devons déconstruire notre propre histoire » ?
Là en effet, c'est une connerie qui a été dite :on n'a jamais que de la déconstruire, l'histoire... Pour certains Néron est un brave gars qui a été victime de son temps et Robespierre pour d'autres n'a jamais été un monstre mais bien le fondateur de la république... Alors jusqu'où ira la prochaine connerie...
Citation de ventilateur
NB : mon message ne veut pas dire que je soutiens qui que ce soit ni j'adhère à certaines idées, je fais écho à un mot émis.
Heu... stephane1973, toi qui parle de dictature, dans quelle société vivons nous? Serions-nous en dictature douce ou en profonde démocratie? Pouvons-nous nous exprimer librement ou existe-t-il des outils pour nous faire peur et nous faire taire (via des textes de loi votés par des personnes en déconnexion de la base).
Tout à fait, nous vivons en pleine dictature, la république n'existe plus
En république, le peuple est roi, je le rappelle et les gouvernants sont les domestiques
Des exemples ? Il y en a tous les jours
A t'on tenu compte des gilets jaunes ? Non, pire, on leur a tapé dessus
La censure qui sévit partout
Une dictature sanitaire, éthique...
Lois et décrets totalitaires qui amenuisent nos libertés
Ils diminuent les aides sociales et augmentent les impôts
Ils vont lancer une surveillance généralisée sur le net pour traquer les gens qui donnent leur avis : on ne pourra plus critiquer le système sans en subir les conséquences