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loreen78 (clôturé)
il y a 5 ans
Citation de morganna
Mais en quoi est ce trop, comment quantifier ou quotifier ce trop.
Les limites étant malléables, quel est le point de nn retour.
Certes on vit avec, on s'en arrange. Mais si l'on s'en arrange, ce n'est plus du trop mais du assez
vraiment trop, c'est peut-être quand on arrive au stade où le cerveau refoule certains souvenirs, les occulte carrément, parce qu'ils ont un caractère insupportable.
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cecil28 (clôturé)
il y a 5 ans
Citation de morganna
A partir de quel moment le concept "trop" s'impose-t-il à la raison ?
Trop d attente, trop de fatigue, trop de couleurs, trop de bruit, trop de conneries,trop cool, trop incroyable, etc.....
C est certes une question de temps.
La raison engageant la patience pour supporter les situations.
Mais a quel moment, sous quel mécanisme, selon vous, le cerveau decide-t-il que " trop, c est trop".?
Bonjour morganna !
Quand ça déborde ..au même titre que le pas assez ...l'excès dans un sens ou l'autre ..que ça entraîne de la souffrance , là faut réguler , ajouter ou retirer , et surtout dire , le dire ..bonne fête
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Citation de loreen78
vraiment trop, c'est peut-être quand on arrive au stade où le cerveau refoule certains souvenirs, les occulte carrément, parce qu'ils ont un caractère insupportable.
Une espèce d'amnésie partielle sélective.
L'amnésie rétrograde serait une bonne solution, permettant de ne capter consciemment puis inconsciemment que le bon au lieu du mauvais, effaçant les limites du trop primaire.
Pourrait-on pousser à l'alzheimer, la solution équilibrée pour éviter de toucher les limites du trop ?
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Citation de cecil28
Bonjour morganna !
Quand ça déborde ..au même titre que le pas assez ...l'excès dans un sens ou l'autre ..que ça entraîne de la souffrance , là faut réguler , ajouter ou retirer , et surtout dire , le dire ..bonne fête
Bonnes fêtes de fin d année également, Cecil.
La souffrance amenant une pulsion à se booster ou se réfréner.
Si l'on part dans les extrêmes, ce sera la naissance des psychoses et des pathologies. Le fait d'en parler n'étant pas toujours évident à déceler.
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Citation de morganna
A partir de quel moment le concept "trop" s'impose-t-il à la raison ?
Trop d attente, trop de fatigue, trop de couleurs, trop de bruit, trop de conneries,trop cool, trop incroyable, etc.....
C est certes une question de temps.
La raison engageant la patience pour supporter les situations.
Mais a quel moment, sous quel mécanisme, selon vous, le cerveau decide-t-il que " trop, c est trop".?
Quand ça sort de intervalle de normalité que ton cerveau a calculé ?
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cecil28 (clôturé)
il y a 5 ans
Citation de morganna
Bonnes fêtes de fin d année également, Cecil.
La souffrance amenant une pulsion à se booster ou se réfréner.
Si l'on part dans les extrêmes, ce sera la naissance des psychoses et des pathologies. Le fait d'en parler n'étant pas toujours évident à déceler.
Bonjour morganna !
" La souffrance amenant une pulsion à se booster ou se réfréner. "
Oui , c'est ça , si on arrive à l'entendre , on peut éviter les extrêmes ..après , tout dépend de quoi il s'agit ..Il est vrai que le dire ne suffit pas toujours ..
Mais , dans certains cas ou plutôt situations , l'insupportable peut être relégué car on est pris dans des peurs nous empêchant de voir les solutions et on cristallise que le ou les problèmes ..
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cecil28 (clôturé)
il y a 5 ans
Citation de brahim2018
Quand ça sort de intervalle de normalité que ton cerveau a calculé ?
J'aime bien cette réponse ..bonjour bahim !
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Citation de cecil28
J'aime bien cette réponse ..bonjour bahim !
ahah Merci ,Merci ^^
Bonjour
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Citation de brahim2018
Quand ça sort de intervalle de normalité que ton cerveau a calculé ?
La normalité étant imposée inconsciemment et consciemment par l'éducation de l'enfant et l'environnement évolutif,
se limiter à ses critères de limitation en sphère normalité ne serait-il pas un facteur frein à l'individualisation et à l'imagination ?
Modifié il y a 5 ans, le mercredi 26 décembre 2018 à 18:19
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Citation de morganna
La normalité étant imposée inconsciemment et consciemment par l'éducation de l'enfant et l'environnement évolutif,
se limiter à ses critères de limitation en sphère normalité ne serait-il pas un facteur frein à l'individualisation et à l'imagination ?
je n'ai pas éliminé ses 2 facteurs madame , le cerveau peut se baser sur ces critères pour déterminer ses valeurs ! Mais on peut pas expliquer le fonctionnement de cerveau seulement par l'éducation et l'environnement , parce qu'il y a des cas où tu trouves 2 frères qui ont eu la même éducation qui ont grandis dans le même environnement mais ils ont 2 mentalité différentes !
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Citation de brahim2018
je n'ai pas éliminé ses 2 facteurs madame , le cerveau peut se baser sur ces critères pour déterminer ses valeurs ! Mais on peut pas expliquer le fonctionnement de cerveau seulement par l'éducation et l'environnement , parce qu'il y a des cas où tu trouves 2 frères qui ont eu la même éducation qui ont grandis dans le même environnement mais ils ont 2 mentalité différentes !
Je n'ai pas dit que tu les avais éliminés.
J ai émis une question hypothétique du frein au développement.
Vu que tu supposais un trop une fois que la normalité n'est plus.
Et ce n'est pas le fonctionnement du cerveau qui est expliqué par l environnement et l'éducation mais les normes de normalité.
On tient nos "bases" de l'éducation parentale, scolaire et sociale.
Ce qui est normal pour toi ne sera pas forcément normal pour moi.
Les bases chez tes 2 frères seront par contre les mêmes, pouvant sensiblement évoluer de par l'environnement qu'ils cotoyeront en quittant le nid familial primaire.
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Citation de morganna
Je n'ai pas dit que tu les avais éliminés.
J ai émis une question hypothétique du frein au développement.
Vu que tu supposais un trop une fois que la normalité n'est plus.
Et ce n'est pas le fonctionnement du cerveau qui est expliqué par l environnement et l'éducation mais les normes de normalité.
On tient nos "bases" de l'éducation parentale, scolaire et sociale.
Ce qui est normal pour toi ne sera pas forcément normal pour moi.
Les bases chez tes 2 frères seront par contre les mêmes, pouvant sensiblement évoluer de par l'environnement qu'ils cotoyeront en quittant le nid familial primaire.
ce sont pas mes deux frères lol j'ai donné juste un exemple qu'on croise souvent dans la vie !
Quand même il n' y a pas que le milieu extérieur qui détermine nos normes : par exemples les goûts , l'appétit , la sensibilité , et se basant sur ça tu peux ajouter tout les autres parties ..... , ça c'est du à l'âme soit à l'ADN
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La normalité tient toujours à la concomitance entre le sujet et ce qui l'entoure.
le critère d'adéquation suffit à définir notre niveau de normalité.
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