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A partir de quel moment le concept "trop" s'impose-t-il à la raison ?
Trop d attente, trop de fatigue, trop de couleurs, trop de bruit, trop de conneries,trop cool, trop incroyable, etc.....
C est certes une question de temps.
La raison engageant la patience pour supporter les situations.
Mais a quel moment, sous quel mécanisme, selon vous, le cerveau decide-t-il que " trop, c est trop".?
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Voyons voir ... lorsque nos limites d'acceptation sont dépassées
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Bonjour,
Au risque de dire une banalité, quand nous ne pouvons plus supporter ce "trop" !
Mais chacun à son seuil de tolérance, d'acceptation, de résistance.
Et, souvent, face au "trop", on se rend compte qu'on a des ressources insoupçonnées pour affronter et surmonter ce qu'on croyait "trop" ! Heureusement !
Mais, personne n'est à l'abri de craquer .... et de dire "ça suffit" , mon seuil de tolérance est arrivé au terme de ce que je peux accepter, assumer et d'ouvrir la soupape de décompression !
Modifié il y a 6 ans, le mercredi 12 décembre 2018 à 11:43
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Bonjour.
Quand le trop est un manque
Top petit
Trop tôt
Trop pauvre
Trop froid
Trop malade
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à mon avis le moment où on ressent le "trop" n'est pas prévisible
par ex. on est à un dîner festif, on est un peu gai, et puis tt à coup on se rend compte que le verre qu'on vient de boire était celui de "trop"
il m'est arrivé, car j'adore la déconne, de céder à l'excitation et de charger la barque et puis je me dis, après, que là je suis allé "trop" loin et dans ce cas je n'ai pas d'hésitation à m'excuser
mais donc je crois que dire "là ce serait trop" c'est du raisonnement mais dans le vécu le "trop" se découvre après coup
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kikoditca (clôturé)
il y a 6 ans
Bonjour Morganna
Seules tes interventions suscitent, ici, mon intérêt …
Trois réflexions de Romain Gary me semblent pouvoir éclairer ton sujet :
« J’ai connu tant de femmes, dans ma vie, que j'ai pour ainsi dire … Toujours été seul ….
… TROP … C'EST PERSONNE . »
« Le trucage, il y en a marre. J'ai parfois l'impression que l'on vit dans un film doublé …
Et que tout le monde remue les lèvres, mais ça ne correspond pas aux paroles.
On est tous post synchronisés et parfois, c’est très bien fait …
… ON CROIT QUE C’EST NATUREL …
« L’HOMME SANS MYTHOLOGIE DE L’HOMME … C’EST DE LA BARBAQUE … »
En préambule, je pense sincèrement, que l’homme est mieux adapté ...
... AU PAS ASSEZ … ... QU’AU TROP …
(Humour « Vieille France » : Il m’arrivait d’hésiter entre deux programmes, quand il n’y avait que six chaînes. Aujourd’hui, qu’il y en a 660, j’ai sincèrement du mal à trouver un seul programme … Qui en dehors des RE RE REDIFFUSIONS, me donne réellement envie d’appuyer sur le bouton.)
LE PAS ASSEZ ... L'homme le connaît. Depuis le temps des premières grottes ...
... Où il tâchait de survivre tant bien que mal, d’inventer la maîtrise du feu ,des outils élémentaires de survie et son irrépressible envie de dessiner des mammouths sur les parois …
LE TROP EST SON INCONTESTABLE POISON …
TROP D&rsquoULENCES …
TROP D’ILLUSOIRES OMNIPOTENCES …
TROP DE PAROLES … … TROP DE MOYENS DE LES DIFFUSER … … TROP DE FAÇONS DE DISSIMULER SON INCURIE AVEC DES MOTS JOLIS … … TROP DE FAÇONS DE MENTIR ! ! ! … … EN FAISANT LE BON ET LE BEAU …
LES MOTS, QUI ONT ETE TRES LONGTEMPS LES MEILLEURS AMIS DE L’HOMME… … SONT DEVENUS SES PIRES ENNEMIS ! ! ! …
TOUTES LES CRAPULES, DIVERSES ET VARIEES ONT APPRIS ET TRES BIEN APPRIS A S’Y DISSIMULER.
LES ANCIENS MOTS LUMIERES SONT DEVENUS DES REPERES DE FAUSSAIRES ! ! !
À tel point que le langage qui était à l’origine notre bien le plus précieux … est à ce point devenu suspect, que le moindre sincère pourrait apparaître comme un menteur…
VOILA, A MES YEUX… : « CE QUI EST TROP »
Modifié il y a 6 ans, le mercredi 12 décembre 2018 à 14:33
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Citation de morganna
A partir de quel moment le concept "trop" s'impose-t-il à la raison ?
Trop d attente, trop de fatigue, trop de couleurs, trop de bruit, trop de conneries,trop cool, trop incroyable, etc.....
C est certes une question de temps.
La raison engageant la patience pour supporter les situations.
Mais a quel moment, sous quel mécanisme, selon vous, le cerveau decide-t-il que " trop, c est trop".?
Bonjour Mademoiselle,
Poètesse et philosophe ?
Intéressant...
TROP peut être même ?
Dans tous les cas, merci à toi
de nous faire un peu réflechir :=)
La subjectivité du trop
M'amène à de la circonspection,
lors de cette intervention.
Mieux vaut ne pas aller au galop !
Le cerveau estime que c'est trop quand c'est trop.
Le seuil du trop étant relatif à chacun,
difficile de l'apprécier avec justesse.
De plus, en fonction de facteurs externes (climat, pression, ensoillemment (liste non exhautive)),
De notre état physique et psychique (facteurs internes ?) à un moment donné
Fait osciller ce seuil
Ou pas ?
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Citation de melodieuse
Voyons voir ... lorsque nos limites d'acceptation sont dépassées
Bonjour...
Certes lorsque l'acceptation est dépassée.
Mais les limites sont malléables, un jour influencées par tel état d'esprit, un autre par tel état physique, etc.
Et lorsque l'on se met en retrait, elles sont encore différentes.
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Citation de iseult
Bonjour,
Au risque de dire une banalité, quand nous ne pouvons plus supporter ce "trop" !
Mais chacun à son seuil de tolérance, d'acceptation, de résistance.
Et, souvent, face au "trop", on se rend compte qu'on a des ressources insoupçonnées pour affronter et surmonter ce qu'on croyait "trop" ! Heureusement !
Mais, personne n'est à l'abri de craquer .... et de dire "ça suffit" , mon seuil de tolérance est arrivé au terme de ce que je peux accepter, assumer et d'ouvrir la soupape de décompression !
Bonjour,
J irais jusqu'à dire que le "cracking" général, le burn out à l'extrême, arrive même avant que l'esprit ne puisse synthétiser la pensée du "ça suffit".
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Citation de blonq
Bonjour.
Quand le trop est un manque
Top petit
Trop tôt
Trop pauvre
Trop froid
Trop malade
Bien le bonjour
L'être serait il un éternel insatisfait ?
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Citation de anciensargelchaton
à mon avis le moment où on ressent le "trop" n'est pas prévisible
par ex. on est à un dîner festif, on est un peu gai, et puis tt à coup on se rend compte que le verre qu'on vient de boire était celui de "trop"
il m'est arrivé, car j'adore la déconne, de céder à l'excitation et de charger la barque et puis je me dis, après, que là je suis allé "trop" loin et dans ce cas je n'ai pas d'hésitation à m'excuser
mais donc je crois que dire "là ce serait trop" c'est du raisonnement mais dans le vécu le "trop" se découvre après coup
Possible oui, les limites d'acceptation sont abolies par le cerveau, laissant libre cours au physique.
Ton cerveau n avait il pourtant pas émis un mécanisme en t envoyant juste avant le "trop", un message d'auto protection que tu as, consciemment ou non, mis de côté afin de céder à la tentation, repoussant ainsi tes limites d acceptation ?
La tentation est elle plus 'forte' que le trop ?
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Citation de kikoditca
Bonjour Morganna
Seules tes interventions suscitent, ici, mon intérêt …
Trois réflexions de Romain Gary me semblent pouvoir éclairer ton sujet :
« J’ai connu tant de femmes, dans ma vie, que j'ai pour ainsi dire … Toujours été seul ….
… TROP … C'EST PERSONNE . »
« Le trucage, il y en a marre. J'ai parfois l'impression que l'on vit dans un film doublé …
Et que tout le monde remue les lèvres, mais ça ne correspond pas aux paroles.
On est tous post synchronisés et parfois, c’est très bien fait …
… ON CROIT QUE C’EST NATUREL …
« L’HOMME SANS MYTHOLOGIE DE L’HOMME … C’EST DE LA BARBAQUE … »
En préambule, je pense sincèrement, que l’homme est mieux adapté ...
... AU PAS ASSEZ … ... QU’AU TROP …
(Humour « Vieille France » : Il m’arrivait d’hésiter entre deux programmes, quand il n’y avait que six chaînes. Aujourd’hui, qu’il y en a 660, j’ai sincèrement du mal à trouver un seul programme … Qui en dehors des RE RE REDIFFUSIONS, me donne réellement envie d’appuyer sur le bouton.)
LE PAS ASSEZ ... L'homme le connaît. Depuis le temps des premières grottes ...
... Où il tâchait de survivre tant bien que mal, d’inventer la maîtrise du feu ,des outils élémentaires de survie et son irrépressible envie de dessiner des mammouths sur les parois …
LE TROP EST SON INCONTESTABLE POISON …
TROP D&rsquoULENCES …
TROP D’ILLUSOIRES OMNIPOTENCES …
TROP DE PAROLES … … TROP DE MOYENS DE LES DIFFUSER … … TROP DE FAÇONS DE DISSIMULER SON INCURIE AVEC DES MOTS JOLIS … … TROP DE FAÇONS DE MENTIR ! ! ! … … EN FAISANT LE BON ET LE BEAU …
LES MOTS, QUI ONT ETE TRES LONGTEMPS LES MEILLEURS AMIS DE L’HOMME… … SONT DEVENUS SES PIRES ENNEMIS ! ! ! …
TOUTES LES CRAPULES, DIVERSES ET VARIEES ONT APPRIS ET TRES BIEN APPRIS A S’Y DISSIMULER.
LES ANCIENS MOTS LUMIERES SONT DEVENUS DES REPERES DE FAUSSAIRES ! ! !
À tel point que le langage qui était à l’origine notre bien le plus précieux … est à ce point devenu suspect, que le moindre sincère pourrait apparaître comme un menteur…
VOILA, A MES YEUX… : « CE QUI EST TROP »
Là je suis d'accord, le trop est l'ennemi du bien.
Le pas assez amenant à la conscience du bien.
L'homme ne rend compte de ses possessions psy et phy, relationnelles, que lorsqu'il est capable d'en absorber la quintessence. D'apprendre et de comprendre.
Le surplus n'amenant pas spécialement une saturation mais un détachement du détail.
L'ennui, c est que l'homme, en général, se complaît dans l'opulence.
Le surplus nous suit à chaque instant. Nous talonne et nous reviens avec le pas assez.
Sommes nous dès lors encore capables de nous détacher afin de ne plus sentir le "trop" ou restons nous dans cercle vicieux du trop / pas assez ?
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Citation de vyseee
Bonjour Mademoiselle,
Poètesse et philosophe ?
Intéressant...
TROP peut être même ?
Dans tous les cas, merci à toi
de nous faire un peu réflechir :=)
La subjectivité du trop
M'amène à de la circonspection,
lors de cette intervention.
Mieux vaut ne pas aller au galop !
Le cerveau estime que c'est trop quand c'est trop.
Le seuil du trop étant relatif à chacun,
difficile de l'apprécier avec justesse.
De plus, en fonction de facteurs externes (climat, pression, ensoillemment (liste non exhautive)),
De notre état physique et psychique (facteurs internes ?) à un moment donné
Fait osciller ce seuil
Ou pas ?
Poète, philosophe et bien d autres...
Je suis trop tout..... Chuuuutt..
Les limites de tolérance sont malléables oui, voire abolissables.
Est il possible en prenant cela en compte, de changer radicalement ses acceptations ?
Ou est ce un leurre que nous imposons à la pensée afin de nous adapter aux situations...
Le trop étant ou bien inné ou bien façonné de par l'expérience ?
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Citation de morganna
Bonjour,
J irais jusqu'à dire que le "cracking" général, le burn out à l'extrême, arrive même avant que l'esprit ne puisse synthétiser la pensée du "ça suffit".
Bonjour,
Moi, je dirais que le burn out arrive quand on a trop "supporté" le "ça suffit" et qu'il ne faut pas attendre cet extrême avant de réagir .... si l'on s'en rend compte car, malheureusement, il est souvent trop tard ; ledit burn out s'immisçant petit à petit insidieusement sans que l'on en prenne conscience !
Modifié il y a 6 ans, le vendredi 14 décembre 2018 à 11:10
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Citation de morganna
Possible oui, les limites d'acceptation sont abolies par le cerveau, laissant libre cours au physique.
Ton cerveau n avait il pourtant pas émis un mécanisme en t envoyant juste avant le "trop", un message d'auto protection que tu as, consciemment ou non, mis de côté afin de céder à la tentation, repoussant ainsi tes limites d acceptation ?
La tentation est elle plus 'forte' que le trop ?
oui, je suis assez de ton avis: quand on va dans le "trop" il y a eu en général un petit signal d'alarme, sans doute ce qu'on appelle La voix de la raison, mais la tentation, ou disons l'excitation, est la + forte
de même que dans les prémisses de l'amour physique il y a un seuil au-delà duquel on ne peut plus dire "Bon on s'arrête là", le besoin d'aller jusqu'au bout est + fort
et il faut reconnaître que souvent céder à la tentation est drôlement bon, quel que soit le domaine!
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