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Citation de "vyseee"Citation de "suquet"
Le tri individuels des déchets, le changement de comportements à titre individuel, la prise de conscience certes mais les plus gros pollueurs sont les industriels et ce, au niveau mondial.
Avoir des comportements plus écologiques n'apportera pas LA solution pour notre planète.
Nicolas Hulot l'a un jour expliqué sans pratiquer la langue de bois et j'ai apprécié qu'il ait enfin dit : "il faut arrêter de culpabiliser les gens car les responsables sont les industries et les usines".
En effet, le comportement individuel n'apporte pas La Solution pour notre planète comme tu dis
Mais faut il dans ce cas s'en laver les mains et se dire un traditionnel " Bah même si je change moi c'est pas ça qui va faire changer les choses" ?
Pour ma part, la question n'est pas là dans puisque ma conscience m'interdit d'agir autrement !
Les industries étant dirigés par des personnes physiques ; si le comportement individuel de ces personnes changeait est ce que ça n'amènerait à un changement à plus grande échelle ?
Je pense aussi qu'elles répondent à une demande (la nôtre) et que leur raison d'être est financière.
Dans le cas hypothétique où pour gagner plus d'argent elles devaient répondre à des critères plus écologiques, ne seraient elles pas alors plus enclin à préserver notre chère planète ?
Si .. à condition qu'elles ne fassent pas seulement semblant d'être écolo ....
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que devient le plastique de nos bouteilles ?  surtout, ne pas les jeter au sol !
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le coton ! Rien de plus précieux .. car cela nécessite beaucoup d'eau, énormément d'eau .. et que celle-ci devient rare .., du moins comme eau potable.
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Est-ce que tout le monde prend soin de porter au recyclage (bornes dans les magasins), les piles usagées ?
( moi, oui, ainsi que les ampoules électriques )
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http://www.haute-loire-paysanne.fr/public/index.php?a=article&codeArticle=DFMC8NXJ&ca=VZFGX0CXJFYHRVGGI1N9&cn=11Y1GV0V
Fruits rouges : Le GIE des producteurs de fruits rouges vient d’ouvrir un point de vente à Pouzols
Le GIE des producteurs de fruits rouges des Monts du Velay détient désormais un point de vente à Pouzols (St Jeures). Visite du magasin et le point sur la campagne 2015.
Depuis quelques semaines, nous sommes entrés dans la saison de production et de commercialisation des perles rouges des Monts du Velay.
A l&rsquo casion du lancement de la campagne 2015, qui s’annonce plutôt belle, le GIE des producteurs de fruits rouges des Monts du Velay a ouvert un magasin installé sur le site du GIE, à Pouzols sur la commune de St Jeures.
Ce point de vente directe d’une surface de 45 m2 commercialise les petits fruits rouges frais et transformés des producteurs adhérents au GIE.
A côté des barquettes et plateaux de fraises, framboises, mûres, myrtilles..., des coulis, sirops, confitures..., les rayons du magasin font une place aux produits locaux du secteur, comme la bière du Mazet St Voy (la Lize) ou le miel de St Jeures, ainsi qu’à l’un des produits phares de notre département, la Lentille Verte du Puy.
C’est grâce à un agrandissement de 300 m2 des locaux du GIE que ce projet de magasin a pu voir le jour.
L’équipe du GIE s’est étoffée. Le groupement emploie désormais 3,5 salariés : Denis Chirouze, directeur, Camille Chirouze, commerciale, Florence Assezat, technicienne et Myriam Meunier, secrétaire comptable ; l’agrandissement aura donc permis d’accorder plus de surfaces aux bureaux et de créer un espace dédié à la vente.
Ouverture : juillet-août
«Chaque année, de nombreuses personnes venaient directement au GIE pour acheter des fruits. Or, nous n’avions pas de local spécifique pour les accueillir correctement. C’est la raison pour laquelle nous avons décidé de créer une surface de vente avec une saisonnière en charge de l’accueil-vente».
Ouvert depuis quelques jours seulement, ce point de vente ne sera ouvert que deux mois dans l’année, en juillet et en août, la période où le GIE enregistre le plus de demandes.
Cette année, le magasin sera ouvert du lundi au vendredi (10h-12h et 15h-17h30) et le samedi (10h à 12h).
Saison test
Les plages d’ouverture du magasin et la gamme de produits seront certainement amenées à évoluer en fonction de la demande. Pour le GIE, c’est donc une saison test.
Véronique Gruber
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http://www.ladepeche.fr/article/2015/07/10/2141607-secheresse-agriculteurs-et-particuliers-concernes-par-les-restrictions-d-eau.html
Sécheresse : agriculteurs et particuliers concernés par les restrictions d'eau
Publié le 10/07/2015
Environnement
L'arrosage des jardins est interdit dans certains départements de la région./Photo DDM
La sécheresse qui frappe la région vient de conduire les préfectures du Lot, du Tarn-et-Garonne et du Tarn a décider de restrictions d'eau. Le monde agricole, comme les particuliers sont concernés.
Les cours d'eau et la nappe phréatique de Midi-Pyrénées se tarissent chaque jour un peu plus. «Pourtant, la fonte des neiges a été conséquente et les pluies de juin plutôt bonnes globalement», souligne l'un des membres de la Direction régionale de l'environnement, de l'Aménagement et du logement (DREAL) de cette région.
Mais, la vague de fortes chaleurs qui sévit depuis la deuxième quinzaine de juin a changé la donne.
«Nous avons eu le vent chaud du Sahara et à présent c'est l'anticyclone des Açores, très puissant, qui s'est installé», explique Corinne Mithiex, directrice de la station Météo France de Toulouse-Blagnac.
Aujourd'hui la situation est devenue critique. L'assèchement des réserves en eau a conduit les préfectures du Tarn, Tarn-et-Garonne et du Lot à prendre des mesures de restriction.
La situation va se tendre
Ainsi, le prélèvement d'eau pour l'agriculture est partiellement interdit (autorisé seulement quelques heures par jour) dans la plupart des cours d'eau de ces départements, exception faite pour certaines cultures.
Dans le Tarn, ces restrictions touchent aussi les particuliers des communes d'Escoussens, Navès, de Saïx et de Sémalens qui se voient interdire «le remplissage complet des piscines, le lavage des véhicules en dehors d'une station, le nettoyage des terrasses et des façades ne faisant pas l'objet de travaux, d'arrosage des espaces verts, la remise à niveau diurne des piscines».
D'autres départements de la région, comme la Haute-Garonne, pourraient à leur tour être frappés par les restrictions dans les jours qui viennent.
«C'est bien la preuve qu'il y a besoin de construire des retenues d'eau dans plusieurs secteurs», soutient un maïsiculteur du Tarn (lire ci-dessous).
«Malheureusement, la situation devrait encore être plus tendue avec la remontée du thermomètre et l'absence de pluie significative avant une quinzaine de jours», prévient Corinne Mithiex.
La faune et la flore de plusieurs cours d'eau seraient déjà mises à mal dans plusieurs départements.
Plusieurs autres régions, à l'instar de Languedoc-Roussillon, vivent un épisode similaire à Midi-Pyrénées.
Une situation courante
Cet épisode de forte chaleur et de sécheresse «n'a rien d'exceptionnelle», souligne Météo France.
Chaque été, en effet, des restrictions d'eau sont prises dans la région Midi-Pyrénées. Seulement, celles-ci surviennent un peu plus tôt que d'habitude même si cela s'est déjà produit en juillet. Il faut dire que l'agriculture, particulièrement le maïs, très «vorace» en eau, a sollicité davantage la ressource en raison de la canicule.
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http://www.lemonde.fr/biodiversite/article/2015/02/19/en-australie-l-inexorable-disparition-des-mammiferes_4579682_1652692.html
En Australie, l’inexorable disparition des mammifères
Le Monde | 19.02.2015 |
Par Caroline Taïx (Sydney, correspondance)
En Australie, on ne s’attendrit pas à la vue de lapins, de renards ou de chats sauvages.
Voilà bien longtemps que l’on s’inquiète de l’explosion du nombre de crapauds. Les dromadaires, les chèvres ou les chevaux sauvages sont qualifiés de « pests », d’animaux ravageurs.
Tous ont été introduits par les colons, à partir de la fin du XVIIIe siècle, avant de se multiplier et se répandre dans le pays.
Ils sont accusés de détruire la faune et la flore de l’île-continent.
Une récente étude, intitulée Déclin et extinction des mammifères australiens depuis la colonisation européenne, publiée dans la revue de l’Académie américaine des sciences, dresse un terrible état des lieux. Les disparitions sont plus importantes que ce qui avait été reconnu jusqu’ici.
En 200 ans, plus de 10 % des 273 espèces de mammifères terrestres endémiques se sont éteintes. Parmi elles, le loup de Tasmanie, le bandicoot ou le kangourou-rat du désert.
Et cette érosion de la biodiversité se poursuit : 21 % des espèces de mammifères australiens sont en danger.
Les auteurs de l’étude, des chercheurs de l’université Charles-Darwin, en Australie, estime que une à deux espèces devraient s’éteindre chaque décennie à venir.
Chats sauvages et renards européens
Longtemps isolée du reste du monde, l’Australie a développé une faune exceptionnelle. « La faune de mammifères terrestres australiens est la plus spécifique au monde », vantent les auteurs de l’étude.
Ils citent notamment la grande diversité des marsupiaux ou des monotrèmes (ornithorynques, échidnés). Près de 90 % des 316 mammifères terrestres recensés en Australie vivent uniquement dans ce pays.
L’Australie a d’autres particularités. L’extinction de ces mammifères terrestres y est plus forte que nulle part ailleurs.
En comparaison, en Amérique du Nord, un seul mammifère terrestre endémique a disparu depuis l’arrivée des Européens : le vison de mer.
Les causes du déclin et de la disparition de ces espèces ne sont pas les mêmes qu’ailleurs.
On parle souvent de la pression démographique, mais en Australie, les extinctions ont lieu dans des régions reculées, où la densité de population est extrêmement faible.
« La perte des mammifères australiens est due principalement aux espèces introduites, en particulier le chat et le renard européen », selon l’enquête.
« Les chats ont été introduits comme animaux domestiques ainsi que pour chasser les souris, les renards pour pratiquer un sport de chasse anglais », explique John Woinarski, responsable de l’étude.
« Les chats sauvages, au nombre de 15 à 23 millions, sont aujourd’hui presque partout. Aussi loin que vous puissiez trouver des signes de vie humaine dans l’immensité australienne, vous en verrez ».
La plupart des mammifères ayant disparu ou en déclin sont de petite taille, pèsent entre 35 g et 5,5 kg et vivent près du sol, ce qui en fait des proies idéales pour chats et renards.
Incendies
L’étude accuse également, entre autres, les fréquents incendies d’être à l’origine du déclin des mammifères australiens. « Ce n’est pas un facteur aussi important que la prédation, mais nous pensons que ces deux éléments sont liés, explique John Woinarski.
L’impact des chats sauvages est plus important dans les zones brûlées, car la plupart des mammifères n’y ont plus de refuge. »
Comment sauver les espèces en danger tant qu’il en est encore temps ?
Les chercheurs suggèrent de les isoler sur des îles, à l’abri des chats et renards, comme cela a été fait.
Il faut surtout éradiquer les prédateurs invasifs : « C’est la clé pour la survie des mammifères », estime John Woinarski.
L’Australie teste un nouveau poison contre les chats, mais la taille du pays rend difficile le contrôle des animaux sauvages, souligne le scientifique.
Des écologistes suggèrent pour leur part de s’appuyer sur un prédateur australien : le dingo, un chien sauvage réputé dangereux pour le bétail, voire pour les humains et qui, ils l’espèrent, ne ferait qu’une bouchée des chats sauvages et des renards.
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Citation de "sibelius"http://www.lemonde.fr/biodiversite/article/2015/02/19/en-australie-l-inexorable-disparition-des-mammiferes_4579682_1652692.html
En Australie, l’inexorable disparition des mammifères
Le Monde | 19.02.2015 |
Par Caroline Taïx (Sydney, correspondance)
En Australie, on ne s’attendrit pas à la vue de lapins, de renards ou de chats sauvages.
Voilà bien longtemps que l’on s’inquiète de l’explosion du nombre de crapauds. Les dromadaires, les chèvres ou les chevaux sauvages sont qualifiés de « pests », d’animaux ravageurs.
Tous ont été introduits par les colons, à partir de la fin du XVIIIe siècle, avant de se multiplier et se répandre dans le pays.
Ils sont accusés de détruire la faune et la flore de l’île-continent.
Une récente étude, intitulée Déclin et extinction des mammifères australiens depuis la colonisation européenne, publiée dans la revue de l’Académie américaine des sciences, dresse un terrible état des lieux. Les disparitions sont plus importantes que ce qui avait été reconnu jusqu’ici.
En 200 ans, plus de 10 % des 273 espèces de mammifères terrestres endémiques se sont éteintes. Parmi elles, le loup de Tasmanie, le bandicoot ou le kangourou-rat du désert.
Et cette érosion de la biodiversité se poursuit : 21 % des espèces de mammifères australiens sont en danger.
Les auteurs de l’étude, des chercheurs de l’université Charles-Darwin, en Australie, estime que une à deux espèces devraient s’éteindre chaque décennie à venir.
Chats sauvages et renards européens
Longtemps isolée du reste du monde, l’Australie a développé une faune exceptionnelle. « La faune de mammifères terrestres australiens est la plus spécifique au monde », vantent les auteurs de l’étude.
Ils citent notamment la grande diversité des marsupiaux ou des monotrèmes (ornithorynques, échidnés). Près de 90 % des 316 mammifères terrestres recensés en Australie vivent uniquement dans ce pays.
L’Australie a d’autres particularités. L’extinction de ces mammifères terrestres y est plus forte que nulle part ailleurs.
En comparaison, en Amérique du Nord, un seul mammifère terrestre endémique a disparu depuis l’arrivée des Européens : le vison de mer.
Les causes du déclin et de la disparition de ces espèces ne sont pas les mêmes qu’ailleurs.
On parle souvent de la pression démographique, mais en Australie, les extinctions ont lieu dans des régions reculées, où la densité de population est extrêmement faible.
« La perte des mammifères australiens est due principalement aux espèces introduites, en particulier le chat et le renard européen », selon l’enquête.
« Les chats ont été introduits comme animaux domestiques ainsi que pour chasser les souris, les renards pour pratiquer un sport de chasse anglais », explique John Woinarski, responsable de l’étude.
« Les chats sauvages, au nombre de 15 à 23 millions, sont aujourd’hui presque partout. Aussi loin que vous puissiez trouver des signes de vie humaine dans l’immensité australienne, vous en verrez ».
La plupart des mammifères ayant disparu ou en déclin sont de petite taille, pèsent entre 35 g et 5,5 kg et vivent près du sol, ce qui en fait des proies idéales pour chats et renards.
Incendies
L’étude accuse également, entre autres, les fréquents incendies d’être à l’origine du déclin des mammifères australiens. « Ce n’est pas un facteur aussi important que la prédation, mais nous pensons que ces deux éléments sont liés, explique John Woinarski.
L’impact des chats sauvages est plus important dans les zones brûlées, car la plupart des mammifères n’y ont plus de refuge. »
Comment sauver les espèces en danger tant qu’il en est encore temps ?
Les chercheurs suggèrent de les isoler sur des îles, à l’abri des chats et renards, comme cela a été fait.
Il faut surtout éradiquer les prédateurs invasifs : « C’est la clé pour la survie des mammifères », estime John Woinarski.
L’Australie teste un nouveau poison contre les chats, mais la taille du pays rend difficile le contrôle des animaux sauvages, souligne le scientifique.
Des écologistes suggèrent pour leur part de s’appuyer sur un prédateur australien : le dingo, un chien sauvage réputé dangereux pour le bétail, voire pour les humains et qui, ils l’espèrent, ne ferait qu’une bouchée des chats sauvages et des renards.
dans notre région ce sont les chasseurs qui s'occupent de régulariser la faune! sans poison et sans dingo!
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http://www.rtl.fr/actu/international/l-australie-veut-tuer-deux-millions-de-chats-errants-7779143165
L'Australie veut tuer deux millions de chats errants
Considérant que l'instinct de chasseur des chats errants est dangereux pour la survie de dizaines d'espèces protégés, le gouvernement australien a décidé de les éradiquer.
Les chats errants en Australie seraient dangereux pour la survie des espèces.
PAR MARINE CLUET PUBLIÉ LE 18/07/2015
L'Australie déclare la guerre... aux chats sauvages.
Jeudi 16 juillet, le gouvernement, par la voix du délégué à la protection des espèces en voie de disparition du ministère de l'environnement Gregory Andrews, a en effet annoncé un programme d'éradication de deux millions de "feral cats", des chats domestiques retournés à l'état sauvage, d'ici à 2020.
Et pour cause, les millions de chats abandonnés sur l'île, entre cinq et dix-huit millions selon l'Australian Wildlife Conservancy, tueraient chaque jour 75 millions d'animaux, révèle le Telegraph.
Leur instinct de prédateur serait dangereux pour la survie de dizaines d'espèces natives de la région, parmi lesquelles le bilby, le bettong de Tasmanie, le chat marsupial ou le numbat.
Un combat non négligeable pour l'Australie qui a perdu 29 de ses mammifères depuis l'arrivée des colons européens au 18e siècle et 1.800 espèces seraient actuellement menacées.
Pour Gregory Andrews, "sur les vingt-neuf espèces de mammifères perdues, vingt-huit sont mortes à cause des chats errants, et quelque 120 animaux australiens sont menacés d'extinction à cause des chats errants."
Abattus ou empoisonnés 
Désormais, les chats errants devront donc être considérés comme "nuisibles" par les États et territoires australiens selon le ministre de l'Environnement Greg Hunt.
Les félins sans domicile fixe seront abattus par balle ou empoisonnés a expliqué le ministre qui a précisé que cette chasse se ferait de la manière la plus "humaine" possible.
Le gouvernement espère même mobiliser les citoyens avec une application mobile et un site Internet.
Le délégué à la protection des espèces en voie de disparition a tout de même tenu à préciser que le gouvernement ne "hait pas les chats, nous ne pouvons -seulement - décemment pas tolérer les dommages qu’ils causent encore à notre faune".
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Citation de "sibelius"http://www.rtl.fr/actu/international/l-australie-veut-tuer-deux-millions-de-chats-errants-7779143165
L'Australie veut tuer deux millions de chats errants
Considérant que l'instinct de chasseur des chats errants est dangereux pour la survie de dizaines d'espèces protégés, le gouvernement australien a décidé de les éradiquer.
Les chats errants en Australie seraient dangereux pour la survie des espèces.
PAR MARINE CLUET PUBLIÉ LE 18/07/2015
L'Australie déclare la guerre... aux chats sauvages.
Jeudi 16 juillet, le gouvernement, par la voix du délégué à la protection des espèces en voie de disparition du ministère de l'environnement Gregory Andrews, a en effet annoncé un programme d'éradication de deux millions de "feral cats", des chats domestiques retournés à l'état sauvage, d'ici à 2020.
Et pour cause, les millions de chats abandonnés sur l'île, entre cinq et dix-huit millions selon l'Australian Wildlife Conservancy, tueraient chaque jour 75 millions d'animaux, révèle le Telegraph.
Leur instinct de prédateur serait dangereux pour la survie de dizaines d'espèces natives de la région, parmi lesquelles le bilby, le bettong de Tasmanie, le chat marsupial ou le numbat.
Un combat non négligeable pour l'Australie qui a perdu 29 de ses mammifères depuis l'arrivée des colons européens au 18e siècle et 1.800 espèces seraient actuellement menacées.
Pour Gregory Andrews, "sur les vingt-neuf espèces de mammifères perdues, vingt-huit sont mortes à cause des chats errants, et quelque 120 animaux australiens sont menacés d'extinction à cause des chats errants."
Abattus ou empoisonnés
Désormais, les chats errants devront donc être considérés comme "nuisibles" par les États et territoires australiens selon le ministre de l'Environnement Greg Hunt.
Les félins sans domicile fixe seront abattus par balle ou empoisonnés a expliqué le ministre qui a précisé que cette chasse se ferait de la manière la plus "humaine" possible.
Le gouvernement espère même mobiliser les citoyens avec une application mobile et un site Internet.
Le délégué à la protection des espèces en voie de disparition a tout de même tenu à préciser que le gouvernement ne "hait pas les chats, nous ne pouvons -seulement - décemment pas tolérer les dommages qu’ils causent encore à notre faune".
comme déjà écrit il faut un équilibre dans la nature si çà dégénère c'est l'humain qui intervient pour régulariser!
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( Il parait qu'en Australie, on fait plein de pâté de lapins .. à cause de la surpopulation lapine .. .. sans doute .... Au demeurant, si ça pouvait permettre de réduire la malnutrition dans le Monde ;...
mais, hélas, comme dit le proverbe :
Ce n'est pas la nourriture qui manque, mais l'argent pour l'acheter.
Quousque tandem ? ...
Jusqu'à quand supporterons nous que ce soit l'argent qui domine le monde, la vie ?
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Citation de "chantal200"[
comme déjà écrit il faut un équilibre dans la nature si çà dégénère c'est l'humain qui intervient pour régulariser! [/quote]
Régulariser, oui .. enfin, si on veut ...
les humains s'arrogent le droit de vie et de mort sur toute la planète .; 
Quant à l'argent il règne en maître ..
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Citation de "sibelius"Citation de "chantal200"[
comme déjà écrit il faut un équilibre dans la nature si çà dégénère c'est l'humain qui intervient pour régulariser!
Régulariser, oui .. enfin, si on veut ...
les humains s'arrogent le droit de vie et de mort sur toute la planète .;
Quant à l'argent il règne en maître .. [/quote]
eh oui sans argent on est des pauvres! rire
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dan777 (clôturé)
il y a 9 ans
BJR
je serais curieux de connaitre la recette
car le probleme est que le paté demande bcp de graisse
et le lapin est la viande ayant le taux le plus bas de cholesterol.Citation de "sibelius"( Il parait qu'en Australie, on fait plein de pâté de lapins .. à cause de la surpopulation lapine .. .. sans doute .... Au demeurant, si ça pouvait permettre de réduire la malnutrition dans le Monde ;...
mais, hélas, comme dit le proverbe :
Ce n'est pas la nourriture qui manque, mais l'argent pour l'acheter.
Quousque tandem ? ...
Jusqu'à quand supporterons nous que ce soit l'argent qui domine le monde, la vie ?
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