vyseee

A quand une catégorie de forum incluant l'écologie ?

il y a 9 ans
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sibelius il y a 8 ans

es-nappes-phreatiques-en-mai-23-mai-2016.html" target="_blank">http://www.meteo-paris.com/actualites/bulletin-de-niveaux-des-nappes-phreatiques-en-mai-23-mai-2016.html

Bulletin de niveaux des nappes phréatiques en mai

Article publié le 23/05/2016

Le Bureau de Recherches Géologiques et Minières (établissement public de référence en France) a publié son bulletin de situation des nappes phréatiques (au 1er mai).

Les deux tiers des réservoirs (75%) affichent un niveau normal ou supérieur à la normale. La situation montre que, sur la plus grande partie du territoire, la recharge hivernale a été efficace au cours des premiers mois de l’année. Quelques secteurs restent néanmoins déficitaires au Sud-Est et sur le bassin parisien

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sibelius il y a 8 ans

http://www.lavoixdunord.fr/region/gaz-de-couche-dans-le-valenciennois-pas-pour-tout-de-suite-ia15b36974n3551700

Gaz de couche dans le Valenciennois: pas pour tout de suite
PUBLIÉ LE 05/06/2016
Par Jérémy Lemaire avec Agence locale de presse

Gaz de mine ? Gaz de couche ? Sous nos pieds, l’ancien grisou des mines de charbon peut encore s’avérer rentable. Et la société Gazonor a des projets pour en tirer parti.

Gazonor possède plusieurs forages de gaz de mine, comme celui-ci à Avion.

Le « permis du Valenciennois », c’est quoi ?

Depuis 2009, l’entreprise Gazonor est détentrice du « permis du Valenciennois » octroyé par l’État. Cela lui donne un permis exclusif de recherches de mines d’hydrocarbures liquides ou gazeux durant cinq ans. Ce qui intéresse cette société basée à Avion, dans le Pas-de-Calais, c’est le gaz contenu dans les anciennes veines de charbon.

Du gaz de mine, le célèbre grisou redouté des mineurs.

Ce « permis » couvre un large territoire, grosso modo tout l’arrondissement, jusqu’à la frontière belge, soit plus de 430 km2.

Devant le conseil d’État

Gazonor a demandé la reconduction de ses permis en juin 2014. Une reconduction avec cependant une modification puisqu’elle a exprimé le vœu d’obtenir une prolongation exceptionnelle pour une durée de trois ans ou le renouvellement pour une durée de cinq ans de ce permis.

Le ministère de l’Environnement n’a jamais répondu à cette demande. Il faut dire qu’un fait nouveau est venu troubler la procédure quand des élus locaux ont découvert que Gazonor ne souhaitait pas juste renouveler le contrat d’exploitation du gaz de mine, mais aussi « mettre en place de nouveaux sondages d’accès au gisement ou des sondages pour extraire du gaz de couche ». Le sujet est désormais entre les mains du conseil d’État (lire par ailleurs).

Gaz de mine ou gaz de couche ?

Schématiquement, le gaz de mine est présent « naturellement » dans les anciens puits. Il est assez simple d’aller le chercher.

En revanche, le gaz de couche se trouve dans des veines de charbon non exploitées. Pour les associations environnementales, les techniques pour aller le récupérer sont différentes et présenteraient des risques.

« Forer dans des terrains exploités par les houillères donc très instables présente un risque sismique important, analyse ce membre valenciennois du collectif Houille Ouille Ouille, sous couvert d’anonymat.

Des tremblements de terre à petite échelle qui peuvent faire fissurer les maisons. Il y a aussi les gaz à effet de serre. » Ce militant pointe du doigt également des risques pour la nappe phréatique.

Faux, avance Nicolas Ricquart, le directeur de Gazonor. « Plusieurs forages ont été réalisés en Lorraine et il n’y a pas eu de drames techniques ou environnementaux. Ceux qui pourraient se faire dans le Nord - Pas-de-Calais sont les mêmes que ceux faits par les charbonnages. » Et d’affirmer que des techniques qui ont fait couler beaucoup d’encre, comme la fracturation hydraulique, ne seront pas utilisées. De toute façon, affirme Nicolas Ricquart, même si Gazonor obtient la reconduction du « permis du Valenciennois », « nous n’avons pas de projets de gaz de couche dans le Nord - Pas-de-Calais. Pour les deux ou trois prochaines années, nous sommes pris par l’électricité (lire par ailleurs). »

De l’électricité produite à Lourches en 2017

D’après Nicolas Ricquart, si Gazonor n’a pour l’heure pas la tête au gaz de couche, c’est qu’elle s’est lancée dans un autre dossier : celui de l’électricité.

« Un décret publié vendredi donne des conditions de rémunération sur la production d’électricité avec du gaz de mine. On va enfin avoir l’autorisation. C’est une très bonne nouvelle pour nos projets. »

L’idée : transformer le gaz de mine en électricité. Outre Avion et Divion, le site de Lourches est ainsi concerné et pourrait générer 1,5 mégawatt d’énergie d’ici à la fin 2017.

Une à deux autres « installations nomades » pourraient aussi voir le jour ailleurs dans le Valenciennois.

Des sortes de puits d’extraction éphémères (entre trois et cinq ans) et itinérants qui seraient installés sur « d’anciens puits de mine avec des tubulures existantes ». Des études détermineront les secteurs les plus productifs.

Les projets de Gazonor devant le conseil d’État

La ministre de l’Environnement, de l’Energie et de la mer n’a guère apprécié l’ordonnance du juge des référés du tribunal administratif de Lille, qui le 22 mars dernier, a suspendu le rejet implicite de la demande de la société Gazonor.

Le ministère a même été sommé d’émettre une décision claire sur cette demande, dans les quinze jours suivant l’ordonnance, sous peine d’une astreinte quotidienne de 5000 euros/jour. C’est dans l’espoir de casser cette ordonnance Lilloise, que le ministère a déposé un pourvoi devant le conseil d’État.

La société Gazonor, détentrice depuis 2009 et pour cinq années, d’un permis exclusif de recherches de mines d’hydrocarbures liquides ou gazeux, a donc demandé sa reconduction en juin 2014.

Une reconduction avec cependant une modification du permis puisque Gazonor a exprimé le vœu d’obtenir une prolongation exceptionnelle pour une durée de trois ans ou le renouvellement pour une durée de cinq ans de ce permis dit « permis du Valenciennois ».

Le ministère de l’Environnement n’a jamais répondu à cette demande. Il faut dire qu’un fait nouveau est venu troubler la procédure quand des élus locaux ont découvert que Gazonor ne souhaitait pas juste renouveler le contrat d’exploitation du gaz de mine, mais aussi « mettre en place de nouveaux sondages d’accès au gisement ou des sondages pour extraire du gaz de couche ».

Ces techniques permettant l’exploration et l’exploitation de ce combustible, aussi appelé gaz de houille, n’ont rien à voir avec celles pratiquées pour recueillir le gaz de mine.

Pour les magistrats de Lille, cette modification potentielle du cahier des charges ne justifie en rien le silence du ministère de l’Environnement, qui traduit une décision implicite de refus de la demande Gazonor.

Hier à Paris, le rapporteur public a confirmé cette lecture du droit. « La demande a été déposée dans les délais requis. L’absence de réponse du ministère au-delà du délai légal de 15 mois s’apparente donc bien à une décision implicite de refus. »

Dénonçant « l’absence de motifs d’intérêt général émis par la ministre », le magistrat parisien a confirmé le « besoin urgent d’une décision explicite, l’entreprise ne disposant plus de sécurité juridique pour exploiter le site. »

Confirmant l’analyse du juge des référés du tribunal administratif de Lille, le rapporteur public a demandé le rejet du pourvoi du ministère de l’Environnement, qui serait donc sommé de fournir rapidement des arguments à Gazonor.

Décision dans les prochaines semaines.

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sibelius il y a 8 ans

http://www.pointschauds.info/fr/2013/11/20/lomvs-construit-un-debarcadere-a-tekane-trarza/

’OMVS construit un débarcadère à Tékane (Trarza)

Publié par adminA la Une, Actualites, Coopération, Economie, MAURITANIE20 Nov 2013
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Le Ministre des Pêches et de l’Economie Maritime Hamadi Ould Baba Hamadi et Madine Ba, Secrétaire Général du Haut commissariat de l’OMVS, devront procéder, ce mercredi, à Tékane, à l’inauguration des nouveaux locaux du débarcadère et du Centre de développement de la Pêche de Tékane (Trarza).

Ces deux infrastructures de Pêche ont été réalisées avec le soutien de la Banque Mondiale, dans le cadre du Projet de Gestion Intégrée des Ressources en Eau et des Usages à Buts Multiples, le PGIRE-DUMB dont la phase 1 a été bouclée fin mars 2013 et dont la phase 2 sera lancée en janvier 2014.

Grace à cet investissement d’un coût global de 400 millions de FCFA, l’OMVS met à la disposition des acteurs de la pêche en Mauritanie (pêcheurs, mareyeurs, transformateurs) deux infrastructures qui vont permettre le développement de la pêche continentale et l’amélioration des conditions de vie et de travail des pêcheurs ainsi que la procuration et la pérennisation de l’emploi aux jeunes et aux femmes.

Le débarcadère est composé d’un appontement de 60 mètres ainsi que d’un quai de débarquement d’une longueur de 30 mètres. Il servira à faciliter l’embarquement des pirogues ainsi que le débarquement des captures.

Quant au Centre de pêche, sa vocation principale est la production de glaces pour la conservation des poissons, la formation des acteurs et la vulgarisation des nouvelles technologies de pêche et de transformation.

Il est composé d’une halle à marée, d’un bâtiment dénommé Centre de Pêche, d’un logement de fonction, d’un logement de gardien et d’un local pour la transformation du poisson( …)

Source : OMVS

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sibelius il y a 8 ans

https://fr.wikipedia.org/wiki/Balanites_aegyptiaca

Balanites aegyptiaca

Classification
Règne Plantae
Sous-règne Tracheobionta
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Sous-classe Rosidae
Ordre Sapindales
Famille Zygophyllaceae
Genre Balanites
Nom binominal
Balanites aegyptiaca
Classification phylogénétique
Clade Angiospermes
Clade Dicotylédones vraies
Clade Rosidées
Clade Fabidées

Ordre n/a selon APG II
Zygophyllales selon APWebsite
Famille Zygophyllaceae

Le dattier du désert (Balanites aegyptiaca Delile 1813), en tamasheq taboghart1, en bambara zeguene2, encore appelé savonnier au Tchad3, ou sump au Sénégal4, est un arbre du genre Balanites présent et cultivé notamment en Afrique tropicale. Il connaît différents usages alimentaires et médicinaux.

Sommaire
Description morphologique

Balanites aegyptiaca - Muséum de Toulouse

C'est un arbre très épineux, à feuilles caduques, allant jusqu'à 8 mètres de haut, à ramification importante et complexe. Le tronc est bien défini, droit ou légèrement tortueux, à écorce brun-grisâtre, crevassée longitudinalement. Les branches sont nombreuses, très ramifiées, avec des épines droites de 2-7 cm. Les branches secondaires jeunes sont vertes, pubescentes et portent aussi des épines.

Pour ce qui est de la phyllotaxie, les feuilles sont alternes. Ce sont des feuilles composées avec deux folioles de 1 à 5 cm sur 0,7 à 3,5 cm, subsessiles5, coriaces, vertes sur les deux faces, un peu pubescentes, et de forme ovale-lancéolé, largement lancéolé ou ellipsoïde, aigus ou obtus.

L'inflorescence est indéterminée et comporte de 5 à 12 fleurs disposées sur un pédoncule pubescent, de longueur variable. Le calice se compose de 5 sépales ovales. La corolle comporte 5 pétales deux fois plus longs, lancéolés, obtus, ou ovales, et de couleur verdâtre-blanchâtre. Il y a de 10 à 15 étamines, insérés sur un disque charnu de couleur vert sombre au centre duquel se trouve le pistil. Le fruit est une drupe charnue de 1 à 2,5 cm de long, de forme ovale oblongue, de surface soyeuse-pubescente et de couleur verdâtre-blanchâtre, à l'intérieur de laquelle il n'y a qu'une seule graine. Le dattier du désert fleurit de mars à mai et fructifie de juillet à octobre.

Adaptations à la sécheresse[modifier | modifier le code]

Comme la plupart des plantes de milieux semi-arides, le dattier du désert présente différentes adaptations morphologiques à la sécheresse.

Ces adaptations sont ici particulièrement variées : pubescence, sclérification, feuilles coriaces, rameaux chlorophylliens assimilateurs réduit à l'état d'épines, système racinaire double (un appareil racinaire superficiel étendu capte de manière très performante l'eau immédiatement après les précipitations dans un rayon de 20 mètres et un appareil racinaire profond puise dans les réserves du sol jusqu'à 7 mètres)6.

Ceci explique sa grande résistance aux sécheresses, telles celles de 1972-1973 et 1984-19857, l'individu pouvant survivre jusqu'à deux ans en l'absence de précipitations6. Par ailleurs, comme tous les balanites, le datier du désert ne présente pas de métabolisme photosynthétique adapté aux milieux secs de type C4 ou CAM, mais un métabolisme en C3 ordinaire8.

Répartition et habitat[modifier | modifier le code]

Le dattier du désert se situe principalement en Afrique tropicale, particulièrement au Sahara central et occidental, ainsi qu'en Asie extrême-oriental. Il y est arrivé depuis la Méditerranée via l'Égypte.

L'homme le cultive au Sahel, en Égypte, au Soudan, en Arabie et en Inde.

Il pousse bien en sol sablonneux et désertiques sur tout type de géomorphologie :

dépressions, fond des vallées, plaines, et même montagnes.

Rôle écologique[modifier | modifier le code]

Cet arbre est confronté, outre le stress hydrique, à la prédation de différents ruminants :
dromadaires, chèvres et moutons. Il s'agit d'un excellent pâturage, très appétent.

Sont consommées les feuilles sèches tombées (talufakt en tamasheq) et les fleurs (azakalkal en tamasheq)1. Des études ont été réalisées en vue d'augmenter cet usage dans l'alimentation du bétail9.

Il est à noter que la chèvre est capable de manger le fruit lui-même en entier. Cette consommation ne nuit pas à l'arbre, au contraire il s'agit d'un cas de zoochorie, c'est-à;-dire de dissémination des semences par un animal.

En effet, après avoir ingéré des fruits, la chèvre rejettent au repos leurs noyaux en ruminant. Le pouvoir germinatif est augmentée après l'ingestion par une chèvre, l'action mécanique et chimique de son système digestif pouvant provoquer la levée de dormance1.

Utilisations[modifier | modifier le code]

Le dattier du désert a deux usages : alimentaire et médicinal.

Alimentation[modifier | modifier le code]

Le fruit et les feuilles entrent dans l'alimentation des populations locales. Le fruit, appelé iboraghan ou aboghar au Mali, est généralement consommé frais par succion, une fois débarrassé de son épicarpe. Son goût est sucré, avec une pointe d'amertume1.

Cette consommation est proche de celle d'une datte ou d'une friandise.

Au Mali, on fait également macérer le fruit pour produire une boisson, l'asaborad et l'amande contenue dans le noyau, appelée tandilba, est consommée après une longue cuisson1.

De l’huile alimentaire est également extraite des amandes. Les feuilles sont quant à elles séchées et réduites en poudre utilisables dans différentes sauces10,11.

On note un bon apport glucidique, un apport protéique intéressant et assez équilibré dans le cas du fruit (21,8 % d'acides aminés essentiels), et un faible apport lipidique12.
Médecine traditionnelle[modifier | modifier le code]

Tiges et noix

Pour l'aspect médicinal, le liquide obtenu en pressant le fruit est utilisé traditionnellement pour stimuler la production de lait des mères allaitant, et les noix sont utilisés pour traiter des troubles digestifs11.
L'huile est également utilisée pour soigner des problèmes cutanés4.

Hygiène dentaire[modifier | modifier le code]
Les tiges sont parfois utilisées comme brosses à dents.



Le Trarza est une région du Sud-Ouest de la Mauritanie, l'une des treize wilayas que comporte le pays. connues par ces villes historiques comme la ville de Boutilimit.

Sa capitale est Rosso et les autres villes significatives sont Mederdra et Boutilimit.

Climat et végétation[modifier | modifier le code]

Le Trarza est soumis intégralement à un climat désertique chaud (Classification de Köppen BWh) avec cependant des nuances : près de 70 % de la superficie du territoire possède un climat saharien typique alors que les 30 % restants détiennent un climat saharo-sahélien, car situés dans la zone de transition progressive entre le Sahara (espace désertique) et le Sahel (espace semi-désertique ou semi-aride) où règne alors un climat semi-aride chaud
(Classification de Köppen BSh)

Dans les zones touchées par la désertification, la végétation ligneuse disparaît peu à peu. Les espèces ayant le mieux résisté sont les euphorbes (Euphorbia balsamifera), les balanites (Balanites aegyptiaca) et les asclépiadacées (Leptadenia pyrotechnica), ainsi que les tamaris (Tamarix senegalensis) sur la façade atlantique.

Modifié il y a 8 ans, le dimanche 5 juin 2016 à 19:27

Photo de eglantier-de-picardie
eglantier-de-picardie (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "sibelius"Il est grand temps que l'écologie ne soit plus qu'une question politique, mais un acte de tous les jours.

Il ne suffit pas de dire que quelque chose est VERT ou DURABLE pour nous faire tout accepter !

Exemple : des choux-fleurs BIO .. mais venant de l'autre bout du monde (empreinte carbone .. ) à bord de cargos bien polluants, avec des équipages payés au lance pierre .. est-ce vraiment écolo ?

Des prairies, oui . mais pas obtenues en rasant des forêts ...

Le poisson plus sain que la viande .. oui .. à condition de savoir ce qu'il a mangé dans les élevages dont il est issu ...

etc ...


Bonsoir le post, bonsoir Sibelius !
Au posteur, pas besoin de demander, pour créer un post sur l'écologie, si tu crois, à ce sujet, tu pourras le faire.

Je ne suis pas écologiste, mais défenseur de la nature, et du_ futur de notre planète.
La politique a enlevé le vrai sens de l'écologie, en la polluant par des idées politiques.
Les écolos ne sont pas en accord entre-eux, comment peuvent-ils convaincre les autres ?
Nous sommes toutes et tous, les enfants d'une même planète.
Je pense que si nous ne sommes pas ceux qui disent : "après nous la fin du monde", nous pouvons agir de la même façon.
Mais être soucieux du futur de nos descendants, nécessite de ranger nos propres égoïsmes de consommateurs et de pollueurs, de cette planète.
Il est facile de s'en prendre aux autres, mais combien vont récupérer leurs déchets après une partie de pêche, de chasse ou de pique-nique.
Je ne parle pas du continent artificiel de plastique, qui flotte, dans le pacifique.

Sibelius, concernant le poisson, celui que je mange, maintenant, me permet d'avoir une colonne de mercure (vertébrale), plus besoin de thermomètre , maintenant, mais j'ai des hauts et des bas !...

Belle soirée à toutes et tous !

:-)#ff :-)#ff :-)#ff

« J’ai aidé Dame nature. »

J’ai aidé, Dame Nature,
Quand elle me disait gentiment :
O c c u p e-toi de mon futur,
Et ne fais pas de boniments !
J’ai aidé Dame Nature,
De mes forces, de mes faiblesses,
En m’inspirant de ses ramures,
Et profitant de cette ivresse.
J’ai aidé Dame Nature,
Petit ver de terre, que j’étais,
Car je pensais à ce futur,
Que nos descendants hériteraient.
Mon cœur ne pouvait se résigner,
A laisser nos déchets, nos erreurs,
Comme cadeaux à l’humanité.
Que trouveraient nos successeurs ?
Humain, réfléchis, toi aussi !
Car si tu sèmes l’égoïsme,
Tu crois profiter de la vie,
Mais ton futur sera séisme !

Églantier de Picardie.

(¯`v´¯)
(¯`(?)´¯)
(_.^._)
_ ()()
♪♫ \ ♫♪
___ ♥ \ Églantier

Modifié il y a 8 ans, le dimanche 12 juin 2016 à 21:48

Photo de sibelius
sibelius il y a 8 ans

Citation de "eglantier-de-picardie"
La politique a enlevé le vrai sens de l'écologie, en la polluant par des idées politiques.
Les écolos ne sont pas en accord entre-eux, comment peuvent-ils convaincre les autres ?



Hélas, cher Eglantier, vous dites vrai ...

L'écologie est un acte de tous les jours, pas un Parti ...

(f) (f)0 (f) (f)2

Photo de sibelius
sibelius il y a 8 ans

Citation de "eglantier-de-picardie"
:-)#ff :-)#ff :-)#ff

« J’ai aidé Dame nature. »

J’ai aidé, Dame Nature,
Quand elle me disait gentiment :
O c c u p e-toi de mon futur,
Et ne fais pas de boniments !
J’ai aidé Dame Nature,
De mes forces, de mes faiblesses,
En m’inspirant de ses ramures,
Et profitant de cette ivresse.
J’ai aidé Dame Nature,
Petit ver de terre, que j’étais,
Car je pensais à ce futur,
Que nos descendants hériteraient.
Mon cœur ne pouvait se résigner,
A laisser nos déchets, nos erreurs,
Comme cadeaux à l’humanité.
Que trouveraient nos successeurs ?
Humain, réfléchis, toi aussi !
Car si tu sèmes l’égoïsme,
Tu crois profiter de la vie,
Mais ton futur sera séisme !

Églantier de Picardie.

(¯`v´¯)
(¯`(?)´¯)
(_.^._)
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♪♫ \ ♫♪
___ ♥ \ Églantier


Que votre poème est beau, cher Eglantier ...
Et que la Nature l'est aussi, quand on veut bien la respecter !

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Photo de sibelius
sibelius il y a 8 ans

Merci pour la magnifique vidéo, cher Eglantier ! !

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Photo de sibelius
sibelius il y a 8 ans

Bon : voici la raison pour mon changement (momentané) d'avatar :

Une interview, ce matin, à la radio, de : John PERSENDA, PDG de l'Entreprise SPHERE, qui produit les sacs ALFAPAC

( c'est lui qui pose en marinière sur la photo, avec un échantillonnage de ses productions )

J'ai retrouvé une de ses interviews de 2015 :

http://www.lexpress.fr/emploi/business-et-sens/alfapac-objectif-zero-petrole-dans-les-sacs_1642154.html

Alfapac objectif zéro pétrole dans les sacs

Emploi Business et Sens
Guillaume Maincent, publié le 19/01/2015 à 12:09

Opérer sa révolution verte : une stratégie vitale pour l'avenir du fabricant d'emballages ménagersOpérer sa révolution verte : une stratégie vitale pour l'avenir du fabricant d'emballages ménagers afp.com/Jean-Francois Monier

Le groupe Sphere, propriétaire de la marque de produits ménagers, révolutionne son modèle industriel pour se fournir exclusivement en plastique recyclé et biosourcé, d'ici à 2020.

Képis militaires, armure de 1870, reproductions de tableaux... dans le bureau de John Persenda, PDG de Sphere, fabricant d'emballages ménagers la plupart en plastique, on trouve du textile, du métal, du papier, mais pas de plastique.

Tout un symbole pour le détenteur de la marque de sacs-poubelle Alfapac. Pionnier dans son domaine,Sphere (ex-SP Métal) bouleverse son modèle économique pour passer à l'horizon 2020 aux matières premières 100% recyclées ou biosourcées.

"En 2005, j'ai senti le vent tourner, d'autant qu'une loi était dans les tuyaux", se souvient John Persenda, aux commandes de cette entreprise familiale née il y a quarante ans.

En effet, un amendement de la loi d'orientation agricole de 2006 exige la conversion des sacs de caisse aux matières biodégradables. Même si le texte n'est toujours pas appliqué aujourd'hui, le ton est donné.

Un déchet est plus facilement biodégradable quand il est fabriqué en matière végétale - d'où le mot "biosourcé". Et au passage, il allège énormément son bilan carbone, car le végétal absorbe le CO2 de l'air lors de sa croissance, à la différence du pétrole, qui puise dans du carbone fossile.

Mais troquer les matières premières pétrolières contre des matières premières végétales requiert de la technicité.
Conscient du challenge, SP Métal, se donne alors les moyens d'opérer sa révolution verte.

Elle rachète à 50 % un expert allemand, Biotec, et sa panoplie de brevets. En 2010, l'entreprise recrute un nouveau fournisseur : le brésilien Braskem, créateur d'une bouteille de soda en polyéthylène synthétisé à partir de canne à sucre.

Cultiver une vision à cinq ans

La société "se mue alors en start-up", se souvient le dirigeant de Sphere.

A tous les étages, "de l'ouvrier au commercial", se met en place une nouvelle culture, celle du recyclé, sous l'impulsion des Allemands, et celle du biosourcé, davantage en rupture.

Une direction Environnement voit le jour, confiée au directeur du marketing.

Les équipes commerciales apprennent à suivre en parallèle les cours du polyéthylène et ceux de l'amidon : chimique et fossile d'un côté, agricole et renouvelable de l'autre.

"Il a fallu convertir aux matières végétales nos vendeurs recrutés dans les compagnies de l'aval pétrolier.
Ils ont suivi de nombreux séminaires chez Biotec en Allemagne ", raconte John Persenda.

La R & D, elle aussi, revoit ses méthodes de travail. "Pour innover, nous cultivons désormais une vision à trois, quatre, cinq ans, alors qu'avant, il suffisait de raisonner à quelques mois pour créer, par exemple, le sac-poubelle à liens coulissants", décrit John Persenda.

Il faut croire que ce changement de stratégie industrielle porte ses premiers fruits.

Selon Sphere, en deux ans, les ventes de sacs-poubelle en agroplastique ont bondi de 20 % "sur un marché qui croît de 1 %".

Evidemment, cela n'a pas été sans casse. D'abord parce que l'entreprise s'aventure sur un marché de niche, "microscopique dans le monde de l'agriculture industrielle", qui plus est, avec un seul produit : le sac en fécule de pomme de terre.

Et en 2007, patatras : la féculerie d'Haussimont (Marne), où est produite la matière première, est à deux doigts de fermer.

Sphere la reprend alors en propre à 49 %, puis fait appel au sucrier Tereos, qui entre au capital aux côtés des agriculteurs locaux... et l'initie à d'autres matières premières, comme le tapioca ou le blé.

Avec son confrère amidonnier Roquette, Sphere a ainsi développé une capsule d'expresso biodégradable à base de blé.

La nouvelle approche de la société bute aussi sur une question sociétale.

Comme pour les biocarburants, Sphere n'échappe pas à la controverse sur le détournement d'une agriculture censée d'abord produire des aliments pour l'homme et l'animal.

"Si tous les plastiques passaient au végétal, cela mobiliserait 4% de la surface agricole utile", objecte John Persenda.
Socialement aussi, cette approche qui prône une production avec des matières premières locales, au plus près des consommateurs, trouve ses limites.

Le "haut niveau des charges salariales en France" a ainsi raison du rêve de John Persenda : rapatrier en Normandie le laboratoire allemand de Biotec.

Dieppe ne figurera donc pas sur la carte des implantations du groupe en France, aux côtés d'Auchel (Pas-de-Calais) ou Beauzac (Haute-Loire).

Dommage, pour un PDG qui a fait du " made in France" un axe fort de sa communication...

A l'instar du ministre Arnaud Montebourg, il a même posé pour des publicités, habillé d'une marinière, des rouleaux de sacs-poubelle bio à la main !

Se démarquer des concurrents

En réalité, ces photos en marinière et sac-poubelle ont une autre finalité : le dirigeant cherche à se démarquer de ses concurrents plasturgistes délocalisés en Chine ou au Vietnam.

"Ils ont choisi un système intense en main-d'oeuvre et pauvre en process: 1500 personnes pour faire 10 000 tonnes par an.

A l'inverse de notre modèle : avec 120 personnes pour 30 000 tonnes par an, la main-d'oeuvre ne pèse pas assez dans le coût du produit pour justifier une délocalisation lointaine", explique John Persenda.

Une équation à peine ternie par la parité euro-dollar, qui joue en défaveur des acheteurs de polyéthylène du vieux continent.

L'Asie, le dirigeant n'exclut pas d'y aller faire un tour. Mais plutôt à des fins décoratives : pour ramener uniformes et autres képis militaires manquant à sa collection!

:-)

Photo de sibelius
sibelius il y a 8 ans

J'ai donc écouté attentivement l'interview de ce mardi matin, et j'y ai appris que SPHERE - ALFAPAC - PERSENDA fait cultiver, sur ses terres agricoles, principalement situées (pour la France), dans le Nord et dans la Marne, des variétés quasiment non-comestibles de pommes de terre, du fait qu'elles sont beaucoup trop farineuses, .. ce qui est excellent, en revanche, pour les bio-plastiques.

Je suppose qu'il en est de même pour les mêmes produits agricoles utilisés par ces plastiques : Tapioca, blé, canne à sucre aussi, je crois ...

( Sachant que le tapioca, pas plus que la canne à sucre, ne poussent en France, mais c'est utilisé ailleurs pour y faire lesdits sacs, compostables, et à partir des sous-produits (déchets), de ces plantes. Ou de variétés non consommables. )

Modifié il y a 8 ans, le mardi 28 juin 2016 à 11:04

Photo de dan707
dan707 (clôturé) il y a 8 ans

j ai cru que c'etait vraiment toi sibCitation de "sibelius"Bon : voici la raison pour mon changement (momentané) d'avatar :

Une interview, ce matin, à la radio, de : John PERSENDA, PDG de l'Entreprise SPHERE, qui produit les sacs ALFAPAC

( c'est lui qui pose en marinière sur la photo, avec un échantillonnage de ses productions )

J'ai retrouvé une de ses interviews de 2015 :

http://www.lexpress.fr/emploi/business-et-sens/alfapac-objectif-zero-petrole-dans-les-sacs_1642154.html

Alfapac objectif zéro pétrole dans les sacs

Emploi Business et Sens
Guillaume Maincent, publié le 19/01/2015 à 12:09

Opérer sa révolution verte : une stratégie vitale pour l'avenir du fabricant d'emballages ménagersOpérer sa révolution verte : une stratégie vitale pour l'avenir du fabricant d'emballages ménagers afp.com/Jean-Francois Monier

Le groupe Sphere, propriétaire de la marque de produits ménagers, révolutionne son modèle industriel pour se fournir exclusivement en plastique recyclé et biosourcé, d'ici à 2020.

Képis militaires, armure de 1870, reproductions de tableaux... dans le bureau de John Persenda, PDG de Sphere, fabricant d'emballages ménagers la plupart en plastique, on trouve du textile, du métal, du papier, mais pas de plastique.

Tout un symbole pour le détenteur de la marque de sacs-poubelle Alfapac. Pionnier dans son domaine,Sphere (ex-SP Métal) bouleverse son modèle économique pour passer à l'horizon 2020 aux matières premières 100% recyclées ou biosourcées.

"En 2005, j'ai senti le vent tourner, d'autant qu'une loi était dans les tuyaux", se souvient John Persenda, aux commandes de cette entreprise familiale née il y a quarante ans.

En effet, un amendement de la loi d'orientation agricole de 2006 exige la conversion des sacs de caisse aux matières biodégradables. Même si le texte n'est toujours pas appliqué aujourd'hui, le ton est donné.

Un déchet est plus facilement biodégradable quand il est fabriqué en matière végétale - d'où le mot "biosourcé". Et au passage, il allège énormément son bilan carbone, car le végétal absorbe le CO2 de l'air lors de sa croissance, à la différence du pétrole, qui puise dans du carbone fossile.

Mais troquer les matières premières pétrolières contre des matières premières végétales requiert de la technicité.
Conscient du challenge, SP Métal, se donne alors les moyens d'opérer sa révolution verte.

Elle rachète à 50 % un expert allemand, Biotec, et sa panoplie de brevets. En 2010, l'entreprise recrute un nouveau fournisseur : le brésilien Braskem, créateur d'une bouteille de soda en polyéthylène synthétisé à partir de canne à sucre.

Cultiver une vision à cinq ans

La société "se mue alors en start-up", se souvient le dirigeant de Sphere.

A tous les étages, "de l'ouvrier au commercial", se met en place une nouvelle culture, celle du recyclé, sous l'impulsion des Allemands, et celle du biosourcé, davantage en rupture.

Une direction Environnement voit le jour, confiée au directeur du marketing.

Les équipes commerciales apprennent à suivre en parallèle les cours du polyéthylène et ceux de l'amidon : chimique et fossile d'un côté, agricole et renouvelable de l'autre.

"Il a fallu convertir aux matières végétales nos vendeurs recrutés dans les compagnies de l'aval pétrolier.
Ils ont suivi de nombreux séminaires chez Biotec en Allemagne ", raconte John Persenda.

La R & D, elle aussi, revoit ses méthodes de travail. "Pour innover, nous cultivons désormais une vision à trois, quatre, cinq ans, alors qu'avant, il suffisait de raisonner à quelques mois pour créer, par exemple, le sac-poubelle à liens coulissants", décrit John Persenda.

Il faut croire que ce changement de stratégie industrielle porte ses premiers fruits.

Selon Sphere, en deux ans, les ventes de sacs-poubelle en agroplastique ont bondi de 20 % "sur un marché qui croît de 1 %".

Evidemment, cela n'a pas été sans casse. D'abord parce que l'entreprise s'aventure sur un marché de niche, "microscopique dans le monde de l'agriculture industrielle", qui plus est, avec un seul produit : le sac en fécule de pomme de terre.

Et en 2007, patatras : la féculerie d'Haussimont (Marne), où est produite la matière première, est à deux doigts de fermer.

Sphere la reprend alors en propre à 49 %, puis fait appel au sucrier Tereos, qui entre au capital aux côtés des agriculteurs locaux... et l'initie à d'autres matières premières, comme le tapioca ou le blé.

Avec son confrère amidonnier Roquette, Sphere a ainsi développé une capsule d'expresso biodégradable à base de blé.

La nouvelle approche de la société bute aussi sur une question sociétale.

Comme pour les biocarburants, Sphere n'échappe pas à la controverse sur le détournement d'une agriculture censée d'abord produire des aliments pour l'homme et l'animal.

"Si tous les plastiques passaient au végétal, cela mobiliserait 4% de la surface agricole utile", objecte John Persenda.
Socialement aussi, cette approche qui prône une production avec des matières premières locales, au plus près des consommateurs, trouve ses limites.

Le "haut niveau des charges salariales en France" a ainsi raison du rêve de John Persenda : rapatrier en Normandie le laboratoire allemand de Biotec.

Dieppe ne figurera donc pas sur la carte des implantations du groupe en France, aux côtés d'Auchel (Pas-de-Calais) ou Beauzac (Haute-Loire).

Dommage, pour un PDG qui a fait du " made in France" un axe fort de sa communication...

A l'instar du ministre Arnaud Montebourg, il a même posé pour des publicités, habillé d'une marinière, des rouleaux de sacs-poubelle bio à la main !

Se démarquer des concurrents

En réalité, ces photos en marinière et sac-poubelle ont une autre finalité : le dirigeant cherche à se démarquer de ses concurrents plasturgistes délocalisés en Chine ou au Vietnam.

"Ils ont choisi un système intense en main-d'oeuvre et pauvre en process: 1500 personnes pour faire 10 000 tonnes par an.

A l'inverse de notre modèle : avec 120 personnes pour 30 000 tonnes par an, la main-d'oeuvre ne pèse pas assez dans le coût du produit pour justifier une délocalisation lointaine", explique John Persenda.

Une équation à peine ternie par la parité euro-dollar, qui joue en défaveur des acheteurs de polyéthylène du vieux continent.

L'Asie, le dirigeant n'exclut pas d'y aller faire un tour. Mais plutôt à des fins décoratives : pour ramener uniformes et autres képis militaires manquant à sa collection!

:-)

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sibelius il y a 8 ans

Cher Vyseee, Cette semaine, j’ai fait la connaissance d'un agriculteur : nom, mail, téléphone : tout ça :-). Je compte bien l'interroger, à l'occasion, sur son métier.

( J'ai aussi fait la connaissance d'un ancien responsables de carrières, qui s'intéresse aussi, de ce fait, à la minéralogie : moi aussi )

Photo de sibelius
sibelius il y a 8 ans



Voici les les pavés drainants Marlux :

" Les pavés drainants favorisent l'infiltration des eaux de pluie grâce à leur structure ouverte et perméable (pavé ACCEDO) ou à la présence d'écarteurs (pavé ECOROC). Utiles, ils évitent la stagnation d'eau et permettent l'alimentation en eau des racines; résistants "

Comme ça, ça évite pas mal d'inconvénients : les flaques stagnantes, l'asphyxie des sols, leur imperméabilisation, etc

Ca permet donc, à leur mesure, de laisser les pluies rejoindre petit à petit les nappes phréatiques, plutôt que de tout raviner sur leur passage.

Le moindre détail compte, pour protéger notre eau !

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sibelius il y a 8 ans

http://www.marlux-france.com/

Voici le site internet de cette Entreprise !

A relier avec :

le recyclage des petits déchets aluminium (gourhan)
Celui des coquilles d'huitres (ovive)
l'Utilisation d'un substitut écologique au sel de déneigement (selvert.fr )

etc.

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sibelius il y a 8 ans

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/energie-environnement/le-riz-dore-ogm-au-coeur-d-une-guerre-entre-greenpeace-et-109-prix-nobel-583558.html#xtor=EPR-2-[industrie-services]-20160701

Le "riz doré", OGM au cœur d'une guerre entre Greenpeace et 109 prix Nobel
Par latribune.fr | 30/06/2016,

"Les sociétés font le forcing sur le riz doré pour ouvrir la voie à une approbation globale d'autres cultures génétiquement modifiées plus rentables", estime l'organisation écologiste.

(Crédits : REUTERS/Erik De Castro.)

Greenpeace a été le "fer de lance de l'opposition" contre le riz doré, un OGM enrichi en vitamine A, qui a "le potentiel de réduire ou d'éliminer la plupart des décès et maladies" causés par une carence en vitamine A, écrivent 109 prix Nobel dans une lettre publique adressée à l'ONU.

L'ONG estime pour sa part que son efficacité n'a pas été prouvée

Une centaine de prix Nobel (109 jeudi après-midi) dont une quarantaine de Nobel de médecine, ont demandé aux gouvernements du monde entier de désavouer la campagne de Greenpeace contre les OGM et plus particulièrement contre le riz doré, dans une lettre ouverte publiée jeudi sur un site internet dédié.

"Nous demandons à Greenpeace et à ses partisans de réexaminer l'expérience acquise par les agriculteurs et les consommateurs du monde entier avec des cultures et des aliments améliorés grâce aux biotechnologies, à reconnaître les résultats des organismes scientifiques compétents et des agences réglementaires et d'abandonner leur campagne contre les OGM en général et contre le riz doré en particulier."

Les signataires de la lettre, qui représentent plus d'un tiers des lauréats du Nobel encore en vie, appellent les gouvernements du monde entier à faire "tout ce qui est en leur pouvoir" pour "accélérer l'accès des agriculteurs à tous les outils de la biologie moderne", dans leur lettre, également adressée à l'ONU.

La lettre est notamment signée par de nombreux prix Nobel de médecine, mais également de chimie et de physique dont quatre Français : Claude Cohen-Tannoudji (physique) Roger Guillemin (médecine), Serge Haroche (physique) et Jean-Marie Lehn (chimie).

Parmi, les étrangers les plus connus figure le Britannique James Watson qui a découvert la structure de l'ADN.

Un riz très efficace contre la carence en vitamine A

Les signataires relèvent que "toutes les agences scientifiques et réglementaires dans le monde ont établi de manière répétée et cohérente que les cultures et les aliments améliorés grâce aux biotechnologies sont aussi sûrs, sinon plus, que ceux provenant de toute autre méthode de production".

Mais Greenpeace a été le "fer de lance de l'opposition" contre le riz doré enrichi en vitamine A qui, précisent-ils, a "le potentiel de réduire ou d'éliminer la plupart des décès et maladies" causés par une carence en vitamine A dont souffrent 250 millions de personnes dans le monde et notamment 40% d'enfants de moins de cinq ans dans les pays en développement.
Greenpeace critique le lobbyisme des sociétés

Dans une réaction datée de Manille, Greenpeace a rejeté les accusations concernant le riz doré, soulignant que selon l'Institut international de recherche sur le riz, son efficacité pour combattre la carence en vitamine A "n'avait pas été prouvée".

"Les sociétés font le forcing sur le riz doré pour ouvrir la voie à une approbation globale d'autres cultures génétiquement modifiées plus rentables", ajoute l'organisation écologiste qui estime que la "seule solution garantie" pour régler le problème de la malnutrition est "une alimentation saine diversifiée".

(avec AFP)


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