vyseee

A quand une catégorie de forum incluant l'écologie ?

il y a 9 ans
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sibelius il y a 9 ans

Trouvé ce lien sur un Post d'Olympia, toujours d'actualité !

http://www.fondation-nicolas-hulot.org/jemengage/

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kouig (clôturé) il y a 9 ans

heu sib relax!!!!

rire bonne soirée a tous

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vyseee il y a 9 ans

Une écologie à des fins non politiques, non financières voire non hypocrites
En essayant d'avoir une vision globale des choses.
Une conscience que cette planète qui nous héberge ne pourra nous supporter bien longtemps sans évolution de nos comportements !

Ce serait un bon départ !

J'ai reçu un document informatif récemment, dans ma boîte à lettres, émis par notre gouvernement lui même, quant aux comportements à adopter face à la propagation du moustique tigre ;

Il y était recommandé entre autres choses :
- de ne pas trop ouvrir son chez soi et de plutôt se servir de sa clim
- d'enlever les soucoupes de ses pots (pour éviter l'eau stagnante mais du coup en arrosant plus)
- de bien chlorer sa piscine (mais comment ils font pour oser dire des choses comme ça !)
- de bien martyriser son jardin pour éviter de leur laisser trop "d'habitation"

En gros faites des enrobées, polluer vos eaux afin d'éviter quelques désagréments !
D'aucuns diront que j'exagère, et peut être est ce le cas.
Certaines choses me paraissent néanmoins invraisemblables.

J'aime bien ceux qui disent que l'écologie est pour les utopistes qui ne peuvent comprendre la complexité politique du monde dans lequel on vit.
Qui traite les écologistes de doux rêveurs

Comme disait Georges Brassens...

Je leur adresse à tous un message...
Le temps de fait rien à l'affaire...
Quand on est con, on est con !



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sibelius il y a 9 ans

Pourrait-on aussi arrêter d'emballer individuellement les concombres ? car, sinon, on en viendra par emballer les choux fleurs, les endives individuellement, les tomates individuellement, et autres aberrations . :-s

De même pour le pain ...

C'est du gaspillage !

(et des coûts supplémentaires .. )

Modifié il y a 9 ans, le mardi 7 juillet 2015 à 11:29

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vyseee il y a 9 ans

Chacun de nous à son rôle à jouer
Entreprises, particuliers, politiques.

C'est une grave erreur de croire que nos actes n'ont que très peu de portée (ou un grand confort (au choix)).

L'être humain s'emballe lui même individuellement dans son égocentrisme.
(euh je dévie là peut être ?)

Je suis d'accord avec toi au niveau des emballages, comme quand tu parlais en première page du problème de l'appellation bio de certains produits qui font 3 fois le tour du monde avant de finir dans notre assiette.
Il faudrait tenter de réduire tous les transports, emballages et autres étapes polluantes de notre consommation.

Avoir une vision plus globale du problème en somme !

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sibelius il y a 9 ans

Recyclage-du-polystyrene-expanse-fr-0-82-24.html" target="_blank">http://www.valopteam.fr/valorisation-dechets-recyclage-optimisation-Recyclage-du-polystyrene-expanse-fr-0-82-24.html

ECOPSE - Polystyrène expansé - Le recyclage matière
www.ecopse.fr/page.asp?IDp=12
Au titre de ses missions fondatrices, ECO PSE assure depuis 1993 la collecte officielle des statistiques nationales de recyclage de l'emballage PSE.

Le recyclage du polystyrène expansé - Le nouvel Economiste
www.lenouveleconomiste.fr/.../le-recyclage-du-polystyrene-expanse-160...

20 sept. 2012 - Développement durable - Recyclage “Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme”. La célèbre maxime du chimiste Antoine Laurent de ...

le polystyrène un déchet à recycler - L'Indépendant
www.lindependant.fr/.../un-projet-innovant-le-polystyrene-un-dechet-a-r...

15 janv. 2013 - ... devenu une obligation légale et est régi par une multitude de textes réglementaires, le PSE plus connu sous le nom de polystyrène expansé ...

Un recyclage complet - Sud Ouest
www.sudouest.fr/2011/12/01/un-recyclage-complet-568024-757.php
1 déc. 2011 - Il a commencé à mettre en place une filière complète de collecte, compactage et recyclage de déchets en polystyrène expansé. La démarche ...


Service Recyclage Polystyrène Expansé de Placo - YouTube
Vidéo pour "recyclage du polystyrène expansé"▶ 6:04
www.youtube.com/watch?v=8jSuuMy4ZBE

15 juin 2012 - Ajouté par PlacoTV
Placoplatre innove et met en place la première filière nationale de recyclage des déchets de polystyrène expansé ...

comment recycler du polystyrène simplement - YouTube
Vidéo pour "recyclage du polystyrène expansé"▶ 4:53
www.youtube.com/watch?v=eRy-J3gP6-w
25 avr. 2012 - Ajouté par Antodu19
réduction et réutilisation du polystyrène simplement mais efficacement.
Recyclage du polystyrène - Croma
www.croma-foamcutter.com/1-193-207/Recyclage.htm

Le PSE expanséusagé, pourra être réintroduit en production, après broyage, pour ... se présente alors sous forme de granules de polystyrène cristal et constitue ...

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sibelius il y a 9 ans

Erosion marine :

http://www.hydroplus.info/presse/environnement/actualites/5557/

Milieu marin
Érosion littorale: comment relocaliser les activités et les biens ?

3 juillet 2015

Le ministère de l’Écologie a organisé cette semaine un séminaire de restitution de l'appel à projets sur la relocalisation des biens menacés par la mer. Cinq territoires en expérimentation ont livré leurs premiers résultats dont ceux du littoral aquitain, parmi les plus avancés.

Organiser le repli des habitations face à la mer, c'est l'objectif de l'appel à projets sur la relocalisation des activités et des biens lancé en mars 2012, dans le cadre de la stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte.

Sept sites avaient été retenus en décembre 2012 : Lacanau (Gironde), La Teste-de-Buch (Gironde), Labenne (Landes), Ault (Somme), Vias (Hérault), Hyères (Var) et Petit Bourg (Guadeloupe).

Le GIP (Groupement d'intérêt public) Littoral Aquitain a travaillé sur trois sites : Lacanau, La Teste (Gironde) et Labenne (Landes). Il est sûrement le plus avancé dans ses réflexions et ses propositions.

Le premier problème identifié par le GIP : la suppression des biens. « On ne sait pas déconstruire préventivement des biens privés menacés à court, moyen ou long terme sur les côtes sableuses. Il n'y a ni obligation du propriétaire de le faire, ni dispositif opérationnel adapté permettant une appropriation publique », souligne l'étude.

« Le fonds Barnier intervient pour les côtes rocheuses, mais il ne fonctionne pas pour les risques d'érosion sur les côtes sableuses. L'expropriation est inapplicable car les biens visés ont actuellement une valeur financière trop importante.

Il n'existe donc pas aujourd'hui d'outils appropriés ni financièrement, ni juridiquement pour nous permettre d'intervenir », explique Arnaud Gueguen, chargé de mission au GIP.

Le GIP littoral propose de faire participer les propriétaires aux frais de protection. Il céderait la nue-propriété des biens protégés, tout en conservant l'usufruit.

Deuxième piste : la décote des biens. « Grâce aux cartes d'aléa, on peut prévoir aujourd'hui à quel moment les biens menacés seront submergés. L'idée est de monétariser le temps qu'il reste. Par exemple, si un bien a 30 ans de vie, il perd 1/30e de sa valeur par an », développe le chargé de mission.

Seconde difficulté : la réimplantation des biens. « En l'état actuel du droit, il est impossible de reconstruire un bâtiment à vocation commerciale menacé d'érosion, en le repositionnant quelques dizaines de mètres en arrière dans une position moins vulnérable, car cela contreviendrait au principe de continuité de la loi Littoral », souligne l'étude, en se basant sur l'exemple de Lacanau.

« Le permis de construire est nécessaire même pour des activités mobiles. Nous demandons donc de pouvoir prévoir dans la loi des transferts d'urbanisation à capacité constante », explique le chargé de mission.

Pour en savoir plus :
Stratégie nationale de gestion du trait de côte

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sibelius il y a 9 ans

Galets concassés (pour en faire du gravier de jardin, voire du sable pour les plages touristiques . )

Ne pourrait-on pas trouver une autre solution ?

Par exemple, pour faire du sable, utiliser les coquilles d’huître concassées ? ça doit pouvoir se faire ...

Modifié il y a 9 ans, le mardi 21 juillet 2015 à 18:21

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sibelius il y a 9 ans

http://www.irstea.fr/toutes-les-actualites/departement-territoires/montagne-semences-locales-alpgrain-filiere

Revégétaliser la montagne : une filière de semences locales dans les Alpes ?


Projet Alp'Grain © Irstea / G. Loucougaray
18/06/2015

Activités agricoles et touristiques cohabitent en montagne, mais de lourds aménagements sont parfois nécessaires et fragilisent le couvert végétal. Une revégétalisation des prairies est alors réalisée. Le développement d’une filière de semences locales pourrait assurer une qualité environnementale et une nouvelle source de revenus pour les agriculteurs.

Hier le "reverdissement", aujourd’hui la "revégétalisation". La nuance peut paraître subtile et pourtant, nous sommes passés d’un simple "coup de pinceau" à une véritable démarche de restauration écologique durable.

En effet, les enjeux environnementaux sont au cœur des politiques de développement des territoires. D’autant plus en montagne où cohabitent activités agricoles et touristiques. De nombreux aménagements (pistes de ski, retenues collinaires, urbanisation, etc.) fragilisent voire détruisent le couvert végétal, qui doit alors être reconstitué. Les collectivités locales ou structures privées sont de plus en plus attentives à limiter leur impact, mais les actions de revégétalisation ne sont pas toujours concluantes : utilisation de semences peu adaptées aux milieux, utilisation d’intrants en quantité élevée, …

Dans ce contexte, un projet de recherche a étudié la pertinence et la faisabilité de la création d’une filière de récolte de semences locales dans les Alpes françaises et italiennes, en y associant des agriculteurs.

Dans un contexte de baisse générale des revenus agricoles en montagne, la diversification des revenus peut s’avérer un atout important. La création d’une telle filière aboutirait à un produit local d’intérêt pour les aménageurs (protection des talus de l’érosion, maintien du manteau neigeux et de la qualité environnementale recherchée pour le tourisme), mais aussi pour les producteurs eux-mêmes (préservation d’habitats à haute valeur écologique, diversification des prairies, fourrage plus résistant aux conditions d’altitude, etc.).

Pour une revégétalisation durable… et locale !

"Pourquoi aller chercher ailleurs ce que l’on peut trouver sur place !" En effet, la provenance des semences est essentielle : les semences locales, plus adaptées aux sites à revégétaliser, vont résister plus longtemps aux conditions parfois extrêmes rencontrées en montagne.

Des semences adaptées à l’altitude donc, compatible avec le pastoralisme, et qui favorisent le retour plus rapide d’une végétation typique des prairies d’altitude. Car, sans coup de pouce, un couvert végétal met entre 20 et 30 ans pour se reconstituer !

Le développement d’une filière de semences locales permettrait également de réduire les coûts et les quantités nécessaires. En effet, l’idée est de mettre en place une filière courte production/distribution/utilisation, basée sur la proximité géographique entre le site de récolte et le site à revégétaliser. Des prairies semi-naturelles dédiées à cette production pourraient être recréés, rejoignant les politiques d’aménagement durable des territoires.

Au plus près des acteurs

La première étape du projet a été de recueillir les besoins et attentes des aménageurs de la montagne (stations de ski, collectivités locales, entreprises, etc.) vis-à-vis de l’utilisation des semences locales. Des expérimentations sur le terrain ont ensuite suivi, afin de vérifier la faisabilité technique et économique de la récolte de ces semences en testant 4 machines différentes, et le potentiel de réussite de la revégétalisation par la comparaison de prairies déjà ensemencées avec des semences locales ou issues du commerce.

Une cartographie des zones potentielles de production des semences locales a également été réalisée, sur la base de plusieurs critères (altitude, type de végétation, géologie), elle pourrait permettre de revaloriser des espaces agro-pastoraux jusque-là sous-exploités ou peu rentables.

Tout un réseau d’acteurs, d’interactions et de flux a ainsi été identifié et des recommandations sont proposées. Un autre travail commence alors : le recrutement d’agriculteurs volontaires et la coordination pour la mise en place d’une telle filière.

Et cette fois, il est recommandé d’aller chercher des idées et conseils ailleurs ; car il existe déjà des filières spécifiques pour la production de semences locales destinées à la restauration écologique dans les Pyrénées françaises, en Autriche, en Suisse ou encore en Allemagne. Et demain, dans les Alpes françaises ?

Consulter le guide final du projet.

En savoir plus

Consulter les pages de l’unité de recherche Ecosystèmes montagnards (EMGR) et du centre de Grenoble.

Actualité. Un atlas en ligne pour les stations de montagne
[1] Projet Alp’Grain (2013-2015). Cofinancé par l’Union européenne, par le biais du FEDER, dans le cadre du programme franco-italien ALCOTRA (2007-2013), par la République Italienne et par la Région Autonome Vallée Aoste. Partenaires : Institut Agricole Régional, Rég.La Rochère 1/A, l-11100 Aoste et Irstea Grenoble. En savoir plus.

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sibelius il y a 9 ans


Loi de transition énergétique = privatisation des barrages Loi de transition énergétique = privatisation des barrages hydroélectriques

privatisation barrage : L’Assemblée Nationale vient d’adopter en première lecture le projet de loi de transition énergétique.

Examiné en procédure accélérée de façon totalement anti-démocratique, ce texte prévoit rien moins que la privatisation des barrages hydroélectriques, démantelant un peu plus le secteur public de l’énergie, pour répondre aux exigences de libéralisation imposées par les traités européens.


Diversion médiatique et communication pseudo-écolo

Il convient de bien noter que les dispositions prévoyant quels travaux impliqueront de devoir mettre en conformité thermique les bâtiments existants sont renvoyées à un décret ultérieur (art 5) : voila qui n’a rien de clair ni de démocratique.

Par ailleurs, au vu de la réduction drastique de l’ingénierie publique (rappelons que les effectifs du ministère de l’Équipement, celui de S Royal ont diminué de près de la moitié depuis le début des années 2000 ) les particuliers vont se retrouver livrés à une jungle de spéculateurs trop heureux de profiter d’un nouveau marché contraint, alors que le projet de loi ne prévoit aucun réel dispositif de régulation par l’Etat.

On ne sait que trop la manière dont les dispositions de mises en sécurité des ascenseurs, d’imposition de diagnostics techniques de toutes sortes, ou des panneaux solaires ont surtout générés des profits colossaux pour des intérêts privés, pour un bénéfice très minimes pour le particuliers et l’environnement.

Au final, si rien ne garanti que cette usine à gaz permettent des économie d’énergie, elle garantie pour sûr des milliards de profits pour la classe capitaliste…

Transition énergétique ? non : libéralisation de l’énergie !

Dans la droite ligne de ses prédécesseurs Sarko-Fillon-MEDEF, le gouvernement Hollande/Valls applique la politique de libéralisation, de privatisation et de destruction systématique des conquis sociaux des travailleurs de notre pays dictée par l’UE du capital. Et la loi de transition énergétique est l’occasion pour ce gouvernement de mettre en œuvre la libéralisation du secteur de l’hydro-électricité imposée par les traités européens.

Les barrages hydroélectriques : une composante stratégie de l’indépendance énergétique nationale

transition énergétique privatisation des barrages est important de rappeler que les barrages hydroélectriques sont une composante essentielle du réseau de production d’électricité. En France, ils produisent 16% de l’électricité (c’est la quasi totalité de l’électricité d’origine renouvelable).

Cependant, c’est le seul moyen de production mobilisable quasi instantanément et permettant de « stocker » de l’électricité. Hors le réseau ne peut fonctionner que s’il y a à chaque instant une correspondance parfaite entre énergie produite et énergie consommée. Ce sont les barrages hydroélectrique qui assurent la stabilité du réseau, c’est eux qui permettent d’absorber les variations brutales liés aux fluctuations de production des éoliennes (le solaire reste tout à fait marginal).

Ce sont eux également qui assurent sa sûreté notamment en permettant le redémarrage en cas de black out. C’est donc cet outil que le gouvernement, pour répondre aux injonctions de la commission européenne, prévoit de vendre à la découpe, et de l’abandonner à des intérêts locaux. A l’opposé complet d’une démarche de transition énergétique.

Dans son article 29, la loi votée par le PS, les soit disants écolos d’EELV et le parti radical prévoit la privatisation de fait des barrages hydroélectriques. Cet article prévoit que les concessions hydroélectriques (en clairs les barrages) seront exploités par des sociétés d’économie mixtes c’est à dire des sociétés anonymes à capital public et privé. La part publique serait de 34% pour le public, 34% pour l’exploitant et 32% pour des investisseurs tiers.

C’est une privatisation de fait puisque in-fine la puissance publique devient largement minoritaire. Dans le même temps, une remise en concurrence des concessions hydroélectriques est prévue ouvrant largement à la concurrence internationale ce trésor énergétique national que sont les barrages hydroélectriques. On peut donc imaginer – pour être concret – à très cours terme des sociétés exploitant par exemple les grands barrages pyrénéens détenues par l’euro région de l’euro métropole toulousaine, par une des majors du BTP (Bouygues etc…) ou un fond de pension américain et par un électricien privé polonais….

Sécurité publique et sécurité énergétique bradées sous le dogme de l’UE capitaliste de la concurrence libre et non faussée

privatisation barrage : Qui plus est, la part publique de 34% serait ouverte à l’Etat (qui, nous dit on, est sans le sou) et aux collectivités locales riveraines du cours d’eau.

En clair à n’importe quelle collectivité dans la mesure où la loi métropole prévoit de confier la compétence gestion des milieux aquatique (GEMAPI) aux collectivités locales qui seront donc regroupées de manière ad-hoc. C’est un pas supplémentaire du morcellement de la République et de sa fé;odalisation.

Car rien ne garanti que l’intérêt de la collectivité locale partie prenante de la SEM soit de produire de l’électricité. Sa priorité pourrait très bien être de se protéger contre les inondations (responsabilité abandonnée par l’Etat au profit des collectivités locales qui auront donc une casquette multiple, bonjour les conflits d’intérêts !), de pourvoir à de l’irrigation ou au tourisme etc….

Quant aux opérateurs privés, rien n’indique non plus qu’à la différence d’un monopole public leur intérêt de court terme soit de garantir une production hydro-électrique permettant de stabiliser le réseau et donc d’exploiter au mieux les capacités de production d’électricité du pays.

Leur but sera d’obtenir le maximum de profits, et c’est tout.

But qui pourrait également être celui de collectivités locales confrontées à l’austérité généralisée imposée par la Commission Européenne et l’Euro.

.....

En application du programme du Conseil National de la Résistance ( CNR ), le secteur de l’énergie a été nationalisé au sortir de la guerre pour créer un monopole public de l’Énergie permettant de doter notre pays d’un réseau de production et de distribution d’électricité performant et peu couteux pour tous : en regroupant plusieurs centaines de producteurs (dont des dizaines de grands barrages) et des milliers d’entreprises de distribution le ministre communiste Marcel Paul crée Electricité de France.

Des dizaines de grands barrages seront construits – payés par les travailleurs français – et exploités par EDF sous le régime de la concession (les ouvrages appartiennent à l’état mais sont opérés par un tiers). Pour ses besoins propres, la SNCF exploite également ses barrages. Une société publique détenue en majorité par l’Etat, la CNR est également créé dans les années 1950 pour équiper et aménager la vallée du Rhône.

A la fin des années 1990, début des années 2000 des directives européennes, décidées notamment lors du Sommet de Lisbonne, impose la libéralisation du marché de l’énergie c’est à dire la privatisation du service public de l’énergie et leur mise en concurence.

En France, la production et la distribution d’énergie sont scindés en deux parties, EDF et GDF sont séparés puis GDF privatisé en GDF-Suez (qui exploite les barrages de la SNCF et ceux de la CNR) avant que ce ne soit le tour d’EDF (transformation en société anonyme puis vente de 20% du capital).

Mais celà n’est pas suffisant pour l’Europe. De fait, EDF -entreprise qui reste largement détenue par l’Etat – conserve un quasi-monopole de la production d’électricité. Et la Commission Européenne impose donc la mise en concurence des concessions hydroélectriques, en application des différents paquets énergies, comme elle vient d’imposer la privatisation de la SNCF avec le 3e paquet ferroviaire.

Pourtant, comme nous vous le montrions, de l’aveu même des économistes spécialistes du secteur de l’énergie, partout où la libéralisation de l’énergie a été mise en œuvre, cela s’est révélé catastrophique à la fois en terme de production d’énergie et de coûts : il suffit de regarder le calamiteux exemple de la Californie.

Rappelons que sans aller chercher jusqu’au Traité de Lisbonne (que le peuple français a pourtant rejeter par réferendum en 2005) ou au Traité de Maastricht, le Traité de Rome fondant l’Union Européenne consacre déjà le dogme de la concurrence libre et non faussée.



Ce grand pôle public de l’énergie est l’outil indispensable pour permettre de réindustrialiser le pays et de produire en France avec les travailleurs de notre pays, pour mettre en place une politique écologique ambitieuse.

L’assemblée nationale vient de voter pour la privatisation des barrages hydrauliques!


pétition de la CGT-FNME contre la privatisation des barrages : http://www.petitionpublique.fr/PeticaoVer.aspx?pi=P2014N46821

Modifié il y a 9 ans, le mercredi 8 juillet 2015 à 15:19

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sibelius il y a 9 ans

La concurrence à l'assaut des barrages d'EdF
Publié le 06 février 2010, à 10h00 | L'Usine Nouvelle n° 3178
Hydroélectricité

Les grands énergéticiens européens sont sur les rangs. Le cinquième du potentiel hydroélectrique français, détenu à 80% par EdF, pourrait changer de mains dans les cinq ans à venir.
L’exploitation des barrages hydroélectriques en France est à la veille d’un grand bouleversement.

EdF, l’opérateur historique, et GdF Suez, le deuxième producteur hexagonal de « houille blanche », s’apprêtent à faire face à une rude concurrence. Celle des grands énergéticiens européens soucieux d’étendre leur territoire. Après des mois d’atermoiements, la bataille est imminente.

La France va ouvrir à la concurrence 20% de son parc hydroélectrique. Au point de susciter l’inquiétude des élus locaux, comme Martin Malvy, le président (PS) du conseil régional de Midi- Pyrénées, qui vient d’adresser une lettre ouverte au ministre de l’Ecologie, Jean-Louis Borloo, pour en savoir plus sur les futurs concessionnaires.

AUGMENTER LA PRODUCTION HYDRAULIQUE DE 10%

Concrètement, les concessions de certains barrages arrivent à leur terme. La loi impose que leur renouvellement ne soit pas automatique. Les droits d’exploitation doivent faire l’objet d’appels d’offres publics. Cette mise en concurrence répond à un double objectif: d’une part, mettre la France en accord avec l’ouverture du marché de l’énergie imposée par l’Union européenne et, d’autre part, augmenter la production hydraulique de 10%, afin d’atteindre 23% d’électricité produite à partir de sources renouvelables en 2020, comme l’a demandé le gouvernement. Comme tous les sites potentiels sont d’ores et déjà équipés, il s’agit d’améliorer le rendement des installations existantes.

MIEUX EXPLOITER LA DYNAMIQUE DES RIVIÈRES

Quelque 399 barrages sont concernés: 81% sont exploités par EdF et 12% par GdF Suez à travers la Shem (Société hydroélectrique du Midi) et la CNR (Compagnie nationale du Rhône). Ces grands barrages représentent 95% de la puissance hydroélectrique française (25000MW). D’ici à 2015, le cinquième (5300MW) sera mis en concurrence, à travers trois appels d’offres concernant la Truyère et la Dordogne en Auvergne et le Drac en Rhône-Alpes.

La mise en concession par vallée, plutôt que par barrage, permettra de mieux exploiter la dynamique des rivières sur lesquelles se succèdent les usines. Les conditions d’attribution des concessions seront connues dans les mois qui viennent. L’appel d’offres, qui devait être lancé fin 2009, le sera finalement en 2011. Henri Ducré, en charge de la branche énergie France de GdF Suez, espère que « le calendrier sera tenu pour une attribution en 2015 ».

Si GdF Suez est le premier intéressé, c’est que le groupe est déjà le deuxième producteur français (3 700 MW). Le concurrent d’EdF compte sur une harmonisation des traitements.

Sa filiale CNR verse une redevance à l’Etat alors qu’EdF ne le fait pas.

Autre concurrence déclarée: le norvégien Statkraft, premier producteur européen d’énergies renouvelables (lire ci-dessous), qui exploite 225 centrales hydrauliques en Norvège, en Suède, en Allemagne, en Finlande et au Royaume-Uni. Egalement intéressé, l’autrichien Verbund, actionnaire à 48% du français Poweo, a récupéré, en 2008, treize barrages allemands d’une puissance de 312 MW, propriétés d’E.ON.

Ce dernier, qui avait déjà cédé 934MW d’hydroélectricité en Suède à Statkraft, souhaite acquérir des actifs en France. Le groupe n’hésite pas à mettre en avant sa « rigueur toute allemande » en matière d’entretien et de respect de l’environnement. E.ON, qui a pour objectif de produire 36%d’électricité issue de sources renouvelables en 2030, compte sur les barrages français pour y parvenir.

Autres concurrents, beaucoup plus discrets: l’italien Enel, l’espagnol Iberdrola et l’allemand Vattenfall... Le canadien Hydro- Québec est le seul opérateur à démentir son intérêt pour le marché français. Il va de soi que la mise en concurrence intéresse l’ensemble des sous-traitants d’EdF qui verront leur marché profondément modifié.

UN GRAND NOMBRE D'ACTEURS INTÉRESSÉS

Jean-Pierre Rodriguez, le directeur de la stratégie du groupe Altawest, attributaire de contrats sur les barrages d’EdF, ne s’en émeut pas: « Si demain, des producteurs privés s’intéressent aux barrages français, ils deviendront autant de clients potentiels. En hydroélectricité, la compétence est locale. » Pierre Neveux, le directeur général de Maïa Power, est plus prudent: « L’arrivée de sous-traitants étrangers ne crée pas une situation nouvelle car nous évoluons déjà sur un marché globalisé.

Mais, jusqu’à maintenant, l’opérateur historique qualifiait plutôt des acteurs nationaux. » Maïa s’intéresse directement aux concessions: « Nous participerons à notre niveau à cette mise en concurrence, même si ce sont les majors qui mèneront la partie. »

« Nous ne sommes pas surpris qu’un tel nombre d’acteurs soit intéressé. A mesure que la procédure avancera, il y en aura beaucoup plus », assure Jean-François Astolfi, le directeur de la division production et ingénierie hydraulique d’EdF.

Le champion tricolore, qui a beaucoup à perdre, se dit prêt à se battre sur chaque concession. Depuis 2007, il a engagé le plan SuperHydro, doté de 560 millions d’euros jusqu’en 2011, pour rénover une partie de son parc hydraulique qui avait été délaissé pendant dix ans.

Le groupe prépare également, dans la plus grande discrétion, un plan, baptisé RenouvEau, dans le but de mieux structurer l’exploitation de ses barrages, et pour s’appuyer, à l’avenir, sur ses plus gros fournisseurs.


TROIS CRITÈRES À RESPECTER

EdF s’aligne, par avance, sur les critères que devront respecter les concessionnaires candidats. Il y en a trois: investir pour augmenter la production, réduire l’impact environnemental et accepter le principe d’une redevance. GdF Suez souhaite que cette dernière ne dépasse pas 30% du chiffre d’affaires.

Elle se situerait, in fine, autour de 25%. Ces éléments étant fixés, restent encore deux points à régler. D’une part, quel sera le devenir des salariés attachés à chaque barrage, en cas d’attribution à un nouveau concessionnaire? D’autre part, les appels d’offres portent sur plusieurs ouvrages d’une même vallée. Comment seront indemnisés les exploitants des barrages non encore arrivés au terme de leur concession et qui seront réattribués ?

UN IMPÉRATIF: CONSERVER UNE GRANDE RÉACTIVITÉ

Une fois lancée, la procédure de mise en concurrence sera encore longue avant que les premiers ouvrages ne changent éventuellement de propriétaires. Quoi qu’il en soit, la gestion du parc hydraulique français devra conserver une grande réactivité pour faire face aux variations brutales et aux pics de consommation.

La production hydraulique est la forme d’énergie la plus flexible et l’une des moins polluantes. Un barrage peut en quelques minutes passer d’une production nulle à sa pleine puissance.

L’hydroélectricité est un réel outil de pilotage du réseau électrique. Les pouvoirs publics veilleront, à n’en pas douter, à ce qu’elle ne tombe pas dans de mauvaises mains.

Modifié il y a 9 ans, le mercredi 8 juillet 2015 à 15:22

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sibelius il y a 9 ans

Agriculture :

Malheureux les épis mûrs et le blé perdu

La cause des agriculteurs européens – français notamment – sort du cadre du simple drame humain symbolisé, dans les années 90, par des tonnes de tomates pourries: leur place avait alors été prise par des légumes marocains, comme si les champs français étaient malencontreusement devenus stériles.

Depuis, les conditions invivables auxquelles sont confrontés les agriculteurs semblent nous préparer au summum de la globalisation: adoption probable, actuellement négociée à huis clos, du TAFTA.

La nuit de colère en France soulève la question des sanctions contre la Russie

Thierry Coué est président de la FNSEA Bretagne. Sa crainte est celle de toute une France agricole qu'on essaye de réduire au silence mais qui résiste.

Voici son analyse de la situation: pas de prix préfixés et moins de charges! Tel devrait être le slogan des manifs de syndicats d'exploitation agricoles si celles-ci devaient avoir lieu.

Les agriculteurs ne peuvent nourrir les consommateurs à des prix préfixés, atteste-t-il, quant à leur trésorerie, elle est exsangue.

La situation s'est sensiblement détériorée il y a un an avec le revenu dérisoire dégagé par la production bovine comparé au coût du travail fourni.

Les raisons sont évidentes: on assiste à une véritable guerre de la distribution qui concourrait à augmenter le pouvoir d'achat via des prix bas, et ce au détriment du système productif, détruit de facto en amont.

L'Etat peut-il remédier à cette situation de quelque façon? Oui, considère M. Coué, en réaffirmant l'importance d'un dialogue continu entre fournisseurs et distributeurs.

Celui-ci est d'autant plus crucial que « la distribution essaye d'arracher au maximum le peu de marge qu'a encore la filière en amont ».

Pris en étau entre des hausses de charges drastiques et des baisses de prix vertigineuses, les revenus de la filière agricole sont à l'heure qu'il est négatifs. Si l'Etat ne réagit pas, une descente dans les rues ne se fera pas attendre.

( Sputnik )

Modifié il y a 9 ans, le mercredi 8 juillet 2015 à 15:22

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sibelius il y a 9 ans

http://sigesrm.brgm.fr/-Geothermie-

Géothermie
Géothermie sur aquifères

Pour davantage d’informations sur la géothermie, consultez le site internet crée par l’ADEME et le BRGM afin d’apporter un ensemble de renseignements généraux et pratiques sur l’énergie géothermique :

Géothermie Perspectives.

Outil de référence dans le domaine des énergies renouvelables, entièrement dédié à la géothermie, le site Géothermie Perspectives répond à deux objectifs :

diffuser une information de qualité sur la géothermie,

être un lieu d’échange et d’animation de la filière géothermie en France.

Vous y trouverez notamment des informations sur la réglementation en vigueur pour les forages de géothermie.

Dans la rubrique la géothermie en région, un espace est dédié à la région Champagne-Ardenne et à la région Lorraine, où vous pouvez accéder notamment à un atlas du potentiel géothermique des aquifères superficiels.

L’espace dédié à la région Alsace présente les spécificités régionales en géothermie.

La géothermie en Alsace
La géothermie en Champagne-Ardenne
La géothermie en Lorraine


Notions d’hydrogéologie

Cette rubrique présente les principales notions d’hydrogéologie.
La connaissance des eaux souterraines est récente. Elle a pris son envol au XIXe siècle, portée par les découvertes de la recherche et par l’augmentation de la demande en eau douce. Jean-Baptiste Lamarck, biologiste et paléontologue français, a été le premier, en 1802, à utiliser le terme hydrogéologie. Il lui donnait le sens de « recherches sur l’influence qu’ont les eaux sur la surface du globe terrestre ».

Le terme, même s’il ne concernait pas directement les eaux souterraines, anticipait fortement les fondements de cette discipline scientifique. En 1862, c’est Delesse qui a tracé la première carte piézométrique (département de la Seine).

L’hydrogéologie s’est ainsi enracinée dans les sciences de la Terre, bénéficiant des progrès de la cartographie géologique du territoire sous l’impulsion du corps des Mines.

En France, les pionniers de l’hydrogéologie étaient Héricart de Thury, Arago, Dausse, Belgrand, Darcy… Le dernier restera célèbre grâce à la loi qui porte son nom « la loi de Darcy » et qui est devenue l’un des piliers de l’hydrogéologie.

Bibliographie

Aquifères et eaux souterraines en France, Ouvrage collectif sous la direction de Jean-Claude Roux, BRGM Éditions, 2006.
Les eaux souterraines, connaissance et gestion, Jean-Jacques Collin, BRGM Éditions et Hermann, 2004.
Les eaux souterraines en France, Collection Les enjeux des Gé;osciences, BRGM Éditions, 2009.


L’eau souterraine : de l’eau contenue dans les roches

Une grande variété de réservoirs d’eau souterraine

Écoulement naturel des eaux souterraines et débits de pompage


Une grande variété de réservoirs d’eau souterraine

Les aquifères présentent des particularités liées à la nature géologique et à la géométrie des formations rocheuses qui les constituent, mais aussi à leur caractère libre ou captif et aux autres milieux aquatiques avec lesquels ils échangent.

Il existe trois grandes familles d’aquifères :

Les aquifères de roches sédimentaires sont composés de calcaires, sables, grès, craie. Ils caractérisent les dépôts en couches dans les grands bassins actuels : bassins parisien, aquitain, l’Alsace… ou ceux morcelés, voire déformés dans les chaines de montagne (Alpes, Pyrénées…) ;

Les aquifères alluviaux sont constitués de matériaux déposés par les cours d’eau dans leurs vallées : sables et graviers, intercalés dans des limons fins.

Vulnérables, ces nappes en relation avec les eaux de surface servent souvent de relais aux grandes nappes libres qui s’écoulent naturellement vers les points bas que sont les vallées ;

Les aquifères de roches cristallines (granite, gneiss,…) et volcaniques (laves, cendres) stockent l’eau dans les fissures, les fractures et les zones altérées (arènes). Ils abritent de petites nappes et sont fréquents en Bretagne, dans les Alpes, le Massif central, les Pyrénées et dans les Vosges.

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suquet il y a 9 ans

Citation de "vyseee"Une écologie à des fins non politiques, non financières voire non hypocrites
En essayant d'avoir une vision globale des choses.
Une conscience que cette planète qui nous héberge ne pourra nous supporter bien longtemps sans évolution de nos comportements !

Ce serait un bon départ !

J'ai reçu un document informatif récemment, dans ma boîte à lettres, émis par notre gouvernement lui même, quant aux comportements à adopter face à la propagation du moustique tigre ;

Il y était recommandé entre autres choses :
- de ne pas trop ouvrir son chez soi et de plutôt se servir de sa clim
- d'enlever les soucoupes de ses pots (pour éviter l'eau stagnante mais du coup en arrosant plus)
- de bien chlorer sa piscine (mais comment ils font pour oser dire des choses comme ça !)
- de bien martyriser son jardin pour éviter de leur laisser trop "d'habitation"

En gros faites des enrobées, polluer vos eaux afin d'éviter quelques désagréments !
D'aucuns diront que j'exagère, et peut être est ce le cas.
Certaines choses me paraissent néanmoins invraisemblables.

J'aime bien ceux qui disent que l'écologie est pour les utopistes qui ne peuvent comprendre la complexité politique du monde dans lequel on vit.
Qui traite les écologistes de doux rêveurs

Comme disait Georges Brassens...

Je leur adresse à tous un message...
Le temps de fait rien à l'affaire...
Quand on est con, on est con !

Le tri individuels des déchets, le changement de comportements à titre individuel, la prise de conscience certes mais les plus gros pollueurs sont les industriels et ce, au niveau mondial.
Avoir des comportements plus écologiques n'apportera pas LA solution pour notre planète.
Nicolas Hulot l'a un jour expliqué sans pratiquer la langue de bois et j'ai apprécié qu'il ait enfin dit : "il faut arrêter de culpabiliser les gens car les responsables sont les industries et les usines".


Photo de vyseee
vyseee il y a 9 ans

Citation de "suquet"

Le tri individuels des déchets, le changement de comportements à titre individuel, la prise de conscience certes mais les plus gros pollueurs sont les industriels et ce, au niveau mondial.
Avoir des comportements plus écologiques n'apportera pas LA solution pour notre planète.
Nicolas Hulot l'a un jour expliqué sans pratiquer la langue de bois et j'ai apprécié qu'il ait enfin dit : "il faut arrêter de culpabiliser les gens car les responsables sont les industries et les usines".



En effet, le comportement individuel n'apporte pas La Solution pour notre planète comme tu dis
Mais faut il dans ce cas s'en laver les mains et se dire un traditionnel " Bah même si je change moi c'est pas ça qui va faire changer les choses" ?

Pour ma part, la question n'est pas là dans puisque ma conscience m'interdit d'agir autrement !

Les industries étant dirigés par des personnes physiques ; si le comportement individuel de ces personnes changeait est ce que ça n'amènerait à un changement à plus grande échelle ?

Je pense aussi qu'elles répondent à une demande (la nôtre) et que leur raison d'être est financière.
Dans le cas hypothétique où pour gagner plus d'argent elles devaient répondre à des critères plus écologiques, ne seraient elles pas alors plus enclin à préserver notre chère planète ?


Participants

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